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Un palliatif

Un palliatif



Délaissée par son mari… elle trouve un palliatif

Je reste éveillée, tranquillement allongée dans mon lit, en attendant que mon mari se réveille. Le chauffage s’est mis en route et la chambre se réchauffe. Il a neigé cette nuit et il fait encore sombre à six heures du matin. Il ne fait jour que vers huit heures. Je soulève lentement mes hanches et ôte le t-shirt que je porte comme vêtement de nuit. Je me déplace plus près de Grégoire et pose mon bras sur sa poitrine. Allongée contre lui nue je espère qu’il va se réveiller avant la sonnerie du réveil et qu’il va avoir du temps pour moi. Cela va faire plus d’un an que nous avons fait l’amour. Je sais que ce n’est pas de ma faute, ou du moins je ne pense pas que ce soit le cas. Les hommes me regardent encore avec convoitise. J’ai tout ce qu’il faut pour les intéresser… un corps mince, une poitrine qui attire le regard des hommes et je n’ai que trente-cinq ans. Ma théorie c’est qu’il préfère sa secrétaire… Mademoiselle Martin. Grégoire a embauché une nouvelle secrétaire il y a presque dix-huit mois et passe beaucoup plus de temps au bureau depuis cette époque et a commencé à faire de fréquents déplacements pour des voyages d’affaires depuis un an environ. Mademoiselle Martin a vingt-deux ans, bien foutue, de longues jambes et une poitrine généreuse.

Je discute souvent avec Thérèse, ma meilleure amie, qui habite en face. Elle a une piscine et les enfants et moi y allons souvent au cours pendant l’été. Nous prenons un café ensemble presque tous les matins et discutons à peu près de tout ce qui se passe dans nos vies. Thérèse a quelques années de moins que moi et a divorcé il y a quelques années maintenant. Elle n’a pas d’enfant, donc elle a eu une vie sexuelle assez active sauf quand elle est dans une période calme comme en ce moment. Lors d’un de ces cafés Thérèse m’a souvent dit d’être plus agressive, de prendre le contrôle de notre sexualité.

– Tu le forces au lit le matin. Tu ne le laisses pas sortir du lit jusqu’à ce qu’il te baise ou t’encule à fond.

Son parler vrai ne peut que me faire rougir !

– Je ne peux pas faire ça.

– Eh bien, tout ce que tu as fait pendant l’an dernier n’a rien donné… tu dois essayer quelque chose de différent avant que Mademoiselle Martin se retrouve dans ton lit et que tu te retrouves dans un autre appartement.

Lorsque le réveil sonne je suis déçue mais pas vraiment surprise quand il rejette mon bras et immédiatement se glisse hors du lit.

– Tu ne peux pas rester au lit un peu plus longtemps ? Je pourrais te faire plaisir. Je ne t’ai pas beaucoup vu ces derniers temps.

Demandai-je avec un peu de plainte dans ma voix. Tout en disant ça, je repousse la couverture afin que mes seins se dressent fièrement… peut-être que ma nudité va le séduire. Il me regarde impassible.

– Non, j’ai des réunions tout ce matin et tu dois t’occuper des enfants à l’école avant de travailler !

Dit-il simplement… sur ce il entre dans la salle de bains et ferme la porte. Je remonte la couverture me rallonge très frustrée. J’avais vraiment anticipé et un peu de cyprine coule dans ma chatte qui croyait avoir la possibilité d’être martelée sur le lit.

J’ai l’habitude d’amener nos enfants, Julien et les jumelles Chloé et Charlotte, à l’école chaque matin, au moins quand ce ne sont pas des amis qui les prennent en passant. Julien vient d’avoir quatorze ans il y a quelques semaines. C’est presque le portrait craché de son père, mesure quelques centimètres de plus même s’il n’a seulement que quatorze ans. Il est même un peu plus musclé que son père. Il a entraînement de football avec un peu de musculation une fois par semaine plus la natation dans la piscine chauffée de Thérèse. Quand des amis appellent pour mon mari et que Julien répond, souvent ils ne peuvent faire la différence, ils ont la même voix. Chloé et Charlotte, à douze ans commencent à tourner les têtes de tous les garçons. Elles ont toutes les deux un joli corps, de longues jambes, une cambrure naturelle, un joli petit cul bien bombé et des petits seins comme deux mandarines avec une myrtille au milieu.

Quand j’entends le rasoir électrique je sais qu’il n’y a plus aucune chance de le voir changer d’avis alors je décide de somnoler un peu plus longtemps. Je n’ai pas encore entièrement émergé quand j’entends la voix de mon Grégoire à travers le brouillard.

– Euh ? Qu’est-ce que tu as dit ? Tu sais que je ne peux pas t’entendre quand la porte est fermée. Viens ici !

Dis-je encore assoupie… La porte s’ouvre et je suis de nouveau dans l’obscurité. Les conseils de Thérèse soudainement me reviennent à l’esprit. Elle a raison, mon façon de faire ne fonctionne pas. Je dois essayer sa suggestion. Je ne peux pas lui donner une occasion de lui dire non. Je vais devoir être rapide. Dans l’obscurité, je peux à peine voir qu’il est encore avec son peignoir quand il avance vers le lit. Je dois lutter pour sortir de ma somnolence Je tends rapidement ma main gauche et à tâtons lui saisit sa queue.

– Attends ! que fais… ?

– Ne dis rien. Tu restes juste comme ça.

Je dois être très rapide avant qu’il ne s’éloigne. Si cela ne marche pas, je serais vraiment trop gênée d’essayer de nouveau.

– Mais tu ne devrais pas…

– Je t’ai dit ne pas parler.

Sur ce, avec mon autre main droite je rejette les couvertures. Je suis complètement nue, allongée dans le lit en face de lui. Si juste mes seins nus ne font pas l’affaire, peut-être qu’une chatte exposée le fera. Je remonte légèrement mes genoux puis les écarte. Il doit maintenant se douter de ce que je veux parce que je sens qu’il essaye de se reculer. Je viens de prendre un contrôle plus ferme sur sa queue et lui se recule sur le côté du lit. Il doit avoir un désir parce qu’il commence à bander dans ma main. Il était mou et pendant quand je l’ai attrapé, mais maintenant j’ai un très bon outil en main. Thérèse a raison de tout ce temps perdu. Je ne peux pas arrêter maintenant. Je dois garder cette progression et de ne pas lui donner une chance d’arrêter.

– Arrête. Tu ne sais pas…

Sa voix est un peu étouffée.

– Tais-toi.

Dis-je avec autant de force que je peux mettre dans ma voix. Je me mets en place assez accrocheuse. Je ne peux pas revenir en arrière maintenant.

– Maintenant tu viens ici et tu me baises.

Sur ce, je tire fort sur sa bite jusqu’à ce qu’il me suive sur le lit et je l’att**** jusqu’à ce qu’il soit finalement dessus de moi… Thérèse a raison les hommes vont où les mène leur bite. Dans la confusion, et dans sa tentative de ne pas avoir sa bite étirée, une de ses mains atterrit sur mon sein droit avant de glisser dans le lit. Avec un peu plus de déstabilisation j’arrive à le faire mettre ses deux genoux entre mes jambes écartées et ses mains de chaque côté de mes épaules en gardant sa poitrine contre la mienne. La bite raide que j’ai maintenant dans ma main, j’ai une assez bonne idée de ce que je vais prendre dans ma chatte. Je peux l’entendre protester à nouveau, probablement d’essayer d’être fidèle à sa secrétaire

Donc, tout en gardant une prise ferme sur sa queue, avec mon autre main sur sa nuque j’attire sa tête jusqu’à ce que ses lèvres frôlent un de mes mamelons. Je tiens sa tête, il a ses lèvres entrouvertes et un mamelon se glisse dans sa bouche. Sa langue se déplace lentement sur mon téton et son corps se détend un peu en signe de reddition. Quand sa langue commence à tourbillonner autour de mon mamelon avec de petits cercles Je sais que j’ai gagné. « je dois enfin avoir son attention.  » Puis il aspire mon sein dans sa bouche et mon corps se cambre contre lui. Ma chatte picote. J’ai certainement toute son attention maintenant. Si sa bite devient encore plus dure, je risque de le griffer. Je tire sa queue jusqu’à ma chatte et me mets à déplacer son gland en petits cercles autour de mon clitoris. Les frissons rapidement deviennent la principale source de chaleur dans ma chatte et si je suis toute humide, il va y avoir une tache humide importante dans pas longtemps. Je continue à déplacer son nœud sur mon clitoris et après quelques passes je veux le pousser contre ma chatte. Après avoir maintenu sa bite pendant quelques secondes, appréciant la sensation, Je me l’enfonce ensuite. Sa réticence a disparu et son corps commence à s’affaler sur moi. J’ai adoré son poids sur moi, me clouant au lit. Il a mis sa tête loin de ma poitrine. Il essaye de parler une fois de plus, mais j’y ai rapidement mis un terme en attirant sa tête et lui donnant un baiser bien baveux. J’ai ensuite déplacé ma tête jusqu’à ce que je puisse atteindre une de ses oreilles avec ma langue. Je remets juste son gland dans ma chatte de nouveau. Lorsque j’ai mis ma langue à l’intérieur de son oreille, il a réagi vivement et avec une forte poussée enfonce sa bite en moi. Je retire ma main de sa queue et pose mes deux paumes sur son cul et le plaque contre moi. Il enfonce son pieu encore plus profond. Un soupir m’échappe. Il étire ma chatte. Elle doit avoir rétréci par manque d’utilisation. Son pénis me semble tellement énorme en moi.

– Baise-moi Chéri ! J’ai besoin d’un bon baisage.

J’enfonce mes ongles quand il se met à me marteler.

– Plus fort !

Je pleure. Je commence à sentir des frissons de plaisir… il se retire légèrement… puis s’enfonce plus fort. Une pression se plaque contre mon clitoris. La chaleur m’envahit et je sais que je vais jouir très vite. Comme j’attends l’orgasme arriver, je le sens s’enfoncer plus fort.

– Non, pas encore !

Lui demande-je dans son oreille.

– Attends-moi !

Mais il était trop tard. Je sens les jets de sperme emplir ma chatte. Il semble ne jamais s’arrêter… six, sept, huit neuf coups de hanches avant de s’arrêter et s’écrouler contre moi. Même alors, il continue à bouger ses hanches légèrement contre moi comme les répliques après un séisme. Comme son corps se détend sur moi, je sens monter la colère. Ça fait plus d’une année et il ne pouvait pas tenir la distance pour jouir en même temps que moi. Il vient juste de prendre son pied sans se préoccuper de ma jouissance.

– Salaud !

Lui siffle-je dans son oreille.

– Pourquoi n’as-tu pas attendre un peu plus longtemps pour moi ?

– Je suis désolé maman. Je ne pouvais pas m’arrêter.

– Bien sûr… tu es désolé mais je suis… Maman ? Oh mon dieu non. Ça ne peut pas être. Julien ? Non, cela ne peut pas être. Ça doit être Grégoire. Julien ? C’est toi ?

Avec effroi, je reconnais la voix de Julien.

– C’est moi maman !

– Que fais-tu ici ? Pourquoi n’as-tu rien dit ? Comment peux-tu avoir fait cela ?

– Je suis désolé maman. J’ai essayé de te dire que c’était moi. Chaque fois que j’ai voulu parler… tu m’as me dit de me taire et… j’ai obéi.

Mon courroux est rapidement tombé avec la culpabilité de prendre mon fils pour mon mari. Il a raison. Tout est de ma faute. Je peux me dire que sa voix est la même, il est au bord des larmes. C’est terrible. Où est Grégoire de toute façon ? Puis j’entends la douche faiblement. Dieu merci, il ne vient pas ici. S’il est encore sous la douche il va se passer un certain temps avant qu’il revienne dans la chambre. Qu’est-ce que je fais maintenant… Julien va-t-il en avoir pour des années de thérapie… Je dois dire quelque chose pour qu’il ne pense pas que ce soit de sa faute. Il a seulement treize ans.

Il s’est légèrement décalé et je réalise qu’il bande encore, toujours au-dessus de moi avec une belle bite encore enfoncée au fond de moi. Comme je me débats en essayant de trouver les mots justes, je remarque qu’il appuie encore sur mon clitoris et il a vraiment envie d’en profiter. Un léger mouvement et rapidement je deviens de nouveau très excitée.

– Julien. Tu dois t’arrêter !

– Je ne fais rien !

– Tu me baises encore !

– Non, je ne fais rien. C’est toi.

J’ai alors réalisé que je j’ai encore mes mains sur ses fesses et lui le plaque doucement contre moi tout ce temps. Je fais un effort pour arrêter mais je me sens tellement bien. Je suis si près. Il est déjà à l’intérieur de moi. Quel mal y aurait-il de faire cela pendant juste encore quelques secondes et plus jamais ensuite. Non, ce que je pense, je dois arrêter. C’est faux. Je suis sa mère. Comme ces pensées se bousculent dans mon esprit ma chatte me trahit. Mes muscles se contractent sur la bite de Julien qui grossit un peu plus à l’intérieur de moi. Il plaque ses hanches fortement contre moi. Je sens sa bite secouer ma chatte et puis son corps contre le mien met mon clitoris en feu.

– Je suis désolé maman. Je n’ai pas pu m’arrêter avec tes mains sur mes fesses.

– Je sais mon Poussin. C’est de ma faute. J’ai encore envie de maintenir ta bite pendant quelques secondes encore, puis nous devrons nous arrêter.

La chaleur dans mon estomac ne cesse de croître. Mes tétons sont tellement sensibles. Nous devons arrêter. Sans réfléchir, je cambre mon bassin un peu plus et involontairement donne une autre secousse à sa bite. Julien se recule de quelques centimètres et s’enfonce encore plus loin en moi. Comme je suis sur le point de dire « Bon, ça suffit ! » il se recule et donne une forte poussée. Mes mots restent dans ma gorge. « Comment peut-il être si raide juste une minute après avoir éjaculé ? Oh, c’est bon d’être à nouveau baisée… même si c’est par un jeune adolescent.  » pensai-je. Il enfouit son visage dans mon cou comme il commence à accélérer ses poussées… encore et encore en moi… me pilonne violement.

– Je suis désolé maman. C’est tellement bon.

– Bien… Mais nous allons devoir arrêter bientôt.

Je sens la pression partout dans ma chatte. C’est comme le bout d’une batte de baseball Ses mains se déplacent sous mes hanches me tenant serrée contre lui, mais maintenant je me sens plus à l’aise et je déplace mon corps jusqu’à ce qu’elles atteignent mes seins. Il bouge lentement ses doigts et se met à frotter mes deux mamelons avec ses doigts ce qui m’envoie une décharge électrique directement de mes tétons à ma chatte… qui ensuite se crispe sur la queue de Julien… qui s’enfonce encore plus fort en moi.

– Julien. Nous devons arrêter !

Murmurai-je d’une voix rauque. Il me devient très difficile de penser. Je dois arrêter avant d’aller trop loin. Trop loin ? Est-ce que j’ai envie ? Nous sommes déjà allés trop loin. Il a déjà joui en moi. Mais alors le diable sur mon épaule me dit « Mais tu es si près. Quel est le mal puisqu’il a déjà joui en toi une fois déjà ». Ok, peut-être seulement quelques secondes de plus puis nous arrêter. Julien, pas au courant de mes raisonnements, ne dit rien. Il ne cesse de me frotter les mamelons et bouge sa bite en moi. Nous nous sommes figés entendant le bruit de l’ouverture de la porte de la douche. Une minute plus tard, le bruit du sèche-cheveux se fait entendre.

– Julien, nous avons juste quelques minutes avant que ton père sorte. Je veux que tu me finisses. Je suis sur le point de jouir.

Il hoche la tête et continue à me pomper. Je relève mon bassin jusqu’à la rencontre avec le sien. Nos corps s’accordent parfaitement. Ses hanches sont contre les miennes, ses mains pressent mes seins, ses doigts roulent mes tétons entre eux. Une chaleur submerge mon ventre.

« Oh Julien. Je… c’est bon… je jouis.

Je dois me raisonner pour me pas hurler de plaisir pendant que mon corps résiste contre mon fils. Je passe mes bras autour de lui, le serre étroitement jusqu’à ce que les tremblements de mon corps diminuent progressivement. Puis je le sens se crisper quand il éjacule pour la deuxième fois en quelques minutes. De nouveau il balance une belle quantité de sperme en moi. Je me demande comment cela peut-il être possible.

Quand il a finalement terminé, il se retire légèrement et pose sa bite demi molle tranquillement sur moi, je prends sa tête entre mes mains et le tire fermement pour que je puisse lui parler à l’oreille.

– Mon Poussin, je te remercie. Tu dois partir vite. Ton père va bientôt revenir. J’avais vraiment besoin de cela, mais nous allons devoir en parler plus tard. Ça ne doit pas se reproduire.

– Je sais maman. C’est la meilleure chose que je n’ai jamais ressenti. Tu es vraiment faite pour faire ça. Je ne sais pas pourquoi papa ne le fait pas avec toi tous les jours.

– Poussin… assez parlé de cela. Tu as besoin de te préparer pour le collège. Descends et prends ton déjeuner. Après le départ de ton père pour le travail, nous devons en parler avant que tes sœurs et toi ne partent.

– Je n’ai pas cours aujourd’hui.

– D’accord. Descends et déjeune. Après le départ de ton père remonte et nous allons pouvoir parler. Et ne lui dit rien à ce sujet. Ce doit être juste notre secret et ne doit jamais se reproduire.

En un clin d’œil, il lève lentement. Sa queue sort doucement de ma chatte. Lentement il profite tout simplement de la sensation qu’il ressent de sa première fois. Comme son gland émerge Je baisse les yeux et regarde sa bite dégoulinante de nos sécrétions. Il y a juste assez de lumière par les fenêtres maintenant pour voir qu’il a un beau morceau… presque aussi grande que celle de son père. Quand il quitte le lit il tire la couverture jusqu’à mes pieds, puis s’arrête et contemple mon corps. Ses yeux bougeant lentement de mes jambes écartées jusqu’à mes seins. Cela me fait rougir légèrement et, déplaçant mes jambes ensemble, je saisis rapidement la couverture et la tire jusqu’à mon cou.

– Il fait froid, murmure-je embarrassée. Le radiateur s’est arrêté plus tôt, mais nous l’avons pas remarqué. Avec Julien sur moi, je ne l’avais pas remarqué.

– Tu es vraiment super sympa maman. Papa est tout simplement stupide, dit-il rapidement. Il saisit son peignoir, sort tranquillement en fermant la porte de la chambre derrière lui.

Aux bruits venant de la salle de bain je sais que Grégoire a fini et est sur le point d’entrer dans la chambre. Alors que je l’attends ma main se promène sur ma poitrine et sur mon ventre jusqu’à ce qu’elle atteigne mon pubis et avec mes doigts le titille légèrement mon clitoris. Comme ma chatte commence à frémir la porte s’ouvre et Grégoire se dirige vers le lit.

