Histoires de tromper Histoires gays

Le cimetière de voitures

Le cimetière de voitures



Automne 1971

Moi et Guy, mon nouvel ami, on sortit d’un champ en friche pour traverser la route et passer à côté de la vieille maison canadienne que ma mère venait d’achetée en campagne. La seule chose qu’elle pouvait se payer depuis qu’elle s’était séparée de notre père alcoolique et violent qui ne manquait à personne. Elle m’envoya la main par la fenêtre du salon tout en nettoyant les carreaux. Je lui répondis embarrasser car j’avais l’impression que ça se lisait sur mon visage que je venais de me masturber derrière une grange avec Guy. Mains dans les poches de nos vestes on traversa rapidement la cour arrière en longeant le garage pour monter une bute jusqu’a la forêt dans laquelle on s’enfonça par un étroit sentier. Une forêt dense, sombre et silencieuse de sapins, d’épinettes noires, de bouleaux et d’érables aux couleurs de l’automne dans laquelle le soleil ne pénétrait que par endroits. Jamais je n’aurais cru en me levant ce matin que j’allais me branler avec un autre gars et surtout que cela me plairait autant. La grosse bite de Guy semblait me hanter. Je ne pensais déjà qu’à le refaire avec lui et au plus vite tellement j’avais aimé ça. Mais pour l’instant, mes couilles devaient refaire le plein et cette marche avec mon nouvel ami vers une mystérieuse destination me plaisait.

Ici, au creux de la forêt, l’air froid était plus mordant et chaque fois que l’on traversait un espace ensoleiller j’en profitais pour me réchauffer le visage et les mains. Le sentier était tapissé de feuilles et de branches mortes qui craquaient sous nos pas et cela me fit penser à Halloween qui approchait.

— Tu te déguises en comment Guy la semaine prochaine ? Lui demandai-je en enjambant un arbre mort.
— En clown meurtrier ou en vampire, je ne sais pas encore et toi ?
— En zombie, ma mère adore me maquiller.
— C’est hot ! On pourrait passer l’Halloween ensemble.
— OK !

Un pic-bois se mit à tambouriner avec son bec sur un tronc d’arbre quelque part près de la cime des arbres. Le tintamarre qu’il provoquait se répercutait au loin dans la forêt pour diminuer peut a peut tandis que l’on continuait a s’enfoncer toujours plus loin et toujours en silence. Je déteste les gens qui parle tout le temps, surtout pour ne rien dire et Guy me plaisait parce qu’il semblait comme moi ; pas causant et renfermer.

Au bout d’un moment on dut enjamber une vieille clôture de fer barbelée toute rouiller et à moitié ensevelie sous la végétation pour se retrouver dans un ancien cimetière de voitures. C’était visiblement à l’abandon et depuis très longtemps. Il y avait toutes sortes de véhicules manger par la rouille datant des années 50 et 60 a lesquelles il manquait des portes, des pare-brise et toutes sortes de pièces et plusieurs étaient accidentées. Mais il y avait aussi des camions, des tracteurs et même une grue s’élevant fièrement haut dans le ciel bleu sans nuages comme si elle gardait l’endroit. Elle me fit penser au tripode de la guerre des mondes mais comme figer dans le temps. Wow ! Moi qui adorais les films et les bouquins de fin du monde, voire ça, et surtout d’avoir ce cimetière juste derrière chez moi me faisais flipper totalement. J’en oublier pour un instant notre petite séance de masturbation en suivant toujours mon nouvel ami qui contournait des véhicules en silence ou grimpait carrément sur les capots ou les toits qui se bosselait sous notre poids pour sauter d’une voiture a l’autre, c’était flippant. C’était comme si on avait un parc d’attraction abandonnée juste pour nous. Plus on allait de l’avant dans ce cimetière perdu en pleine forêt, plus les véhicules étaient dévorés par la rouille et plus il y avait de hautes herbes et des arbres qui poussaient carrément au travers. Toutes ses bagnoles jadis rutilantes qui faisaient la fierté de leurs propriétaires se mouraient lentement maintenant de leur belle mort dans l’indifférence la plus totale.

