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Une revanche sur le sexe [Part01]

Une revanche sur le sexe [Part01]



Arrivé chez moi, vers 18h, mes deux collocs se ruèrent aux nouvelles et je leur expliquais rapidement ma situation. Les deux n’en revenaient pas. Elles n’avouèrent ne pas comprendre un tel comportement, surtout venant de nous. Et il fallait l’avouer, ayant à cet instant un regard plus posé sur la situation, mes propres actes me surprirent. Qu’étais-je devenus ? Si amoureux et attaché, j’avais sauté sur ma proie à une vitesse tellement abrupte. Elles tentèrent de me réconforter malgré mes tords, en bonnes amies qu’elles étaient, mais rien n’y faisait, je ne parvenais pas à oublier mon geste.
Nous passions ensuite le reste de la soirée à parler de tout et de rien, évitant les sujets sensibles au maximum. Nous commandions à livrer au japonnais du bas de la rue et finissions la soirée sur quelques jeux stupides. Je partis dans ma chambre la tête vide, tandis que le petit couple modèle se réfugiait dans la sienne. Liloo et Annaëlle… Le couple parfait ! Ensemble depuis 7ans, rien ne pouvait les séparer. Un modèle d’amour qui ruinerait toutes les théories homophobes !
Bref, je peinais à trouver le sommeil lorsque le cauchemar débuta. Je commençais alors à entendre des halètements légers de l’autre coté du mur… Les filles s’exploraient à une heure tardive, pensant certainement que je m’endormirais vite suite à mon voyage. Je n’ai jamais eu véritablement envie d’aucune des deux car je ne voulais en aucun cas m’immiscer dans leur couple, mais néanmoins, leurs ébats m’avaient toujours fascinés.
Depuis le temps que nous vivions ensemble, si je n’avais pas eus ce respect pour le couple, tant le mien que le leur, j’aurais sûrement essayé de participer au moins une fois. On se connaissait par cœur, même physiquement. Nous nous étions déjà croisés nus en pleine nuit dans l’appart un bon nombre de fois, sans compter sur le soir où Liloo m’avait rejoint complètement dénudée, s’étant trompée de chambre après une soirée trop arrosée. Bref, j’avais toujours plus ou moins fantasmé, sans ne jamais vouloir toucher.
Le degré de plaisir se faisait de plus en plus intense à côté et je ne pu m’empêcher d’avoir une forte érection. Leurs hurlements ne pouvaient plus échapper à mes oreilles, et je commençais à me toucher en m’imaginant avec une autre. Elles riaient de bons cœur, et bougeaient très fort dans leur lit, le faisant parfois cogner contre le mur. Elles hurlaient d’une telle force que mon érection devint totale malgré le fait que je sois seul. Je fis doucement sortir mon gland du prépuce et me mis à imaginer que la belle Eliz posait sa langue sur mon bout rose. J’accélérais le rythme, ma main faisant des mouvements rapides, tandis que les filles jouissaient de concert à côté.
Soudain, pris d’une envie folle, je me demandais si je pouvais avoir le cran de leur demander de participer. Je m’assis alors sur le bord du lit, la main toujours sur mon membre. Annaëlle gémissait alors de plaisir, tandis que je me levais, d’un air décidé. Mais ma conscience eu raison de mon envie et je finis par me jeter dans mon lit, me demandant ce qui m’avait prit. Je finis mon affaire avec les brides de halètements que j’entendais toujours et attendis ensuite que l’endorphine fasse effet. Ainsi, je finis rapidement dans les bras de Morphée.

Le réveil fut très dur. 4h du matin, alors que je ne m’étais endormis seulement 3heures plus tôt. Et c’était sans compter sur la courte nuit précédente. Le seul avantage étant que j’avais une véritable tête de malade, ce qui plaiderait en ma faveur. Je me douchais rapidement pour fondre ensuite dans la cuisine, préparer mon habituel café bien noir. Je m’habillais en vitesse avant de sauter dans ma voiture pour rapidement rejoindre mon boulot. Mon patron me prit tout aussi rapidement à part pour discuter de mon absence exceptionnelle.
