A 18 ans il y a bien longtemps que j’aimais me travestir en cachette. Cependant, à cet âge, les revenus ne suivent pas les envies et je me contentais de l’achat de collants ou bas et l’emprunt dans l’armoire de ma sœur de ses soutifs et culottes.
Parfois j’ouvrais le coffre à linge sale et je cherchais un soutien gorge d’elle que j’humais avec délectation pour sentir ses effluves de filles.
Dans ma chambre j’imaginais des scénarios improbables qui m’excitaient au plus haut point. J’assouvissais mes nombreux fantasmes en me branlant régulièrement. Je me croyais « folle » de vouloir jouer la femme et à l’époque la communication telle qu’elle fonctionne aujourd’hui n’existait pas.
Quelques années plus tard j’avais pu acheter ma première guêpière sur la redoute. J’ai bandé plus d’une fois en admirant dans la glace mes longues jambes gainées de noir assorties à la guêpière de même couleur magnifique de dentelles.
Je focalisais de plus en plus à cette époque sur une rencontre avec un homme d’âge mûr qui m’imposerait la féminisation à son goût, sans v******e, sans contrainte, un homme un brin dirigiste mais pas dominateur.
Après maintes réflexions et calcul de faisabilité je me décidais à passer une annonce sur VIVASEXE pour tenter de trouver le coquin idéal. J’avoue que je n’en menais pas large d’affronter en réel, face à un inconnu, mes pulsions. Néanmoins j’étais excitée en diable à l’idée que ça se réalise.
Je précisais mes mensurations, mes goûts vestimentaires. J’ajoutais que je préférais un homme d’âge mur, un brin dirigiste qui pourrait me recevoir, me fournir des fringues et des accessoires en contrepartie de quoi je consentais à être sa « femme » d’un après midi ou d’un soir. Je m’engageais même à être sa régulière s’il le souhaitait du moment que le feeling passait, de prévenir tous ses désirs dès lors qu’il resterait soft et sans v******e physique.
Quelques temps plus tard, un homme de 55 ans qui semblait correspondre à mes attentes me répondit. Il exposa ses envies de féminiser un jeune homme, d’en faire une petite sissy docile, attentive à ses désirs sexuels. Il aimait les beaux dessous portés sur une femme mais aimait tout autant le côté androgyne des jolies travesties. Ne trouvant rien à son goût dans les « filles » qu’Il voyait sur internet il souhaitait initier, féminiser à son goût, éduquer un novice à la sexualité orale et anale que sa femme lui refusait. Il ajouta que son épouse connaissait ses fantasmes sexuels et qu’elle tolérait qu’il le fasse lorsqu’elle était loin du domicile. Elle ne souhaitait ni participer ni croiser une créature de ses délires. Avec son accord il mettrait à ma disposition tout le nécessaire pour devenir femme le temps d’un après-midi en contrepartie de quoi je devais assouvir ses envies et rester discrète.
Il suggéra un rendez -vous chez lui lorsque sa femme s’absenterait pour une courte période. Pour une première chez lui je devrais mettre les vêtements de son épouse qui semblaient correspondre à ma morphologie et qu’elle même avait décidé de prêter avant de partir.
Je n’avais jamais franchi le cap et l’idée d’aller chez un mec le soulager lorsque sa femme s’absenterait quelques jours m’excitait sérieusement. Les jours précédents la rencontre je me surprenais à avoir des érections endiablées que je calmais avec mes 5 doigts.
On s’entendit sur une date et monsieur me proposa d’aller chez lui totalement prête physiquement (douche, épilation, lavement). Je devais me maquiller chez lui et revêtir les habits de sa femme qu’il laisserait bien en évidence sur le lit conjugal.
Il ne souhaitait pas me voir en garçon. Dans mon esprit cette précision n’était pas nécessaire, je ne souhaitais pas gâcher le charme. Même si je n’étais pas experte en transformation à cette époque, je pensais le troubler et bénéficier de ses conseils pour m’améliorer.
Je devais sonner à la porte de son appartement qu’Il laisserait entrebâillée et me rendre dans la chambre à droite au fond du couloir. Dans la chambre récupérer les fringues posées en évidence sur le lit puis dans la salle de bains finir de m’y préparer. J’acceptais la proposition sans réserve, le deal semblait bien élaboré et un feu intérieur me dévorait les entrailles.
