Le bruit du tracteur quittant la ferme tira Jérémy de son sommeil. Ouvrant péniblement les yeux, le souvenir du souper de la veille lui revint en mémoire ; lors de ce repas, son grand-père avait annoncé que la Mairie l’avait sollicité pour élaguer quelques arbres sur une route secondaire, et que vu le travail à effectuer il en aurait certainement pour la journée.
Entièrement réveillé, Jérémy s’étira longuement, appréciant cet instant où tous les muscles de son corps retrouvaient leurs élasticités. Machinalement sa main droite se glissa à l’intérieur de son pantalon de pyjama : depuis quelque temps cela était devenu une habitude. Chaque matin, ses réveils s’accompagnaient systématiquement d’une érection. Cela avait commencé chez lui à Lyon, lorsqu’un matin il avait découvert sa verge toute dure. Mais depuis qu’il se trouvait chez ses grands-parents, cela se produisait avec plus d’intensité ; son membre, lui semblait-il, avait acquis une raideur plus ferme. Cette transformation de sa virilité, Jérémy en devinait la cause, même s’il s’en défendait : depuis qu’il avait découvert combien sa grand-mère pouvait être encore très sexy lorsqu’elle s’habillait normalement, sa libido d’adolescent en avait été brusquement perturbée. Un désir charnel inconvenant pour sa grand-mère s’était emparé de ses jeunes sens, sans qu’il ne puisse le refouler.
Depuis qu’elle lui était apparue le dimanche précédent lors du déjeuner dominical, vêtue d’atours autrement sexy que son éternelle blouse inesthétique, Jérémy avait découvert combien sa grand-mère pouvait être encore séduisante. Les vêtements qu’elle avait choisi de porter ce jour-là mettaient particulièrement en valeur ses formes généreuses ; depuis sa poitrine au volume remarquable, à ses hanches amples et évasées, et surtout à sa croupe large et agréablement rebondie. Un pernicieux désir né de la découverte de ces généreux appas ne cessait de le hanter ; et cela à n’importe quels moments de la journée. Il suffisait qu’il devine sous la blouse qui était censée les cacher les sensuelles oscillations des seins opulents, pour que ses sens le perturbent.
Chaque soir depuis ce fameux dimanche, Jérémy devait se masturber afin de calmer ses désirs i****tueux ; et cela en songeant aux aguichants appas de sa grand-mère. Et chaque matin à son réveil, il découvrait son sexe de nouveau orgueilleusement dressé au bas de son ventre. Ce mercredi matin, c’est presque machinalement que ses doigts se refermèrent autour de sa queue en érection. Les yeux clos sur des songes érotiques dans lesquels sa grand-mère avait le rôle principal, Jérémy activa sa main le long de son pal de chair, se branlant lentement. Les images qui défilaient derrière ses paupières closes évoquaient des scènes terriblement suggestives, dont sa grand-mère, en sous-vêtements sexy était l’héroïne. Imaginant un scénario où il était le metteur en scène, Jérémy agita sa main le long de sa verge dressée, bien décidé à se faire jouir avant de descendre prendre son petit-déjeuner. Mais une pensée lui traversa soudain l’esprit : puisque son grand-père était parti pour la journée, il allait se trouver seul avec sa grand-mère ! Une immense joie mêlée à une forte excitation l’envahit. Relâchant aussitôt son membre pourtant toujours aussi raide, il s’empressa de s’éjecter du lit afin de se rendre à la cuisine où il savait retrouver son inspiratrice sexuelle.
— Bonjour Mamie !
— Ho ? Jérémy !… Déjà debout mon chéri ?
— Oui, j’étais réveillé !
Comme sa grand-mère, d’un geste naturel, mais plein d’amour l’attirait à elle pour l’embrasser, Jérémy sentit avec émoi les lourdes mamelles s’écraser contre son torse nu ; n’ayant pour tout vêtement que son pantalon de pyjama.
— Papi est parti tailler les arbres de la commune, annonça Louise en repoussant doucement son petit-fils.
— Oui, je l’ai entendu partir !
— Bien sûr, c’est lui qui t’a réveillé !… Bon ! Installe-toi, je te donne ton déjeuner…
Prenant place à table, Jérémy surveilla les allées et venues de sa grand-mère occupée à lui préparer son petit-déjeuner. Il remarqua immédiatement que la blouse dont celle-ci était vêtue était plus ajustée que celles qu’elle portait habituellement, et nettement plus courte également ; lui arrivant bien au-dessus des genoux ! Sans manches, elle comportait un large décolleté en arrondi ; ce qui étonna Jérémy, sa grand-mère l’ayant habituée à des tenues plus strictes, fermées à ras le cou. Le regard de Jérémy fut irrésistiblement attiré par les doubles protubérances qui saillaient au niveau de la poitrine. La blouse étroite se plaquait avec précision contre la lourde poitrine, dessinant particulièrement les deux masses jumelles des seins. Il sembla à Jérémy que les troublants appas mammaires oscillaient étrangement à chaque mouvement que sa grand-mère effectuait. Un étrange détail attira son attention : les imposantes protubérances qui habituellement gonflaient outrageusement le devant de la blouse semblaient nettement moins arrogantes. Mais si elles avaient perdu de leurs superbes, elles oscillaient curieusement. Jérémy songea avec émoi que sa grand-mère avait omis de sangler sa poitrine dans un quelconque soutien-gorge ; c’était la raison pour laquelle les rondeurs mammaires se balançaient aussi mollement sous le tissu. Tout en tartinant ses biscottes de confiture, Jérémy suivit d’un œil discret chaque mouvement de sa grand-mère, lorgnant plus particulièrement le doux ballottement des seins volumineux.
A un moment, Louise se retourna pour retirer la cafetière fumante de son socle. Jérémy en profita pour fixer l’évasement sensuel des hanches et la rondeur attrayante de la croupe que la blouse ajustée ne pouvait effacer. Une folle excitation gagna peu à peu l’adolescent.
— Tiens mon chéri, mange !… Sers-toi bien en tartines, conseilla Louise en versant le café fumant.
Quand sa grand-mère se pencha pour le servir, Jérémy ne put empêcher son regard de plonger dans l’échancrure de la blouse. Saisi d’un trouble incontrôlable, il lui sembla avoir aperçu le temps d’un éclair, le dôme de chair blanc d’un des seins. Si rapide fut la vision, Jérémy avait pu quand même constater que son impression première était vrai : sa grand-mère ne portait pas de soutien-gorge ! Sous le coup de l’émotion, il sentit une intense chaleur lui envahir le visage. Cette vision du sein qui lui était apparu affolait sa libido toujours prête à s’enflammer. Angoissé, il sentit sa verge se gonfler inexorablement.
Inconsciente du trouble sexuel qu’elle créait chez son petit-fils, Louise s’en retourna à ses tâches ménagères. Or tout en s’activant à ces différentes besognes, elle ne pouvait empêcher ses pensées de vagabonder, imaginant avec émotion les heures à venir. Le destin s’était montré particulièrement bienveillant en cette journée, en faisant en sorte que son mari soit absent de la ferme, le jour où Julien le fromager, et son amant depuis deux mois venait s’approvisionner. Maurice étant absent, elle échafaudait ce qui allait être les moments où ils se retrouveraient Julien et elle. D’habitude elle s’arrangeait pour entrainer le jeune homme dans un endroit discret, loin de la présence de Maurice. Mais du fait de risquer d’être surpris, leur accouplement ne durait guère plus de quelques minutes ; suffisamment pour que Julien se vide les couilles de son trop-plein de sperme. Mais Louise s’en trouvait toujours un peu lésée, même si à sentir la verge cracher sa semence dans son vagin lui procurait un certain plaisir : elle n’en ressentait pas cette jouissance qu’elle en espérait. Or ce matin, elle avait bien l’intention de forcer son jeune amant à la faire jouir jusqu’à ce qu’il demande grâce. C’est pour cette raison qu’elle avait choisi cette blouse particulièrement étroite, qui mettait en valeur ses généreux appas. Ce ne pouvait qu’exciter le jeune homme. Mais surtout, elle en était certaine, Julien ne pourrait que perdre toute retenue, lorsqu’il découvrirait que sous sa blouse elle était entièrement nue. Aucun sous-vêtement ne protégeait ni sa lourde poitrine ni sa chatte poilue…
Seule ombre à cet idyllique tableau, s’il en existait une : la présence de Jérémy. Mais là aussi Louise avait un plan pour tenir éloigné son petit-fils.