– Ecoute Lou, je ne veux pas savoir ce qu’il t’es arrivé hier, tant que tu ratt**** le boulot. T’es un gars bien et un bosseur né, mais par pitié, ne me refais pas ce coup, j’ai faillis m’embrouiller avec un groupe hier à cause de ton absence.
– Pas de problème Seb, merci beaucoup. Me contentais-je de dire.
Je pris ensuite dix minutes avec mes collègues de travail et leur avoua ma séparation sous leurs yeux incrédules. Il se passa quelque minutes sans qu’aucun d’entre eux n’ose faire de commentaire déplacés, mais ce fut sans compter sur l’intervention d’un ami.
– Au final, la petite Sabrina aura peut-être le droit à sa chance maintenant !
Tout le monde rit jaune en voyant mon regard consterné, mais il marquait un point. Sabrina Querel, 19ans, longue crinière noire, avait toujours plus ou moins cherché à me draguer, sans jamais obtenir même une once d’espoir venant de moi. C’était une cliente du studio, une chanteuse hors paire, claviériste à ses heures perdues, née d’une famille fortunée qui lui payait les frais de notre onéreux établissement, plutôt réservé aux Guests. Malgré ses trop nombreuses et inutiles avances, j’étais toujours resté aimable et courtois avec elle pour ne pas la froisser. A vrai dire, elle ne sortait pas souvent de chez elle, ne vivant que pour le chant, et j’étais la seule proie de son âge au studio.
Je commença donc la journée rapidement, afin de ratt****r mon retard. Rien de grave cependant, quelques cordes cassées, une peau à retendre et deux basses à ré accorder. Le plus malheureux, c’était le rendez-vous que j’avais raté avec un groupe local, dont je ne citerais pas le nom mais qui commençait à se faire un nom dans la région. J’avais promis au lead de lui réparer sa custom, qui trônait sur mon établie, son apprêt étant sec. Bref, j’allais entendre parler du pays, mais pas tout de suite.
La matinée se passa sans soucis, et je me permis même une heure pour manger, assez tard à mon habitude, aux alentours de 15heures. Lorsque je revins au studio, j’eu la désagréable sensation d’être observer de manière insistante par mes collègue et je me réfugia alors en salle technique normalement réservée au staff, pour y trouver la petite Sabrina, assise sur un caisson de basse.
– On ne s’assoie pas sur du Marshall mademoiselle ! Ce caisson pourrait payer mon salaire à lui seul. Ouste !
Elle ne répondit pas, ne bougea pas et me nargua en mâchant bruyamment son ChewingGum. Tout en revenant sur ma table de travail, je la regardais sans vraiment lever les yeux. Elle balançait ses jambes nerveusement et manquait de cogner la grille de protection à chaque fois. Malgré ses rondeurs certaines, elle restait mignonne, avec quelque kilos en trop certes, mais elle était largement convoitable. Soudain, son pied vint frapper la grille du caisson, ce qui n’échappa pas à mes oreilles et à mes yeux écarquillés, lorsque je remarquais avec dépit qu’elle avait laissé une profonde marque. Je m’avança alors vers elle pour la prendre par la taille et la faire descendre brutalement. Au lieu de s’excuser, elle se contenta juste de me dire avec un gros sourire.
– Quel homme !
– Sors, va faire tes gammes au lieu de me casser les burnes ici, j’ai du travail à ratt****r. Lui répondis-je sèchement.
Elle passa derrière moi pour s’asseoir sur mon siège.
– Pourquoi t’étais pas là hier au fait ? Me demanda-t-elle, alors que je reprenais mon poste.
– Raisons personnelles, ça ne te regarde pas. Lançais-je sans mâcher mes mots.
– Du genre que ta blonde t’a lâchée ? T’as quand même pas pleuré toute la journée, non ?
Je me retournais en lui lançant un regard noir. Elle comprit alors qu’elle était allé trop loin et s’excusa.
– Vraiment désolé, ça doit être super difficile pour un mec comme toi…
– Un mec comme moi ? Ça veut dire quoi ça ?!
