Du haut de ses 34 ans Virginie est une jeune femme plein d’entrain, elle travaille comme agent de call center dans une firme lambda mais sa réelle passion se porte sur les objets de collection anciens, rares, de maîtres… Elle rêve de devenir une véritable antiquaire et par passion elle fréquente assidûment les expos, salles de ventes, brocantes…
Et justement notre histoire commence un matin, elle passe devant une boutique d’antiquité en allant au boulot, elle aime flâner devant cette boutique, ayant souvent de très belles pièces hélas le plus souvent hors de prix, et puis régulièrement des hommes passent et font mine de regarder distraitement la vitrine. Font mine car la raison est tout autre et Virginie le sait, car elle fait tout pour entretenir le désir des hommes, loin d’elle l’idée de se vêtir comme une chaudasse mais elle aime mettre en valeur ses formes et suggérer aux hommes des pensées coquines.
Aujourd’hui elle porte un top noir col en « V » moulant avantageusement sa superbe poitrine, bien qu’elle les trouve trop gros, ses seins ont toujours été une source de fantasme pour les hommes la croisant et comme elle le dit régulièrement : « bon, elle est là et je ne peux pas y changer grand chose, alors autant profiter de les atouts »
Elle porte également un Jeans rose soutenant avantageusement son fessier, comme si deux mains soutenaient envers et contre tout ces deux coussins de chair et lui permettaient d’avoir un déhanché absolument envoûtant. Pour accentuer l’effet de son déhanché elle porte également une paire de chaussures noire à talons, gainant ses mollets délicatement musclés sous le Jeans et lui donnant un faux air de starlette. Et pour parfaire son image de tigresse ce matin elle a laissé ses cheveux libres et ondulés naturellement tomber sur ses épaules…
Ho non, ne la voyez pas comme une vulgaire allumeuse ou une quelconque petite salope couchant à tout va, c’est juste que le désir qu’elle ressent dans le regard des autres fait monter le sien, et lorsque le soir elle rentre et retrouve son homme, il est le seul à profiter de ses formes et de ses envies ..
Face à la vitrine elle regarde avec attention qques objets non sans ressentir ces pulsions masculines glisser sur son corps, mais c’est là que son regard s’arrête, hypnotisé par un objet magnifique, un miroir à main travaillé de manière exeptionelle, son bois est finement sculpté et les détails sont tels et l’usure si particulière qu’il ne peut être une copie ou un objet produit en plusieurs exemplaires.
Le nom de l’artiste l’ayant sculpté semble être gravé sur une moulure du manche mais est presque illisible. Poussée par la curiosité elle entre dans la boutique et s’approche davantage…
– Bonjour madame, puis je vous aider?
– heuu, oui bonjour… Je regarde ce miroir… Je n’arrive pas à lire l’inscription sur le manche, de qui est il?
– Superbe objet n’est ce pas, il m’a été confié par une collectionneuse anonyme, une femme très âgée, disant qu’elle l’avait elle même reçu d’une inconnue …
Elle m’a certifié que cet objet était très ancien mais n’a pu me dire son origine… Quand au nom il semblerait qu’il s’agisse d’un certain Laileb, j’ai fait des recherches mais n’ai ou encore trouvé ses origines.
Fascinée par l’objet Virginie répondit distraitement
– je trouverai bien de qui il s’agit, quelle est sa valeur?
– voilà justement une nouvelle de ses particularité, il est lié à un contrat que son ancienne propriétaire et moi avons signé, sa valeur ne vous sera pas donnée, c’est la propriétaire qui réglera son prix, j’avais pour consigne de le vendre uniquement à une femme, jeune de préférence … Ne me demandez pas pourquoi, c’est ainsi que c’est precisé dans le contrat
– Étrange, mais bon soit si c’est dans le contrat, je trouve cet objet superbe, je le veux vraiment. Est e que vous acceptez de me le vendre? … Enfin me le céder?
– j’ai une dernière question pour vous, avez vous un conjoint? Un mari? Un homme quelconque dans votre vie?
