La vie pour Mlle Pinaud avait radicalement changé. Désormais sous la coupe du délégué syndical, Roger, sous peine de se retrouver en prison, Mlle Pinaud était devenue l’esclave sexuelle de tous les ouvriers de l’usine. Une journée pour notre chef-comptable était donc très bien remplie.
Elle arrivait vers 9 h à l’usine. Elle se garait dans le parking. Sortait de sa voiture où en général il y avait deux ou trois ouvriers pour l’aider à descendre. Pas par galanterie ! Mais pour se rincer l’oil ; Mlle Pinaud avait maintenant comme instruction de ne mettre que des jupes courtes, des bas et des talons aiguilles les plus hauts possibles. Elle ne devait également ne mettre que des décolletés. Et bien sûr, pas de sous-vêtements.
Elle passait devant le vigile, à qui elle faisait parfois une gâterie. Elle allait pointer et se rendait à son bureau. Ce qui lui prenait plusieurs minutes, ralentie par les multiples attouchements pervers venant de la part des ouvriers, qui devaient vérifier, chaque matin, si elle avait bien mis des bas et ne portait pas de string. Les doigts s’égaraient dans sa fente et on la branlait rapidement. Elle arrivait à son bureau, essoufflée, et en général ne restait pas tranquille très longtemps. Rejointe par Roger celui-ci, selon son envie, exigeait une pipe ou qu’elle se courbe sur son bureau, jupe relevée, jambes écartées, pour qu’il puisse la baiser. Quand la pause du déjeuner arrivait, elle devait de nouveau se mettre à la disposition des ouvriers. Elle se faisait sauter par au moins 5 ou 6 hommes qui la besognaient brutalement. Ils repartaient ensuite travailler la laissant pantelante dans son bureau, recouverte de spermes sur ses vêtements et son corps. Elle se nettoyait tant bien que mal et mangeait rapidement.
Le soir, elle devait dire au revoir à tous les ouvriers en leur faisant une pipe ! Elle avait la mâchoire douloureuse à force de sucer toutes ses queues. C’était le pire moment de la journée en fait !
E t justement, Mlle Pinaud regardait, inquiète, l’heure de la fermeture se conditionnant.
Des exclamations la firent sursauter. Dans l’usine, on criait, éclatait de rire.Des cris de protestations également résonnèrent. Curieuse, Mlle Pinaud se leva et alla regarder par la fenêtre de son bureau.
Elle mit sa main sur sa bouche, étouffant un cri, quand elle découvrit ce qui se passait.
Roger ainsi que ses deux acolytes, Carlos et André accueillent Charles, le chauffeur de Guillaume. Mais celui-ci est bâillonné ainsi que Hubert Bourbon Dumas. Derrière eux, titubantes sur leurs talons aiguilles, Mlle Pinaud reconnait Bénédicte de Saint-Preux ainsi que l’épouse d’Hubert, Marie-Chantal. Elles ne sont vêtues que de leurs sous-vêtements, bas, porte-jarretelles et soutiens-gorges baissés laissant apparaitre leurs volumineuses poitrines. Elles aussi sont bâillonnées et des cris de protestations indistincts s’échappent de leurs gorges. Elles ont le regard terrifié devant tous ces hommes qui les regardent déjà avec convoitises.
Elles portent un collier autour du cou avec une laisse, tenues par Maria qui se réjouit déjà de les livrer à tous ces mâles en rut.
Mlle Pinaud aperçu Roger qui lui faisait signe de descendre et son cour cognant dans sa poitrine, elle obtempéra.
A peine arriver en bas, quatre ouvriers l’encerclèrent et on lui remonta sa courte jupe en cuir laissant apparaitre les bas résille qu’elle portait. Ses escarpins noir vernis aux talons aiguilles démesurément hauts la faisaient tituber à chaque pas.
On lui dégagea les seins de son haut et on les lui malmène. On tire sur les tétons, on lèche ses mamelons; Des doigts s’aventurent dans sa chatte. Puis dans son cul, un index et un majeur la branlent sans ménagements.Elle pousse un gémissement. Rejoint par celui étouffé de Bénédicte, courbée sur un atelier de travail et pénétrée par un vieux maghrébin, doyen de l’usine bientôt à la retraite, malgré son âge, il est encore en pleine forme et il besogne la femme du patron avec une joie sadique. Son ventre vient claquer contre les fesses de Bénédicte qui gémit sourdement derrière son bâillon.
Hubert et Guillaume eux, ligotés, bâillonnés, ne participent pas, le sexe à l ‘air, c’est la pire des humiliations ! Assister impuissants à la déchéance de leurs épouses. Et devant leurs employés qui se moquent d’eux.