Le jour J, je sonnais pour annoncer mon arrivée avant de franchir la porte entrouverte, de filer au fond du couloir rejoindre la chambre nuptiale pour y découvrir les habits qui m’étaient destinés.
Sur le lit, disposés en éventail, une guêpière blanche avec son string assorti, des bas aux larges jarretelles de la même couleur, une ensemble jupe tailleur noir, des escarpins noirs également aux bouts ouverts et une perruque blonde platine aux cheveux longs. Une odeur parfumée mélangée à des effluves intimes inondait la chambre conjugale. Je me déshabillais rapidement pour profiter rapidement de cette magnifique lingerie propriété d’une autre que j’étais censée remplacer. Mon sexe de gamine pointait haut les couleurs et mon gland libéré suintait presque de liquide séminal.
Dans le string de dentelles que je venais d’enfiler mes testicules gonflées à bloc se frayaient un espace tant bien que mal. Elles tiraient sur l’élastique et le tissu semblait bien minuscule . Mon bas ventre était douloureux et mon clito gorgé de sang refusait de rester dans sa prison de nylon.
Je perdais du temps à m’enivrer de féminité et filais avec les fringues dans la salle d’eau où madame laissait en évidence tous ses accessoires de beauté. Je m’empressais de maquiller mes yeux pour les rendre révolver. J’étalais un discret fond de teint de façon à masquer définitivement les imperfections masculines avant de finir par un rouge à lèvres écarlate qui trancherait parfaitement avec l’ensemble que je devais porter.
Assis sur le rebord de la baignoire, j’enfilais un à un les bas que je prenais soin de ne pas filer. Je remontais la jarretière au plus haut de mes cuisses, à la commissure de mon pubis. Je cerclais une parure de perles à ma cheville droite pour accentuer le côté féminin.
J’enfilais la guêpière et m’assurais que les jarretières soient bien passées en dessous du string. Je fixais ces dernières sur les bas déjà tendus . Je cambrais les fesses et j’observais mon allure dans la grande glace. Je me trouvais pas mal mais il restait la jupe et la perruque à passer. Je me parais de superbes bijoux. Mes oreilles percées accueillirent de belles boucles créoles dorées tandis que mes doigts s’habillèrent de pierres scintillantes.
Je remontais la jupe afin que n’apparaissent pas les jarretières et plaçait la perruque sur mon crâne. Je positionnais celle-ci convenablement pour ne pas avoir à me battre avec des cheveux tombant dans les yeux.
Je lançais un dernier coup d’œil dans la glace et fus surprise du résultat que je n’espérais pas. J’étais une vraie sissy prête à toutes les concessions pour vivre à fond ce moment inédit.
Dans son salon mon hôte s’impatientait et m’invita à me dépêcher.
Intimidée, inquiète de son jugement, je longeais le mûr du couloir pour aller rejoindre dans le salon un homme d’âge mûr, entretenu, vêtu d’un costume gris bien mis qui m’attendait. Il ressemblait à un directeur de société ayant eu souvent des employé(e)s à ses ordres. Il avait l’air décontracté mais son attitude dégageait une autorité naturelle.
J’entrais dans la pièce tandis qu’il s’entretenait au téléphone.
Assis dans un grand fauteuil en cuir, il m’invita à m’approcher et d’un geste de la main m’encouragea à m’agenouiller à ses côtés. J’obtempérais à sa demande, maintenant mon buste droit et fier, mes jambes flageolantes se calmant doucement. Une main caressa ma tête avant de saisir ma nuque et plaquer mon visage sur son entrecuisses. Il maintint quelques minutes ses caresses tout en poursuivant son dialogue avec son interlocuteur. Je bandais comme un fou sous la jupe. Putain que c’était bon d’être guidée.
J’humais son entrecuisse à travers le tissu de son pantalon. Une odeur de sexe en ébullition montait dans mes narines comme une vague se fracassant sur les rochers pour s’éclater en mille embruns.