– Bah un peu coincé quoi… T’as jamais connus d’autre fille qu’elle quoi ! T’as toujours refusé les avances de tout le monde, t’es sérieux quoi ! Ça me fait de la peine pour toi…
– Arrête tu vas me faire pleurer. Lui dis-je, sachant pertinemment ce qu’elle avait derrière la tête.
S’installa ensuite un long blanc dans notre dialogue, avant que la petite brune ne reprenne.
– Et maintenant, tu vas faire quoi ?
– Bah je vais finir cette guitare, la rendre à son proprio et faire des sous ! Dis-je, me faisant volontairement passer pour naïf.
– Non bêta, je veux dire au niveau… Vie sentimentale, quoi.
– Je ne veux plus de vie sentimentale, Alex a tout ruiné. Je ne veux pas remettre le couvert.
Je pensais alors avoir calmé ses ardeurs.
– C’est vraiment triste… Se résigna-t-elle. Mais je peux comprendre. Ça va être un Lou en mode chaste quoi ?!
Je ne pu me contenir, alors que je venais de casser une corde, tirant trop nerveusement dessus.
– Je ne pense pas… Un homme a ses besoins, bien au contraire ! Ça fais des lustres qu’on me dit de profiter de ma jeunesse, je vais finir par écouter ces yoloïstes.
Je vis dans ses yeux une lueur d’espoir.
– Toutes sauf toi. Ajoutais-je en rigolant.
Elle se renfrogna alors et se mit à bouder comme une enfant. Je pu enfin finir mon oeuvre en moins d’une vingtaine de minutes. Je sortis donc de mon atelier en ignorant copieusement la boudeuse, mon trophée en main. Mon patron me demanda d’apporter la précieuse gratte à son proprio en guise d’excuse. L’endroit n’étais qu’à 20minutes et je m’exécutais sans discuter, comprenant le geste de mon supérieur. Je fus surpris à mon retour de ne plus trouver la petite Sab nul part, alors qu’en général, elle restait souvent des heures à répéter.
Je finis ma journée au studio, et sur les coup de 18h, entrepris, la boule au ventre, de poursuivre ma journée à la pizzeria, à qui je n’avais pas donné de nouvelles depuis le dimanche précédent.
La soirée de travail fut courte, car le patron ne me laissa pas rentrer, m’accusant d’avoir saboté la soirée de la veille de par mon absence. Ne reconnaissant pas la quantité de travail que je faisais pour lui, nous nous quittions en mauvais termes.
Je rentrais alors chez moi en vitesse, souhaitant me vider la tête le plus rapidement possible. Mon retour ne manqua pas de surprendre mes collocs qui s’embrassaient dans le canapé, devant la télévision. Je leur expliquais rapidement la situation et mon soudain désir de tout laisser tomber. Au final, plus rien ne m’obligeais à partir en Suisse et je n’avais rien ni personne à Toulon si ce n’est un taf éreintant et mes adorables collocs. Je ne savais plus quoi faire et je partageais mes doutes avec mes amies, lorsque mon portable se mit à sonner en milieu de soirée. Le chef de mon studio me demandait de remplacer un collègue, selon mes disponibilités. Me disant que je n’avais rien à perdre et que c’était la moindre des choses de lui rendre la pareille, après la chance qu’il m’avait laissé, je repartis en vitesse.
Arrivé au travail, je remarqua une forte agitation, propre au fait que la plupart des clients travaillaient en journée et venaient se relaxer au studio en soirée, période ou je m’y trouvais rarement. Mon collègue ingénieur du son avait dût partir précipitamment pour des raisons familiales et je le remplaça plus d’une heure à la régie pour l’enregistrement d’un EP. Une fois la tâche faite, n’ayant pas vraiment autre chose en tête, je repartis dans mon atelier pour prendre de l’avance sur le lendemain. En revenant dans mon antre, à cet instant plongée dans le noir total, je savais, sans rien allumer, que je n’étais pas seul. Laissant courir une dizaine de seconde après avoir fermé la porte, j’entendais une respiration derrière ma table de travail. Dans la pénombre, je reconnus une silhouette.
– On m’a dit que tu étais la ce soir et j’avais envie de te voir.