— Monsieur Louvin vient ce matin pour m’acheter son lot de fromages… Cela risque de durer un certain temps… Tu vas être seul une bonne partie de la matinée puisque ton grand-père n’est pas là…
— Ce n’est pas grave Mamie, je regarderai la télé ou je lirai…
— C’est bien mon chéri, mais finis ton déjeuner, puis tu iras faire ta toilette… Je risque de ne pas être là quand tu auras fini…
Quelque peu déçu, Jérémy n’en continua pas moins son petit déjeuner, sans pour autant cesser de lorgner en catimini les déplacements de sa grand-mère. A chaque pas que celle-ci effectuait, ses fesses dodues ondulaient de droite à gauche, dans un ballet particulièrement affolant pour sa libido perpétuellement en alerte. Le spectacle extrêmement érotique de la large croupe se balançant sensuellement ne fit qu’accroitre le désir de l’adolescent. Tant et si bien que, son petit déjeuner terminé, Jérémy se trouva victime d’une formidable érection, qui déforma outrageusement le devant de son pantalon de pyjama. Terriblement gêné vis-à-vis de sa grand-mère, l’adolescent n’osait se lever de sa chaise.
— Tu as eu assez mon chéri ? Veux-tu que je te fasse une autre tartine, demanda Louise, aux petits soins ?
— Heu, non, merci mamie… Je n’ai plus faim.
— C’est bien vrai ?… Alors, va faire ta toilette pendant que je range la cuisine…
De plus en plus perturbé à l’idée que sa grand-mère allait découvrir son embarras sexuel, Jérémy prit alors la décision de se lever précipitamment de sa chaise et de quitter promptement la pièce.
Malgré la promptitude avec laquelle Jérémy s’était levé de sa chaise, Louise avait eu le temps d’apercevoir furtivement l’inconvenante bosse qui déformait le devant du pantalon de l’adolescent. Si cette découverte la déconcerta, elle la força néanmoins à s’interroger sur la raison de cette excitation sexuelle chez son petit-fils. L’intuition qu’elle en était la responsable lui vint naturellement à l’esprit ; aussi ahurissant que cela pouvait paraître, Jérémy ressentait du désir pour elle : sa grand-mère ! Or déjà le dimanche précédent, se souvint Louise, elle avait cru percevoir ce même désir dans le regard de Jérémy, et si cela l’avait déjà étrangement troublé, elle avait mis ça sur la tenue sexy qu’elle avait adoptée ce jour-là. Mais ce matin, la blouse qui l’habillait n’avait rien d’aguichant ; même si dessous elle était nue. Cependant la vision de cette excroissance déformant le devant du pyjama de l’adolescent, lui confirmait sa première impression : Jérémy n’était plus ce gamin qui venait poser sa tête sur ses cuisses et qu’elle aimait cajoler. Il avait atteint son stade d’adolescent, et avec lui ses premières pulsions lubriques.
Qu’elle soit le déclencheur des convoitises sexuelles de l’adolescent qu’était son petit-fils laissa Louise songeuse. Le fait qu’elle puisse à son âge procurer ce genre d’émoi charnel chez un garçon de seize ans la déconcertait, mais elle en ressentait en même temps un étrange trouble sexuel. Le désir qui lui taraudait le bas-ventre depuis le matin et qui la faisait ruisseler s’en trouva accru.
Dès la porte de la salle d’eau refermée et verrouillée, Jérémy s’empressa de baisser son pantalon de pyjama, libérant son jeune membre viril fièrement érigé. Décidé à calmer cet impétueux désir qui le faisait bander, il referma sa main autour de son sexe raidi. Dans un mouvement mis au point lors de ses nombreuses masturbations matinales, il s’appliqua à parfaitement masser la collerette du gland à l’aide de la peau mobile du prépuce. Debout, les jambes largement écartées pour s’assurer un bon équilibre, il ferma les yeux sur ses fantasmes sexuels. Sous ses paupières closes, les images des affolantes rondeurs de sa grand-mère défilèrent en boucles suivant leurs attraits. C’était surtout l’imposante poitrine qui ballotait étrangement sous la légère blouse, qui l’excitait particulièrement. A ces yeux, sa grand-mère représentait ce modèle de femme aux appas généreux, qu’il aimait contempler sur le net le soir seul dans sa chambre : ces femmes qui offraient dans leurs mains en coupe leurs seins lourds et pansus aux larges aréoles brunes. Que d’éjaculations, ces femelles aux énormes nichons, avaient provoqué chez l’adolescent.
Le plaisir prenant possession lentement de ses entrailles, Jérémy cessa soudainement sa masturbation. Se penchant au-dessus du lavabo, il se savonna copieusement la main à l’aide du shampoing aux œufs de sa grand-mère. Lorsqu’il jugea sa main suffisamment enveloppée d’une abondante mousse blanche, il referma de nouveau ses doigts autour de sa verge toujours aussi tendue, afin de reprendre sa masturbation. Le va-et-vient de sa main le long de sa queue se fit aussitôt plus moelleux, plus suave ; sans le savoir, Jérémy venait de créer autour de son membre la friction qu’il aurait ressentie à l’intérieur d’un sexe féminin…
Envahi par le délectable plaisir que l’onctuosité de la mousse savonneuse procurait à sa masturbation, l’adolescent reprit le cours de ses fantasmes. Mais cette fois-ci sa grand-mère ne portait plus ses sous-vêtements, et c’est entièrement nue qu’elle lui apparaissait. Ces gros seins blancs se balançaient d’une manière terriblement affolante pour sa libido embrasée. Comme il aurait aimé saisir ces opulentes mamelles dans ses mains, pour les presser, les malaxer ; pouvoir sentir cette chair à l’aspect si malléable se modeler sous ses doigts. Si le sexe des femmes interpellait Jérémy, c’était surtout les poitrines féminines qui le faisaient le plus fantasmer ; et, plus les seins étaient volumineux, plus ses désirs pour cette partie de l’anatomie devenaient intenses.
Cependant à imaginer ainsi les appas mammaires de sa grand-mère, tout en se branlant d’une main déterminée, Jérémy ne résista pas longtemps au plaisir que sa masturbation engendrait dans son bas-ventre. Comme statufié sur place, l’ado s’abandonna à l’orgasme libérateur. Dans un dernier réflexe, il referma vivement sa main autour de son gland qui crachait les premières salves de sperme. Le liquide séminal se mélangea alors à la mousse abondante que la masturbation avait encore accrue.
Lorsque Jérémy, vêtu d’une chemisette et d’un short, se présenta dans la salle à manger de la ferme, Louise, sa grand-mère, comme elle le lui avait annoncé s’était absentée. Après avoir longuement réfléchi à ce qu’il allait faire de son temps, il décida d’aller rejoindre ce refuge qu’il s’était approprié depuis son arrivée. Au passage il se saisit d’une revue que sa grand-mère recevait par la poste. Traversant la cour de la ferme, il jeta un regard en direction du laboratoire où s’affinaient les fromages de chèvre. La camionnette du fromager s’y trouvait garée : ce dernier devait se trouver à l’intérieur en compagnie de sa grand-mère pour récupérer sa commande.
Jérémy eut tôt fait d’atteindre l’escalier extérieur de la grange, qu’il emprunta pour atteindre le premier étage du bâtiment où son grand-père stockait le foin des chèvres. S’allongeant dans l’herbe aux senteurs si particulières, il se plongea dans la lecture de la revue qu’il avait amenée.