Guy stoppa sur le toit d’une vielle Cadillac blanche accidenter pour sortir à nouveau sa bitte rester longue et ses couilles. Je crus que c’était pour pisser une nouvelle fois mais il me regarda en se caressant.

— Sort la, c’est le fun de se promener bitte a l’air, je le fais tout le temps.

Cette fois, je le fis sans attendre laissant l’air froid de ce matin d’automne me chatouiller le gland et les couilles. Il sourit en me regardant faire puis on repartit. Je le suivis de nouveau exciter, sentant ma bitte heurter mes cuisses en bandant peut a peut tout comme lui. Encore là, il avait raison, se promener comme ça, ici, loin de tout, c’était vraiment excitant. Mon membre durcit rapidement, celui de Guy également et on se regardait se caresser mollement en déambulant entre ou sur les carcasses de bagnoles ou de camions. Mon sexe sursautait à chaque pas quand je me la lâchais et j’adorais cette sensation d’interdit. Être la, bitte a l’air avec lui, ça me donnait la chair de poule. Mais ce que j’aimais le plus c’était de voir la sienne si longue et si grosses tanguer et se balancer quant on sautait d’un toit a l’autre ou par terre pour faire un bout de chemin entre les arbustes qui me la chatouillait au passage. Son membre était presque aussi gros que mon poignet et deux fois plus long que le mien et j’étais dans la bonne moyenne si je me fiais à celles que j’avais déjà vues. C’était la première fois de ma vie que je jouais à ça avec un autre gars et je flippais totalement. Ça et cet endroit fabuleux me donnaient la chair de poule.

Quelques minutes plus tard, arriver a l’autre extrémité du cimetière, là où la forêt recommençait derrière une autre clôture barbelée en piteux état, il stoppa devant un ancien camion de livraison peint en jaune citron piquer de rouille. Celui-ci avait perdu une bonne partie de sa peinture qui s’écaillait et le nom de la compagnie s’était effacé depuis longtemps. Il reposait sur ses jantes rouillées enfoncer dans la terre et était appuyé contre un orme gigantesque qui semblait le protéger avec ses longues branches couvertes de feuilles multicolores. En plein milieu de l’immense boîte arrière il y avait une grande fenêtre rectangulaire au coin arrondi et double et entre les deux, l’eau de pluie s’y était infiltrée. Et sans doute depuis des années car celle-ci était verte comme celle d’un aquarium et des tas d’insectes aquatiques des plus étranges y nageait. D’où ils pouvaient bien provenir, ça… je n’en avais aucune idée. En regardant au travers, fasciner, je fis que c’était la même chose de l’autre côté et il y avait même des plantes dans ces vivariums improviser par la nature.

— Viens, m’ordonna Guy en passant derrière le camion tout en lâchant sa grosse bitte qui se balançait mollement de gauche à droite. Il ouvrit l’une des doubles portes qui grinça méchamment et me fit signe d’entrer. Je grimper dans la boîte qui rasait presque le sol en sentant ma queue extrêmement dure et sensible qui sursautait au rythme de mon coeur. On allait se masturber à nouveau, j’en étais certain et j’en mourrais d’envie. J’en avais presque des crampes dans le bas ventre.

Ca empestait l’humidité a l’intérieur mais une fois mes yeux habituer a la pénombre je m’aperçus qu’il y régnait un fabuleux éclairage verdâtre à cause des fenêtres-aquarium qui laissait filtrer la lumière du soleil. De plus, une petite porte coulissante, ouverte donnait sur la cabine avant, j’aperçus le pare-brise étoilé en partie recouvert de feuille morte. On y voyait donc plutôt bien bien. Tout ce qu’il y avait ici c’était la banquette arrière d’une voiture, d’un blanc douteux, installé dans un coin et quelques boites de carton empiler tout près. On se serait crue à l’intérieur d’un sous-marin avec ses grandes fenêtres remplies d’eau, c’était fantastique et il y faisait chaud. L’effet de serre sans doute. Mais ce qui attira tout à coup mon attention en avançant vers le fond pendant que Guy refermait la porte, c’est que des dizaines de photos de pin-up de Playboy avaient été coller sur un des murs tout au fond sur la droite face à la banquette. Ma bitte sursauta toute seule, comme si elle venait d’être traversée par un courant électrique. Les yeux tout petits j’examinais des seins de toutes formes, des vulves ouvertes, des toisons fournies de différente couleur, des culs fermes et des anus plisser. Il y en avait pour tout les goûts. J’hallucinais totalement. Un de mes amis m’avait déjà montre un Playboy voler a son père quand j’étais plus jeune mais la… c’était carrément dément.