J’allumais alors la lumière pour découvrir, sans surprise, la présence de Sabrina. Quoique ‘sans surprise’ n’était pas totalement vrai. En effet, elle s’était changée depuis notre dernière entrevue et j’avais du mal à la reconnaître. Elle avait tombé son T-shirt ample pour enfiler un chemisier blanc, parfaitement ajusté à sa taille. Mais ce qui me surpris le plus, était qu’elle avait troqué son bagui et ses tongs pour une jupe à carreau mi longue et une paire de ballerine noir. Je resta sans voix presqu’une minute, ne l’ayant jamais vu si désirable, dans cet attirail plutôt original qui lui allait vraiment bien. Voyant que je la fixais avec insistance, elle me sourit pour me demander.
– Quoi ?! J’ai une tâche quelque part ?
– Non non. Dis-je en me mettant au travail, afin de porter mon regard sur autre chose.
Elle descendit du caisson qu’elle avait abîmé le jour même, pour venir se lover contre moi, m’attrapant le bras gauche.
– Tu fais quoi la ? Me demanda-t-elle en regardant le reste de mon activité du jour.
– Bah là, rien ! Tu me déconcentre Sab.
Elle ne me lâcha pas pour autant et appuya même sa tête contre mon épaule. En désespoir de cause, j’essayais de la repousser gentillement.
– Arrête Sab, je t’en pris !
Elle recula d’un pas, me toisant d’un air malheureux pour finalement me dire, la gorge serrée.
– Je ne dois vraiment pas être à ton goût, pour que tu me repousse encore, alors que tu es libre…
Alors qu’elle allait pour se retourner et quitter l’endroit, je l’attrapa par la main afin de la ramener devant moi.
– Tu n’y est pas, c’est juste que c’est encore trop frais avec Alex. Enfin, je veux dire… Je n’ai plus confiance en rien ni personne. Tout ce que j’ai pour toi, là tout de suite, c’est beaucoup d’affection.
– Et ben moi, j’ai de l’affection pour mon chat, pas pour un mec que je cotois tous les jours…
Elle se débattit brusquement et je lâcha prise rapidement. Mais juste avant qu’elle n’ouvre la porte, je laissa échapper.
– Affection, c’est un mot poli pour dire que tu me plais… Mais que je ne vois pas plus loin quoi…
Elle s’arrêta net et sans me regarder, commença à sourire malicieusement. Elle s’approcha alors de moi et m’embrassa doucement sur le coin des lèvres. Je lui rendis immédiatement son baiser, directement sur ses lèvres pulpeuse, sur lesquelles elle avait mit bien trop de gloss. Elle finit par alors par se coller à moi pour m’enlacer.
– Tu sais, même si ne suis tienne qu’une nuit, ça me va ! Me dit-elle timidement.
Je sentais alors son rythme cardiaque s’accélérer en même temps que son souffle. Son épaisse poitrine collée contre moi, je sentais ses petits mamelons pointer au travers même de ma chemise.
– J’ai envie de toi Lou, tout de suite.
– On va chez toi ou chez moi ? Lui demandais-je, stressé.
Elle me força alors à m’asseoir sur la table d’atelier, avant de m’embrasser de nouveau, je sentais alors ses mains s’atteler à retirer la boucle de ma ceinture, tandis que je lui caressais lentement les épaules.
– J’ai dis maintenant… Me répondit-elle avec son sourire malicieux.
Une fois ma ceinture et mes boutons de jean retirés, elle libéra rapidement mon sexe déjà à moitié dur. Ses yeux s’écarquillèrent à la vu de l’engin mais elle ne tarda pas à le prendre en bouche. Je penchais alors ma tête en arrière, savourant cette langue délicate s’afférant à mon plaisir. Même si Eliz m’avait fait changer d’avis sur la question grâce à son savoir faire, je fus surpris de voir qu’une jeunette dont je ne connaissais pas l’expérience pouvait être aussi douce et habile pour ce travail. Sa langue tournait autour de mon prépuce, et même si à force de grandir, elle n’arrivait plus à me mettre entièrement dans sa bouche, elle me régalait.
