F-H & HH-H
Ma transformation en esclave travesti et soumis par ma femme (Tania)
La rencontre avec Marielle ma future femme
J’ai connu ma femme Marielle lors d’une soirée à l’Université. Soirée qui rassemblait aussi bien ceux de première année que les anciens dont elle faisait partie. Elle était juchée sur les épaules d’un de ses copains et par jeu je lui avais tapoté les fesses. Bien mal m’en a prit car elle me jeta un regard furibond. Quelques instant plus tard je passais à côté du canapé où elle papotait avec une copine lorsque je fus bousculé et je tombais sur elle. Immédiatement elle me saisit par le cou et passa une jambe au dessus de moi pour me bloquer. En me rappelant le début de la soirée elle se mit à me fesser très fort, j’étais paralysé et j’entendis tout les copains se moquer de moi. Lorsque je pus m’échapper je quittais immédiatement la soirée, honteux mais troublé car cela m’avait fait bander à m’en faire mal.
Je fus bien plus troublé lorsqu’elle m’aborda quelques jours plus tard dans les couloirs de l’Université avec un charmant sourire en voulu m’inviter au restaurant pour se faire pardonner. C’est ainsi que notre relation débuta. J’étais tombé sous le charme d’une belle femme sportive aux cheveux longs, moi le gringalet plutôt efféminé. Pour sa part elle devait apprécier ma servilité car j’étais toujours prêt à lui rendre service, à lui ramasser ses affaires lorsqu’elles tombaient par exemple. Je la soupçonné d’ailleurs d’en rajouter pour me tester.
Marielle me domine même pour faire l’amour
En amour je compensais ma petite queue par beaucoup de douceur, de caresse, par une langue très agile, par mon attention de chaque instant à la recherche de son plaisir. J’aimais écarter ses petites lèvres avec ma langue et goûter ce petit fruit bien juteux. Ma langue devenait un petit sexe la pénétrant et buvant son nectar. Je mettais ensuite deux doigts dans sa chatte et lapait comme un petit chien son bourgeon si sensible. J’aimais sentir la contraction de son orgasme sur mes doigts mais malheureusement elle n’aimait pas ensuite que je continue après l’orgasme ni que je l’embrasse pour lui faire partager son nectar. Elle, de son côté, aimait me rudoyer et apprit très vite comment me faire jouir en triturant mes tétons qui devenaient de plus en plus sensible et en me caressant mon anus. Dans les jeux de l’amour j’étais la femme.
Elle avait prit l’habitude de me caresser la raie des fesses et de tourner autour de mon petit trou serré. J’aimais ses caresses et cela me faisait gémir dès que ses doigts se mettaient à appuyer sur ma corolle comme pour y entrer. Ce qui arriva un jour ou elle acheta de la vaseline et sans me prévenir commença à m’enduire de ce gel froid. Je retenais ma respiration mais je ne dis rien lorsque son doigt s’enfonça légèrement. J’étais très surpris car je me considérais comme un hétéro endurci et pour moi ce genre de plaisir n’aurait pas du être normal. Cependant j’y prenais plaisir et ma femme encore plus semble t-il.
Au fur et à mesure des soirs elle me pénétra avec un doigt puis deux puis trois. A chaque fois cela l’excitait beaucoup et moi j’y prenais de plus en plus plaisir. Plaisir que je ne pouvais plus cacher vu mes gémissements et la façon de me tortiller dans le lit lorsqu’elle me défonçait. J’avais de moins en moins le droit de lui faire l’amour avec ma queue et souvent elle préférait me masturber avec deux doigts comme si c’était un clito et lorsque j’éjaculais dans sa main je devais la lui nettoyer entièrement en suçant tous les doigts. J’ai donc goûté à du sperme très tôt et elle me disait
-« Prends y du plaisir car je pense que tu es faite pour ça ». A cette époque je ne comprenais pas trop pourquoi elle me parlait au féminin dans ces moments là.
Nous nous sommes mariés et ainsi tous les soirs le rituel commençait. Je la faisait jouir par mes caresses et parfois je la pénétrait si elle le désirait et elle en retour me pincer les tétons et me sodomiser. En vérité c’était elle qui me baisait. Elle devenait de plus en plus autoritaire et souvent me traiter de « petite vicieuse, de salope de petite pute » lors de nos ébats.
Elle m’oblige à porter de la lingerie tous les soirs
Un soir elle m’annonça que comme j’étais une vraie petite femelle je devrais pour la nuit m’habiller en conséquence. Je ne savais plus que penser lorsque ce jour là je vis sur le lit un déshabillé rose orné de dentelle noire qui se fermait en nouant un joli ruban rose au niveau des seins, une nuisette sur laquelle on retrouvait la dentelle noire en guise de décoration en haut et en bas et un slip assorti. Tout cela très soyeux, très vaporeux. Devant elle je dus me mettre nu et je ne pus cacher que sous la douceur du tissu sur mes tétons mon sexe brusquement se redressa. J’eu vraiment honte de mon état passif.
-« Je savais bien que tu étais faite pour ça » me dit t-elle en parlant de moi au féminin. Chaque soir donc je devais m’habiller ainsi et apprendre à marcher avec des mules à talon de 6 cm « qui faisait ressortir mon petit cul » disait elle.
Un soir j’eu le malheur de lui dire que j’avais froid aux jambes car l’hiver approchait. Le lendemain elle m’installa dans la baignoire avec une crème dépilatoire et commença à me raser. C’était ça ou elle me quittait. Je dus obéir et même les poils de mon cul et de ma queue furent rasés. J’avais la peau douce et je frissonnais en caressant mes jambes.
