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prof d’equitation – fin

prof d’equitation – fin



Ce soir là, Sylvie avait préparé la table et le repas. Lorsque Jean est arrivé, il s’est jeté sur elle,
l’embrassant fougueusement.

– Oh, Sylvie, je n’ai fait que penser à toi toute la journée.
– Moi aussi. Les cours ont été difficiles.
– Ouais, pour moi aussi. Dis, j’ai beaucoup transpiré. Je peux aller prendre une douche ?
– Bonne idée. Je t’accompagne.
– Ah ?
– Oui, j’ai besoin de me laver moi aussi. Et on pourrait se laver mutuellement non ?
– Ah ouais, je n’y avais pas pensé. Bonne idée. On y va ? Tu m’indiques où c’est ?
– Suis moi.

Elle a prit le couloir en riant, et arrivé au fond, elle a ouvert une porte. La salle de bain était grande,
avec une large baignoire. Jean s’est déshabillé pendant qu’elle réglait la température de l’eau, avant de se dévêtir.
Ils se sont glissés ensemble sous l’eau tiède. Tout de suite, Sylvie a saisit le pommeau de la douche et a arrosé Jean.
Puis elle a prit le savon dans la main pour le passer sur le corps de son amant. Elle a particulièrement insisté sur sa
verge, la faisant rapidement grossir entre ses doigts.

– Dis donc, tu es encore en forme rapidement à ce que je vois.
– C’est toi qui me mets dans cet état. J’ai envie de te faire l’amour.
– Ne t’inquiètes pas. Allez, à ton tour de me savonner.

Jean l’a arrosée puis l’a savonnée. Il s’est attardé sur ses seins, ses fesses et sa chatte, allant jusqu’à
glisser ses doigts entre les lèvres. Ils n’ont pas tardé pas à se retrouver dans un état d’excitation où seul la
satisfaction de leurs désirs pourrait apaiser leur sens.
Jean a commencé à rincer Sylvie et s’est ensuite lentement laissé glisser vers le bas. Sa bouche s’est
attardée sur ses seins, sa langue tentant de s’enrouler autour de ses tétons. Ouis il est descendu encore, traçant
avec sa langue un sillon partant du sein gauche en direction de son nombril. Arrivé là, il a fait une pause, se
mettant à genoux pour refermer l’arrivée d’eau et poser le pommeau de douche sur le fond de la baignoire. Le pubis
de Sylvie lui faisait face. Il a posé ses mains dans son dos, sur ses fesses et s’est approchée de sa chatte. Elle
a écartée les jambes, lui livrant un étroit passage jusqu’à son trésor caché. Il a essayé de s’y glisser, sans succès.

– Pose la jambe sur le rebord, s’il te plait. lui a-t-il demandé

Une fois qu’elle a eut pris la position demandée, une jambe droite et l’autre sur le rebord, l’accès à sa chatte
s’en est trouvé grandement facilité. Jean a posé une main sur son bas-ventre pendant qu’il approchait sa bouche de sa
vulve. Sortant la langue, il a goûté à ce sexe pour la première fois. Il trouva que cette chatte avait un bon goût,
douce et propre, sans aucun poil autour. Sylvie la gardait en effet bien rasé, le sexe dégagé et ne laissant qu’une
petite touffe de poils sur le dessus. S’aidant de ses doigts, il a écarté les lèvres pour accéder au clitoris. Il l’a
aspiré tout en le titillant du bout de la langue. La main qu’il avait laissée dans le dos s’est glissée elle aussi
entre les cuisses pour venir caresser la chatte offerte. Il a glissé un doigt dans cette fente humide et douce,
arrachant un soupir à Sylvie.

– Sortons de là, ce n’est pas très confortable, lui a-t-elle dit

Une fois hors de la baignoire, sans se sécher, ils se sont allongés à même le sol, tête bêche. Jean s’est
couché sur le coté pendant que Sylvie s’installait sur le dos. Chacun avait le visage à la hauteur du sexe de son
partenaire. Jean, en s’appuyant sur son coude, a approché à nouveau son visage du bassin de Sylvie. Elle, sans
hésitation, a avalé sa verge alors qu’il posait tout juste ses lèvres sur sa vulve. Il a insinué une langue au travers
de ses lèvres, à la recherche de son petit bouton. Une fois trouvé, il s’est activé doucement dessus tout en lui
caressant les lèvres avec ses doigts. Dans le même temps, Sylvie lui tétait le gland découvert et gonflé. Sa langue
s’enroulait autour, décrivant des cercles de plaisir. Elle avalait cette tige de chair jusqu’à la base, l’aspirant
comme pouvait en témoigner ses joues creusées, l’enfonçant profondément dans sa gorge. Parfois, elle s’attardait sur
ses bourses. Jean, de ses doigts pleins de son jus, s’est mit à lui gratter légèrement le pourtour de l’anus. Elle
s’est raidit légèrement au début, sans toutefois cesser de le sucer. Prenant cela comme une autorisation de continuer,
Jean lui a pénétré doucement l’anus d’abord avec une phalange, puis deux, et enfin de tout son doigt. Il la
sodomisait ainsi tandis que de sa langue il lui caressait le sexe. A chaque fois qu’elle engloutissait sa queue,
Jean sentait la chaleur de sa bouche l’envahir. Il désirait maintenir sentir une chaleur encore plus intime autour
de sa verge.

– J’ai envie de te prendre maintenant.
– Hum, d’accord, moi aussi j’en ai envie. Viens en moi maintenant. Je veux te sentir, au fond de moi, dur.

Elle s’est allongée sur le dos, les jambes écartées, offerte. Jean s’est relevé, est allé chercher deux
oreillers et les a glissés sous ses reins, lui relevant la taille d’une quinzaine de centimètres. Elle se laissait
faire, souriante. Il s’est penché sur elle pour se glisser entre ses jambes. Dés que leurs bassins ont été assez
proches, il a sentit une main lui saisir la verge. Elle le dirigeait vers elle, appliquant son gland à l’entrée de
sa fente. Arc-bouté, il a regardé sa bite écarter les lèvres de cette chatte, disparaissant dans les plis de ce
sexe féminin. Sa queue ne rencontra aucune difficulté et rapidement il la pénétré complètement. Il n’avait jamais
connu une fille aussi chaude et cette sensation lui irradiait la verge. Il a commencé à s’activer en elle, entrant
et sortant sa tige de chair. Il donnait des coups de reins de plus en plus profonds, faisant tressauter la poitrine
de sa partenaire à chaque pénétration. Sylvie criait dés qu’il la pénétrait totalement, ressentant les décharges
qui montaient de son ventre. Il ralentissait parfois le rythme, la bourrant de quelques coups plus tendres, puis
il s’activait de nouveau. Elle hoquetait sous le plaisir qui ne tarderait pas à la submerger, secouant la tête de
droite et de gauche. Il lui caressait les seins, déposait d’ardents baisers dans son cou. Sa bite n’arrêtait pas
d’entrer et sortir, les amenant tous deux vers l’orgasme.

Lorsqu’il a senti monter en lui ce quelque chose d’électrique annonciateur du plaisir suprême, il s’est raidit et,
dans un grognement il a déchargé. Elle s’est laissé aller, ayant réussi à se contenir jusque là, et elle jouit avec
lui. Il a craché son foutre en elle, sans retenue et sans se poser de questions. Sylvie avait les yeux fermés et
encore une fois, jouissait en tremblant, submergée par les vagues qui lui parcourait le corps. Elle lui retenait
le bassin avec ses deux jambes croisées, les mains posées sur ses fesses comme pour l’enfoncer plus profondément
en elle,, mais surtout pour lui faire cesser ses pénétrations, le plaisir étant trop fort. Ils restèrent ainsi
de longues minutes, sans rien dire, lui en elle, lové dans ses bras.

– Euh, tu prends la pilule ? lui demanda t’il au bout de quelques minutes.
– Oui, ne t’en fais pas, répondit t’elle en souriant. Et toi, j’espère que tu n’es pas un coureur invétéré.
– Non, ne t’inquiètes pas. Je n’ai eu qu’une copine avant toi et elle exigeait que je mette des capotes. Et toi ?
– Il m’est arrivé des aventures, mais pas depuis un an. Et tous mes tests sont négatifs.
– Alors on pourra continuer comme cela ?
– Oui, c’est quand même plus agréable. Dis, tu n’aurais pas faim maintenant ?
– Si, dit il en riant. Mais il faudrait peut être reprendre une douche avant non ?
– Rapide alors.

Ils se sont de nouveau douchés ensemble, en riant et en s’amusant, heureux de leur bonheur si simple. Leurs
attouchements n’étaient plus aussi érotiques et se rapprochaient beaucoup plus du jeu. Le repas aussi fut simple
mais consistant. Sylvie avait préparé une salade multiple. Ils ont mangés nus, avant de continuer leurs jeux
érotiques toute la soirée. Ils firent l’amour sur la table, où Jean la prit en levrette. Epuisée, Sylvie a finit
par lui demander d’arrêter car elle devait travailler tôt le lendemain. Tendrement, ils sont allés se coucher, et
n’ont pas tardé à trouver le sommeil.

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