Histoires de sexe lesbiennes Histoires de tromper Histoires porno

2ème trio – C. & C.

2ème trio – C. & C.



Mon 2ème trio.

Vers mes 42 ans, soit deux ans après le premier trio, j’ai eu envie de recommencer cette expérience.
Ainsi, je me suis inscris sur le volet « rencontres » du site local. Choix : « amicales ».
Après m’être inscris pour pouvoir consulter les annonces « amicales », j’ai parcouru les profils…
Là, je tombe sur une annonce sans équivoque. C. & C. Couple quadra, cherche « compagnon de jeu ». Plus de détails ? Envoyez-nous un message privé via MSN.
Je que je fis.

Ils se sont présentés à peu près ainsi. C. & C. Couple très uni. Madame C. 37 ans et C. Son homme 39 ans, cherche pour elle, un compagnon de jeu (x), libertin, libéré, discret, courtois, hygiène irréprochable, « européen », complice, ni ventru, ni barbu, sachant se montrer… Joueur. Relation suivie possible si feeling.
Intéressé ? Décrivez votre scénario. Ma belle et moi, choisirons.

Je me décris. Tel que je suis.

En soirée, jusque tard, nous avons conversé longuement via cette messagerie instantanée.
Ouvertement.
Qui étaient-ils ? Ce qu’ils recherchaient ? Ce qu’elle aimait, appréciait, recherchait, refoulait.
Ses préférences, les interdits, les limites, ses goûts, ses « qualités »…
Puis, avec son homme, une fois le contact avec elle établi.

En fait, c’est elle qui voulait un deuxième homme et lui, veillait à contrôler. Tout.
Il a décrit « son » scénario, m’a fait part des attentes de sa belle, ses interdits à elle, à lui.
Je devais me conformer strictement à leur règle.
Par exemple, je ne devais pas l’embrasser, c’est elle qui m’embrasserait si elle le voulait seulement. Ou encore, je ne devais pas m’offusquer de voir de tous petits seins. Son complexe. Bien sûr, « sortir couvert » !

Après des semaines de « négociation », le rendez-vous était pris. Scénario établi.

Un samedi en tout début d’après-midi. Je devais me rendre en voiture sur la place de leur village, à une demi-heure de chez moi.
Il (Chxis*) venait me chercher, reconnaissant la description de ma voiture, nous nous étions jamais vus avant.
Là, il vient à ma rencontre.
Bonjour D. !
Ca va, tu as trouvé facilement ? Oui très bien merci, tu avais très bien décris l’endroit.
Poignée de main franche. Il a l’air sympa, accueillant. Physiquement il est de 15 cm plus petit que moi.
Ma belle (Coxie*) nous attend, t’attend, avec désir mais aussi appréhension. Donc je te demande la plus délicate attention pour la mettre en confiance. Si tu y parviens, tu n’auras pas à le regretter…

Arrivés chez eux, nous entrons. L’endroit est « cosy », chaleureux, décoré avec soin. Très propre. Il prend ma veste et l’accroche au porte-manteau dans l’entrée.
Bienvenue chez nous, mets-toi à l’aise. Voici les toilettes, la salle de bain, notre chambre est en haut et dans le salon, ma chérie nous attend.
Nous retirons nos chaussures et continuons.
Viens, suis-moi !

Là, je découvre la belle, assise sur le fauteuil, en robe sexy blanche, les yeux bandés !
Il me voit surpris.
C’est pour prolonger le suspens, la surprise, que je lui ai bandé les yeux.
Elle ôtera son bandeau lorsqu’elle le souhaitera.

Chérie, je te « présente » D. Il est comme décrit et conforme à sa description.
Bonjour, bonjour, bises.
J’étais même venu avec des fleurs ce jour là. Des roses bleues que j’avais trouvées splendides, et rare (?). Bleues signifiaient aussi pour moi, « sans message » dans le langage des roses.

Il lui tend pour qu’elle les hume. Oh, c’est gentil ! Belle attention. Un homme courtois. C’est agréable ça.
Mon cœur, offres-nous un verre s’il te plaît !
Champagne ?
Bien sûr !

Il va à la cuisine chercher la bouteille, puis sort les verres, sert.
Pendant ce temps là, je la regarde, imagine…
Elle ne me voit pas mais entame la conversation quand même.
Comment te sens-tu D. ?
Bien. Juste un peu surpris que tu ne me voies pas, moi qui aime bien regarder dans les yeux à qui je parle cela me fait bizarre…
Bon… Et sinon ?

Et bien je te trouve déjà séduisante. C’est déjà un bonheur pour les yeux.
Humm…
Chéri, notre invité sait parler aux Dames.