Amorçant la dernière ligne droite qui allait l’emmener à la ferme où il devait prendre sa commande, Julien songeait avec émotion aux instants qu’il allait vivre une fois arrivé. Louise la fermière qui lui réservait une partie de sa fabrication à un prix extrêmement avantageux était devenue sa maîtresse depuis deux mois.
Dès sa première rencontre avec la productrice de fromages, Julien avait ressenti une étrange attirance pour cette dernière. Bien que plus âgée que lui ; il lui avait à l’époque donné plus de cinquante ans, alors que lui n’en avait que trente-deux, il avait été fasciné par la sensualité qui se dégageait de la femme. D’abord son visage rond qu’aucune ride ne venait altérer reflétait une extrême douceur, douceur qui était encore accentuée par d’immenses yeux d’un bleu profond. Sous un nez un peu fort aux narines dilatées, la bouche s’ornait de deux lèvres pulpeuses : « Une bouche à faire des pipes, avait-il immédiatement songé ! » rêveur. Lorsqu’elle souriait, la fermière laissait échapper l’extrémité de sa langue entre ses dents, ce qui lui donnait une expression terriblement lubrique.
Mais ce qui avait surtout attiré le regard de Julien, avait été les hanches, rondes et larges, que la blouse qui les recouvrait ne parvenait pas à en dissimuler les formes généreuses. Lorsque la fermière lui avait tourné le dos afin de lui présenter sa marchandise, Julien avait été ébahi par la vision du derrière de cette dernière, ample et agréablement rebondi, il tendait le tissu de la blouse qui se plaquait avec une précision extrême sur les rotondités des fesses. « Putin, quel cul ! », avait été la pensée du jeune homme qui avait perçu une lente excitation prendre naissance au creux de son ventre. Son esprit, toujours à l’affut de scènes grivoises, avait immédiatement imaginé la femme dans la position à quatre pattes, offrant son gros derrière pour une pénétration dite en levrette… Ou même pour une sodomie !… Quel spectacle cela devait être, avait-il fantasmé.
Excité par les appas généreux que la fermière lui offrait à son insu, Julien avait alors décidé de la draguer, plus par jeu que par véritable intérêt sexuel. Or à sa surprise, Louise, puisque c’est ainsi qu’elle s’était présentée, non seulement accepta ses avances, mais au bout de deux semaines y répondait en s’offrant à lui, dans un recoin reculé de la ferme. Très vite, Julien avait découvert que la femme à l’allure si douce, si réservée, se transformait en véritable bacchanale dès qu’il s’agissait de rapports sexuels. A peine s’était-elle empalée sur sa queue, qu’elle s’était déchainée, s’agitant et se cambrant telle une femelle hystérique. Mais ce qui avait surtout stupéfié Julien avait été le langage d’une étonnante obscénité que Louise égrenait tout au long de leurs rapports.
A l’évocation des moments de luxure qu’il comptait passer en compagnie de sa volcanique maîtresse, Julien, lorsqu’il pénétra dans la cour de la ferme, se rendit compte qu’il bandait comme un âne. Apercevant Louise qui l’attendait à la porte du laboratoire, il s’empressa d’aller la rejoindre, jetant quand même un regard interrogateur aux alentours cherchant à déceler la présence du mari.
Voyant la voiture de Julien pénétrer dans la cour de la ferme, Louise sentit son cœur s’emballer. Enfin il était là ! Elle n’avait pu s’empêcher de craindre qu’il ne vienne pas, suite à un impondérable, ce qui aurait été une catastrophe pour ses sens en ébullitions. Lorsque Julien s’éjecta de sa fourgonnette pour se diriger dans sa direction, Louise sentit un embrasement soudain de ses entrailles. Dans un réflexe féminin, elle resserra ses cuisses, comprimant sa vulve d’où suintait une source venue du fond de son vagin en émoi. Faisant signe à Julien de la suivre, elle pénétra à l’intérieur du laboratoire où la commande de ce dernier attendait d’être emportée.
A peine le jeune homme l’eut-il suivi, que Louise dans un élan plein d’une fougue érotique se jeta à son cou :
— Enfin te voilà, mon bel étalon !… J’ai tellement eu peur que tu ne viennes pas !… Embrasse-moi !…
Mais avant que Julien ne s’exécute, Louise rendue impatiente par l’attente avait déjà posé ses lèvres contre celles de son jeune amant. Et c’est elle qui prenant l’initiative, força la bouche de celui-ci d’une langue vive et experte. Dans un océan de salive parfumée, les langues des deux amants entamèrent un ballet minutieusement réglé ; se cherchant pour aussitôt se repousser, pour de nouveau se retrouver et s’accrocher l’une à l’autre.
Tentant de répondre à la fougue amoureuse de sa sensuelle partenaire, Julien empauma les fesses de cette dernière, qu’il pressa fiévreusement. Tout en malaxant cette croupe fastueuse dont le volume enflammait ses sens, Julien attira son amante contre lui, lui plaquant le bas-ventre contre la rigidité de son sexe bandé.
Percevant contre son pubis la dureté du désir de son jeune partenaire, Louise sentit le brasier qui lui consumait les entrailles se répandre dans la totalité de son corps. Ronronnant telle une chatte en chaleur, elle ondula des hanches d’une manière lubrique, effectuant une véritable danse du ventre que n’aurait pas désavoué une danseuse orientale. Longuement elle frotta son bas-ventre contre le ferme gourdin qu’elle décelait dans le pantalon de son jeune amant, ne faisant qu’accroître un peu plus le désir qui lui échauffait le sexe. Incapable de résister davantage à ce brasier qui lui ravageait le vagin, elle décolla légèrement son pubis de celui de Julien ; juste suffisamment pour pouvoir glisser une main investigatrice entre leurs deux corps. Refermant ses doigts sur l’énorme protubérance qui déformait la braguette, elle poussa un gémissement où se mêlaient désir et impatience…
— Hum, comme tu es dur !… C’est pour moi ce gros bout que je sens là ?… Huummm, je sens que je vais me régaler…
Puis, glissant sa main entre les cuisses de son amant, elle la referma autour des couilles qu’elle pressa avec avidité.
— Mon mari est absent pour la journée, murmura-t-elle… J’espère que tu as des réserves, car j’ai bien l’intention d’en profiter… Je vais te vider les couilles !…
A la pensée que la journée leur appartenait à Louise et à lui, qu’ils ne risquaient pas d’être surpris dans leurs ébats amoureux, Julien sentit une joie intense l’envahir. Il allait enfin pouvoir assouvir tous ses fantasmes. Depuis les deux mois que durait leur aventure sexuelle, Louise lui avait démontré qu’elle était prête, à tout acceptée, tout essayée, pourvu qu’elle en éprouve du plaisir. Aussi, fort de cette certitude, Julien avait bien l’intention d’en profiter, de contraindre sa sensuelle maîtresse à accepter les plus pervers de ses désirs.
Soudain impatient de mettre en pratique ses plans pervers, Julien agrippa le tissu de la blouse afin de la retrousser, désireux de sentir sous ses paumes le satiné de l’opulente croupe. Mais lorsque ses doigts pressèrent la chair nue des fesses de son amante, son cœur s’accéléra soudainement.
— Tu… Tu n’as pas de culotte, réussit-il à prononcer la gorge nouée par la surprise et par un désir soudainement décuplé ?
— J’ai pensé que ça t’exciterait, approuva Louise… Regarde !
Se reculant, échappant aux mains baladeuses qui lui malaxaient les fesses, Louise retroussa largement sa blouse, dénudant son ventre nu où moussait son abondante toison noire.
— Ça te plait, minauda-t-elle, ébouriffant de ses doigts la fourrure de son sexe.
Les sens embrasés par le pervers comportement de sa maîtresse, Julien encercla la taille de celle-ci de son bras gauche, l’immobilisant afin de lancer sa main droite entre ses cuisses. Sans qu’il ait à tâtonner, ses doigts glissèrent le long de la vulve abondamment humidifiée avant de s’enfoncer, comme aspirés à l’intérieur des chairs brûlantes du vagin, imprégné d’un suc poisseux.
