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La maman dévergondée, 7° partie

La maman dévergondée, 7° partie



Dans les épisodes précédents, Maman m’a poursuivi de ses désirs auxquels je n’ai pas cédé, malgré son insistance. Cependant, avec la complicité de ma demi-sœur Adrienne, je lui ai organisé un gang-bang dantesque au cours duquel elle a subi tous les outrages imaginables. C’était soi-disant pour la punir de ses avances indécentes, mais en réalité, elle a beaucoup aimé ce moment.

Après cet épisode, ma mère n’a absolument pas renoncé à me mettre dans son lit. En même temps, elle se laissait facilement séduire par des hommes, des femmes, et des couples qu’elle rencontrait dans les transports en commun, les supermarchés et autres lieux publics. Il suffisait d’un sourire ou d’un regard bienveillant pour obtenir un rendez-vous dans notre appartement qui se transformait, chaque nuit ou presque, en lupanar. Frénétiquement, elle baisait quiconque la désirait. Elle ne se prostituait pas formellement, mais souvent ses amants lui donnaient spontanément de l’argent, ce qui nous aidait à faire bouillir la marmite, car aucun de nous deux n’avait d’emploi. Nous risquions à tout moment de nous retrouver à la rue.
Pour que je puisse assister discrètement à ses ébats dans sa chambre, elle avait installé un œilleton dans le mur qui la séparait de la mienne. Elle aimait que je la voie en train de copuler avec ses partenaires de rencontre. Elle s’arrangeait à chaque fois pour se tourner de manière à ce que je puisse bien voir. Et cela m’excitait de la voir baiser sans aucune retenue, exauçant les fantasmes des uns, ouvrant son corps de façon totalement impudique aux autres. Elle savait se donner en spectacle. À des hommes qui se croyaient devenus impuissants, elle a su redonner la vigueur sexuelle, comme par miracle.
Devant ces démonstrations hautement impudiques, je me branlais à chaque fois, et lui offrais ensuite mes mouchoirs imbibés de sperme qu’elle gardait religieusement dans une boite en fer – je me demandais ce que pouvait bien signifier ce fétichisme. Quand elle n’avait personne dans son lit, elle s’offrait des voluptés en solitaire qui étaient incroyables, tant elle s’abandonnait dans des orgasmes fantastiques, tout en insérant dans ses cavités d’immenses tiges de plastique ; je me demandais comment son ventre pouvait accueillir de tels objets. Ces soirs-là, j’entrais dans sa chambre et je me masturbais avec elle, en buvant ses soupirs et ses gémissements. Parfois, nous regardions ensemble un film érotique sur sa petite télé. Je connaissais par cœur chaque détail et toutes les fragrances de son corps, mais il n’y avait, dans ces moments-là, sans aucun contact physique entre nous deux.
Malgré toute cette complicité, au matin, mes baisers tombaient à chaque fois sur ses joues, chastement. Elle en devenait folle de désir. Elle me suppliait, me promettait tout ce que je voudrais. Je lui résistais obstinément. Elle en pleurait de frustration, et à défaut de lui offrir mon corps, je la consolais de milliers de mots tendres et obscènes à la fois, des poèmes érotiques que je lui lisais ou que j’inventais pour elle.
Adeline venait régulièrement déjeuner à l’appartement. Pour lui avoir permis d’organiser ce fameux gang-bang, bien que lesbienne, elle me devait la fellation promise. Devant Maman, bien-sûr. Mais comme je voyais que ma demi-sœur n’aimait pas cela, je n’ai pas bandé, et finalement, j’ai renoncé à percevoir ma récompense. Cela m’a fait monter dans son estime : elle ne croyait pas qu’un homme puisse être capable de ne pas exiger sa récompense buccale.
Pour son quarantième anniversaire, j’ai voulu marquer le coup en offrant à Maman un cadeau très spécial : un Sybian, la Rolls des sextoys. Mais je n’avais pas d’argent pour acquérir cet engin coûteux. Adeline, qui connaissait beaucoup de monde, m’a trouvé un couple fortuné, Christelle et Denis, qui m’a embauché comme esclave sexuel, le temps d’un week-end, contre la somme de 20000 francs, ce qui aujourd’hui représenterait 1500 euros, et même bien plus, avec l’inflation. En échange, il m’a fallu combler toutes leurs fantaisies, qui étaient des plus épicées.
Pour commencer, ils ont fait venir à domicile une esthéticienne qui m’a intégralement épilé.
Ils m’ont emmené dîner dans un restaurant huppé où ils avaient leurs habitudes, dans une arrière-salle où nous étions à l’écart. J’étais nu, avec une chainette reliant mon cou, mes poignets et mes bourses, de sorte que mes mouvements étaient douloureusement entravés, et que le moindre geste brusque se payait un cruel étirement de mes gaines testiculaires. À genoux, je devais manger mon homard – mayonnaise dans une gamelle de chien en or massif posée au sol, et laper du champagne dans une coupelle du même métal.
Christelle et Denis s’amusaient de l’inconfort de ma situation, tout en se bécotant et se pelotant amoureusement entre deux bouchées, comme des tourtereaux. Le sommelier leur apportait des bouteilles au fur et à mesure qu’ils les consommaient. Ensuite Denis, rassasié et visiblement ivre, a probablement senti l’effet des pilules bleues dont il abusait : il a fracassé au sol son assiette dont un larbin en tenue s’est empressé de ramasser les morceaux, puis s’est levé en titubant, a ouvert sa braguette comme devant un urinoir, et m’a brutalement sodomisé dans un éclat de rire.
Ce geste devait être très drôle, ou peut-être était-ce l’expression désespérée de mon visage, car sa femme riait avec lui, et les quelques témoins présents partageaient leur hilarité. Il tenait à peine sur ses jambes et déculait souvent pour y retourner aussitôt. Il a rapidement éjaculé dans mes boyaux, puis son épouse s’est levée à son tour, pour enfiler un gode-ceinture d’une longueur et d’un diamètre imposants : une tige toute brillante sous les spots halogènes, probablement en argent.
De même que son mari, elle m’a défoncé le trou de balle, toujours en riant comme une folle. Ma rondelle anale, étirée à l’extrême, me faisait mal ; par contre, le contact du godemiché sur ma prostate me procurait un plaisir diffus qui allait en s’amplifiant, et finalement, j’ai trouvé le mouvement plutôt plaisant, d’autant que la dame empoignait ma hampe à pleine main. Elle la décalottait et la recalottait au rythme de ses coups de reins. À travers l’un des nombreux miroirs à cadres dorés qui recouvraient les murs de la salle, je voyais onduler derrière moi la permanente impeccable de ses cheveux gris-blancs.
Puis ils m’ont suspendu par les pieds et fouetté sans ménagement. La lanière de cuir sifflait dans l’air et s’abattait sur mon dos, ce qui me faisait saigner. D’autres clients du restaurant pouvaient nous voir ; ils semblaient blasés, habitués à ce genre de pratique. Les femmes qui me désiraient pouvaient s’approcher, et j’étais obligé de leur sucer la chatte ou bien l’anus, la robe relevée, ou bien les pieds, les seins, ou d’autres parties de leur anatomie ; certaines, ensuite, me pissaient dessus. Pour la plupart, elles étaient accompagnées de leur conjoint qui les regardaient abuser de mon corps juvénile. Sous leurs vêtements, elles sentaient le parfum de grand prix, l’onguent de luxe, la crème pour les riches. Malgré les coups de fouet, ce n’était pas un moment déplaisant, et j’ai découvert, dans chacune de ces dames élégantes, d’inépuisables trésors de féminité, quand bien même elles ne ressentaient pour moi que du mépris. Pour ce couple privilégié, vingt mille francs n’étaient rien, et d’ailleurs, parce qu’ils étaient contents de ma prestation, parce que je leur avais été sexuellement servile, ils m’en ont donné trente mille, en gros billets de cinq cents, de ceux qu’on ne tient jamais en mains lorsqu’on est un garçon pauvre comme moi.