« Maintenant tu n’auras plus froid aux jambes ni à ta mignonne petite poitrine » me dit elle en me présentant une magnifique guêpière avec toujours des motifs roses dont des petites fleurs sur les jarretelles et une paire de bas satiné. Elle serra la guêpière bien fort, à me faire perdre mon souffle « afin que j’obtienne plus tard une taille de guêpe ». Dans le miroir avec mes cheveux qui commençait à devenir très long et dans cette tenue j’étais devenu réellement femme. Je dus dormir ainsi pour la première fois. Cette nuit là elle fut très tendre et apprécia de me caresser à travers ma lingerie, elle m’autorisa à me servir de ma queue mais bien sur ensuite je dus tout avaler. Ce fut une nuit difficile car je pris un immense plaisir à croiser et décroiser mes jambes pour écouter le crissement des bas. Par contre le lendemain matin au saut du lit elle refusa que je retire la guêpière et les bas et je dus partir au travail ainsi. « Pourvu que je n’ai pas d’accident ! Les infirmières à l’hôpital feraient une drôle de tête ! » Pensai je. Toute la journée fut une torture permanente car j’étais convaincu que tous mes collègues devinaient que je portais une guêpière sous mon costume. J’avais hâte de rentrer. Mais encore une fois ma femme avait vu juste car j’appris à aimer me sentir prisonnier, ou plutôt devrai je dire prisonnière, de ce carcan qui affinait ma taille mais qui aussi à chaque instant me rappelait que j’appartenais à Marielle. Je me mis à porter cette tenue sous mes vêtements d’homme aussi bien au travail que lorsque nous nous promenions en amoureux dans les rues de Paris. Paradoxalement plus ma taille s’affinait sous le contrôle quotidien de ma femme plus mes fesses prenaient de l’ampleur. J’avais du mal à trouver des pantalons car mon postérieur ne rentrait plus si je prenais ma taille habituelle. Elle m’avait proposé des pantalons de femme, qui me convenait parfaitement j’en conviens, mais par un sursaut d’orgueil j’avais refusé pour continuer à me sentir mal à l’aise dans les habits d’homme. En effet même mes tétons devenaient si sensible que le frottement de ma chemise me gênait. Je ne compris que bien plus tard.
Dominatrice Marielle aime me sodomiser avec un gode
Peu de jour après m’avoir imposé le port de la guêpière en rentrant du travail je découvris sur le lit une boite en paquet cadeau avec cette inscription « La nuit va être longue ». Intriguée je n’ai pas attendu pour ouvrir et je découvris à l’intérieur un gode ceinture impressionnant, du 25×12 au moins. Voyant le calibre je pris peur mais ma femme rentra dans la chambre à ce moment. Elle s’était habillée comme les dominatrices des bandes dessinées, en combinaison de skaï noir qui moulait ses magnifiques seins et ses longs cheveux en queue de cheval. D’un ton autoritaire elle me demanda de me mettre nu à quatre pattes puis elle mit l’engin autour de sa taille.
Je la sentis passer derrière moi et commençait l’introduction de un puis deux puis trois doigts dans mon cul. Soudain elle les retira en me laissant le trou béant et un sentiment désespérant de vide mais avant qu’il ne se referme je sentis le gode prendre possession des lieux. Il n’arrivait pas à passer et j’avais mal. Elle se retira, rajouta du gel et recommença. Cette fois ci je l’aidais en poussant à mon tour pour bien montrer mon accord et le gode finit par rentrer entièrement. J’avais horriblement mal et je sentais l’objet appuyait sur ma prostate. Elle s’immobilisa pour m’habituer, m’agrippa par les hanches et commença un lent va et vient entre mes reins pour accélérer la cadence tout en me claquant les fesses de plus en plus fort. Elle se déchaînait. Pendant plus d’une heure elle me baisa alternant toutes les positions possibles puis comble de l’humiliation à l’aide d’un miroir me montra l’état de mon cul tout rouge ou elle pouvait tourner deux doigts sans toucher la paroi de mon anus tellement j’étais ouvert.
Je deviens Tania, travesti complètement en femme pour sortir en soirée dansante
Un jour nous furent invités par la réunion des anciens étudiant de l’Université à un bal costumé. Aussitôt ma femme me dit que je serais parfaite habillé en femme. Je refusais bien sur car si j’acceptais de m’habiller en sous vêtement féminins pour elle, il était hors de question que je m’habille, me maquille en femme et sorte en soirée avec des copains.
Pendant plusieurs jours je fus privé de sexe avec interdiction de me masturber tout en me bourrant le crâne de phrase du genre « transformé comme tu le seras personne ne s’en apercevra » et de me montrer des revues spécialisés et sur Internet des photos et des récits de Transsexuels. Je n’en revenais pas de voir ses créatures si belles avec des gros seins et des queues bien droites, dans des tenues si sexy ou si voluptueuses et de lire des textes ou elles aimaient s’habiller pour leur amant ou leur maîtresse. C’était un monde qui me fascinait et chaque soir dans mes tenues les plus sexy je devais subir l’assaut de ses textes érotiques et de ses magnifiques photos tout en me laissant caresser les tétons et en me laissant me susurrer à l’oreille que je serai moi aussi une très belle trans si je le désirais. Je me surpris à rêver que j’étais femme et que les garçons se retournaient sur mon passage. Je ne pus que céder encore une fois. Je savais qu’elle avait gagné une manche décisive dans notre relation de couple.
