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Chap 25 : Un coup de quequette dans la camionette

Chap 25 : Un coup de quequette dans la camionette



Elle prend un mouchoir pour essuyer sa minette de mon encre blanche. Elle remet son string, son tee-shirt et son pull, puis réajuste sa jupe avant de sortir de l’arrière de ma camionnette. Je sors à mon tour après m’être refroquer, on s’embrasse sur le parking de cette zone commerciale.
– On se voit ce weekend?
– Oui je passe chez toi dès que tu as fini le boulot.
Elle me quitte avec un grand sourire, heureuse d’avoir commis cette petite folie charnelle.
De ma plume turgescente, je viens de lui rédiger une dissertation improvisée dans laquelle nos deux corps n’ont fait plus qu’un, comme deux feuillets reliés par une agrafe.
Il faut dire qu’elle m’a agréablement étonné sur ce coup-là, elle, qui d’habitude, est toujours très sobre en matière de sexe.

Elle, c’est Charlotte, une jolie petite rousse à queue de cheval. On s’est rencontré sur son lieu de travail. Elle exerce dans une pharmacie d’un centre commercial. Tous les jours, pendant mon job intérimaire dans le transport, j’allais livrer des boîtes de médicaments dans son office à la croix verte. Au fil du temps, nous avons sympathisé et un jour je l’ai invité à boire un verre. Elle est également célibataire et lors de notre second rendez-vous nous sommes sortis ensemble.

Dernière son joli petit minois, j’ai vite compris que ce n’était pas une folle du cul. Elle m’a fait patienter plus de 15 jours avant notre première relation sexuelle.
J’étais tout excité, comme à chaque fois que je découvre un nouveau corps.
Elle est toute fine et très blanche, à se demander si elle a déjà vu la lumière du soleil. Elle a des petits seins, des œufs au plat comme elle aimait à le dire. Moi qui aime les femmes au poitrine généreuse, comme la plupart des hommes, je la trouvais tout de même désirable. Son petit triangle orange me prouve que c’est une pure rouquine.

Les premiers temps, nous faisions régulièrement l’amour, mais jamais rien de sauvage comme j’aime le faire parfois, mais je m’en accommodais. Puis ce feu s’est dissipé rapidement. N’étant pas trop portée sur la chose, mon appétit sexuel, toujours à son firmament, m’entraînait toujours à prendre l’initiative des câlins. Cela a commencé à me lasser et je savais qu’entre elle et moi, ça n’allait pas pouvoir durer.
Non pas que je veuille une star du porno dans mon lit qui exécute toutes mes pulsions, mais je suis comme ça, pour que ça marche, il faut que je sois satisfait sexuellement. Je sais qu’il n’y a pas que le sexe dans la vie, mais pour moi ça compte énormément. Je sais ce dont j’ai besoin, je sais ce que je veux et ce que je ne veux pas, ou du moins ce que je ne veux plus.
J’ai fini par lui parler de tout ça, en lui disant que j’aimerais qu’elle se lâche un peu plus, mais ça n’a pas vraiment changer la donne. Chacun est comme il est, certains aiment le sexe modérément et d’autres beaucoup plus.

Malgré tout, comme dans la plupart de mes relations, je m’entendais très bien avec Charlotte, si bien que je n’ai pu me résoudre à la quitter au bout de deux mois à cause du sexe. Et j’ai bien fait, car comme je vous le disais au départ, aujourd’hui, elle m’a sacrément étonné.

Cela fait 2 jours qu’on ne s’est pas vu. Vers 11h, je reçois un texto:
 » Coucou bébé, ça te dis qu’on mange ensemble ce midi? »
Je lui réponds positivement et je la retrouve à 12h pétantes devant la pharmacie. Nous déjeunons dans une cafétéria du centre commercial. Pour elle une salade et pour moi un bon gros steak-frites.
Le ventre bien rempli, nous sortons, je fume une clope, pendant qu’elle me raccompagne à mon fourgon, garé au milieu du parking.
J’ouvre les portes arrières, on s’assoit au cul du camion, on discute, on se bécote avant de retourner chacun à notre tâche.
Soudain, elle me chuchote à l’oreille:
– Tu n’as pas une petite envie là?
Je suis très surpris
– Hein? Quoi? Ici?
– Oui, on se met à l’arrière vite fait.
Je n’ose pas y croire, mais accepte avec plaisir. Le temps que je ferme les portes derrière nous, elle a déjà enlevé son pull et son tee-shirt. Elle ne porte pas de soutien-gorge et se jette sur moi seins nus.
Elle m’embrasse à pleine bouche en m’aidant à retirer mon sweat et mon tee-shirt. On s’embrasse à nouveau goulument en se caressant le dos, le torse, les seins.
Un petit rayon de lumière passe à travers les portes et nous évite d’être dans l’obscurité complète.
Charlotte glisse ses mains sous sa jupe et retire son string rapidement. Elle paraît très pressée ou est-ce son envie qui est si forte, qui la rend si impatiente. J’ai à peine eu le temps de défaire ma ceinture et déboutonner mon jean’s, qu’elle fonce à nouveau sur moi.
– Allez, dépêches-toi, retires ça, en tirant sur les pattes de mon pantalon.
Elle est à la limite de déchirer mon boxer.
– Hé, doucement, qu’est-ce qu’il te prend aujourd’hui? Je ne t’ai jamais vu comme ça.
– C’est bien toi qui voulais que je me lâche plus non?
Je suis au top de la sexitude, allongé sur le dos et ne portant que mes grosses chaussettes blanches.
Elle se met à genoux entre mes cuisses, empoigne mon membre rigide, se penche dessus et le met dans sa bouche. Je suis scié, c’est la première fois qu’elle m’honore de cette façon. Mais je me laisse faire. Plutôt dominant dans les rapports, cette fois, je joue au garçon docile.
Sa tête dodeline de haut en bas, ses lèvres coulissent le long de ma hampe. J’extériorise mon plaisir en gémissant, pendant que Charlotte, chaude comme jamais, se cajole le berlingot, la main entre les cuisses.
Satisfaite de me voir béat, elle vient sur moi à califourchon, soulève sa jupe d’une main, saisit mon sexe à la garde et s’empale lentement dessus. Nous vibrons de concert, mon épée dans son doux fourreau, chaud et humide, je grogne, elle mumure:
– Oh oui, oh oui.
Elle ondule sensuellement, puis se baise de plus en plus vite d’avant en arrière, frottant son clitoris contre mon pubis, ses deux mains plaquées sur mes pectoraux.
Je ne sais pas si c’est le fait de diriger nos ébats ou si c’est ce lieu insolite, dans un camion au milieu d’un parking avec des gens autour, mais elle est surexcitée. Elle passe en mode furie et change de style. Elle se pourfend maintenant, avec une grande amplitude, verticalement. Je reste passif, voir immobile, j’ai la sensation d’être un sextoy humain. Elle gigote vite et fort, ses fesses claquent sur le haut de mes cuisses. Je suis à bout, je presse ses cuisses fermement en lâchant la purée, pendant que ma partenaire jouit mesurément. Vidée de ces quelques minutes très intenses, elle s’écroule sur moi, mon pieux toujours planté en elle.
Elle relève la tête, me sourit, fière de m’avoir vaincue si facilement. Elle m’embrasse une dernière fois.
– Alors, heureux?

Fin

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