Ce couple m’a fait découvrir à quel point il est possible de s’abandonner en toute liberté dans la luxure jusqu’à en perdre toute dignité humaine, pour mieux retrouver celle-ci une fois l’orgie terminée. Denis m’a proposé un emploi bien rémunéré dans son entreprise, mais j’ai refusé : je préférais continuer à vivre dans l’oisiveté, quitte à louer mon corps de temps en temps.
Le cadeau que j’ai offert à Maman pour son anniversaire n’en avait que plus de valeur à ses yeux, car je lui ai tout raconté, y compris dans les détails les plus scabreux de mon aventure avec Christelle et Denis. Elle en avait les larmes aux yeux. Oui, j’ai souffert mille turpitudes pour elle, dans l’avilissement et l’esclavage sexuel, comme un objet de luxe dont les puissants abusent et puis dédaignent, se moquent et abandonnent.
Nous étions seulement quatre : Maman, Adeline, Alicia, et moi.
Ma récompense a été à la hauteur de ce que j’ai subi. Quand Maman a ouvert son paquet-cadeau, elle n’en croyait pas ses yeux. Elle a immédiatement essayé son nouveau jouet, en commençant par ôter son pantalon et sa culotte, puis en lubrifiant la tige vibrante et tournante.
L’appareil était posé sur la table. J’ai pris des photos pour immortaliser ce moment. Adrienne et Alicia caressaient la peau blanche de ma mère pendant qu’elle chevauchait son Sybian, altière dans sa beauté mature comme une Amazone partie en chasse afin de ramener de beaux mâles emprisonnés nus dans ses filets. Elle rayonnait, avait l’allure d’une reine. Ses orgasmes humides et répétés nous ont tous aspergés, alors qu’elle criait de joie. Pour sûr, c’était le présent dont elle rêvait. Après celui de mon corps que je lui refusais, bien-sûr.
En prime, une fois les invitées parties, elle a eu droit à un baiser de ma part. À la française, à pleine bouche, langues sorties, roulées l’une contre l’autre, appuyées. C’était la première fois, mais certainement pas la dernière. Un déclic mystérieux, puissamment érotique, venait de se déclencher en nous.

Amis lecteurs, en voulez-vous encore ? Si oui, dites-le-moi en commentaire, et je vous raconterai l’épisode suivant de ma vie, que vous trouvez triste peut-être ; mais l’existence n’est pas seulement faite de câlins et d’orgasmes.

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