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Le routier

Le routier



Mon mari se déplace pour plusieurs jours dans le département de la côte-d’or pour son travail.
N’ayant rien de mieux à faire je l’accompagne
Il a réservé une chambre dans une charmante petite ville traversée par la seine.

Dans la journée je suis seule pendant qu’il se rend à l’agence qui dépend de la société qui l’emploie et pendant qu’il visite des clients.
Je tourne en rond toute la matinée puis comme il fait beau je décide d’une occupation agréable pour l’après-midi: me promener en ville.
Je me maquille et enfile des vêtements sexy: pas de soutien-gorge, un corsage, une jupe légère d’été et des tennis.

Je traverse la ville attirant le regard des hommes qui se retournent pour regarder la salope passer puis marchant au hasard je me retrouve à l’embranchement de plusieurs routes.
Une idée me vient, pour rendre l’après-midi plus agréable je décide de changer mes plans.

Je choisis la direction qui indique une ville assez éloignée et je lève le pouce pour faire de l’auto-stop.
Rapidement une auto s’arrête et accepte de me véhiculer un bout de chemin, c’est un médecin et nous passons le temps du trajet à parler de choses et d’autres.
Une fois descendue du véhicule je décide de continuer dans la même direction en continuant l’auto-stop. C’est un couple qui s’arrête donc toujours pas de chance pour mes projets.
Arrivée dans une ville, une fois descendue de la voiture et pour le retour je ne lève le pouce que pour les poids lourds surtout les semi-remorques dont souvent les cabines sont plus confortables. je n’ai pas longtemps à attendre un camion joliment décoré stoppe.
Le conducteur de corpulence moyenne et au physique pas désagréable se déplace dans la cabine et ouvre la portière passager, il me demande ma destination.
Il accepte avec empressement de m’emmener. Il descend et m’aide à monter car la cabine est assez haute, il se rince l’oeil au passage en regardant mes cuisses ce qui ne me dérange pas au contraire.

Il démarre. Je m’installe sur la banquette en me tournant vers lui et en remontant au maximum ma jupe ce qui lui donne une superbe vue sur mes cuisses. Il ne se gêne pas pour regarder tout en conduisant.
Par moments je vois que ses regards se dirigent aussi vers ma poitrine et je me rends compte que le soleil donne de mon côté et rend mon corsage blanc plus ou moins transparent et comme je ne porte pas de soutien-gorge il se rince l’oeil.
Je constate à son comportement qu’il éprouve une certaine gêne. Je décide de le pousser à agir ma jupe remonte encore « par inadvertance » ainsi il a également une belle vue sur le haut de mes cuisses, ma culotte et mon entre-jambes car je les ai franchement écartées.

Jordan, c’est son prénom, vu mon comportement me demande si je n’ai pas peur des dangers en faisant du stop.
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Quelques kilomètres plus loin il trouve un endroit pour se garer.
Il quitte son siège puis tire les rideaux pour occulter partiellement le pare-brise et les vitres latérales avant de venir s’assoir à côté de moi.

Il passe son bras autour de mon cou, pose une main sur un de mes seins et approche sa bouche de la mienne.
Nos lèvres se joignent, nos langues se cherchent puis se mêlent.
Sa main caresse ma poitrine par dessus le corsage puis il s’attaque aux boutons et enlève le vêtement en me faisant lever les bras. Il s’en prend aux seins qu’il caresse frénétiquement et aux tétons qu’il pince et torture. Il prend son temps et des envies envahissent mon ventre. Je le caresse au niveau de son sexe.
Il dégrafe ma jupe, je me soulève pour qu’il puisse la retirer. Il en profite pour descendre ma culotte, je relève mes jambes pour qu’il puisse l’enlever.
Je m’allonge sur la banquette pendant qu’il retire son pantalon, son slip et son te-shirt.

Avec une main il caresse un sein et agace le téton pendant que sa langue lèche l’autre sein et que ses dents mordillent le téton.
La main quitte le sein, glisse sur mon ventre et après avoir caressé mes cuisses arrive sur mon sexe.
Il doigte ma chatte patiemment, je mouille de plus en plus. Maintenant il masturbe mon clitoris de plus en plus rapidement.
Je caresse ses testicules et son pénis de taille moyenne mais mignon.
Très excitée car il ne cesse pas de maltraiter mon clitoris le plaisir que je ressens augmente fortement, je ne peux pas me retenir et mon corps s’agite pendant que je jouis et que des jets de liquide sortent de mon sexe et arrosent sa main.
Il est content de ce qui m’arrive.
Pendant qu’il continue à caresser mes seins et à martyriser mon clitoris entretenant le plaisir dans mon ventre je me déplace et ma figure se retrouve au dessus de sa queue. je la lèche partout en partant du gland pour arriver sur les bourses, je l’enfonce complètement dans ma bouche puis je la suce avidement pour son plus grand plaisir.
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J’accélère les aller-retour de ma bouche sur sa verge. Son corps se raidit, son pénis s’agite et envoie des jets de sperme dans ma gorge, j’avale et continue la fellation.
Il veut passer à autre chose et je me mets à genoux sur la banquette. Il se positionne derrière moi et il introduit sa queue dans ma chatte puis la défonce à grands coups de reins avec les mains agrippées à mes hanches ou mes seins pendant que je caresse et triture ses testicules. Les aller-retour de son pénis dans mon intimité durent un moment avant qu’il ne déverse son sperme dans mon vagin.
Nous nous essuyons avec de l’essuie-tout.

Il est allongé sur la banquette, je reprends sa queue ramollie dans ma bouche après l’avoir masturbée et je lui fais une fellation énergique, quand elle gonfle et se redresse à nouveau je me positionne sur lui mes jambes de chaque côté de son corps, j’approche sa queue de ma chatte et m’empale dessus.
Je fais des mouvements de va-et-vient m’arrêtant de temps en temps pour l’embrasser pendant ce temps il caresse mes seins et torture les tétons. Je mouille beaucoup et la cyprine qui coule de mon vagin tombe sur son ventre. Je continue à remuer et avant que le plaisir que je ressens devienne insupportable il finit par éjaculer dans mon ventre.

En mettant ses bras autour de ma taille il me retourne et se retrouve sur moi sans que sa verge n’aie quitté ma grotte inondée de mouillure et de sperme.
Il remue, j’accompagne ses mouvements à grands coups de reins. Comme notre accouplement dure longtemps le plaisir augmente de nouveau dans mon ventre et m’amène à l’orgasme bien avant que son corps ne se tende et que sa queue ne s’agite dans ma chatte et y déverse sa semence.
Il se relève et s’essuie, fin de la récréation, il se rhabille pendant que j’en fais de même.
Il me dis que je suis une drôle de nana, une bonne salope, que je fais très bien l’amour et que je suis une super suceuse de bite.

Il se remet au volant, démarre son camion et reprend la route.
Arrivée à destination il stoppe sur le bas-côté de la route, il m’ouvre la portière et m’aide à descendre. Il m’embrasse, nos langues se mêlent dans un baiser d’adieu.

Moi qui pensait que j’allais lui faire une gentille pipe et qu’i allais simplement se vider les couilles dans ma bouche ou mon vagin il m’a surpris très agréablement en me faisant l’amour.

Je retourne à l’hôtel satisfaite par cet intermède, avec son sperme qui coule de mon vagin pendant qu’il reprend sa route.

De retour à l’hôtel mon mari est déjà revenu. Au vu de ma tenue et à l’état de mon visage il comprend comment j’ai occupée ma journée.
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J’obéis, j’enlève ma culotte et la lui tend.
Il l’inspecte et constate qu’elle est tachée de sperme frais.
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<<écarter les cuisses tu appelles ça te promener, mets toi à genoux sur le lit, près du bord>>.

Un doigt fouille ma chatte puis humidifié entre dans mon anus qu’il doigte un moment, un autre doigt rejoint le premier et mon orifice anal s’agrandit.
Débarrassé de son pantalon et de son slip il colle sa queue contre mon cul puis la fait coulisser à l’intérieur.
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Il me défonce à grands coups de reins pendant qu’une main s’attaque alternativement à mes seins et martyrise les tétons à les arracher. L’autre main masturbe violemment mon clitoris.
Le plaisir monte rapidement, il insiste avec ses caresses. Prise de spasmes j’atteins l’orgasme et des jets de cyprine sortent de mon sexe. Pierre continue à défoncer mon anus, à me caresser et masturber, puis sa verge est agitée de soubresauts et il éjacule dans mon corps.
Il bande toujours et n’arrête pas de me torturer le clitoris avec sa main et à faire des aller-retour dans mon cul avec son pénis, il me connait bien et il ne lui est pas difficile de m’amener au plaisir.
Le plaisir que je ressens remonte rapidement à son maximum et la jouissance arrive de nouveau, j’atteins encore l’orgasme. Il arrive au bord de l’explosion, il se retire et vient mettre sa queue dans ma bouche. Je commence une fellation mais après quelques va-et-vient il arrose ma gorge, j’avale le sperme et lèche sa verge pour la nettoyer.
Je vais me laver, il en fait autant pendant que je m’habille puis direction le restaurant.
Après avoir dîné nous nous promenons bras dessus bras dessous dans la ville.
Rentrés dans notre chambre il me sodomise encore éjaculant deux fois dans mon cul et comme il n’arrête pas de maltraiter mon clitoris en le masturbant énergiquement et en doigtant ma chatte j’ai plusieurs orgasmes qui me laissent sans forces après la journée que j’ai passée et mes multiples jouissances.

Une journée ordinaire pour la salope que je suis.

Au bord d’une nationale j’ai recommencé une fois à faire de l’auto-stop ne levant le doigt que pour les poids lourds et je suis montée dans un superbe semi-remorque qui comportait une couchette.
Le routier a rapidement réagi à mes attitudes provocantes.
Je lui ai fais une fellation puis il s’est allongé sur moi et m’a pénétrée, j’ai remué avec lui pendant qu’il me défonçait à grands coups de reins.
Après avoir joui et mis son sperme dans mon vagin il s’est essuyé puis a remis de l’ordre dans ses vêtements.
Satisfait de sa performance (lui, pas moi) il a repris la route et m’a déposée au passage près d’un arrêt de bus.

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