Nous allâmes donc le matin précédant le bal masqué dans une institution spécialisé dans le transformisme. Je pénétrai dans un monde irréel ou je dus choisir avec ma femme le type de perruque, le type de robe, la longueur des faux cils et des faux ongles et j’en passe.
Une magnifique créature se chargea ensuite de moi et m’assura d’une voie curieusement rauque que je ferais une magnifique petite femelle après la séance. Cela amusa beaucoup ma femme. Elles me firent asseoir dans un fauteuil et elle commença par m’épiler les sourcils tout en me rassurant sur mon look futur à mon travail. Ensuite elle m’appliqua sur le visage un fond de teint en me précisant que je devais bien regarder ses gestes afin de pouvoir plus tard le faire tout seul car ma femme allait acheter les produits nécessaires. Celle-ci approuva et me dit qu’elle était sur que j’aimerai cela après cette journée. Elle continua donc avec un peu de fard à joue puis du fard à paupières. Sur ceux-ci elle me mit les faux cils et me fit le contour des yeux avec un crayon en finissant par un léger trait sur mes sourcils pour rehausser le regard. Elle continua ensuite par un rouge à lèvres plutôt violent et un contour des lèvres.
Dans le miroir petit à petit je vis une tête de femme très sensuelle aux yeux en amande, au regard lourd et aux lèvres épaisses et pulpeuse telle une pute. Une bouche a taillé des pipes comme nous disions lorsque nous étions étudiant. J’étais troublé et pétrifié. Je ne bougeais plus lorsque saisissant mes mains elle me colla de longs faux ongles avant de les vernir tandis qu’à genoux une autre femme s’occupait de vernir mes doigts de pied posés sur un tabouret.
Pendant ce temps ma femme qui avait emmenait le caméscope continuait de me filmer. Puis vient le moment de la perruque, brune avec de très longs cheveux qu’elle releva en chignon en laissant sur le devant une petite frange coquine.
Je ne pouvais plus quitter le miroir des yeux et c’est complètement abasourdi qu’elles m’entraînèrent dans la pièce d’à côté pour s’occuper des vêtements.
Je fus déshabillé et sans aucune gène l’esthéticienne approuva chaudement le choix de ma femme sur le serre taille orné de dentelle qu’elle m’avait fait mettre ce matin. Elle me fixa une magnifique paire de seins en silicone et un soutien gorge pigeonnant du plus bel effet, les demi balconnets ourlés de dentelle mettaient en valeur mes deux obus. Elle me fit retirer mon slip de dentelle pour mettre un cache sexe avec un faux vagin très réaliste. Moi qui avais envie de bander je n’en pouvais plus de sentir ma queue maintenue de force au repos.
-« Ce sera très bon pour toi ainsi tu seras excité comme une puce ce soir » me consola ma femme tout en me filmant. Elle me chaussa ensuite de la magnifique paire d’escarpins aux talons aiguille de 12 cm qu’elle m’avait choisi. Je dus me lever et faire quelques pas pour vérifier ma démarche.
-« Ondule un peu plus du bassin » me recommandèrent elles en cœur. Je me voyais dans la glace entièrement transformé avec ma taille très fine, mes hanches plus larges, mes jambes devenu plus longues, plus tendues qui me faisait cambré le dos et ressortir mon cul, sans parler des deux superbes seins qui faisaient le pendant à ce cul.
Puis vint la robe, rouge, satin brillant qui me semblait soudainement bien courte lorsqu’elle descendit le long de mon corps. Ce fut une révélation et je frissonnais lorsqu’elle referma la fermeture éclair. Je me sentais totalement femme moulée dans cette mini largement échancrée et pourvu d’une longue fente sexy sur le devant.
Colliers, bracelets, bagues, boucle d’oreille et un parfum entêtant couronna le tout.
Nous étions le matin et je comptais donc reprendre mes habits d’homme pour la fin de la journée.
-« Hors de question, tes affaires sont dans le coffre de la voiture et tu sortira en femme. Tu dois t’habituer à marcher avec tes escarpins avant ce soir ».
C’est ainsi qu’elle me fit arpenter les trottoirs de Paris et m’éduqua sur les gestes essentiels d’une femme lorsqu’elle se baisse ou s’assoit. J’écoutais avec attention, sans un mot, craignant par-dessus tout que les hommes qui me dévisageaient en me croisant ne devinent que j’étais un travesti. Ma femme le devina bien sur et se moqua de moi en me certifiant que ce ne serait pas la dernière fois que je sortirai ainsi.
-« Tu baises comme une pute il faudra bien que tu le devienne un jour » me dit elle. J’étais effaré et soulagé lorsque enfin on rentra à la maison.
Arrivé à la maison elle me demanda de me mettre à quatre pattes sur le canapé, repoussa ma culotte et mon faux vagin et m’introduit un gode dans le cul. Une seule poussée et mon anus s’ouvrit et se referma sur lui. « Cela t’aidera à rester avec des fesses cambrées ». Effectivement une fois debout je gardais les fesses bien tendues en sentant cet objet insolite. Par contre lorsque je me suis assis cela m’a fait tout drôle, il appuyait sur ma prostate et je ne pouvais m’empêcher de me tortiller pour essayer de trouver une position plus confortable. Cela la fit beaucoup rire.
-« Pour ce soir comme tu ne peut pas conduire avec tes escarpins j’ai demandé à Xavier de venir nous chercher, je l’ai mis au courant mais il aura son copain Patrick avec lui donc cela fera deux couples. Je sortirai avec Xavier ». Ainsi donc elle avait prévu de me faire jouer le rôle de femme pour ce Patrick
Sorti au bal comme cavalière de Patrick, copain de Marielle
L’instant fatidique arriva lorsque la sonnette retentit.
-« Va ouvrir je me prépare » me dit elle d’une voix sans réplique. Morte de peur je vis son copain entré accompagné d’un homme grand, la trentaine, mince et d’allure sportive. Tout deux me firent la bise et Xavier partit à la recherche de ma femme, me laissant seul avec Patrick.
Son regard brillait en me fixant et je reconnus en lui un Don Juan prêt à tout des qu’une occasion se présente. Je lui faisais de l’effet car assis face à face il fixait avec insistance mes jambes que j’avais croisé de manière suggestive et il devait apercevoir mes jarretelles et le haut de mes bas avec leurs petites fleurs roses si chère à ma femme. Mon intérêt était d’être le plus femme possible si je voulais que la soirée ne finisse pas par la honte de ma vie. Sous son regard insistant je me sentis troublé de faire autant d’effet et me mis à rougir.
Croyant que je n’étais qu’une copine de ma femme il n’hésita pas et vint s’asseoir à côté de moi. Je ne pus que remarquer à la bosse de son pantalon l’effet que je lui faisais. Après m’avoir complimenté sur ma beauté et le choix de mon parfum, tourné vers moi je sentis sa main sur le dossier du canapé m’effleurait la nuque. Hypnotisé par son regard je ne bougea pas lorsque son autre main se posa sur mon genoux en faisant crisser le lycra soyeux de mes bas. Entendant du bruit il se dépêcha de déposer un baiser sur mes lèvres et de s’écarter. Excitée et pleine de nouveaux désirs inconnus je ne savais plus que faire.
La porte s’ouvrit sur Xavier et ma femme et nous décidâmes de partir. Je dus m’installer à l’arrière avec Patrick. Pendant tout le trajet il me murmurait des mots doux à l’oreille tandis que sa main s’aventurait de plus en plus sous ma robe. A l’avant les deux riaient et ne faisaient pas attention à nous. Doucement Patrick me prit la main et la posa sur sa braguette. C’était la première fois de ma vie que je touchais une queue même à travers un pantalon et l’effet fut immédiat : une bouffée de chaleur et l’impérieux besoin de devenir à mon tour la maîtresse désirée m’envahit. Ma main appuya, glissa, attrapa à travers le tissu. Patrick se mit à respirait profondément mais la voiture s’arrêta, nous étions arrivés. Je rentrai au bal au bras de mon amoureux. Nous fumes placés côte à côte pour le repas. Sous la table il ouvrit sa braguette et me força la main pour que je le caresse. Ne voulant pas de scandale qui aurait peut être fait découvrir la supercherie sur mon sexe je m’appliquait à bien le caresser. Au moins il n’irait pas approfondir entre mes cuisses trop occupées par mes caresses. Et je reconnais que j’avais envie de sexe quelque il soit et une petite branlette n’engageait à rien me dis je pour me déculpabiliser. En plus juste à côté de ma maîtresse et femme !. C’était follement excitant ! J’empoignai donc sa pine et la masturbai lentement, décalottant le gland et le recouvrant avec délicatesse. Je n’avais aucune expérience mais faisait comme si cela était pour moi. Pour me faire ralentir où accélérer Patrick sur un ton anodin en souriant me susurrait ses ordres tout en me traitant de salope et de putain. Un premier soubresaut et Patrick prit discrètement son verre vide sur la table et récupéra le sperme jaillissant sans dévoiler son émotion. Puis il échangea son verre contre le mien et me força à trinquer en annoncent triomphalement « Santé à tous ». Par réflexe j’entourai ma main autour du verre afin que personne ne se doute de son contenu et je dû boire cul sec la production de Patrice. Un peu sucré, un peu fade mais encore chaud. C’était buvable.
Devant tant de désir de la part d’un homme je désirai approfondir mes possibilités et rêvait à plus d’intimité. Ma femme pendant ce temps dansait avec Xavier et venait de temps en temps me filmer avec le caméscope. Elle ne pouvait pas ignorer dans quel état j’étais. Profitant d’un moment d’inattention de Patrick elle me souffla dans l’oreille
-« Je comptes sur toi pour qu’il ne regrette pas sa soirée. Tu crois que je n’ai pas vu ton manège sous la table maintenant il faudra aller plus loin ou gare à toi » et s’adressant à Patrick
-« Tu devrais invité Tania à danser elle n’attend que cela ». Elle se mit à nous filmer sur la piste de danse car tout de suite il m’enlaça fermement, je sentais sa bite sur mon ventre et ses larges mains me caressaient rudement les fesses. On aurait dit qu’il savait comment m’exciter car à travers la robe son doigt n’arrêtait pas de s’insinuer dans ma raie et d’appuyer sur mon gode. Sa bouche me baisa le cou, la naissance des épaules et remonta sur mes lèvres pour un violent baiser ou nos langues s’enroulèrent tandis que je mettais mes deux bras autour du cou de mon amant et lui caressait les cheveux, en femme excité. Mon ventre collé au sien remuait en contre sens de la danse pour bien faire grossir sa bite. Je me sentais femme à part entière.