— Oh oui !…
Sous cette pénétration qu’elle espérait, Louise laissa échapper un râle de plaisir :
Agitant son majeur et son index accolés à l’intérieur du cratère intime de sa volcanique partenaire, Julien demeura confondu devant cet océan de lave brûlante qui sourdait des profondeurs du sexe féminin. Dire que Louise mouillait était un euphémisme, elle se répandait littéralement : comme si au tréfonds de ses entrailles un barrage avait cédé, libérant son accumulation de cyprine…
Les frottements répétés des phalanges de son amant contre le haut de sa vulve, à cet endroit magique, épicentre de ses félicités, déclenchèrent immédiatement des ondes de volupté dans le corps de Louise. Submergée par un début de plaisir qui insidieusement se propageait, et dans son bas-ventre et dans le creux de ses reins, elle tenta cependant d’y résister.
— Nonnn… Arrête, réussit-elle à gémir à l’attention de son jeune amant… Pas ici !…
Dans un effort de tout son être, Louise réussit à échapper à cet attouchement intime qui mettait le feu à sa sensualité :
— Nous avons le temps de faire des folies, haleta-t-elle encore sous l’effet du plaisir ressenti… Charge ta camionnette, puis nous irons dans la remise… Mon petit fils est à la maison, il est scotché devant la télé… Il ne viendra pas nous déranger là-bas…
Couché dans le foin aux suaves senteurs, Jérémy feuilletait distraitement la revue qu’il avait amenée, lorsqu’il tomba sur une page où il était question des soins à apporter aux seins. Si la lecture de l’article ne l’intéressa pas, il n’en fut pas de même pour les photos accompagnant la rubrique : deux jeunes femmes, vêtues uniquement d’un mini slip, offraient leurs seins aux regards des lecteurs. Etonnamment pointu pour l’une, les seins de la seconde, lourds et rebondis, représentaient exactement ce qui sur internet le faisait tellement fantasmer. Négligeant la fille à la poitrine menue, Jérémy fixa plus particulièrement la seconde aux gros seins. Comme tout adolescent, les seins des femmes exacerbaient sa libido, surtout lorsque ceux-ci présentaient un certain volume. Ce genre de grosses mamelles lui procuraient toujours une intense excitation. Aussi à fixer la photo où s’étalait cette poitrine qui le faisait rêver, l’adolescent sentit une étrange sensation envahir son bas-ventre. Presque machinalement sa main droite se posa sur l’excroissance qui commençait à déformer le devant de son short.
Cependant, peu à peu, l’image statique des deux femmes dévoilant leurs seins s’anima dans l’imagination de Jérémy. Comme pris de somnolence, l’adolescent laissa ses fantasmes échafauder des scènes érotiques, dont les deux jeunes modèles étaient les actrices. La main refermée autour de la bosse qui déformait le devant de son short, les yeux clos sur des images créées par son cerveau enfiévré, Jérémy imagina des ébats amoureux entre les deux filles de la revue. Se faisant face, celles-ci se caressaient mutuellement les seins, les pressants dans leurs paumes, tout en se bécotant tendrement les lèvres. Mais pour l’ado cette scène, bien que follement excitante, ne correspondait pas à ses attentes sexuelles, aussi décida-t-il d’enrichir érotiquement son scénario. Abandonnant ses baisers, la plus mince des jeunes filles se pencha sur l’un des volumineux seins de sa partenaire dont elle aspira le mamelon entre ses lèvres. Aussitôt, cette dernière, comme si elle n’attendait que cet attouchement, se cambra comme pour mieux offrir sa généreuse poitrine aux succions de sa complice.
Impatients de satisfaire ce désir qui leur éperonnait les entrailles, Julien et Louise s’étaient empressés de ranger les fromages à l’intérieur de la fourgonnette, non sans quelques attouchements libertins de temps à autre. Une fois sa commande placée dans le véhicule, ne pouvant résister au désir que lui procurait la présence à ses côtés de la sensuelle fermière, Julien attira celle-ci à lui, à l’abri de la camionnette. La plaquant contre lui, il agita langoureusement ses hanches afin de lui faire sentir la dureté de son désir :
— J’ai envie de toi, lui murmura-t-il.
— Moi-aussi, gémit Louise, que le contact du membre durci contre son bas-ventre rendait hystérique… J’ai envie de ton gros bout… Je veux le sentir au fond de ma chatte…
Mais comme son jeune amant tentait de retrousser sa blouse, Louise tenta de le modérer, malgré l’intense envie qu’elle avait de le laisser finir son geste :
— Non, pas là, réussit-elle à murmurer, la voix enrouée par l’impatience sexuelle… Viens !… Suis-moi !…
Laissant l’initiative à son amante, Julien les sens en émoi, se laissa guider par cette dernière. Comme il tentait de lui entourer la taille, prétexte à refermer sa main sur le sein qui déformait étrangement la blouse, Louise le repoussa gentiment :
— Sois sage, mon petit-fils pourrait nous voir… Tu auras tout le temps de me peloter les nichons quand nous serons à l’intérieur, prévint-elle en désignant le bâtiment qui se dressait devant eux.
Mais comme pour démentir ces propos, Louise lança sa main droite en direction de la braguette de son jeune partenaire, et referma ses doigts autour de l’alléchante protubérance qui déformait le pantalon.
— Huumm, comme elle est grosse, murmura-t-elle d’une voix que le désir rendait plus enrouée…
Tels deux adolescents amoureux, les deux amants se précipitèrent à l’intérieur de la remise, prenant soin de refermer la porte derrière eux.
Enivré par les images érotiques que son imagination créait, Jérémy glissa une main à l’intérieur de son short pour se saisir de sa verge bandée. Se concentrant sur son évocation des deux jeunes filles se procurant du plaisir, il entreprit de se branler lentement. Trouvant que la scène ne lui apportait pas suffisamment d’excitation, l’adolescent força son imagination à changer de scénario. La fille qui tétait le mamelon abandonna alors le sein qu’elle cajolait pour se laisser tomber à genoux. Doucement elle commença à embrasser le bas-ventre de sa partenaire. Celle-ci, les reins cambrés, se saisit de l’élastique de sa culotte qu’elle repoussa vivement le long de ses cuisses. Jérémy accéléra sa masturbation, en imaginant la découverte du sexe de la fille aux gros seins. Mais soudain, un bruit de voix le ramena brutalement à la réalité.
Perturbé par cette intrusion dans son univers alors qu’il se croyait être à l’abri, Jérémy tendit une oreille attentive à ces voix qui venaient troubler ses fantasmes sexuels. Même s’il ne parvenait pas à distinguer correctement les murmures échangés, il reconnut le timbre particulier de sa grand-mère, auquel répondait une voix masculine. Curieux de savoir ce qui amenait sa grand-mère, accompagnée de son client, à l’intérieur du bâtiment qui servait d’entrepôt, Jérémy rampa dans le foin, jusqu’à l’ouverture dans le plancher, qui donnait accès à la remise par le biais d’une échelle. Ce qu’il découvrit le laissa alors confondu. A quelques mètres au-dessous de lui, se croyant seules, Louise et le fromager se tenaient étroitement enlacés, leurs bouches collées l’une à l’autre, dans un baiser plein de passion. Abasourdi par ce qu’il voyait, Jérémy éprouva un vif sentiment fait de gêne et de jalousie. Comment sa chère mamie pouvait embrasser ainsi un autre homme que son mari ! Malgré le trouble qu’il ressentait, Jérémy demeura scotché sur place à épier le couple illégitime que formaient sa grand-mère et le fromager.
A peine la porte refermée derrière lui, Julien poussé par la passion qu’il éprouvait pour sa sensuelle amante attira brusquement celle-ci à lui, la forçant de nouveau à plaquer son bas-ventre contre son membre en érection ! La maintenant solidement par les fesses, il lui viola la bouche de sa langue, dans un baiser plein de concupiscence, auquel Louise s’empressa de répondre avec ivresse. Esclaves de leurs emballements érotiques communs, les deux amants demeurèrent un long moment immobile à s’enivrer de leurs salives pimentées par le désir. Tout en maintenant son ardente maîtresse intimement plaquée à lui, Julien en profita pour lui malaxer les fesses avec un enivrement charnel. Sous la blouse qui les protégeait encore les deux rondeurs jumelles se façonnaient voluptueusement sous ses doigts, lui apportant un bonheur intense.
Bien que fermement maintenue par son jeune partenaire, Louise dont le contact du membre viril contre son pubis rendait impatiente, entreprit d’onduler des hanches, massant vicieusement le gourdin sexuel à l’aide de son ventre. Le volume et la dureté du sexe érigé contre son giron ne firent qu’accentuer encore son excitation ; seule la langue de Julien lui obstruant la bouche l’empêchait de proférer ces encouragements grivois dont elle avait le secret.
A percevoir sous ses doigts les rondeurs élastiques des fesses de sa maîtresse, Julien décida d’en goûter la douceur. Saisissant le bas de la blouse, il la retroussa vivement, dénudant entièrement la croupe charnue. Refermant ses doigts sur les rotondités élastiques, il les écarta l’une de l’autre, avec un plaisir pervers. L’absence de culotte de la part de sa chaude partenaire lui procura une pensée salace :
— Bon Dieu, quelle salope songea-t-il !…
C’était la première fois que Louise se présentait à lui ainsi disponible : chaque fois qu’elle lui avait permis de lui faire l’amour, depuis qu’ils étaient amants, cela s’était toujours accompli rapidement du fait de la présence de son mari dans les environs. Dans ces moments-là, Louise se contentait de se courber en avant, lui laissant le soin de la trousser et de repousser l’entrejambe de la culotte. L’accès alors à la vulve ainsi dégagée, Julien pouvait y enfoncer sa queue tendue… Jamais encore il n’avait pu contempler ce derrière qui le faisait tant fantasmer, complètement dénudé. Cette constatation de l’absence de culotte de la part de sa maîtresse ne fit qu’accentuer encore le bouleversement passionné de Julien. Sans abandonner son baiser, il repoussa légèrement Louise, afin de s’attaquer aux boutons de la blouse qui la revêtait, les faisant sauter un à un. Alors, le vêtement entièrement déboutonné, Julien s’écarta de la fermière, la maintenant aux épaules, bras tendus. Tel un artiste devant son modèle, il contempla d’un œil fiévreux le spectacle qui s’offrait à ses yeux. La blouse largement ouverte lui dévoilait le corps encore fort sensuel malgré l’âge de son amante.
Comme Julien la maintenait à bout de bras et semblait envoûté par le spectacle qu’il découvrait, Louise dans un souple mouvement des épaules se débarrassa de son vêtement, apparaissant dans sa plénitude nudité. Le jeune homme demeurait toujours immobile, et malgré le regard extasié avec lequel il la fixait, Louise craignit que la découverte de son corps aux formes pleines, mais quelque peu amollies ne le déçoive, lui qui ne l’avait jamais vue entièrement nue.
— Ça te plait, demanda-t-elle d’une voix anxieuse ?…
En fait Julien s’était figé à la vision de la lourde poitrine qu’il découvrait pour la première fois dans son épanouissement. A cinquante-trois ans, Louise possédait des seins lourds et raisonnablement ventrus, mais encore assez fermes : laiteux, zébrés de fines veines bleutées, ils s’ornaient de larges aréoles brunes au centre desquelles se dressaient des tétons d’une longueur étonnante. Excité par ces deux petites bites érigées, Julien pensa que vu la dilatation des mamelons Louise devait être particulièrement sensible aux attouchements mammaires.
Cependant, il n’était pas le seul spectateur à s’émouvoir devant les gros nichons dodus. Jérémy, depuis son poste d’observation n’avait rien perdu de la scène. La découverte de la poitrine de sa grand-mère du fait de sa position élevée lui apparut encore plus volumineuse qu’elle n’était en réalité. Ses fantasmes le reprirent. S’il avait été à la place du fromager, il savait bien ce qu’il aurait fait. Son désir ? Nicher son visage entre les deux mamelles à l’apparence si douce, percevoir leurs tiédeurs contre ses joues, sentir leurs effluves. Et surtout, aspirer les tétons entre ses lèvres pour les sucer ; ce qui d’après ses lectures érotiques, procurait un indéniable plaisir aux femmes.
Se plaçant sur le côté, Jérémy dégrafa entièrement son short afin de libérer sa verge gonflée. D’une main résolue, il entreprit de se masturber, sans toutefois cesser d’observer les agissements du couple formé par sa grand-mère et le fromager.
A la fixité du regard de son jeune amant en direction de son opulente poitrine, Louise se sentit rassurée sur le jugement que ce dernier pouvait porter sur son corps quelque peu potelé. Comme fasciné par le spectacle de ses lourdes mamelles, Julien semblait statufié sur place, ce qui ne faisait pas les affaires de Louise. Impatiente de passer à des activités plus sexuelles, cette dernière décida de tirer le jeune homme de sa contemplation ; elle ne l’avait pas entrainé jusqu’ici pour qu’il joue les contemplatifs : elle avait d’autres projets. Saisissant ses seins dans ses mains, elle les pressa l’un contre l’autre, leur donnant encore plus de volume :
— Ils te plaisent mes doudounes ?… Tu aimes les gros nichons ?…
Mais comme Julien ne semblait pas émerger de son exaltation, elle continua :
— Tu peux les embrasser si tu les trouves à ton goût !…
Comme sortant de léthargie, Julien relâcha subitement son étreinte. Heureuse, Louise gonfla sa poitrine, dans le désir d’offrir ses mamelons gercés aux lèvres de son amant. Mais à l’inverse de ce qu’elle espérait, ce n’est pas ses seins qui attirèrent la concupiscence de Julien.
Abandonnant la contemplation de l’opulente poitrine, partie de l’anatomie de Louise qui l’avait pourtant alléchée dès sa première rencontre, Julien laissa descendre son regard jusqu’au pubis recouvert d’une abondante toison noire. Cette exubérance de poils formait un épais triangle dont la pointe allait se perdre entre les deux cuisses grasses et étrangement fermes de son amante. Jamais Julien n’avait connu de femmes aussi poilues. N’y tenant plus, l’excitation devenant par trop intense, il se laissa tomber à genoux aux pieds de sa sensuelle maîtresse qu’il saisit de nouveau aux fesses, avant d’enfouir son visage dans la luxuriante fourrure crépue.
Comprenant les desseins de Julien, Louise, dont le corps sembla s’enflammer soudain, écarta vivement ses jambes, ouvrant à son partenaire l’accès à son sexe en ébullition.
« Il va lui bouffer la chatte ! » Réagit Jérémy depuis son poste d’observation, songeant à certaines de ses lectures. Dans sa main sa verge fut soudainement prise de palpitations.
Incrustant son visage dans la fourche des cuisses que sa volcanique maîtresse écartait largement, Julien lança sa langue en éclaireuse dans l’épaisse toison crépue, à l’intérieur de laquelle se dissimulait la faille sexuelle tant désirée. Sous son exploration linguale, les bouclettes de la fourrure intime s’écartèrent d’elle-même, dévoilant les replis vulvaires d’où sourdait une source odorante. Comprimant fermement les fesses de sa partenaire, afin de l’empêcher de bouger, Julien entreprit de lécher avec ivresse la longue fente sexuelle, se régalant du suc épicé qui s’en échappait. Sentant les mains de Louise lui agripper la nuque, le forçant à plaquer plus étroitement son visage à son entrecuisse, il comprit qu’il avait gagné la partie. Sa fougueuse complice ne tenterait pas d’échapper à la langue qui s’insinuait entre les grandes lèvres de sa vulve. Alors il lâcha les fesses dans lesquelles ses doigts s’étaient incrustés, pour se saisir des deux seins qu’il malaxa avec ferveur.