Le téléphone maintenu dans le creux de son épaule il frottait de la main libre sa braguette où une bosse sympathique se dessinait à travers le tergal. Il saisit une de mes mains et la guida jusqu’à la protubérance. Je palpais délicatement l’objet qu’il me suggérait ignorant de quoi il s’agissait (disait l’ingénu) pendant que d’une poigne ferme il poussait mon visage dessus. J’avais à nouveau le nez sur sa queue et je sentais les tambours du Bronx battre en rythmes endiablés. Mes doigts s’amusèrent à faire sauter un à un les boutons de la braguette qui s’ouvrit comme une pastèque bien mûre libérant aussitôt un intrus de belle consistance.
Monsieur ne portait ni slip ni caleçon et sa bite se dressa devant mes yeux comme un oasis qu’on découvre au détour d’une dune. Avais je le droit de reculer ? J’étais devant une bête pour laquelle j’avais si souvent jouit en rêvant de l’approcher. Mes lèvres se posèrent sur le gland et y déposèrent un baiser amoureux. Je découvrais ma première bite et elle sentait déjà le goût du reviens y. Je l’embrassais plusieurs fois comme on embrasse un proche. Je tournais autour du gland pour l’admirer sous toutes ses coutures. Que c’est beau une verge ferme surmontée d’un gland bien tendu me dis je.
Je m’aventurais à suçoter un gland cramoisie d’envie. Je découvrais la réalité. Un membre à la consistance onctueuse, doux et ferme à la fois. Une peau de pêche avec un noyau dur. J’explorais le gland avec un féroce appétit maintenant que les présentations étaient faites confondant grignotage gueuleton lorsqu’une poigne ferme et décidée appuya sur ma nuque pour me faire avaler la totalité du hot dog proposé. J’étouffais, je suffoquais mais ne refusais pas. J’avais accepté tout, j’étais décidée à tout accepter.
La pression s’interrompit et je remontais le long de la hampe avec ma langue pour lécher cette colonne de chair et emmener avec mes lèvres la peau qui n’était pas assez tendue. Elle vint recouvrir le gland comme une couverture de survie. Elle garderait son sexe en température.
Mes lèvres s’enroulèrent autour de cette texture souple pour remonter la couverture sur la colonne qui confortait sa rigidité au fur et à mesure que je la suçais. Des gémissements quasi inaudibles suintaient des lèvres de mon hôte dont les yeux révulsés ne pouvaient croiser les miens. Je continuais comme une chienne ivre à sucer ce membre avec beaucoup de plaisir. Je découvris des contrées inédites, un paysages insoupçonné à l’approche de ses couilles chaudes et lisses. Je trouvais ça bon. Je gobais une boule comme je l’avais souvent rêvé et la faisais tourner dans ma bouche à l’instar d’un bonbon acidulé qui picote sur la langue. Je modelais les boules à mon rythme, d’abord ovales puis rondes et pleines. J’avais même réuni les deux côte à côte dans une ultime tentative de réconciliation. Rien n’y faisait, elles voulaient vivre libres tout en restant siamoises.Je dégustais cette entrée en me branlant fermement.
A plusieurs reprises je fus interrompue par « monsieur » qui souhaitait contenir sa montée de sève. Il modérait ma fellation, mes caresses trop puissantes allaient déclencher une éjaculation prématurée.
Je ralenti mes mouvements pour obtempérer et ne pas gâcher ma fête. Ma langue descendit le long de la hampe l’étudiant avec minutie. Elle suspecta des canalisations gorgées de sang constituant l’ossature du membre. Arrivée sur les couilles elle s’attarda à nouveau avec gourmandise sur deux balles gonflées à bloc. je pratiquais un léchage abondant en guise de toilette intime même si mon amant du jour sentait bon le savon parfumé. Son assurance ébranlée il s’abandonnait doucement aux caresses d’une experte en herbes.
Je plongeais les narines dans ses odeurs de mâle, frottais mes joues sur le sexe dur, caressais mon cou avec son verge magique qui faisait de moi une petite pute soumise à ses envies.
Mon bassin ondulait maintenant de désir pendant que je m’amusais à jouer la chienne devant la grande baie vitrée dont le reflet m’encourageait à poursuivre mon apprentissage.
Soudainement, il m’invita à cambrer d’avantage mes reins et à me placer au pied du canapé. Je devais étendre les bras et coller ma poitrine sur le siège le cul bien offert. J’obtempérais. J’allais dépuceler mon cul par un homme plus âgé de moi de 30 ans.
Il tira sur la ficelle du string de façon à l’écarter de mon anus et vint poser sa langue sur ma rosette. Il imprima une légère pression sur mon anus serré qui se détendit au fur et à mesure qu’il se faisait manger. Des deux mains plongées sur ma croute j’écartais mes fesses pour élargir le champ d’accès tout en gémissant de plaisir. Dans le reflet de la baie vitrée son visage disparaissait et réapparaissait d’entre mes fesses. J’ondulais plus encore pour marquer mon approbation.
Après une longue préparation il se releva pour venir déposer sa queue en feu sur mes fesses. Son gland frotta à plusieurs reprises ma rosette avant d’imprimer une légère poussée puis de se retirer. Il réitéra l’opération à 4 ou 5 reprises avant de glisser son sexe sur mes fesses. Cette queue ferme se frottait dans mon dos et je saisis fermement à pleine main le membre qui allait sous peu me posséder. Son gland s’aventura quelques millimètres à nouveau avant de rebrousser chemin pour entamer un nouveau frottement. Il jouait avec mes nerfs.
Soudain il poussa plus fermement contre l’œillet qui accueilli sans retenue une bite de belle consistance. Elle épousait mon cul comme un bouchon étanche et ses va et vient langoureux mirent à mal ma dernière virginité, mon envie de baise élargissait le champ des investigations de monsieur. J’ondulais du bassin comme une chienne en chaleur et mon partenaire redoublait ses assauts.
Son gland tapa à plusieurs reprise ma prostate et je gémis comme une pucelle découvrant les plaisirs de la chair. Je cambrais désespérément comme une invitation à me posséder totalement.
Après de longues minutes qui rodèrent mon cul à de futures saillies, mon amant se retira de mon orifice pour taper son gland sur mes fesses avant de venir me le fourrer dans la bouche sans même m’en demander l autorisation. Mon anus divulguait encore des soubresauts de plaisir, se remettant lentement de son dépucelage définitif tandis que je suçais cette queue chaude et odorante imprégnée de mes effluves annales. J’enlevais la capote et je dégustais ce sexe qui ne faiblissait pas. Mes lèvres agissaient comme des ventouses sur la colonne de chair. Sa veine jugulaire avait migré au niveau de sa bite et son rythme cardiaque était facilement perceptible en bouche.
Je palpais ses couilles longuement apprivoisées et les mouvements réguliers que j’imprimais me firent réaliser que l’explosion n’allait pas tarder. Je suçotais le gland tout en branlant d’une main ferme cette première verge qui s’offrait à moi et dont j’avais tant rêvé. Elle était plus belle et surtout meilleure que je ne l’avais imaginé. Elle me transportait et faisait de moi une « fille » dévouée. J’étais totalement sous le charme de cette tiède sucrerie et je savais déjà qu’elle ne serait pas la dernière. Je la suçotais donc tout en masturbant mon initiateur à une cadence respectable. Son bassin se raidissait au fur et à mesure que mes lèvres aspirait sa bite pour aider la sève à monter. Soudain un râle venu du fin fond de ses chairs l’emporta, il cria son plaisir tellement fort qu’il était impossible aux voisins de ne pas entendre. Son sperme jaillit en plusieurs jets puissants et abondants dans ma bouche avant que l’un d’eux ne s’écrase sur mon front et mes joues rougies de honte. Je gardais quelques secondes sous le palais ce jus onctueux avant de l’avaler comme un sirop pour « l’atout »…mon atout reviens y ! Je léchais les dernières gouttes pour n’en perdre aucune, certaine que cette semence était nourrissante.
J’avais pris un énorme plaisir à sucer cette première bite et mon partenaire me remercia pour ma facilité d adaptation et la classe avec laquelle j’avais porté les affaires de sa femme. IL m’invita à venir me blottir quelques minutes contre son épaule et me couvrit de baisers dans le cou. Il s’aventura à taquiner mes têtons ce qui me fit cambrer le bassin et durcir mon clito.
Il entreprit un long va et vient tout en maintenant sa bouche sur mes seins et un orgasme d’une rare intensité vint me faucher dans ses bras, mon sperme s’étala dans sa douce main avant que nous échangeâmes un baiser langoureux…le premier de notre rencontre.
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