– T’es une pro dis moi, je ne savais pas ! M’exclamais-je entre deux souffles.
– T’emballe pas. Répondit-elle. T’es que mon deuxième ! Et mon premier était… Légèrement pathétique.
Elle s’était relevée en me disant cela et je ne pu m’empêcher de la soulever pour la poser à ma place sur la table. Je l’embrassais tout en retirant le reste de mon pantalon. Je fis ensuite courir mes baisers langoureux le long de sa nuque, retirant les boutons de son chemisier, un par un. Une fois celui-ci levé, je m’affairais sur son soutient-gorge. Et là, ce fut le drame ! Je tentais de garder ma dignité en restant calme tout en poursuivant ma rivière de baisers, mais elle finit par comprendre que je galérais. Finalement, amusée, elle passa rapidement la main dans son dos pour retirer sa dentelle.
– Par contre, toi t’es un novice avec nous ! Me dit-elle en ricanant.
– C’est pas ma faute, c’était des crochets sur ceux de mon ex !
Je tentais de maladroitement me justifier, si novice que j’étais.
– Bah là, ce sont des attaches, je te montre… Ooh !
Mais alors qu’elle n’avait pas encore fini sa phrase, je m’étais jeté sur sa poitrine généreuse pour lui lécher délicatement un téton, tout en le mordillant. Mes actes lui faisaient de l’effet, car elle restait figée en mugissant, tandis que ses mamelons se durcifiaient. Mes baisers coururent ensuite sur son ventre et c’est alors que je remarquais la différence entre la fermeté des corps d’Alex et d’Eliz par rapport à celui que je convoitais à ce moment. C’était un peu flasque mais agréable ! Elle n’était pas grosse, ne me faisons pas dire ce que je n’ai pas dis, mais je constatais tout de même qu’elle n’était pas très sportive.
Mes deux mains relevaient alors petit à petit sa jupe au dessus de ses genoux, jusqu’à pouvoir apercevoir sa culotte. Elle profita de ce moment pour retirer ma chemise d’un geste, ne prenant pas le temps de l’ouvrir.
Une fois le tissus de dentelle mit en évidence, je m’affairais à en tirer un morceau pour entrevoir son petit bouton rose. Au premier touché, je remarquais surtout que le terrain était propre, rasé depuis très peu de temps. Je frottais ensuite mon index contre son clito devenu énorme puis, en parallèle, je laissais courir mes doigts le long de sa vulve humide. Une fois l’endroit totalement inondé de mouille, j’introduisis en elle mon index et mon majeur. Elle avait l’air d’apprécier le traitement que je lui offrais, essayant de calmer ses halètement en m’embrassant langoureusement. Soudain, je la sentis se rigidifier et son vagin se serra sur mes doigts, puis elle finit par se lâcher dans un hurlement de bonheur. Durant une fraction de seconde, je crains de nous faire repérer, jusqu’à ce que je réalise me trouver dans l’endroit qui était certainement le plus assonorisé de la ville.
Je sentais couler sur ma main une telle quantité de mouille, qu’elle inondait ma table de travail.
Je lui retirais alors sa culotte d’un geste pour me mettre doucement en position. Mon sexe, légèrement ramollit, s’enfonça lentement après deux trois caresses et je sentais Sabrina souffler de plus en plus fort dans mon oreille, alors que je la prenais, encore assise sur la table.
– Fais attention en te relâchant. Me glissa-t-elle dans l’oreille. Si tu ne veux pas rester avec moi, il ne faudrait pas me faire d’enfants…
– J’ai déjà pris mes précautions… Me contentais-je de dire en murmurant.
Mes mouvements devinrent alors de plus en plus rapides et profonds, ses mains plaquées sur mes fesses m’indiquant le rythme désiré. Je sentais alors mes cuisses claquer contre les siennes et le bruit qui s’en échappait m’excitait davantage. Lorsqu’elle enroula ses bras autour de mon cou, je lui attrapais alors son petit fessier à pleine main pour la soulever, tout en continuant de la prendre, toujours aussi sauvagement. Sa respiration se coupa un instant avant qu’elle ne jouisse enfin, accrochée à moi. Je sentis d’ailleurs quelque gouttes de cyprine perler sur mon pied droit, avant que je ne la couche sur la moquette. Elle s’échappa alors de mon phallus en pleine excitation pour se mettre en bûche, m’offrant sa délicieuse croupe féminine.