Après ce très long baiser il me prit par la main et m’entraîna aux toilettes. Nous rentrâmes dans une cabine qu’il condamna. Serré l’un contre l’autre, il ouvrit de nouveau sa braguette et me demanda de le branler pendant qu’il me triturait les fesses. Il me poussa ensuite sur le wc et je me retrouvais avec devant moi son gros pieu bien droit tandis qu’il faisait tomber son pantalon et son slip.
-« Tout à l’heure ce n’était qu’un hors d’œuvre » Tremblante j’ouvris la bouche et il m’enfonça son gland puis sa queue dans ma gorge. Honteux je me suis rappelé les films porno que ma femme aimait me mettre pour m’exciter et j’ai donc entamé de lents mouvements de va et vient avec ma bouche que je serrais contre sa hampe et ma langue se mit à tourner sur ce pieu bien doux en vérité. Ma main continuait de le branler tandis que mon autre main lui caressait les bourses. J’étais excité et j’aimais ce que je faisais, c’est moi qui dominait cet homme qui gémissait de plaisir, je me vengeais de ma femme en devenant plus femme, plus chienne qu’elle. Je me suis aperçu qu’il aimait lorsque je lui lécher les couilles et j’en profitais. Il sentait qu’il avait perdu le contrôle et voulu m’insulter en disant
-« Mais on dirait que tu y prend goût pétasse, t’es vraiment une grosse pute ! ». J’étais devenu une chienne en chaleur excité au plus haut point et j’essayai d’enfoncer son pénis au plus profond de ma gorge. Des hauts le cœur me rappelèrent que j’étais novice en cette matière mais me promis en moi-même de me perfectionner. Je me vengerai de mon rôle de pute soumise ainsi. J’avais mal à la mâchoire car sa bite était d’un gros calibre mais je continuai à le pomper sur un rythme soutenu car j’aimais entendre son halètement et ses gémissements. D’un coup je sentis son sexe enflait et son jus par saccade me remplit la bouche. J’avais du mal à déglutir tout en essayant de ne rien perdre. Un blanc d’œuf un peu fade, un peu sucré comme une heure auparavant mais quelle jouissance ! A la fin je lui léchais consciencieusement la queue pour la nettoyer.
-« Fini le travail, rhabille moi ». C’était très humiliant car l’excitation était tombé mais je lui remis son slip, son pantalon et fermé sa braguette
Il partit le premier après m’avoir tapoté la joue en me traitant « de bonne pute obéissante ». Troublé je me rappelais la prémonition de ma femme qui pensait que je serais un buveur de sperme, un videur de couilles. A mon retour à la table ma femme, serrée contre Xavier d’une façon suspecte à mes yeux jaloux reposa son caméscope qu’elle avait braqué sur moi et me fit un grand sourire. Je ne compris que le lendemain. Le retour se passa dans le plus grand calme car nous étions tous les quatre épuisés.
Travesti chaque soir je deviens bonniche zélée
Le lendemain au réveil, dans un vaporeux déshabillé je du subir la séance caméscope, celle de mes exploits. Je me vis en homme puis devenir femme trébuchant sur ses talons puis à table avec Patrick et on devinait fort bien que nos mains étaient occupés, puis mes fesses caressées pendant la danse et surprise je vis Patrick faire un geste de victoire en sortant des toilettes. J’étais rouge, je venais de comprendre la machination. Devant mon indignation elle ne put qu’éclater de rire et de me signaler que dorénavant elle n’accepterait plus aucune discussion. Je n’étais qu’une pute qui suçait le premier venu et si je n’étais pas content un double arriverait sur le bureau de mon patron.
-« Dorénavant en rentrant tu t’habillera en soubrette pour faire le ménage, la vaisselle et la cuisine ». Je ne porterait donc plus la nuisette que lorsqu’on irait se coucher mais des mon arrivée, je me maquillerai, mettrai ma perruque, garderai bien sur ma guêpière et mes bas et m’habillerai en femme. C’est ainsi que juché sur mes talons aiguilles avec souvent des jupons bouffants sous la robe ou des corsages très suggestifs laissant apparaître la naissance de mes deux obus je devais m’attaquer aux taches ménagères.
Sous son autorité je dus apprendre à me maquiller d’une façon parfaite et tout ce qui fait une bonne ménagère. Les premières semaines je reçu plus de réprimande que de plaisir. Je commençais à regretter le guêpier dans lequel je m’étais fourré par laxisme. Elle trouvait le moindre prétexte pour jouer de la badine sur mes fesses et en plus le soir m’empêchait de jouir en emprisonnant mon sexe dans un fourreau qu’elle attachait par derrière à mon string ou me ligaturer savamment les couilles et la queue m’empêchant ainsi de libérer ma semence. Au fur et à mesure cependant je devins à ses yeux un soumis à peu près convenable et ses élans de gentillesse me comblaient de bonheur.
Un jour elle m’apprit qu’elle avait pris Xavier comme amant car il était très bien monté. Elle continuait de m’aimer mais elle avait besoin d’une grosse bite pour la faire jouir et d’ajouter que comme il connaissait mon état de soubrette on pourrait l’inviter à dîner et elle pourrait ainsi se faire baiser devant lui. Je n’en revenais pas de cette demande et comme d’habitude je refusais énergiquement pour finir par accepter. Il fut convenu que je serais la soubrette et que je ne devais en aucun cas intervenir sur les événements.
Marielle me présente son amant et me fait participer
Le soir arriva et je vis ma femme faire les frais d’une tenue hyper sexy comme elle m’imposait de porter. J’étais étonné car lorsqu’on sortait tous les deux en fille elle s’habillait très classe et moi plutôt pute pour bien marquer que c’était elle la maîtresse. C’est en jupe courte évasée, sans soutien gorge mais un corsage de soie si transparent qu’on voyait le bout de ses seins qu’elle avait maquillée en rouge, en porte jarretelle et bas gris souris sur de vertigineux talons aiguille qu’elle accueillait son amant. Pour ma part ce fut la tenue complète de la soubrette avec robe noire et dentelle blanche complétée du tablier avec le gros nœud derrière et des talons aiguille de 12 cm. Xavier jouant le jeu me tendit son manteau et roula une pelle mémorable à ma femme dans le couloir. C’était bien sur une mise à l’épreuve pour voir si j’acceptais la situation. Pendant l’apéritif que je leur ai servi Xavier demanda à ma femme de retirer son slip et de bien ouvrir les cuisses afin qu’il puisse se régaler de cette vision. Il lui demanda ensuite de venir sur ses genoux et commença à la caresser et à la déshabiller. Ses mains virevoltaient sur les tétons, passaient sous la robe pour une caresse rapide pour remonter vers les cheveux qu’ils attrapaient en tirant vers l’arrière. Marielle la gorge découverte gémissait sous les coups de langue de Xavier. J’étais jaloux de la voir avec lui si lascive si prête à accepter tout de lui. On voyait bien qu’elle ne savait plus ou donner de la tête tandis que ses lèvres à elle parcouraient le corps de son amant. Recroquevillé dans un fauteuil je tournais la tête mais j’entendais des gémissements et des halètements sans équivoque.
-« On m’a dit que tu es une bonne suceuse vient préparer la bite de Xavier ma chérie ». Je tournais la tête vers eux pour les découvrir côte à côte et se caressant le sexe mutuellement. Ma femme branlait dans ses mains une monstrueuse queue.
-« Tu comprends pourquoi je ne veux plus de ton petit zizi » rajouta t-elle. D’un signe impérieux elle m’indiqua de m’approcher. J’étais effrayé car jamais je ne pourrais sucer un engin pareil, ma bouche serait trop petite. Malgré moi j’étais excité car je n’avais pas éjaculé depuis plusieurs jours je me mis à genoux et me mit à bécoter son gland. Je m’enhardis pour passer ma langue sur sa hampe et essayer de sucer un peu de son sexe. Ma mâchoire était distendu mais elle le fut bien plus encore lorsque la main de ma femme m’attrapa les cheveux et m’enfonça le membre jusqu’au fond de ma glotte. J’étouffais et je me mis à saliver lorsqu’elle repoussa ma tête, me laissa une seconde pour respirer et recommença.
-« Ouvre bien la bouche si tu lui fait mal avec tes dents gare à toi ». Après quelques minutes elle me repoussa pour me dire de regarder car elle allait se planter sur ce sexe d’homme. Ainsi devant moi qui avais la mâchoire distendue je la vis s’empaler sans hésiter et commencer à bouger son beau cul. C’est ainsi que je la vis avoir plusieurs orgasmes violents qui la faisait hurler des insanités et qu’il éjacula enfin en elle.
-« Viens me lécher cette semence immédiatement » m’ordonna t-elle et je me mis à nettoyer son sexe dégoulinant du sperme de son amant. Après un peu de repos ils sont passés à table et je dus les servir. Ce fut la première soirée mais il y en a eu ensuite régulièrement d’autres.
Première sodomie par Xavier l’amant de ma femme
Un soir alors que je faisais le service comme toute bonniche qui se respecte et que Xavier caressait ma femme d’une main je sentis qu’il posait l’autre sur ma jambe et remontait le long de ma cuisse. Le trouble m’envahit et hypnotisé je ne bougeais plus. Il déboutonna ma robe, abaissa mon slip de dentelle et libéra mon sexe. Voyant sa taille il se mit à rire. Me prenant par la main il s’approcha de la table du salon, me fit m’agenouiller le cul bien à l’air et appuya sur mon torse pour le coucher. Immédiatement ma femme alla chercher des foulards dans la chambre et m’attacha rapidement les mains aux pieds de la table.
Xavier se mit à me caresser l’anus tandis que ma femme me badigeonnait de gel. Ses doigts se mirent à me pénétrer tandis que doucement je gémissais que « c’était pas possible sa bite était trop grosse ». Sans écouter elle se saisit de la queue de son amant pour la présenter. Il commença à entrer doucement, son gland énorme me donna l’impression que ma rosette allait éclater, je poussais un cri, me débattit. Rien n’y fit ma femme me maintenait fermement tandis que Xavier crochetait ses doigts sur la raie de mon cul pour l’écarter au maximum. Je me mis à transpirer, ma femme se plaça à côté de moi pour m’embrasser à pleine bouche en disant qu’elle était heureuse de me voir enfin devenir femme à part entière. Une de ses mains passa sous mon torse pour me griffer violemment le téton, sous la douleur je relâchais mon attention du pieu qui cherchait à me défoncer et c’est ainsi que je me retrouvais cloué sur la table. En effet il était au fond de moi, je sentis même ses couilles contre mon cul. Il se retira légèrement et commença les va et viens. J’étais écartelé et j’avais peur que mon anus ne se referme jamais plus. Il me prit par les hanches et commença les coups de butoir. Je tremblais de la tête au pied, je sentis l’orgasme monter dans mon ventre et me mit à gémir de plaisir. Ma femme en profita pour me demander de la lécher et ma langue entra dans sa chatte au gré des coups de son amant. Soudain Xavier me prit par les épaules et je sentis sa purée m’envahir le cul. Il resta en moi, me fit tourner le visage vers lui et m’embrassa goulûment. Je sentis sa queue reprendre de la vigueur. Il se retira pourtant, me détacha et me mit sur le dos. Ce n’était que quelques secondes de répit car il releva mes jambes sur ses épaules et je vis sa monstrueuse queue redevenu raide se présenter devant mon trou puis y disparaître. Pendant ce temps Marielle avec le caméscope me prit sur toutes les coutures afin de bien montrer que je jouissais du cul comme une vraie femelle. Plus tard elle me montrera l’état de mon anus complètement ouvert devant le pieu de son amant. Xavier se pencha de nouveau pour m’embrasser, j’étais coincé sous son corps, mes jambes me faisaient mal mais je me sentais femme comme jamais par la grâce de ce sexe qui me déchirait et me donnait tant de plaisir. Il jouit une seconde fois et me laissa cette fois partir flageolant vers la salle de bain, son sperme dégoulinant le long de mes cuisses et sur mes bas. Je me lavais, remplaçais ma lingerie, me remaquillais et retournais impeccable vers le salon.