Il lui tend un verre, puis, délicatement nous trinquons.
Il s’adresse alors à sa belle.
Comment te sens-tu chérie ?
J’ai hâte de commencer mon cœur !
Bien, bien…

Il me fait signe de rester « spectateur » pour le moment.
Puis, il ôte sa chemise. Je ne suis pas « musclé » mais lui, il est vraiment fluet…
Il l’invite à se relever du fauteuil, je suis juste en face, sur le canapé, sirotant lentement mon verre de champagne.
Debout, je peux apprécier sa silhouette. Je mesure 1m76, son homme, environ dix centimètres de moins, et elle dix encore. Elle doit mesurer environ 1m55 pour environ 45 kg
Son homme me l’avait décrite comme menue, sans plus de précision.

Doucement, il dégrafe un à un les boutons de sa robe d’été.
Elle apparaît alors en jolis sous-vêtements, blancs, transparents.
Petite poitrine en effet, soutenue par un élégant redresse-seins qui laisse dépasser ses tétons. Plats pour l’instant.

Puis, porte-jarretelles et bas blancs aussi.
Petit string assorti, transparent, laissant entrevoir son petit minou… Il l’aide à tourner sur elle pour me présenter aussi, ses fesses, et l’invite à se rassoir.
Je mate.

Mets-toi à l’aise D. si cela te dit.
Merci !
Je retire ma chemise à mon tour, puis, ôte mon pantalon.
Déjà dans mon boxer, cela commence à être tendu. La situation est excitante.

Ils s’embrassent très tendrement, amoureusement.
Elle lui caresse les épaules, puis descend ses mains…
Dégrafe le pantalon de son homme. Il finit lui-même de l’ôter. Rappelons qu’elle a les yeux bandés.
Il est lui aussi bien tendu à ce que j’entrevois. Elle retire son boxer. Il bande bien. Elle caresse langoureusement sa bite. Doucement.
Elle s’arrête et demande, tu peux me redonner mon verre chéri, j’ai envie d’un peu de champagne.
Bien sûr.

Je ne sais pas s’il est « à bloc » mais, il n’est pas monté « gros »…
Pendant qu’elle savoure de la boisson, il me fait signe de me dévêtir complètement à présent. Excité par l’atmosphère, je bande bien. Le dard libéré, bien tendu, à l’horizontale…

Il m’invite à m’approcher d’elle, de sa bouche. Puis, elle lui tend son verre pour qu’il le repose. Nous avons tous les deux nos braquemars à quelques centimètres de son visage.
Puis, me devinant je suppose, elle me prend en bouche. Délicatement. Comme une jeune femme pour sa première fellation…
Là, sans fanfaronnade, elle ne peut ignorer que ce n’est pas son homme. Nous sommes différents. Elle a une main sur mes fesses, l’autre sur mon mandrin.
Elle s’applique, avec tendresse. C’est bon !

Puis, elle cherche de sa main « libre », l’autre bite. Une main sur chaque bite, elle nous déguste. Tantôt l’un, tantôt l’autre.
« En aveugle »…
Ensuite, il passe sa main sous ses fesses, puis retire délicatement son petit string…
Là, je découvre son trésor.
Une belle petite chatte, avec un petit triangle de moquette, parfaitement entretenue.
Ouvres-toi bien à présent !
Elle laisse entrevoir une jolie petite perle…

Là, il me laisse la place. Il me laisse butiner le sexe de sa belle.
Je passe ma langue d’abord sur ses cuisses, puis délicatement, progressivement, je me rapproche.
Juste avec la langue. Mes mains caressent l’intérieur de ses cuisses.
Elle se caresse les seins.
Il s’est mis un petit peu en retrait mais, n’en perd pas un instant.

Silencieuse jusque là, elle gémit, semble apprécier… Puis encourage à continuer ainsi.
Je joue de son petit clitoris, qui grossit…
Surprise !
Elle ôte elle-même le bandeau qu’elle avait sur les yeux !
Oh, que c’est bon ! Me lance t-elle.
Je suis surpris et, aux anges.
Enchanté dis-je !
Également. Tout le plaisir est pour moi. Quelle délicatesse !

Je me retire, et laisse la place à son homme.
Elle se met alors à le sucer avec plus de vigueur à présent.
Là, elle voit bien ce qu’elle fait. Les gestes sont plus sûrs… Elle le branle bien.
Puis, elle se met de nouveau à me sucer… Avec précision. Puis me branle généreusement.
Nous sommes tous les deux prêts, bien prêts, à faire feu !
Il est temps que j’enfile mon préservatif.

Va chercher le plaid chéri !
Il ramène la couverture, qu’elle étend sur la petite table du salon.
Puis, elle m’invite à m’asseoir sur le bord de la table.
Et vient doucement s’empaler sur moi, dard dressé. Elle est à présent totalement maîtresse de la situation. Nous sommes, à sa disposition. A la disposition de son plaisir.

Allonges-toi me lance t-elle.
Viens chéri, approches ta queue !
Elle suce son homme, en laissant un peu d’humidité sur le membre.
Pendant ce temps, connaissant probablement bien sa chérie, il lui prépare l’anus avec ses doigts.
Caresses-moi les seins D. !
Elle écarte à présent elle-même ses fesses de ses deux mains.
Puis, le devinant en approche, placé derrière elle, je stoppe alors mes va-et-vient pour qu’il la pénètre avec aisance.
Elle est totalement prise.
La belle semble comblée.
Oh mes hommes, vous me faites plaisir… Je prends mon pied là…
Prenez-moi bien, baisez-moi bien, fort !
Ah… T’aimes bien ça hein salope ?
Oh Oui !…
Au bout d’un moment, il a joui. Un peu rapidement d’ailleurs.
Puis, c’est au tour de la belle de jouir… Elle se lâche franchement.
Elle se relève, la vulve légèrement dégoulinante…
Ensuite, elle se met à genoux sur le tapis du salon et me lance :
« Arroses mes seins avec ta semence » !

Alors, je retire mon capuchon et, je n’ai pas à me masturber longtemps pour gicler comme elle le désire, sur ses mignons petits seins triturés par son homme, placé derrière elle, complice.
Là, ses tétons sont biens pointés, durs, ce qui hausse mon excitation…

Ma liqueur d’homme se répand sur sa poitrine qu’elle caresse elle-même…
Trop bon !

Après ce premier ébat, où nous avions eu chacun beaucoup de plaisir, elle nous a proposé de passer à la salle de bains.
Elle d’abord. Lui, l’a rejointe peu après. Pendant ce temps, je me rafraîchissais avec une autre flûte de champagne. Heureux.
Puis, je suis passé me remettre propre. De nouveau frais.
Je pense que durant ce laps de temps, ils ont dû se confier l’un l’autre.

Toujours est-il, que la belle était toute souriante et lui aussi. Ravi semble t-il de l’instant.
Nous étions alors revenus dans le salon, tous les trois nus. Libres, libérés, libertins.

Là, elle a entrepris de nouveau la conversation. Pour faire plus encore connaissance, à nu.
D. Comment me trouves-tu ?
Moment de vérités.
Et bien, je trouve que la réalité est encore mieux que l’idée que j’avais.
Oh, c’est gentil !
C’est sincère.
Connaissant son complexe de petits seins confié par son homme, j’ai contrecarré celui-ci de la sorte :
Tu es très jolie. Petites fesses, petite chatte…
Et petits seins aussi non ? Oui. Mais, c’est ceux que je préfère. Pour deux raisons. Je n’ai pas de grosses mains déjà et, je les trouve plus sensibles lorsqu’on les caresse, que les « mamelles »…
Ta lingerie aussi, bien choisie, est un véritable écrin…
Oh, que c’est bien dit !
Tu aimes ?
Non, j’en raffole… Vraiment !

Ah… Très bien ça. Et d’ailleurs, il n’y a pas que les femmes qui peuvent faire un effort de ce côté-là, les hommes aussi.
Tout-à-fait !
Je m’efforce moi-même à être toujours, en sous-vêtement impeccable. Avec une préférence pour les boxers en lycra. Transparents pour les moments… Savoureux.

Ah bon ?
Un instant.
Je m’en vais, renfiler mon boxer préféré, noir, transparent, que j’avais laissé dans la salle de bains et que la belle n’avait pas encore vu.
Ah oui… En effet ! En fait, il ne cache pas grand-chose…
Non. Et c’est fait pour ça !

Attends. Elle se lève, et monte à l’étage.
Pendant ce temps, son homme, en trinquant « Au plaisir », me dit : « Tu l’as touchée là.
Elle aime outre ton respect, ton aisance, ton ouverture d’esprit ».
Quelques instants plus tard, elle revient et, depuis le canapé où nous nous sommes installés, je ne peux qu’admirer la belle, sculpturale, qui descend les escaliers…
Elle porte une guêpière demi-seins, noire, qui ne couvre aucunement sa poitrine et, un string de la même couleur, ouvert…

Magnifique m’exclamais-je.
Tu aimes ?
Non, plus que ça, j’en deviens fou de désir. D’ailleurs… Je baisse les yeux vers mon boxer pour lui démontrer.
Ah, effet garanti en effet !

Ensuite, nous avons joué les prolongations, à plusieurs reprises, plusieurs positions, jusque tard. Elle m’a bien vidé les couilles… J’avais les burnes en « raisin de Corinthe ».

Ils ont apprécié. Nous avons tous apprécié. Au point de remettre cela une autre fois…

Mon seul regret ?
J’aurai aimé la prendre par derrière, mais ça, c’était « réservé » et, je le savais dès le départ.
Les règles avaient été clairement définies.

*Le x des prénoms est modifié pour respecter la discrétion.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire