Nous revînmes vers la couverture. Maman se nettoya un peu le visage avec une bouteille d’eau. Elle s’allongea. J’avais une surprise pour elle et allai vers la voiture. Dans un panier, j’avais mis une petite aubergine de belle taille. Je la pris et avec un tube de lubrifiant je la badigeonnai. Je m’approchai de maman et me glissai entre ses cuisses sans qu’elle vît ce que je tenais. Avec mes doigts je pris un peu de lubrifiant que j’enduisis entre ses lèvres. Instinctivement elle écarta un peu plus les jambes en les relevant. J’appuyai le bout arrondi de l’aubergine à l’entrée de son vagin. J’essayais de la faire pénétrer, mais elle n’était pas encore assez ouverte. Je n’y arriverai pas ainsi. Je retirai le légume et le posai sur la couverture.
Je décidai de la dilater avec mes doigts avant de rentrer l’aubergine. Très facilement je mis trois doigts dans sa chatte humide, les rentrais et sortais en les tournant. Je rajoutai le petit doigt, puis le pouce dans la paume. Comme le l’avais fais quelques jours avant, ma main disparue entièrement dans sa chatte lorsque j’eus fermé mon poing en elle. Lentement, je faisais entrer et sortir ma main. Maman mouillait énormément. Elle était maintenant bien dilatée, je pouvais retirer ma main. Je repris l’aubergine et la présenter devant sa chatte. La poussée que j’exerçai fit échapper un cri de surprise de la part de maman. Elle releva un peu plus les jambes. Délicatement le légume pénétrait en elle. Il était court mais assez large au bout, plus mince à la base. Une fois le bout passé, il sembla comme happé et disparu entièrement en elle. J’avais pris soin d’enlever les petites feuilles piquantes à la base afin de ne pas la blesser. Seul dépassait maintenant de sa chatte la pointe de l’aubergine. Prise d’une idée insensée, je dis à maman :
– « maintenant tu la gardes comme ça ».
Elle acquiesça d’un sourire, toujours partante pour les expériences excitantes. Elle se mit debout. Je voyais la pointe de l’aubergine dépasser de sa chatte. En contractant légèrement les muscles de son vagin elle restait bien en place et ne risquait pas de sortir. Posant ma main sur le bas de son ventre, je le sentais dur et rempli par le légume. Nous fîmes le tour du pré ainsi. Cela ne la gênait pas trop pour marcher finalement, mais cela la faisait mouiller beaucoup. Son entrecuisse était luisant. Nous revînmes nous allonger sur la couverture.
La chaleur exacerbait nos envies. Maman me caressa le ventre, descendant rapidement entre mes cuisses. Je laissais ses doigts titiller mon clitoris avec plaisir. Elle se plaça entre mes cuisses et me prodigua un tendre cunnilingus. Je posai mes mains sur sa tête pour conserver cette caresse le plus longtemps possible. Deux doigts de sa main se frayaient un chemin entre mes petites lèvres. Je leur facilitai l’accès en écartant un peu plus les jambes. Les yeux fermés, je profitais du plaisir qui montait graduellement en moi. Je sentis un doigt supplémentaire se joindre aux autres. J’appréciais cette douce dilatation qui me fit mouiller un peu plus. Les caresses lentes de maman maintenaient la jouissance aux portes du bonheur. Je savais que j’étais trop étroite pour qu’elle puisse introduire toute sa main, mais je m’ouvris un peu plus pour faciliter l’entrée d’un quatrième doigt. Nous devions être connectées par télépathie car elle comprit immédiatement mon désir. Je sentis son petit-doigt rejoindre les autres. Je n’avais pas mal, mais je la percevais parfaitement me dilater. C’est la première fois que j’avais quatre doigts dans mon minou. C’était délicieux. La langue de maman sur mon clito finit par me faire atteindre l’extase totale.
Nous profitâmes ensuite du soleil le reste de l’après-midi en restant un peu plus sages, même si j’avais demandé à maman de conserver l’aubergine bien ancrée dans sa chatte. Vers cinq heures, nous décidâmes de rentrer. Nous rangeâmes les affaires dans la voiture. Nous allions nous rhabiller et maman voulu retirer le légume mais j’insistais pour qu’elle le conservât jusqu’à la maison. Elle accepta même si ce ne serait pas pratique pour conduire. Par précaution, elle posa une serviette sur le siège afin qu’il ne soit pas trempé. Nous nous rhabillâmes sans remettre cependant nos culottes. Sur le chemin du retour, j’avais relevé la jupe de maman afin de pouvoir entrevoir son minou.
Nous déchargeâmes la voiture et retrouvèrent notre appartement avec plaisir après cette journée inoubliable. Nous nous mîmes à l’aise. J’autorisai enfin maman à retirer l’aubergine toujours profondément fichée en elle. Elle se mit accroupie dans la douche et poussa fortement. Je l’aidai en tirant sur l’extrémité qui dépassait. Sa vessie était tellement pleine que lorsque le légume fut éjecté violemment, elle ne put retenir de longs jets d’urine. Je passai ma main dessous pour en recueillir quelques gouttes et les goutter. Ce n’était vraiment pas mauvais. J’en reprenais un peu sur mes doigts et les portai à la bouche de maman qui les lécha avec avidité. Quand elle eut fini de faire pipi, je passai les doigts dans son vagin. Il était brulant et large d’avoir été dilaté tout l’après-midi. La mouille dégoulinait encore abondamment. Je m’en délectais du bout des doigts. Nous prîmes ensuite une bonne douche, dînâmes et nous nous endormîmes rapidement.
A suivre…
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