Je m’avançais à genoux vers son don, et m’enfonça d’un trait dans sa chatte généreuse, qui se laissa faire sans problème, dans un gémissement qu’elle ne cherchait même plus à dissimuler. Au bout de quelques minutes dans cette position et deux petits orgasmes de sa part, je commençais à me sentir venir. J’accélérais le rythme de mes coups de hanche, tout en constatant qu’elle s’activait elle aussi de plus en plus, donnant des coup contraires aux miens, ce qui me donnait l’impression de m’enfoncer encore plus profondément en elle. A ce rythme, je ne tint qu’une maigre minute avant de me lâcher complètement en elle. Au bout de quelques giclées de sperme, je finis par me retirer, en lui caressant l’entrejambe. Elle s’assit et récupéra son sac pour en sortir un mouchoir, avec lequel elle nettoya mes débordements.
– Et bien… Me dit-elle en soupirant fortement, totalement essoufflée. Ce fut dur de te convaincre, mais je ne regrette pas !
Elle me regarda avec un grand sourire, se caressant la vulve machinalement. Le regard insistant, elle finit par remarquer, que j’étais toujours au garde à vous et elle se redressa pour avaler de nouveau mon engin, d’une bouchée, afin de reprendre son jeu de langue savoureux, tout en me nettoyant. De nouveau en forme, je ne tarda pas à me replonger dans son minou, tout juste vidé de ma semence, la faisant hurler de plus belle. En missionnaire, à chacun de mes mouvements, mes couilles claquaient contre ses fesses et cela participait bizarrement à notre plaisir, riant de ce petit jeu. Ma tête dans sa poitrine, je la dévorais littéralement, profitant de chaque centimètre de sa peau pour l’embrasser ou la mordre délicatement.
De son côté, elle ondulait légèrement son bassin à chaque pénétration, comme pour m’inciter à chaque fois à venir encore plus fort en elle. Ce que je faisais bien sur pour lui offrir un orgasme, rapidement après qu’elle jouisse. Ses mains s’agrippèrent à mon dos, et tout en me griffant et elle m’embrassa le cou amoureusement pour ne pas hurler. Je me retira alors pour poser mes lèvres sur sa vulve humide, afin de lécher sa délicieuse mouille qui coulait lentement sur ses grosses lèvres commençant à rougir. Ma langue joua un peu avec son petit bouton rose, pour venir ensuite se glisser en elle tandis que mes lèvres la chatouillait.
Après un long cuni, elle posa ses jambes sur mes épaules et m’invita à la reprendre. Je frotta alors mon gland contre ses lèvres afin de la faire se tordre d’impatience, réclamant ma présence en elle. Je m’introduisis sans qu’elle ne s’y attende vraiment et laissa échapper un cri fluet pour m’informer de sa satisfaction. Elle jouit après quelques va et viens, avant de vraiment repartir dans un orgasme passionné, resserrant ses chairs sur mon pénis, qui continuait de la limer malgré cela. Je repris rapidement le rythme, sachant que je serais le prochain et il me fallut une dizaine de minutes pour que l’on jouisse de concert, serré l’un contre l’autre dans une étreinte fébrile.
Je me coucha sur le dos à côté d’elle, tout en glissant ma main dans son entrejambe pour continuer de lui masturber son petit clitoris. Soupirant de nos efforts partagés, elle continuait de gémir en passant ses doigts entre les miens. Nous nous sommes relâchés ainsi quelques minutes avant que je ne la reprenne de plus belle, une fois reposé.
Ainsi, dans le bruit, la transpiration et surtout le bonheur de nous unir, nous poursuivions notre coït durant plus d’une heure et demie avant de tomber de fatigue. Épuisés mais heureux, nous oublions alors où nous étions en nous endormant, l’un contre l’autre.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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