Hubert regarde sa femme, à genoux au milieu de l’usine. On lui a retiré son bâillon, elle se débat avec 5 ouvriers qui veulent absolument lui enfoncer en même temps leurs bites dans la bouche.Ce qui n’est pas possible reconnaissons le.
Elle lutte désespérément, crachant une queue pour en reprendre une autre, branlant une troisième.
Marie-Chantal, halète, gémit, la mâchoire déformée par l’épaisseur des bites qu’elle suce du mieux qu’elle peut. Elle donne des coups de langue sur le gland, lèche la hampe, l’engloutit de nouveau.Les rires et les insultes la font frémir de dégout.
– Putain ! Quelle salope, une vraie chienne. Elle suce comme une pro.
Maria, intéressée par Mlle Pinaud a demandé l’autorisation de s’en servir. Grand Seigneur, Roger accepte ; Maria s’est allongée sur le sol et jambes écartées se fait brouter le minou par Mlle Pinaud. Contrainte d’obéir. C’est la 1ere fois qu’elle a une relation de ce genre, sa langue d’abord timide lui titille le clitoris, ses lèvres.Maria appuit fermement sur la tête de la chef-comptable à quatre pattes sur le sol crasseux de l’usine, Un de ses bas est filé.Carlos s’approcha par derrière et, pointant sa bite aux proportions impressionnantes, encula Mlle Pinaud qui poussa un hurlement.
Bénédicte sentit que le vieil homme qui la bourrait frénétiquement se vidait sur son dos. Elle sentit le sperme chaud couler.Elle se dit que c’était terminé mais son répit fut de courte durée. André la souleva et l’allongea à terre. Il lui écarta les cuisses et lui lécha la fente, s’introduisant entre ses lèvres intimes. Mme de Saint-Preux, donna un coup de reins et poussa un gémissement. Les yeux hagards, elle sent ce salopard d’André lui donner de grand coups de langue dans son intimité.Et elle mouille, elle sent sa fente s’humidifier, la cyprine couler.Elle secoue la tête de droite à gauche.André se releva, souleva ses jambes et la pénétra en poussant un rugissement. Il s’agita entre ses cuisses. La pénétrant de plus en plus loin. Bénédicte répond à ses coups de reins en ondulant du bassin.Elle gémit.
André la retourna brutalement et la positionnant à quatre pattes comme une chienne prête pour la saillie, il l’encula.
Au comble de l’humiliation, Marie-Chantal, à quatre pattes également doit lécher le trou du cul d’un des ouvriers de l’usine pendant que l’autre lui déchire sa chatte tout en lui donnant des claques sur les fesses.
– Allez salope de bourgeoise, nettoie lui le cul, après, on te prendra en double.
Marie-Chantal frissonne.Elle veut protester mais on appuie sur sa tête, la tenant par les cheveux et elle lèche l’anus de son ouvrier.
On la tira en arrière et on la mit debout. Ses seins sont malaxés par plusieurs mains.Un ouvrier s’allonge à terre, la bite dressée et elle doit s’empaler dessus avec une grimace.Puis, penchée en avant, elle sent le gland d’une queue forcer son anus. Elle pousse un grognement. Empalée, enculée, les deux bites commencèrent à coulisser, ses gros seins ballotant, elle ne tarda pas à gémir.
La fin des festivités arrivant, Charles et Roger positionnèrent Bénédicte, Mlle Pinaud et Marie-Chantal au milieu de l’usine. Tous les ouvriers en cercle autour d’eux. Se branlant mécaniquement. Elles durent ouvrir la bouche pour recevoir la semence des ouvriers. On leur éjacula sur le visage, certain cherchant à viser les yeux, le nez, les lèvres. D’autre préférèrent se vider directement dans leurs bouches, les contraignant à avaler leurs foutres. Certains lâchèrent des giclées de sperme qui atterrirent sur leurs seins qu’elles durent se nettoyer mutuellement après. Léchant à petits coups de langue, le liquide poisseux.
Les trois femmes, recouvertes de sperme, se relèvent péniblement. Hubert et Guillaume, humiliés, effondrés, observent leurs femmes, le regard perdu.
Charles et André s’approchent…
– Pour un début, c’était pas mal, estime André, mais il faudra nous les ramener.
– Bien sûr, pas de problème.
Nos deux bourgeoises, épouses respectables et respectées, se regardent : Elles ont compris que leur vie ne sera plus comme avant.
Et comme pour le confirmer, Charles les interpella :
– Eh les salopes ! Et nous ? Faudrait voir à ne pas nous oublier ! Venez nous vider les couilles !
Devant leurs maris, Bénédicte et Marie-Chantal s’accroupirent, et commencèrent leurs dernières fellations de la journée.
Il y en aurait d’autres.
Beaucoup d’autres..
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