Encouragé par les griffures que sa nuque subissait, preuve du plaisir que son amante éprouvait, Julien plongea sa langue plus profondément dans les replis gorgés de sèves de la chatte de plus en plus ruisselante. Sans cesser de triturer les deux tétons raidis entre ses doigts, il décida de diversifier son baiser. Abandonnant les fouilles du vagin, il chercha le sensible clitoris qu’il flagella du bout de la langue. Aussitôt les gémissements que Louise laissait échapper depuis un moment, se transformèrent en encouragements obscènes :
— Oh oui !… Astique-moi le berlingot !… Oh putain, que c’est bon… Oh oui… Salaud, tu me fais mouiller… Vas-y, régale-toi !… Bois mon jus… Oohh, oouuiii…
Abandonnant le clitoris suffisamment exacerbé, Julien reprit l’exploration de la chatte trempée, fouillant d’une langue agile les chairs ruisselantes de cyprine brûlante.
D’abord surprise du désir de son partenaire, alors qu’elle s’attendait à ce qui la prenne sans perdre de temps, Louise n’en accepta pas moins d’ouvrir ses cuisses à la bouche investigatrice. Lorsque la langue indiscrète frôla les grandes lèvres de sa vulve, un long frisson prenant naissance dans son sexe se propagea dans tout son corps à la vitesse de l’éclair. Ses reins se creusèrent convulsivement, tandis que ses seins, déjà gonflés, se durcissaient encore un peu plus et que ses mamelons se dilataient. Mais, lorsque la langue telle une vrille s’enfonça dans sa chatte pour y entamer un ballet diabolique, elle eut l’impression que toutes ses entrailles se liquéfiaient. C’est comme si une source d’un débit exceptionnel prenait naissance au plus profond de son vagin pour jaillir hors de sa vulve, tel un torrent de montagne.
La langue qui lui fouillait le vagin n’avait pas la consistance ni le volume d’un membre en érection, mais à frétiller avec une telle frénésie entre les parois de sa vulve en ébullition, à agacer avec un tel art son bouton d’amour, lui apportait un plaisir extrême. Cela faisait des années que son mari ne lui avait plus pratiqué ce genre de baiser. Aussi c’est avec une émotion teintée de nostalgie qu’elle retrouva des sensations qu’elle avait cru à jamais oubliées. Le plaisir qu’elle en ressentit accrut soudainement le débit de la fontaine qui jaillissait d’entre ses lèvres sexuelles.
— Oh oui !… Je pars !… Grogna-t-elle à l’attention de son jeune amant… Oh, putain que c’est bon !…
Si lorsqu’elle avait attiré son amant dans la remise, son but était que Julien lui fasse l’amour, Louise dut reconnaître que ce que ce dernier lui faisait subir valait largement ce qu’elle avait espéré. Elle avait oublié combien une langue habilement utilisée pouvait apporter du plaisir ; et Julien semblait être un maître dans l’art du cunnilingus. Du plus profond de son vagin, des vagues successives émergeaient, jaillissant en une cascade impétueuse de sa chatte béante, tandis que des ondes de volupté lui parcouraient le corps.
— Oh, arrête, se plaignit-elle sous la houle qui lui traversait le bas-ventre… C’est trop bon !… Non, chéri !… Arrête, je t’en prie !… Ça vient… Oh, non, je vais jouir !…
Sous l’intense plaisir que lui procurait la langue de son jeune amant, Louise se cambra fébrilement afin de mieux offrir sa chatte ruisselante au sensuel baiser. Véritable femelle en rut, elle rejeta sa tête en arrière clamant son plaisir dans son langage imagé :
— C’est trop bon ta langue dans mon con !… Oh oui ! Avale mon foutre !… Régale-toi… Oh non ! Tu me fais pisser…
Mais alors que son visage transfiguré par la jouissance contemplait le plafond de la remise, Louise aperçut soudain le visage de Jérémy s’encadrant dans la trappe menant à la grange. La découverte de son petit-fils l’épiant, alors qu’elle exerçait une activité à laquelle l’adolescent n’aurait pas dû assister ; ce genre de situation qui en général se pratique loin de tous regards indiscrets la figea, sans pour autant mettre un terme au plaisir qui envahissait ses entrailles. Etonnamment, alors qu’elle aurait dû s’enfuir afin d’échapper aux regards de son petit-fils, Louise en éprouva au contraire une étonnante excitation perverse. Une lave incandescente se répercuta dans ses entrailles, la faisant littéralement rugir de plaisir.
— Rrrhhaaaaa… Ooohhhh Ooouuuiiii… Aaahhhh…
Le foutre mêlé à l’urine emplit soudainement la bouche de Julien. Précipitamment celui-ci avala la liqueur vaginale au goût acre, sans pour autant cesser de lécher les chairs juteuses de la vulve odorante. Louise, dont il sentait les cuisses flageoler, avait planté ses ongles dans sa nuque, comme pour garder son équilibre malmené par son fulgurant orgasme. La sentant chanceler sous la jouissance qui la faisait se cambrer dangereusement, il emprisonna les fesses durcies par le plaisir, dans ses mains. Eprouvant un plaisir pervers il les écarta largement l’une de l’autre, ouvrant le sillon où se nichait l’orifice anal dans lequel il tenta d’enfoncer l’un de ses doigts.
Depuis son poste d’observation, Jérémy n’avait rien perdu du spectacle incongru, mais terriblement excitant que sa grand-mère lui offrait. Lorsque cette dernière avait repoussé sa blouse le long de ses épaules, dénudant son corps, il en avait éprouvé un choc émotionnel d’une intensité extrême. Son attention avait immédiatement été attirée par la lourde poitrine qui, libérée de tout soutien, s’écrasait mollement sur le torse de sa propriétaire. Chaque mouvement que sa grand-mère effectuait, les deux masses de chair se balançaient mollement d’une manière terriblement affriolante pour l’ado qu’il était. Il avait bien évidemment aperçu furtivement la tache sombre qui ornait le bas-ventre de Louise, mais son regard s’était vite reporté sur les opulents nichons, objets de ses fantasmes les plus fous. Tout en contemplant les charmes opulents de sa grand-mère, Jérémy n’avait cessé d’activer sa main le long de sa queue raidie, dans un va-et-vient constant.
Mais lorsque Louise, victime de la jouissance, se cambra convulsivement, elle porta son regard dans sa direction, Jérémy en ressentit un tel affolement que son membre réagit soudainement en laissant jaillir de longs jets blanchâtres. Resserrant convulsivement ses doigts autour de sa verge agitée de soubresauts, Jérémy réussit à étouffer les gémissements de plaisir que l’éjaculation soudaine lui arrachait.
Après un long moment à jouir dans un bien-être divin, où tout ce qui l’entourait avait cessé d’exister, Louise reprit peu à peu conscience. Retrouvant ses sensations, elle repoussa doucement le visage de son jeune amant d’entre ses cuisses, tout en jetant un coup d’œil à la trappe. Le visage de Jérémy avait disparu, mais Louise était certaine que son petit-fils devait continuer à l’épier.
Les lèvres et le menton souillés par l’abondance de cyprine qui avait jailli du sexe de son amante, Julien se redressa. Saisissant la nuque de sa partenaire sexuelle d’une main, il plaqua ses lèvres enduites de foutre et d’urine à sa bouche, éprouvant un ravissement vicieux à obliger son ardente maîtresse à goûter à sa liqueur intime.
Nullement rebutée par les saveurs épicées de ses sécrétions vaginales, Louise lécha avec une gourmandise salace les lèvres qui venaient de si bien la faire jouir ;
— Hum ! C’est salé, murmura-t-elle en se suspendant des deux bras au cou de son amant… C’était merveilleux, continua-t-elle sur le ton de la confidence… Il y avait si longtemps que je n’avais éprouvé un tel plaisir…
— Comment ça, s’étonna Julien… Ton mari doit bien te lécher de temps en temps ?…
— Détrompe-toi, ça doit faire des années qu’il n’a pas fourré sa langue dans ma chatte… Même sa queue n’y vient que rarement…
— Peut-être qu’il ne veut pas se noyer, tenta de plaisanter Julien… Je n’ai jamais vu de femme mouiller autant… J’ai cru un moment que tu pissais !…
— Parce que tu as léché beaucoup de femmes, questionna Louise, soudainement victime d’un début de crise de jalousie ?