— Wow ! Lâchai-je époustouflé en me masturbant mollement fasciner par toutes ses filles jeunes et belles qui se ressemblait pour la plupart ;trop maquiller, minces, gros seins, cheveux longs et gonfler et chattes poilues. Des blondes, des rousses, des brunes, quelques noires et une Asiatique aux petits seins menue. Il y avait même des filles qui posaient ensemble et se touchait les seins et l’entrejambe en me regardant droit dans les yeux. C’était si bandant que mes couilles se contractèrent rapidement sous mes doigts. Je sentais mon coeur battre dans ma queue en ayant l’impression de rêver.

— Elles sont bandantes hein ? Dit-il en se laissant tomber lourdement sur la banquette derrière moi en masturbant son long membre lentement et à deux mains. Je comprenais maintenant pourquoi ce siège d’auto avait été installé là.
— WAIS ! Fis-je en le regardant un instant se branler avant d’examiner à nouveau les photos, fasciner par toutes ses Pin-up. Surtout celle qui posait ensemble en se touchant.
— J’ai trouvé une boîte de Playboy dans le coffre d’une voiture, m’expliqua-t-il pendant que je m’assoyais finalement a coté de lui juste en face du mur des tentations les yeux river sur les seins et les sexes sans lâcher ma queue si dure.

Je me demandais ce qu’on pouvait bien ressentir a fourré ça bitte dans la fente bien mystérieuse d’une fille tandis qu’il fixait ma main qui allait et venait lentement sur ma bitte parfaitement droite comme la sienne. Il se caressait toujours à deux mains et il y avait presque assez de place pour une troisième. Je déglutis en regardant un instant son prépuce se rabattre, dévoilant son gland luisant, quand ces mains descendaient pour écraser ses grosses couilles molles bien séparer qui se soulevaient quand ses mains remontaient. Décidément, cette journée d’automne qui s’annonçait comme toutes les autres me réservait bien des surprises.

— De dos, me dit-il l’oeil pétillant, t’as vraiment l’air d’une fille avec tes cheveux longs et t’ont petit cul, même t’ont visage. T’es gai ? Ça ne me dérange pas tu sais.

Mon coeur bondit d’entendre ça tandis qu’il repoussait ses lunettes noires sur son nez avec un doigt toujours en me fixant étrangement. Je savais ce que voulait dire être gai et je m’étais déjà posé la question car j’aimais porter les vêtements de ma soeur en cachette, même ceux de ma mère. Mais de voir toutes ses filles nues me faisait bander toute autant que de voir sa bitte alors, j’étais plutôt indécis. C’était la deuxième fois qu’il me le disait ce matin et ça ne m’offusquait nullement, j’en avais l’habitude. Grand, mince et efféminer, il m’arrivait souvent de me faire siffler par des hommes en voiture quand je marchais ou que je faisais du vélo pour ensuite entendre quand il me dépassait, « merde, c’est un gars. » Ça me faisait juste sourire, mais, en fait, pas seulement, je m’étais rendu compte et sans trop savoir pourquoi, que j’aimais ça.