Depuis au gré des désirs de Xavier nous sommes devenu un couple à sa disposition et il lui arrive même d’inviter chez nous des amis.
En Tania je deviens le vide couille des amis de Marielle et Xavier
Le premier fut bien sur le fameux Patrick qui me sodomisa ce soir là sans retenue. Ma femme était absente mais avait donné son accord.
Ce jour là je les accueillis travesti comme me l’avait demander Xavier. Bas noirs, portes jarretelles et soutien gorge blanc, le tout recouvert d’un chemisier aux lourdes dentelle au cou et aux manches et une jupe très courte mais sans culotte comme il me l’avait précisé. Ils me firent la bise et tout de suite Xavier remonta ma jupe pour montrer mon petit zizi à son ami.
-« Tu vois c’est ridicule et il ne pourra jamais contenter une femme avec ça c’est pourquoi il est mieux en femme et crois moi c’est une pute très douée. Par contre regarde ce cul ! »
-« Tania plie toi en deux pour montrer ta jolie rosette à Patrick » rajouta t-il en m’écartant les fesses. J’étais un simple objet sexuel pour lui et me le montrait bien. Patrick sourit et en rappelant que lors du bal j’avais été une bonne suceuse il me prévient que ce soir il s’occuperait de mon joli cul. Pendant qu’ils sirotaient le café que je leur avais servi ils me demandèrent de les sucer avant de passer aux choses sérieuses. Leurs pantalons étaient déjà défaits et leurs sexes sortis. Je retirais ma jupe et commençait à sucer l’un et caresser l’autre alternativement. Connaissant mes défauts Xavier avaient pris la badine de ma femme et me fouettait le cul
-« Tu verras Patrick il suce mieux avec le cul rouge » donna t-il comme explication. En réalité cela m’obligeait à m’appliquer aux mieux afin de moins recevoir de coup.
-« Vas y Patrick moi je connais bien son cul » et c’est sur cette singulière invitation que celui-ci me mit à quatre patte sur le canapé et présenta sa queue devant ma rosace. Heureusement que j’avais avant leur arrivée mis un peu de gel. D’un seul coup et après une douleur fulgurante je sentis une paire de couille contre mes fesses. Pendant ce temps la queue de Xavier se présenta devant ma bouche que j’ouvris bien grande pour l’accueillir. Je me mis à sucer au rythme des coups de bite que je recevais par derrière. Ainsi donc pendant plus d’une heure ils ont alternaient les positions et ont jouit dans mes deux orifices à tour de rôle. Je dus tout avaler bien sur mais interdiction de laisser fuir le précieux liquide entre mes cuisses d’où l’emploi d’un gode pour me fermer le trou ensuite. A la fin un seul commentaire de Patrick
-« Elle est vraiment bonne et tu as vu comme elle bouge du cul quand on la baise, une vraie salope ! ». En repartant ils m’ont demandé de remercier ma femme de leur avoir prêté son jouet, Marielle restait ma maîtresse en titre. Par contre Xavier étant médecin elle avait continué mon traitement hormonal et chaque soir je devais ouvertement avaler une pilule et chaque semaine il venait me faire une piqure. Mes hanches continuèrent à s’élargir, mes seins si sensibles s’arrondirent et ma peau devenir naturellement imberbe. Je me doutais bien que c’était les hormones mais chaque soir dans mon déshabillé sous ses yeux je me devais de l’avaler. Je ne savais pas résister et c’est pour cela que je devenais cette pute docile.
Marielle et moi sommes sous la domination de Xavier
Xavier venait de plus en plus souvent avec des amis et dans ce cas ma maîtresse et moi devions nous habiller de la même façon, les seins libre sous un corsage transparent et le cul sans culotte pour être disponible à tous les attouchements. Seule concession à son statut de Maîtresse elle n’avait pas à avaler de sperme mais par contre au dernier moment je devais finir le travail soit tout avaler sans jamais en laisser tomber une goutte. Marielle s’accommodait très bien de ces situations mais avez du mal à supporter lorsque Xavier décidait que je serais son amante d’un soir. Dans ce cas c’était à ma maîtresse de venir nous servir en soubrette et je devais lui donner des coups de badine en cas de service mal fait. J’étais ces soirs là traité comme une femme et j’étais heureuse de le recevoir ensuite en moi dans le lit conjugal tandis que Marielle devait aller dormir dans la chambre d’amis. Il est évident qu’il le faisait pour mieux faire comprendre notre position à tous les deux. La vengeance étant un plat qui se mange froid. le lendemain après son départ elle s’arrangeait toujours pour ne jamais être satisfaite de mon travail et pour cela avait aménagé un local dans la cave pour me fouetter. Elle avait posé des anneaux au plafond et me menotté les bras écartés juché en équilibre instable sur la pointe de mes talons aiguille si je ne voulais pas trop souffrir. De plus elle avait fabriquer une sorte de tréteau sur lequel elle installait des godes de toutes dimensions au niveau de ma bouche. Le jeu consistant à les sucer le plus savamment possible et le plus longtemps aussi même quand ma mâchoire n’en pouvait plus. Je devais me perfectionner dans mon métier de suceuse de bites et pour atteindre la perfection « rien ne valait l’entraînement » me disait elle en me fouettant le cul et même l’entrejambe. Autant dire que je craignais lorsqu’elle me demandait de la rejoindre dans ce lieu de torture.
Sa soif de domination s’aggravait de mois en mois et je ne comprenais pas jusqu’où elle désirait aller. Peut être elle-même ne le savait pas et compter sur ma rébellion pour y mettre un frein mais j’avais trop peur de la perdre et je m’accommodais de tout étant un soumis dans l’âme.
Marielle me loue pour une partouze ou je serais l’esclave sexuel
Un jour elle m’annonça que pour moi il était temps que je connaisse l’abattage comme les putes de Barbés. Une dans le cul, une dans la bouche et une dans chaque main. Sans prévenir ma femme m’appela à mon travail et me demanda de rentrer à midi afin de me préparer pour une soirée, sans autre précision. En arrivant je la trouvais allongée sur le canapé du salon, vêtue de noir, bas résille, porte jarretelle en dentelle, cuissardes noires vernies, les seins nues mais le redoutable gode ceinture déjà à la taille. Elle m’ordonna de me déshabiller et de ne garder que mes bas et ma guêpière. Elle était redevenu la dominatrice et se mit à tourner autour de moi avec sa cravache. De la voir ainsi je ne pus m’empêcher d’avoir une érection. Je sentis la cravache cingler mes fesses à plusieurs reprises. Je poussais un cri de douleur. Elle m’ordonna de me courber et de mettre mes mains derrière mes genoux, ainsi je lui pressentais mon cul bien ouvert. Elle m’encula d’un coup sec et se mit à me pilonner. Pendant ce temps sa main comprimait mes couilles sans douceur, les insultes pleuvaient et je jouis dans ses doigts. Elle s’arrêta et me fit lécher ma semence.
-« Maintenant va te préparer pour ce soir ».
Elle m’entraîna dans la chambre ou m’attendait une tenue très pute tout en rouge. Porte jarretelle en dentelle, bas rosés, string, escarpins rouge, soutien gorge, mes seins en silicone et la nouvelle perruque brune aux cheveux courts si soyeuse. Je dus me maquiller et pour finir elle me retoucha les lèvres pour les faire très pulpeuses, presque obscènes. Elle me mit un plug vibrant avec une poire dans le cul, m’attacha à une chaise et en profita pour me mettre un collier décoratif bordé de dentelle mais solide car elle y attacha une laisse et partit sans un mot, sans explication. J’ai bien senti que mon rôle d’esclave sexuel monter d’un cran et j’avais peur de la suite. Régulièrement dans l’après midi elle venait appuyer sur la poire pour augmenter la taille du plug et augmenter la vitesse de vibration. Je jouis à plusieurs reprises.
Vers 21 h elle me présenta une jupe et un chemisier et me dit
-« Dépêches toi ou on va être en retard à ton rendez vous ». Je ne comprenais rien mais je m’empressais de revêtir les vêtements puis nous primes la route.
Nous arrivons devant une villa de banlieue, le portail est ouvert et nous stoppons devant le perron ou une armoire à glace type ex rugbyman nous attendait. Je suis perdu, j’ai chaud, j’angoisse et pour me rassurer elle me dit
-« Ce soir tu va comprendre ce que c’est d’être une chienne ».
J’ai du mal à marcher sur le gravier avec mes talons aiguille, nous montons les marches et le géant demande à ma femme si c’est bien moi la pute prévue pour la fête. Elle acquiesce, il me dévisage et m’entraîne son énorme main tenant ma laisse. Dans un état second je m’aperçois que je suis dans un salon. Ma femme tâte d’une main experte la bosse que fait le sexe du colosse et m’ordonne de me mettre à genoux. Aussitôt il force ma bouche avec son énorme queue. Pendant ce temps je sens une main me fouiller l’anus et quelqu’un s’écrit
-« Mais elle s’est fait baiser toute la journée cette salope là, je lui met deux doigt et cela rentre comme dans du beurre ».
Puis tout s’enchaîne avec une flopée de mains qui me touchent, me caressent, me pincent. J’ai des bites dans mes mains, mon cul, ma bouche. Tout le monde veut me faire boire leur semence. Je ne sais pas combien de temps cela dure car j’ai perdu la raison, je me déchaîne et en réclame toujours plus. Je suce, je branle, je lèche. Il fait presque jour lorsque ma femme reprend la voiture et me regardant avec mépris m’affirma que ce genre de vie ne faisait que commencer.
Ajouter un commentaire