– Ma Chère, je ne rentre pas à la maison ce soir. J’ai oublié de te le dire hier soir. Je dois aller jusqu’à l’usine de Metz ce soir. Je ne rentre pas pour le week-end et je reviendrai dimanche soir.

Je suis stupéfaite. C’est un week-end de toute évidence avec Mademoiselle Martin.

– Mais… nous avons besoin de parler.

– Je suis désolé. Quoi qu’il en soit il faudra attendre quelques jours.

En essayant de cacher le soupçon dans ma voix, mais étant infructueuse demandai-je,

– Tu y vas seul ?

– Non. Je vais probablement prendre un assistant.

– Oui. Je peux deviner laquelle.

– Maintenant, ne recommence pas !

Avant que je puisse répondre, il se retourne et sort de la chambre. La colère que je ressens sur le coup s’envole aussi rapidement qu’elle m’est venue. Mes doigts se déplacent lentement dans ma chatte. Je sens le sperme couler. Comme mes doigts vont et viennent dans les sécrétions… le souvenir de la façon dont cela s’est produit me remonte à l’esprit. Je me souviens alors des paroles de Thérèse « ne te mets pas en colère… venge-toi » Je prends une décision pour la rejeter quelques instants plus tard. Finalement je décide qu’une sévère discussion avec Julien… et un entretien encore plus dur avec ce diablotin posé sur mon épaule est le meilleur plan d’action à prendre… quand l’image de mon mari et sa secrétaire à Metz pour le week-end m’apparaît clairement… cela règle mon problème de conscience. Je ne sais pas vraiment ce que je vais dire, mais je sais ce que je vais faire.

Je suis couchée dans le lit en attendant la venue de Julien… essayant de planifier ce que je vais lui dire quand il frappe doucement sur la porte.

– Entre !

Julien ouvre la porte et entre dans la pièce. Il vient tout droit vers mon lit, car il est encore en peignoir. Je caresse les couvertures sur le côté droit du lit à côté de moi :

– Pourquoi ne fermes-tu pas la porte et viens ici.

Comme Julien se dirige vers le lit je l’ai vu avoir un petit frisson.

– Julien, il fait froid, pourquoi ne rentres-tu pas dans le lit… tu seras au chaud pendant que nous allons nous expliquer.

Comme il entre dans le lit, je tends la main pour l’arrêter.

– Quitte ton peignoir. Cela risque d’être inconfortable et te distraire pendant que nous allons parler.

Julien semble un peu gêné par ma suggestion :

– Mais maman, je vais me trouver à poil.

– Mon Poulet… je pense que j’ai vu tout ce qu’il y a à voir tout à l’heure. Allez viens, nous serons au chaud, lui répondis-je avec un sourire malicieux.

Julien me tourne le dos et laisse tomber son peignoir au sol. Quand il se retourne pour soulever les couvertures, je ne peux pas l’aider mais je prends le temps de jeter un regard à sa bite. Il y a maintenant beaucoup de lumière alors je me rincer l’œil. Je me dis, qu’avec le morceau entre ses cuisses, que je vais certainement prendre mon pied. Une fois entré dans le lit il s’allonge sur le dos et tire les couvertures jusqu’au cou. Je me suis tournée sur mon côté pour lui faire face. Je me dois de faire en sorte que cela commence du bon pied.

– Poussin, veux-tu dire quelque chose.

– Oh maman… j’ai honte… c’est de ma faute. J’aurais te dire d’arrêter.

J’adore sa réaction.

– Pas du tout Julien. C’est de ma faute. Je t’ai forcé juste pour satisfaire mes besoins.

Cela peut marcher après tout.

– Ton papa s’est éloigné de moi depuis un certain temps et une femme a des besoins tout comme un homme. Je n’aurais pas dû t’utiliser. Tu es trop jeune pour ce genre de chose. Je souhaite juste que je ne t’aie, en aucune façon, choqué et t’obligé à faire quelque chose que tu n’aurais pas voulu faire.

– Non maman. Je vais bien. Tu ne m’as pas fait pas de mal… au contraire jamais je ne me suis senti aussi bien.

– Oui… bien… j’en suis heureuse… mais je dois trouver quelqu’un qui puisse me baiser pour mon équilibre puisque ton père n’est plus intéressé. Je pense à aller dans un bar, mais qui sait ce qu’elle maladie je peux att****r. Je suppose que quelqu’un ici dans le quartier peut le faire. Il y a bien M. Dupont dans la rue. Il est célibataire.

Julien fait la grimace

– Maman, tu ne peux pas faire cela avec lui. Il est gros, vieux et il sent toujours comme les cigares qu’il fume tout le temps.

Je dois de nouveau me cacher pour sourire. Julien commençait à gigoter Cela signifie qu’il veut dire quelque chose, mais ne sait pas comment. Je pose la main juste au-dessous de son nombril et caresse son ventre

– Eh bien, mon fils, je pense que c’est un bon conseil. Je ne sais pas quoi faire alors.

Lui dis-je… la caresse de ma main doit avoir un effet sur lui. Je sens sa queue qui commence à frémir. Il la pousse contre ma main. Julien se mord la lèvre…

– Maman, je peux peut t’aider, lâche-t-il.

– Je ne sais pas mon cœur. Je me sens si honteuse de ce que je t’ai fait faire auparavant.

Sa queue devenait de plus dure, il l’avance petit à petit sur le dessus de ma main jusqu’à ce qu’elle soit bien raide et couchée sur le dessus de ma main. Comme je continue à caresser son ventre je constate qu’il pousse sa bite sur ma main. Je mets ma main autour et la saisis légèrement. Ça a l’air d’avoir un effet sur Julien. Je l’entends soupirer et constate qu’il soulève ses hanches. Je la saisis doucement et puis fais courir mes doigts sur sa tige d’une manière décontractée.

– Je ne pense pas qu’il soit juste de te demander de faire ça. Tu es mon fils et tu es probablement trop jeune pour apprécier le sexe.

– Non maman. Je l’apprécie beaucoup. Je suis assez âgé. Je veux t’aider. Ce serait beaucoup mieux que d’aller te faire sauter par un étranger et choper des MST. Et après tout, nous avons déjà fait. Je suis d’accord ce n’était peut-être pas top, répond Julien immédiatement.

Je constate un certain empressement avec une certaine incertitude dans la voix.

– Eh bien, je suppose que nous pouvons essayer encore une fois. Tu as raison que cela sera mieux que de me faire sauter par un étranger, lui dis-je en pressant plus fort sa bite.

– Bien je vais essayer autre chose !

Je lâche son pieu, rejette les couvertures au pied du lit. Je m’installe de telle façon que je puisse le chevaucher. J’att**** de nouveau sa bite. Je la place à l’entrée de ma chatte et très lentement je s’assois sur lui. Quand la tête de sa bite entre en moi Julien soupire fort et essaie de lever ses hanches pour s’enfoncer plus profondément en moi.

– Non chéri. Laisse-moi l’initiative.

Je me baisse sur lui doucement pour profiter de sa queue, puis je remonte jusqu’à ce son gland soit presque sorti de ma chatte. Je répète ce mouvement à plusieurs reprises pendant plusieurs minutes. Julien a les yeux fermés en appréciant les sensations sur sa bite.

– Julien !

Il ouvre les yeux.

– Tu as deux mains. J’ai deux seins. Vois-tu tout ce qui t’est offert… tout ce que tu peux faire ?

Julien a un regard interrogateur pendant un instant, puis il pige et il sourit. Il dirige ses mains jusqu’à mes seins et se met à les caresser, les palpe, les soulève, ses doigts font le tour de mes aréoles et tiraillent mes tétons. Il descend lentement ses mains sur mon ventre, puis remonte de nouveau jusqu’à mes seins. Comme il laisse courir ses doigts autour de mes mamelons je sens comme un vide dans ma chatte qui doit être rempli. Je lâche de sa bite et d’un seul coup violent je descends de tout mon poids sur sa queue jusqu’à ce que je sois assise directement sur lui bien empalée sur sa bite. Je commence à bouger mes hanches d’avant en arrière pour branler directement mon clitoris.

– Maman ! C’est super.

Julien soulève ses hanches pour contrebalancer mes mouvements de bascule pour que sa bite entre aussi profond qu’elle peut. Je me penche en avant et mets mes mains sur ses épaules pour que je puisse me repousser en arrière plus violement. J’ai la chatte en feu en moi et je me rends compte que je ne vais pas tarder à jouir. Julien hausse les épaules, mes mains glissent. Comme je suis sur le point d’indiquer mon mécontentement, il lève la tête et aspire un de mes seins dans sa bouche et commence à l’effleurer avec sa langue. Après une minute, il passe sur l’autre. Quand il pose ses mains sur mes côtes, de chaque côté de mes seins, je pose mes mains derrière ma tête et continue à me balancer d’avant en arrière. Il glisse ensuite ses mains sur les côtés de mes seins et les pousse l’un contre l’autre jusqu’à ce que mes tétons se touchent. Il joue avec eux puis se penche de nouveau et suce les deux en même temps. Cela électrise mon corps. Le feu dans ma chatte devient un brasier.

– Julien, je jouiiiiis.

Je me plaque aussi fort que je le peux sur sa queue. Il veut arrêter de jouer avec mes seins.

– Non ! Continue à les sucer.

Les muscles de ma chatte se crispent autour de sa queue quand, vague après vague, la jouissance dévaste mon corps. La bouche de Julien arrête son action… sa tête retombe sur l’oreiller. Ses hanches commencent se plaquer plus fort. Puis il pousse un petit cri, tend les mains pour s’agripper à mes hanches et me tient serrée contre lui. Ses mains glissent ensuite jusqu’au milieu de mon dos et il me tire pour que je sois sur lui, ses bras enroulés autour de moi me tenant serrée contre son corps. Il se met à me pilonner plus fort. Après une bonne minute il grogne.

– Maman, je jouis.

Pour la troisième fois en une heure, il me remplit de sperme. Nous roulons lentement sur le côté pour reprendre notre souffle. Je sens sa bite lentement glisser hors de moi. Je pose ma tête sur son épaule complètement apaisée.

– Julien !

– Oui maman ?

– Je pense que cela fonctionne super bien pour moi…si cela fonctionne pour toi…

– Ça marche bien pour moi maman. Je suis heureux de t’aider.

– Eh bien, nous avons besoin de garder cela pour nous. Ne pas en parler à papa, tes sœurs, ou l’un de vos amis. Penses-tu que tu peux faire cela ?

– Oui maman. Je peux.

Et ainsi, notre aventure a commencé. Au cours des deux semaines suivantes Julien se lève tôt et attend à la porte de notre chambre, dès que son père va à la salle de bain et qu’il l’entend se doucher, il entre monte dans le lit et me baise à la hussarde… et nous aimons ces coïts rapides. Cela faisait partie du jeu et la peur de se faire surprendre. Il semble apprécier vraiment me baiser le matin quand son père est sous la douche. Une ou deux fois par semaine, quand il n’y a personne dans la maison nous prenons notre temps pour nos parties de cul.

Au milieu de la deuxième semaine Grégoire nous fait sa grande annonce : il a besoin de se retrouver seul. Je lui ai suggéré qu’il pourrait peut-être prendre sa jeune secrétaire pour lui tenir compagnie dans sa solitude.

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