— Non, je ne suis pas gai ! Répondis-je un peu embarrasser par ses regards insistant autant sur mon visage que sur ma bitte en ramenant mes cheveux noir corbeau derrière mes oreilles d’un geste très féminin imitant ma soeur sans m’en rendre compte. Elle avait les mêmes cheveux noir et fin que moi mais les siens lui tombaient sur les reins. Moi je les avais aussi longs que mon chanteur préférer, celui de Deep Purple.
— Te fâche pas !
— Mais non, ça va. Répondis-je en admirant à nouveau les photos en me caressant me sentant de plus en plus exciter. Toutes ses filles souriantes posant debout ou coucher cuisses ouvertes me donnait l’eau a la bouche.
— Je te le fais, tu me le fais ?

Toujours subjuguer par les déesses sur le mur, il me fallut un instant avant de réaliser ce qu’il venait de me dire et je le regarder en plissant les yeux de surprise tout en disant :

— Quoi ?
— C’est bien plus le fun quand c’est un autre qui te le fait. Laisse moi faire et t’inquiètes pas, je ne suis pas gai non plus.

Sans réfléchir je lâcher ma bitte en voyant son bras se tendre vers moi et il me la prit en se collant cuisse contre cuisse. Le simple fait de sentir son corps contre le mien mais surtout sa main se refermer sur ma bitte me donna de sacrés frissons et des frétillements dans le bas ventre. Je me crisper et serrer les fesses. Dès qu’il commença à me branler sans trop serrer, je compris qu’il avait raison. C’était bien plus excitant, plus agréable la main d’un autre. Je frémis de plaisir tandis qu’il prenait mon poignet gauche pour que j’empoigne son membre, ce que je fis le coeur battant à toute allure. Mes doigts n’en faisaient même pas le tour. Habituer à ma bitte, je trouvai ça très étrange de tenir ce membre démesuré, si dur, si énorme mais en même temps si doux. Le simple fait de lui toucher pendant qu’il me touchait me fit presque éjaculer. Jamais je n’aurais cru que je branlerais la bitte d’un autre un jour et surtout que j’aimerais ça autant. Comme moi il se caressait les couilles tandis que l’on se masturbait l’un et l’autre. Sous mes doigts, je sentais la peau mince de sa grosse bitte glisser sur les muscles gonfler et dure. Le temps sembla s’arrêter tout à coup tellement j’étais concentré sur ce que l’on faisait. C’était encore plus excitant que notre branlette de tout à l’heure derrière la grange en se regardant faire. Mes petits orteils en étaient tous repliés dans mes runnings tremper par la rosée. Les gros muscles à l’intérieur de mes cuisses tremblaient à chaque fois que ses gros doigts passaient sur mon gland devenu ultra sensible. Je fixais ma main sur la sienne qui montait jusqu’à son petit gland luisant et descendait pour remonter aussitôt. Je voulais graver ça dans ma mémoire pour toujours au cas ou on ne le referait jamais. Bouche ouverte, totalement concentrer sur le plaisir que je ressentais a le masturber et a me faire branler je me disais que rien ne pouvait être plus excitant que ce que je vivais présentement. Je m’en lécher les lèvres en plissant les yeux de plaisir. Je planais totalement, ma cervelle s’embrouillait.

C’était si intense comme sensations, si bandant que j’en oublier toutes ses filles nues qui semblait nous fixer. Sa main me procurait un tel plaisir que, même si je venais d’éjaculer 30 minutes plutôt, je sentais déjà qu’un autre orgasme s’amenait. Je commençais à me tortiller sur le siège contre lui tout en me demandant s’il allait jouir aussi. Tout ça était nouveau comme sensation et si excitant que mes couilles étaient déjà rentrées par en dedans et mon scrotum tout plisser et dur tout comme le sien. Le fait de le toucher et qu’il me touche décuplait toutes mes sensations et visiblement, c’était la même chose pour Guy. J’aimais vraiment la manière qu’il avait de me regarder, jamais on ne m’avait reluqué comme ça et je compris à cet instant qu’il pourrait me demander n’importe quoi et que je lui obéirais sans hésiter. Pourquoi ? Ça, je ne le comprenais pas vraiment.. Mais ça me troubla terriblement et fit bondir mon coeur. Guy était loin d’être un beau gars avec ses grosses lunettes noires et ses petits yeux bleus-gris un peu trop ronds mais il me plaisait. Il était costaud et aussi renfermer que moi et visiblement… très vicieux. Je me surpris à me demander si ça l’exciterait de me voir en fille. Mais jamais je n’oserais faire ça devant lui, je le savais bien. J’étais beaucoup trop timide, même pour lui en parler. J’avais surtout peur qu’il le raconte et que l’on se foute de ma gueule à l’école, mais surtout, que ma soeur et ma mère ne l’apprennent. Mais ça me trottait tout de même dans la tête…

Il fixait sa main les yeux tout petits moi la mienne qui effleurait ses couilles avant de remonter vers le gland qui laissait s’écouler quelques gouttes de liquide transparent comme le mien, encore une fois. Branler cette bitte énorme me faisait saliver terriblement. J’avais peine à croire qu’une queue comme la sienne pouvait entrer dans une fille. Perdu dans mes pensé je réaliser que j’allais jouir ; mon gland dégoûtait et mes genoux se balançaient de gauche à droite et comme une fille, j’avais les pieds retourner par en dedans. Je gémis avant de dire la voix étrangler, le souffle presque couper :

— Je viens.

Je croyais qu’il allait me la lâcher pour que je me finisse mais aux lieux de ça il resserra sa poigne et accéléra. Bouche ouverte, crisper et cherchant mon air, je sentis mon sperme monter rapidement dans ma bitte et me pencher vers l’avant pour ne pas me jouir dessus. J’éjaculai longuement sur le sol entre mes pieds, transis de plaisir en tremblant, les cheveux dans le visage. À chaque giclé de sperme ma bouche s’ouvrait comme celle d’un poisson hors de l’au et je grimaçais terriblement. Ce deuxième orgasme en si peut de temps fut beaucoup plus intense que le premier surtout avec ça main qui allait et venait jusque par-dessus mon gland trop sensible et mouiller de sperme. J’en pleurais presque de plaisir en jouissant, ma main stopper sur la sienne que je serrais très fort bien malgré moi comme pour me raccrocher a quelque chose. Quelques jets de sperme plus tard, mon sexe rougi ne fit plus que dégouter, il ralentit la cadence, me la secoua et me lâcha pour ce lécher les doigts sur lesquelles il y avait un peut de mon foutre clair me laissant tremblant et si soulager. Je me redresser chambranlant en me pressant la bite, mon coeur cognant à toute allure, sans avoir lâché la sienne. Il me fit recommencer à le branler en posant sa main sur la mienne mais plus vite et plus fort en me regardant les yeux vicieux. Il ne fallut pas longtemps pour qu’il se penche a son tour et je sentis clairement le sperme monter dans le canal sous sa grosse queue. Il éjacula longuement à son tour en serrant ma main si fort qu’il me fit mal. Comme tout à l’heure, je le regarder décharger en sentant passé chaque jet de sperme sous mes doigts fins et délicats comme ceux de ma mère. Je n’en revenais pas d’être en train de faire ça en fixant son gland qui pissait du foutre épais sur le sol tacher qui en avait bien vu d’autre. Quand il eut fini de jouir et que son gland ne fit plus que dégoûter, il retira sa main et me laissa lui secouer avant de se redresser, le visage rougi, essoufflé. Je le masturber encore un moment en même temps que je caressais la mienne rester dur et palpitante, puis, je lui lâcher presque à regret tellement j’aimais sentir la puissance de son membre dans ma main. On reprit notre souffle en silence, en se caressant mollement, avant qu’il ne me demande en me fixant droit dans les yeux si j’avais aimé ça :

— Oui ! Dis-je simplement mais avec conviction en remplaçant mes cheveux derrière mes oreilles, tête baisser, gêner par son regard.

Je me demandais avec qui d’autre il pouvait bien le faire, car visiblement il l’avait déjà fait, vu qu’il savait que c’était si agréable. Je faillis lui demander mais je décider d’attendre qu’il m’en parle s’il en avait envie.