Préférant ne pas répondre et peut-être envenimer leurs relations, alors que de son côté le désir était toujours aussi vivace, Julien empauma de nouveau les globes fessiers de sa volcanique partenaire. Pressant fermement les rondeurs jumelles, il souleva Louise, tout en la plaquant contre lui.
Ne percevant plus le sol sous ses pieds, Louise, dans un réflexe, referma ses cuisses autour des hanches de son amant tout en consolidant l’étreinte de ses bras, écrasant ses seins contre le torse masculin. Mais dans ce mouvement, sa vulve encore frémissante vint s’écraser contre la protubérance qui déformait le pantalon de son jeune amant. Ce contact déclencha aussitôt dans son bas-ventre une nouvelle bouffée de chaleur. Sans se soucier des résidus de sa jouissance qui imprégnaient encore les grandes lèvres de sa vulve, elle agita lascivement ses hanches, frottant sa fente humide contre la dure excroissance, insouciante des taches qu’elle pouvait laisser sur le pantalon de son partenaire.
— Tu es toujours aussi raide, minauda-t-elle à l’oreille de Julien… Tu veux que je te fasse jouir dans ma bouche comme tu me l’as fait ?… Je peux te faire une pipe…
Julien qui avait déjà prévu la façon dont il allait mener les ébats demeura un instant songeur, indécis. Depuis qu’il était devenu l’amant de Louise, ils avaient toujours fait l’amour discrètement, en se cachant du mari bien souvent occupé à certains travaux au sein même de la ferme. Jamais Louise ne lui avait proposé de le faire jouir en le suçant ; même une fois qu’il avait déchargé en elle, elle ne s’était offerte à lui nettoyer la queue à l’aide de sa bouche. Aussi cette éventualité le laissa hésitant sur la conduite à tenir. Mais songeant qu’il serait toujours temps une fois qu’il se serait vidé les couilles une première fois, de rappeler sa proposition à sa sensuelle partenaire, il décida de suivre sa première idée.
Maintenant solidement Louise par les fesses, il s’avança doucement jusqu’à une planche, installée sur deux tréteaux, sur laquelle séchaient quelques têtes d’ail. Sans prendre la peine de repousser les gousses, il y déposa la fermière. Comme il dégrafait son pantalon afin de se mettre à l’aise pour faire l’amour à sa sensuelle amante, il vit celle-ci prendre appui sur ses coudes, et replier ses jambes en les écartant largement. Le spectacle terriblement obscène qui s’offrit alors à ses yeux ne fit qu’accentuer le désir qui le travaillait. Les yeux fixés sur la vulve aux lèvres corail, luisantes de mouille, Julien repoussa son slip sur ses cuisses.
Louise, qui suivait intéressée le strip-tease de son amant, sentit son cœur s’accélérer brusquement lorsque le sexe en érection, jaillit orgueilleusement. Elle avait tant rêvé de s’empaler sur ce merveilleux gourdin de chair. Dès qu’elle avait su qu’elle allait se trouver seule à la ferme lors de la venue de son amant, un désir avide s’était installé dans ses entrailles. Et c’est ce désir insidieux qui l’avait incité à retirer ses sous-vêtements, afin de se présenter nue sous blouse.
Un long frisson de désir impatient parcourut le corps de Louise, lorsqu’elle vit Julien s’avancer en direction de son entrecuisse, la verge pointée tel un bélier prêt à forcer l’ouverture de son sexe.
— Oui !… Mets là moi !… Réussit-elle à bafouiller.
Enfin elle allait sentir ce pal s’enfoncer en elle ; pénétrer sa grotte intime, repousser les chairs de sa vulve, pour venir l’embrocher. Se rejetant en arrière afin de s’étendre complètement, Louise replia ses jambes sur son torse, ses genoux écrasant ses seins, et pour faciliter cette pénétration tant attendue, elle referma ses mains autour de ses cuisses qu’elle écarta le plus possible.
Avec une émotion qui la fit se cambrer convulsivement, elle perçut le bout arrondi de la verge frôler les grandes lèvres de sa vulve palpitante : enfin le moment tant espéré était arrivé ! Mais alors qu’elle s’attendait à ce que sa chatte s’écartèle sous la poussée de la bitte gonflée, elle sentit le gland glisser le long de sa fente de bas en haut. Puis aussitôt accomplir le chemin inverse, dans une lente caresse. Pensant qu’enfin Julien allait la pénétrer, le jeune homme réitéra son manège. De nouveau le gland frôla les grandes lèvres de sa vulve, s’y enfonçant de quelques millimètres, remontant jusqu’à son clitoris qu’il écrasa de sa masse, avant de retourner à sa position initiale.
Julien, qui n’avait jamais jusqu’à ce jour eu la possibilité d’exprimer ses besoins érotiques, pensa que c’était le moment de profiter de l’absence du mari pour tenter d’exciter au maximum sa partenaire de jeux par des attouchements précis. Aussi, fixant avec ravissement le sexe féminin qui s’offrait à lui, et que le désir rendait particulièrement luisant, il se saisit de sa queue à sa base et l’utilisant comme un pinceau, il en badigeonna plusieurs fois la longue faille sexuelle de son gland enflé. A chaque remontée de sa verge sur le haut de la vulve, il en appuyait fortement l’extrémité contre l’abri où se nichait le magique bouton d’amour, arrachant un gémissement langoureux à Louise.
Ce va-et-vient le long de sa fente palpitante d’impatience, ne tarda pas à exacerber les sens en ébullition de Louise. Comprenant que le jeune homme s’ingéniait à l’exciter, se servant pour cela de son membre, elle l’incita à cesser ce supplice exaspérant :
— Non, arrête, gémit-elle d’une voix suppliante… Mets-le-moi !… Mets-moi ton gros bout !… J’en ai trop envie !… Viens !…Oh viens !… Baise-moi !…
A chaque reptation du gland au-devant de l’entrée de sa vulve, Louise, dans un sursaut désespéré tentait de capturer le bourgeon de chair entre ses grandes lèvres juteuses. Très vite le jeu érotique initié par Julien devint un véritable combat sexuel : Louise essayant à l’aide de vifs soubresauts de s’empaler sur la queue convoitée, alors que Julien, vicieusement laissait la femme affolée s’embrocher de quelques millimètres sur son gland, avant de retirer celui-ci de la chatte trop gourmande. Exaspérée par les taquineries que lui faisait subir Julien et qui mettaient ses sens en effervescence, Louise s’emporta soudainement.
— Arrête, jura-t-elle à bout de patience !… Enfonce ta queue dans mon con !… Baise-moi maintenant !…
Prenant alors pitié de sa partenaire au comble de l’exaspération sexuelle, Julien cessa les mouvements de va-et-vient de son gland le long de la fente maintenant ruisselante de mouille. Plaçant sa verge à l’entrée de la vulve béante, il agrippa sa partenaire par la taille, et d’un coup de reins puissants il la pénétra de toute la longueur de son membre.
— Oh, putain que c’est bon, s’exclama Louise, enfin comblée… Vas-y, bourre-moi la connasse !…
N’ayant nul besoin d’encouragements, Julien agita alors ses hanches en une danse du ventre saccadée. Sa verge coulissa avec une étonnante facilité dans la grotte intime de son amante, du fait de l’abondance de cyprine qui s’en écoulait. Chaque coup de boutoir qu’il assénait au plus profond du vagin torride arrachait de longs râles de plaisir à la volcanique fermière.
— Oui !… Défonce-moi la chatte !… Oui !… Oui !… Oh ouuiii !… Encore !… Plus vite !… Oui, oui… Oh, c’est bon… Je sens ton gros bout au fond de ma moule… Aahhh… Ohhh…
Abandonnant la taille à laquelle il s’accrochait, Julien s’empara des deux seins que la volupté gonflait généreusement. Accélérant ses va-et-vient à l’intérieur de la chatte de plus en plus ruisselante, il pressa fougueusement les deux fruits de chair pinçant les deux petites bittes au centre de leurs aréoles foncées. Ce nouvel attouchement déclencha chez Louise une série de gémissements amoureux.
— Oh oui… C’est bon… Je t’aime mon chéri…
Ne voulant laisser croire à sa sensuelle amante qu’un sentiment plus intime puisse naitre entre eux, Julien s’empressa de s’inscrire en faux contre l’idée.
— C’est surtout ma queue que tu aimes !
—… Oui c’est vrai, répliqua Louise après un moment de silence, quelque peu déçue de la réponse que lui renvoya Julien.
Elle décida néanmoins de suivre Julien dans jeu
— … Oui, j’aime ta grosse queue… Elle me remplit toute… Je sens ton gros bout au fond de mon ventre.
À plat ventre dans le foin, rendu méfiant depuis que sa grand-mère l’avait localisé, Jérémy n’en continua pas moins d’épier les faits et gestes du couple. Le spectacle qui se déroulait à quelques mètres au-dessous de lui ne pouvait le laisser insensible. Même si la femme qui s’arquait sous les coups de boutoir que lui dispensait son partenaire était sa propre grand-mère, l’image qu’elle offrait ne pouvait qu’exciter ses sens. C’était la première fois qu’il assistait réellement à une scène d’amour avec pénétration. Et à voir le fromager pistonner fiévreusement sa grand-mère provoqua chez Jérémy une telle excitation, qu’une nouvelle érection gagna son membre. En plus des gémissements et des râles de plaisir que sa grand-mère émettait, c’est surtout le langage obscène que cette dernière proférait qui étonnait tout en affriolant davantage Jérémy. Habituellement, Louise se montrait toujours extrêmement polie, jamais l’adolescent ne l’avait entendu prononcer un mot vulgaire. Or là, sous les pénétrations saccadées de la verge de son amant, elle employait un langage, qu’il avait plus l’habitude d’entendre dans les vidéos qu’il regardait en cachette.
Jérémy ne pouvait détacher son regard de sa grand-mère, qui tel un insecte épinglé, se contorsionnait d’une façon désordonnée, clouée sur la planche de bois par la verge de son partenaire. Des « baise-moi à fond – laboure-moi la chatte – oh comme j’aime ta queue », résonnaient dans le silence de la grange, entrecoupé de « Oui, Oh oui » et de feulements de chatte en chaleur. Jérémy découvrait sa grand-mère sous une autre personnalité. Même son visage paraissait transfiguré ; le plaisir qui l’habitait la rendait incroyablement plus belle. Accrochée aux mains de son partenaire qui lui malaxait les seins, Louise, comme possédée, lançait son bas-ventre en avant au-devant de verge qui lui fouillait le sexe, encourageant son partenaire, de son langage imagé.
Subjugué par le ballet érotique qui se jouait entre sa grand-mère et son amant, Jérémy en oublia de se branler.
Soudain, les gémissements de sa grand-mère se transformèrent subitement en de longues plaintes :
— Oh, putain c’est bon !… Oui… Oh Oouuuiii !… Vas-y ! Balance ta purée… Je jouis… Rrrhhhaaa !… Ah !… Haaa…
Julien, solidement accroché aux seins plantureux de sa maîtresse, s’activait en un vat-vient effréné, fouillant rageusement le vagin torride de cette dernière. Dans un effort de volonté désespéré, il tentait de retarder la montée du plaisir qu’il sentait gagner du terrain. Aussi quand soudainement sa verge se trouva enveloppée d’un cocon ardent, preuve que sa partenaire accédait à l’orgasme, il cessa immédiatement tous mouvements, mettant à profit la semi-inconscience de la fermière pour reprendre son calme.
Ils restèrent ainsi, immobiles un long moment. Seul le souffle haletant de Louise venait troubler le silence.
—… C’était divin, murmura soudain Louise d’une voix étouffée… Jamais je n’ai joui aussi fort…
Prenant soudain conscience que son amant demeurait fiché dans son vagin, elle s’étonna :
— Mais, toi, tu n’as pas déchargé ?
— J’ai le temps, répliqua Julien… Je n’en ai pas encore fini avec toi.
— C’est vrai ?… Tu vas encore me régaler ?
— J’en ai bien l’intention, répliqua Julien en débutant un nouveau va-et-vient dans la chatte gorgée de cyprine de sa lascive partenaire.
— Huumm, approuva aussitôt Louise… Je suis partante…
Or comme Julien accélérait les incursions de sa verge à l’intérieur du sexe abondamment lubrifié, un bruit de clapotis liquide émana de la vulve pistonnée, rendant la pénétration plus érotique pour les deux amants.
— C’est incroyable, plaisanta Julien… J’ai les couilles trempées !…
Louise qui connaissait cette particularité qu’avait son sexe d’émettre une profusion de cyprine lors de ses accouplements répondit à son jeune amant :
— Ça permet à ta grosse queue de mieux glisser dans mon petit minou !
— Petit minou ?… Tu plaisantes !… Ta chatte est un vrai parking à bittes tellement elle est large !…
— Oh !…
Sachant que Julien avait raison, Maurice lui ayant maintes fois fait la même réflexion, Louise préféra s’abstenir de répondre. Le frottement de plus en plus prononcé du gland contre les parois de sa vulve exacerbée dispensait de nouvelles ondes voluptueuses dans son bas-ventre. Comme pour accélérer cette jouissance qu’elle sentait monter en elle, Louise glissa un doigt le long de sa fente distendue autour du pal de chair. Cherchant son clitoris, qu’elle trouva, fièrement dardé en haut de ses grandes lèvres, elle entreprit de le caresser, l’agaçant même de son ongle.
Immobilisant sa fougueuse amante en refermant ses mains autour de sa taille, Julien avait peu à peu accéléré les va-et-vient de son membre dans la grotte féminine embrasée. Chaque fois que son pubis heurtait les lèvres de la chatte détrempée, projetant son gland au plus profond du vagin en fusion, cela arrachait un nouveau cri de plaisir à Louise. Grisé par les gloussements érotiques de sa volcanique partenaire, Julien brusqua ses coups de boutoir dans le réceptacle féminin accueillant. Mais lors du mouvement de retrait de sa verge du vagin qu’il pistonnait, celle-ci, rendue glissante du fait de l’abondance de cyprine, s’échappa d’entre les grandes lèvres détrempées.
— Oh, ça glisse, plaisanta Louise !… Remets là, continua-t-elle en écartant ses cuisses encore davantage afin de faciliter l’introduction souhaitée !…
S’étant saisi de son membre visqueux, dans l’intention de le réintroduire dans la chatte palpitante, Julien eut le regard attiré par l’orifice plissé de l’anus rendu luisant du fait de l’intarissable écoulement vaginal. Cette vision déclencha en lui un désir pervers : enfoncer sa queue dans cette ouverture que Louise lui offrait innocemment. Sans plus réfléchir, sans même prévenir celle qu’il voulait embrocher par cet accès secondaire, il présenta son gland gonflé face à ce petit trou brun à l’air si accueillant.
Louise qui attendait l’introduction du membre à l’intérieur de son sexe impatient, ne songea pas un instant ce que son jeune amant avait l’intention de lui faire subir.
— Non, tu te trompes de trou, plaisanta-t-elle, amusé de la maladresse de Julien.
Mais sentant le volumineux bourgeon de chair se plaquer contre son cul, et s’y appuyer fortement, Louise comprit immédiatement les projets de jeune amant.
— Tu veux me la mettre de ce côté, interrogea-t-elle, soudain inquiète ?… Tu veux… Tu veux m’enculer, continua-t-elle soudain anxieuse ?
Jamais Maurice en plus de quarante ans de mariage n’avait tenté d’emprunter ce passage. Quoiqu’elle se soit souvent interrogée au sujet du plaisir qu’une femme pouvait ressentir à être prise de ce côté, Louise n’avait jamais osé demander à son mari de
Ajouter un commentaire