Surprise par la question Virginie répond tout d’abord par un balbutiement plus ou moins compréhensible avant de retrouver son assurance et de répondre
– oui bien sur mais pourquoi?
– allez savoir pourquoi, c’etait egalement stipulé dans le contrat… et bien parfait alors, vous avez juste à remplir la fiche que je vais vous donner. Pour preuve par rapport à l’ancienne propriétaire…
Une fois fait, Virginie sort du magasin avec son paquet et continue son chemin vers le boulot, mais n’y tenant plus elle finit par ouvrir l’emballage protecteur, elle n’a pas encore tenu l’objet en main et veut le sentir, son poids, sa matière, la forme de son manche…
Il est contrairement à ce qu’elle imaginait plutôt léger, pourtant fait de bois et de verre il est léger et équilibré, le miroir n’est pas trop lourd et la poignée offre une prise en main exceptionnelle …
Tout simplement comme si avait été étudié par des ingénieurs et des designers…
Mais visiblement il est très ancien, le miroir est un peu salle alors elle décide de le frotter un peu, n’ayant pas de mouchoir ou de chiffon sur elle, elle décide alors d’utiliser son haut …
Elle souffle l’air chaud sur le miroir, puis après avoir jeté un œil à gauche et à droite pour s’assurer que personne ne l’observait, vient poser le miroir contre sa poitrine et avec précaution le frotte contre elle afin d’ôter les poussières et traces de doigts éventuelles…
C’est alors qu’un frisson la saisit, du bas de son dos, parcourant son échine avant de terminer en haut de la nuque… Le miroir semblait glacé, elle a senti comme un vent glacial traverser top et soutien gorge, faisant dresser la pointe de ses seins …
Elle observe le miroir, pose son index sur sa surface et… rien
Sa température est normale, le verre n’est pas fendu et semble plus propre…
– soit, bon faut que je me grouille je vais être en retard au taff moi
Un quart d’heure plus tard la voici assise derrière son bureau, prête à se lancer dans une longue et pénible journée de travail…
Elle a prit soin de poser le miroir sur son bureau afin que les collègues qui passeraient la voir durant la journée puisse admirer l’objet et qui sait lui poser des questions à son sujet, il faut dire que son acquisition n’était pas banale et Virginie a envie de la partager.
9h30, sa collègue vient de passer lui demander un dossier et est repartie aussi vite, sans même calculer cet objet magnifique…
10h53, le chef est passé déposer les dossiers d’appels et comme à son habitude à plongé son regard libidineux dans le décolleté tout en s’adressant à Virginie
« Toujours aussi dégueux ce chef, comme si il pouvait pas être un minimum discret » pensa elle avant de se replonger dans ses appels.
Et lui non plus n’avait pas daigné jeter ne fut ce qu’un œil vers le miroir, probablement trop occupé à se faire des films cochons tandis qu’il mattait les seins de Virginie…
Même Sylvie qui venait toujours tailler une bavette à midi tapante n’avait pas du tout relevé quand Virginie lui avait dit avoir fait une chouette acquisition en désignant l’objet du regard…
« Putain, à croire que tout le monde s’en fout éperdument… Merde quoi » pensa t elle sans pour autant l’afficher sur son visage
Revenant de sa pause elle prit à nouveau l’objet et plongea son regard dans le miroir…
Elle se regardait, se trouvait belle, délicieusement belle.