Je cueillis une goutte de sperme sur mon gland avec mon pouce avec l’idée de me le lécher comme je le faisais souvent. J’aimais ce goût saler et puis ça m’excitait de le faire devant lui. Mais avant que je puisse le faire il me prit le poignet et amena mon pouce à sa bouche pour me le sucer un moment. Tout mon corps en frémit comme tout à l’heure quand il avait empoigné ma bitte et un long frisson me traversa la colonne. C’était si surprenant, mais surtout si agréable de sentir mon pouce sur sa langue humide et chaude et surtout ses lèvres qui me l’enserrait en suçant. Ça me chatouillait et j’adorais. Je ne pus m’empêcher de sourire, mais ça me fit tout de même rougir un peu. Ma bitte pulsa à nouveau sous mes doigts reprenant de la vigueur et il me lâcha le pouce en ravalant sa salive et me demanda :

— T’aimes le goût du sperme toi aussi ?
— Oui ! Avouai-je timidement.
— Super ! Ça te dit de conduire une grue ?
— Sérieux !
— WAIS ! Enfin, faire semblant. Viens, Dit-il en se levant en rentrant sa bitte dans son jean. J’espère que t’a pas le vertige ?
— Je sais pas.

Je le suivis surexciter et troubler par ce qu’on faisait ensemble en jetant un dernier regard a toutes ses filles qui nous avait regardés nous masturber. Je me sentais léger, heureux comme je l’avais rarement été.

Quinze minutes plus tard je déglutis en sentant mes couilles devenir toutes petites en regardant, une main au dessus des yeux, la cabine jaune de la grue, deux étages plus hauts se démarquant du ciel bleu et l’échelle qui permettait d’y accéder a laquelle Guy grimpait déjà a toute vitesse.

J’entamai la monter prudemment, de plus en plus nerveux au fur et à mesure que je grimpais a l’échelle toute aussi dévorer par la rouille que la cabine là-haut dans laquelle Guy c’était déjà engouffrer par une trappe en dessous. Presque arriver, j’aperçus toute l’étendue du cimetière de voitures et même le toit métallique de notre maison qui luisait au soleil au loin par-dessus la cime des arbres. Fesses serrer et tremblant de peur, le corps couvert de sueur froide je fini par arriver sous la trappe. Guy apparut, souriant, me tendant la main en disant :

— Dépêche, j’ai un rendez-vous chez le dentiste tantôt. Après le souper je viendrai te chercher pour te montrer ma voiture.
— Ta voiture ? Fis-je étonner en prenant pied dans la cabine remplie de fiente et de nid d’oiseaux déserter.
— WAIS !
— T’as pas l’âge de conduire.

Il se contenta de sourire les yeux vicieux en s’installant sur le vieux siège en cuire tout déchirer du conducteur en attrapant des manettes et faisant semblait de manipuler la grue. Il n’y avait plus aucune vitre et la vue était à couper le souffle. Je m’appuyer sur le rebord d’une fenêtre pour me pencher prudemment et regarder les environs.

— T’as vraiment un beau cul, dit-il tout à coup en me pressant une fesse. Je faillis culbuter en avant pour m’écraser deux étages plus bas. Je me redresser le coeur dans la gorge tandis qu’il riait en reprenant les manettes. Je finis par rire aussi et il me céda la place.

Quand je rentrer a la maison pour dîner, ma mère me servit en disant :

— T’as un drôle de sourire toi.
— Je me suis fait un ami.
— WAIS ! Je l’ai vu, mange.

Étrangement, je ne voyais plus ma mère de la même façon après avoir vu toutes ses femmes nues dans le camion… ni ma soeur d’ailleurs quand elle arriva avec son air bête. Je ne voyais même plus ma soupe au légume, je voyais Guy et sa grosse bite…

— M’man, Luc rit de moi !
— Mais non, il rit tout seul. Répondit ma mère avant d’éclater de rire et ma soeur l’imita comme d’habitude. Je me renfrogner en avalant ma soupe trop chaude.

Je passer l’après-midi le plus long de ma vie a lire des bédés que j’avais lues 100 fois ou a végété devant la télé et après le souper, quand on frappa a la porte, mon coeur bondit.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire