J’avais été obligé de partir en province pour mon boulot mais ça s’était passé bien mieux que mon patron ne l’avait cru et je pouvais revenir un jour plus tôt. De retour à l’hôtel, j’ai téléphoné à Christine. Elle avait été une de mes premières copines et j’ai mais bien baiser avec elle parce qu’elle n’avait aucune pudeur et elle était ouverte à toutes les nouveautés.
Elle avait été la première que j’avais enculée et ça la faisait marrer et pour elle, un trou en valait un autre, que ce soit sa bouche, sa chatte ou son anus. En plus de ça, elle ne s’occupait pas de mon avis pour se masturber et elle le faisait quand on faisait l’amour pour se donner un orgasme à coup sûr.
Un jour, j’étais venu avec un gode et elle se l’était enfoncé dans l’anus. Pendant que je la baisais par devant. On avait fait beaucoup d’autres expériences mais le jour où je lui avais proposé d’amener une de ses copines, elle s’était vexée. Elle ne voulait plus me voir et c’est comme ça qu’elle m’avait largué et je l’avais vue avec un autre.
J’en avais fait mon deuil. Après plusieurs autres essais, j’avais flashé sur la fille d’un toubib. Elle était bien plus jolie que Christine. Je lui parlais de sexe et elle me racontait tout ce qu’elle voudrait faire quand on sera mariés, si bien que j’ai fini par céder. Je commençais à travailler. Son père avait un appartement pour sa fille et nous y avons aménagé. C’est avec la nuit de noce que ça a commencé à s’aggraver. Je voulais faire avec ma femme tout ce que j’avais fait avec Christine mais elle ne voulait pas. Elle me faisait la morale et elle me disait que je devrais avoir honte de penser à faire ça. Moi, je lui expliquais qu’un trou c’est un trou et que de la prendre dans l’anus ne l’obligerait pas à prendre la pilule et moi à mettre une capote.
Au bout d’un mois de ce régime, j’ai commencé à en avoir marre et j’ai recommencé à me branler dans des revues de cul, sur des filles à poil avec ses seins énormes et, forcément, mon épouse les a trouvées et ce qui a aggravé mon cas, c’était que les pages étaient collées par mon sperme.
Je me suis dit qu’elle va vouloir divorcer mais c’était contre sa conception du mariage. Comment peut-on accepter ça, ai-je pensé ? Puisque je ne pouvais plus me branler dans la chambre en l’absence de mon épouse, j’ai commencé à penser la tromper.
C’est peut-être le hasard si j’ai croisé Christine. Elle passait dans l’allée principale de la galerie commerciale. Je me suis mis à la suivre et quand je l’ai rattrapée, j’ai vu qu’elle était enceinte. Oh, pas de beaucoup. Six mois et ça se voyait à peine. En plus elle n’avait pas d’alliance. Je lui ai demandé qui l’avait mise dans cet état-là. Elle m’a répondu qu’elle n’en savait rien, parce qu’ils avaient été plusieurs à la baiser.
Ma réaction avait été de lui dire que je ne mange pas de ce pain-là mais elle m’a dit qu’elle a besoin d’argent. Cent euros pour une passe, avait-elle ajouté ! J’étais déjà allé avec des putes mais j’avais toujours eu honte. J’étais monté chez mon amie Christine et nous avions baisé et j’en suis sorti délesté d’un beau billet. Elle m’a téléphoné un peu plus tard pour me dire qu’elle m’avait bien eu pour le billet puis elle m’a expliqué qu’elle gagne très bien sa vie. J’étais éberlué.
Nous avons continué à nous revoir pour une passe rapide chez elle ou dans un petit hôtel. Ça me changeait de mon épouse parce que là, je pouvais Faire tout ce que je voulais. Je pouvais prendre mon ex amie dans tous ses trous. Ce qui me fascinait surtout, est que si elle avait fait du bonnet B, elle faisait maintenant du bonnet G. Elle avait un gros ventre mais ce n’était pas vraiment ça. A sept mois, c’était mieux. A huit, ça valait vraiment le coup. Elle aimait que je jute dessus et j’y frottais aussi ma bite.
J’ai appelé Christine et je lui ai expliqué mon plan. Passer la nuit avec elle, ce qui n’aurait jamais été possible autrement. Elle avait une voix bizarre et je lui ai demandé pourquoi et elle m’a répondu que c’est parce qu’elle s’empale sur un gode.
Ah ! Ça aurait pu me couper la chique. Elle a ajouté qu’elle a vu ça dans une vidéo de gouines. Ah ! Elle a ajouté qu’elle croyait que j’aimais les gouines. Ah ! Tu veux que je le fasse ? Je n’en revenais pas que Christine me propose ça. Elle a ajouté que je pourrais les prendre pendant qu’elles feront un soixante-neuf. Je n’avais pas le temps de parler de ça. J’avais un dernier train à prendre si je voulais passer la nuit avec elle. Elle a fini par accepter.
A huit heures du soir, je sonnais à sa porte. Cela faisait huit jours que je ne l’avais pas vue. Ma copine resplendissait et je lui ai dit que c’est dommage qu’on ne soit pas marié ensemble. Elle m’a répondu que je n’aurais pas aimé puis elle a proposé qu’on baise d’abord avant de dîner et c’est ce qu’on a fait. Elle s’était acheté un plug anal énorme et elle m’a demandé de lui mettre parce qu’elle n’y arrive pas. Le plug était aussi gros que le cul d’une bouteille de champagne et elle m’a dit qu’à côté de lui ma bite est plutôt ridicule mais j’ai forcé et je suis arrivé à enfoncer le plug dans son anus et après nous avons pu baiser. Christine était à quatre pattes et ses gros seins et son gros ventre pendaient. Je me demandais comment je n’avais pas pu voir que son ventre était aussi gros. Elle n’arrêtait pas de me répéter de la baiser. Elle essayait aussi se se toucher et elle se caressait le ventre et les seins.
Après une heure de ce traitement, j’ai lâché ma purée sur ses fesses puis nous avons soupé. Nous n’avions même pris la peine de nous rhabiller et je lui disais et répétais qu’elle était vraiment belle et elle de me répondre que le plus important est que je prenne mon pied. Je l’ai aidée à faire la vaisselle mais j’en profitais surtout pour frotter ma bite sur ses fesses. Je lui ai aussi demandé si ce n’est pas trop pénible avec le plug et elle m’a répondu qu’il faut bien qu’elle s’y fasse.
J’étais condamné à sa bouche et à sa chatte et je n’ai pas pu faire autrement. Je l’ai aussi baisée entre les seins mais ça faisait d’elle une grosse pute et je n’aimais pas mais je n’ai pas pu me contenir et j’ai commencé à jouir entre eux et j’ai fourré ma bite au fond de sa bouche pour tout lacher et je l’ai forcée à avaler ce qui l’a contrariée. Après, nous avons fait une pause, allongés tous les deux côte-à-côte sur le lit. Je lui ai dit que ça serait bien si elle pouvait rester enceinte tout le temps et ça l’a fait rire. Je caressais ses seins et je tétais même ses mamelons. Elle s’est tournée vers moi et elle m’en a mis un dans la bouche en me disant qu’il faut bien qu’elle s’habitue. Il y avait un curieux liquide qui s’écoulait de son mamelons et ce n’était pas vraiment agréable.
Après je me suis endormi. Quand je me suis réveillé, il était six heures du matin. Il y avait un mot sur la table de la cuisine. Christine m’avait écrit qu’elle a dû partir travailler. Je me suis douché puis j’ai attendu en regardant la télé. A cinq heures du soir, elle est revenue. J’aurais bien voulu baiser encore mais je devais partir et rentrer chez moi.
Ma femme m’a reproché de ne pas l’avoir prévenue de mon arrivée. Je ne sais pas pourquoi mais j’avais la trique. Je l’ai retournée sur la table de la cuisine et je l’ai forcée à s’accoupler et au bout d’un moment elle s’est mise à gémir qu’elle y prend du plaisir. Je n’en croyais pas mes oreilles. Prends-moi et donne-moi un orgasme, gémissait mon épouse. J’ai continué à la prendre dans la chatte. Tout d’un coup, mon épouse s’est raidie et elle m’a crié qu’elle va jouir puis elle a ajouté que si je veux, elle sera ma pute. J’ai eu du mal à jouir parce que je pataugeais dans le potage de son vagin mais j’ai fini par y arriver.
Je lui ai demandé ce qui lui arrive et ma femme m’a répondu qu’elle a pris des cours chez un sexologue. Ah ? C’est une femme, m’a précisé mon épouse ! Elle s’appelle Christine et elle m’a appris à faire l’amour ! Christine comment, lui ai-je demandé ? Elle me l’a dit et j’ai compris que c’était ma Christine à moi. J’ai demandé qu’elle m’explique. Elle a commencé à me parler de ses cours puis elle m’a demandé si je veux qu’elle me montre comment elle se masturbe. Je l’ai laissée faire. Après un court moment, elle m’a prévenu que ça vient. Je regardais le travail de ses doigts. Jamais aucune de mes conquêtes ne s’était masturbée aussi bien que ça.
Après qu’elle a joui, je lui ai demandé si elles avaient parlé de sodomie. Ma femme m’a répondu que si je veux, elle est prête. J’ai eu du mal à bander et mon épouse m’a aidé à y arriver puis je l’ai enculée de face. Elle s’était mise sur le dos et je lui ai relevé les jambes avant de m’enfoncer dans son vagin mais j’ai tout de suite opté pour son anus. Mon épouse m’a dit qu’elle n’imaginait pas que ça pouvait être aussi bon. Tu en avais envie, mon chéri, a ajouté mon épouse ! J’ai eu tort de te le refuser ! Je l’enculais et elle se masturbait en se branlant le clitoris. C’est bon, mon chéri, a ajouté mon épouse ! J’ai compris que c’est l’homme qui commande et que la femme est là pour le servir !
Je l’ai prévenue que j’allais jouir et elle m’a répondu que c’est aussi son cas et nous avons joui presque ensemble. Après ça, j’étais vidé. Christine… J’avais dit son prénom. Qu’allait dire mon épouse. Oui, mon chéri, tu veux qu’on baise avec mon docteur ? Tu veux que je lui demande ? Elle est un peu salope mais je suis sûre qu’elle voudra bien !
J’avais fermé les yeux. Baise-moi encore, ce sont les derniers mots que j’ai entendu de mon épouse. Après ça je me suis endormi. Le lendemain matin, en me réveillant, je me suis demandé si je n’avais pas rêvé mais c’était bien la vérité. Quand je suis allé à la cuisine, j’ai trouvé mon épouse. J’ai appelé Christine, m’a-t-elle dit ! Elle veut bien qu’on baise ensemble ! Elle vient ce soir !
Je n’ai pas pu joindre mon amie de la journée. Son téléphone était toujours sur répondeur. A huit heures du soir, elle a sonné à notre porte. Je l’ai fait entrer. Quand elle a vu mon épouse, elle lui a dit qu’on se connaît et qu’on a baisé ensemble pendant des années avant de se séparer puis elle a ajouté que j’aime prendre les femmes dans tous leurs trous et nous n’avons eu qu’à gagner la chambre pour commencer notre trio qui dure encore. C’est pendant une de ces séances que j’ai engrossé mon épouse. Forcément, Christine lui en avait donné l’envie.
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