-ha ben voilà une particularité en plus , il embellit les femmes qui s’y regardent…
Dit Virginie tout haut avant de rire toute seule, avant de poursuivre, telle une boutade
– Miroir, ô mon beau miroir qui est…
Nouveau frisson, mais cette fois c’est une vague de chaleur qu’elle vient de ressentir
– bon allez au boulot, je vais pas non plus y passer la journée
Ce n’est pas tant la surprise du frisson ,qui pousse alors Virginie à reposer le miroir, que cette sensation de chaleur intérieure qui l’espace d’un bref instant à semblé mettre son corps en émois
Virginie à beau se plonger assidûment dans son travail c’est comme si cette vague de chaleur avait allumé un feu dévorant en elle, tout d’abord qques flammes lui réchauffant le ventre et dardant la pointe de ses seins, il grandissait maintenant en elle et provoquait une série de chatouillement entre ses cuisses, en son être tout entier si bien que la moindre caresse du tissu sur sa peau lui semblait voluptueuse. Et au final , la sensation est telle que Virginie sent son entre jambes brûler d’un feu qui ne s’éteint que d’une seule façon…
Comme un souffle chaud dans son cou, nouveau frisson, comme une brise entre ses cuisses, nouveau frisson, comme une caresse sur ses mains… Frisson plus intense encore
Se ressaisissant Virginie regarde autour d’elle, personne, ni son patron ni un quelconque collègue…
Mais alors comment a t elle pu ressentir une caresse si réelle et surtout si… Incroyablement intense
Nouvelle caresse dans le cou, lui arrachant un spasme électrique, sensation à la fois délicieuse et inquiétante pour elle, comment se fait il que…
Nouvelle caresse descendant du cou vers la poitrine, se glissant sous le tissu et semblant s’éteindre avant d’arriver sur ses seins…
– H…Ha!!!
Ce coup ci elle n’a pu retenir un gémissement…
« Mais qu’est ce qui m’arrive putain!?! »
– Il… Il y a qqun? S’adressant à la pièce vide comme si on allait lui répondre
Nouvelle sensation, comme si des mains s’étaient plaquées entre ses cuisses, les écartant avant qu’un souffle brûlant lui caresse l’entre jambes…
– mgggnnnffff, putaiiiinn…
Affolée et à la fois excitée par cette sensation délicieuse, Virginie tente vainement de se lever de sa chaise pour aller se passer de l’eau froide… Mais qqch semble la retenir sur sa chaise, une force implacable, elle est comme clouée à sa chaise, elle arrive à bouger mais c’est comme si son corps refusait de se lever
À présent la caresse se fait plus précisé et intense, elle sent réellement deux mains lui enserrer la gorge, elles sont chaudes et leur étreinte n’a rien d’agressif, troublante oui, affolante certes, excitante sûrement mais Virginie à de moins en moins peur, se détend
Et les mains semblent glisser une nouvelle fois vers son décolleté, plongeant littéralement sous son haut et empaumant ses seins à travers le soutien gorge, non, la caresse est plus précisé encore, plus réelle, les mains sont sur ses seins, elle voit le tissu se déformer légèrement, mais pas de mains dessinées sous le tissu, juste sa poitrine qui bouge et se déforme sous les caresses implacables et exquises de ces mains invisibles
– hooooo, mais qu’est ce …
« Putain je deviens folle, c’est quoi ces … Rhaaaa c’est bon… Qu’est ce que c’est, je … Ouiiiiii encore là »
Plus les caresses se précisent et s’intensifient plus Virginie s’abandonne, ne pouvant pas lutter contre un tel plaisir
À ce moment précis Sylvie entre précipitamment dans le bureau, virginie se tétanise et le pétrissage délicieux de sa poitrine cesse…
– désolé de te déranger mais le partron à oublié des formulaires dans les fiches qu’il t’a apporté ce matin
– je … Je … T’en prie
– tu es sûre que ça va toi? Tu es pivoine…
« Mais faites que cette conne sorte d’ici, j’ai pas fini moi » pensa Virginie avant de répondre
– n… non ça va juste un peu chaud c’est tout
En parlant de chaleur, en voilà qui remontait l’intérieur de ses cuisses et qui fonçait droit vers son entrejambes… Affolant davantage Virginie
« Pas gemir, pas gémir… Hoooo putaiiiiin que c’est boooon »
– ok, Ben.. À plus
– ou…. oui à plus … tard
À nouveau seule, à présent le souffle chaud s’est transformé en caresse intense, glissant sous sa culotte, semblant prendre un malin plaisir à glisser le long de ses lèvres et le les écarter, leur écartement produisant à chaque fois un petit bruit humide, plongeant Virginie dans une sorte de honte exquise
C’est fini, tout sentiment de honte ou de culpabilité ont quitté son esprit, le plaisir est fort, dévorant, elle s’abandonne tandis que deux mains fermes se referment avec vigueur autour de ses seins et qu’à présent une langue se balade sous sa culotte, s’insinuant entre les grandes puis les petites lèvres
La voilà qui laisse comme un chuchotement sortir entre ses lèvres
– mmmmmmmmmh en… encoooooooore, p… plus loin…. oui, ouiiiiii lààà….
Les caresses redoublent, d’autres mains glissent à présent dans sa nuque, son cou, son dos, son ventre, ses flancs, ses fesses… Son corps entier semble être couvert de caresses et de baisers, c’est tellement bon et intense de sentir toutes ces mains sur son corps sans rien voir … Hommes, femmes, fantômes, aliens, peu lui importe maintenant tant le plaisir est irradiant
Plusieurs bouches et langues s’occupent de ses seins, cuisses, oreilles, doigts, orteils, sexe, clito, anus… Pour ce dernier la caresse est nouvelle mais le plaisir que Virginie ressent est tellement envahissant qu’elle se détend d’avantage laissant ces langues entrer davantage en elle
Deux bouches lui sucent les lèvres de son sexe, des langues s’insinuent en elle, glissent le long de sa chatte à présent largement ouverte et trempée par l’excitation…
Virginie s’offre, les frissons sont devenus spasmes, les spasmes sont devenus convulsions…
Elle se sent violée, forcée à prendre du plaisir depuis un temps qui lui semble une éternité… Mais pas un viol physique, pas un viol traumatisant ou désagréable, un viol de tout son être, la forçant à s’abandonner, ces mains, ces bouches, ces langues et à présent ces sexes semblant envahir son corps, chaque effleurement est un plaisir, chaque baiser ou jeu de langue est un délice, chaque pénétration est exquise
Les convulsions sont de plus en plus intenses, les yeux de Virginie se révulsent, le plaisir semble exploser en elle depuis mille ans
« Laisse toi aller à présent, ne me résiste plus, offre moi ton corps afin que je me nourrisse de tes envies les plus secrètes, de tes vices les plus intimes, laisse moi briser les barrières qui retiennent ta véritable essence, viens, abandonne toi à moi… «
Cette voix intérieure est grave, chaude, envoûtante…
Le corps de Virginie se tétanise, le plaisir est si grand et nouveau que le temps semble infini….
… nie…
… Vi… … nie…
« Non encore du plaisir, ne t’en va pas… Non… »
« Si tu me le demande je reviendrai »
…irginie….
« Comment t’appeler ? »
« Le nom… «
« Nom? »
« Lis le … envers »
– Virginie, réveille toi…
virginie ouvre les yeux, tout est encore flou mais se précise assez vite, Sylvie est penchée au dessus d’elle…
– ho ma belle, je croyais que j’allais devoir prévenir le patron et appeler une ambulance… Tu as convulsé, ça va?
– heeeuuuu… Oui… Depuis quand… Es tu là?
– à peine 20 secondes, je venais te chercher pour quitter … Il est déjà l’heure de rentrer… Ça va aller? Tu veux que je t’accompagne?
– N…non, ça va, je pense que j’ai fais un simple malaise… Ça m’est déjà arrivé quand j’étais petite… Manque de sucre
Virginie savait que c’était un bobard grand comme une maison mais bon… Elle allait pas lui raconter que un esprit l’avait « violée » avec son consentement pendant des heures maintenant…
– tu es sûre? Ça va aller
– oui oui t’inquiètes… Allez, à demain
– à demain alors…
Sylvie quitte la pièce, non sans jeter un dernier regard en direction de son amie, la voyant au passage poser sa main sur son bureau et ramasser un objet invisible…
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