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Infirmière (3)

Infirmière (3)



Bonjour,

Je suis Hacène de Marseille et ma femme est Mounira infirmière de son état.
Pour plus de détail, merci de vous référer aux histoires précédentes.
Après la surprise de voir ce que ma femme pouvait faire, je me suis aperçu de deux choses: la première est que j’aimais être cocu, et la seconde était que je voulais la confondre afin qu’elle arrête de se d****r dans cette pudibonderie hypocrite qui va si bien à beaucoup de beurettes.
On avait 25 ans quand on s’est connu et elle voulait rester vierge, mais une certaine dextérité dans les préliminaires me laissait penser qu’elle cachait quelques secrètes expériences durant sa vie de jeune fille…
Peu de temps après m’avoir rencontré, elle s’était teint les cheveux en blond méché, alors qu’avant elle était brune corbeau. De plus, elle se mit à faire le vide autour d’elle concernant ses copines, avec lesquelles elle se fâchait pour des broutilles…
Malheureusement, il n’y a rien de pire qu’une amie éconduite, et c’est donc habilement, après toutes ces années de mariage, que je décidais de me rapprochais amicalement de l’une d’elle afin de lui soutirer des informations sur cette épouse si parfaite.
Cette pauvre fille encore désespérément célibataire, qui répondait au nom de Saliha, ne se fit pas prier pour confirmer mes soupçons: Mounira se vantait après ses rencards de sucer comme une reine les mecs dans les cages d’escaliers de la cité, avec pour excitation le risque de se faire surprendre…
J’avoue que je profitais de cette entrevue avec Saliha, aigrie par sa situation, pour la défoncer sur son canapé, sa robe Kabyle sur les hanches…avec une belle éjaculation sur ses deux petits seins blancs à bouts roses.Notre pacte était scellé.
Elle était assoiffée de vengeance, et voulait m’aider à confondre cette amie si proche qui ne l’avait même pas invité à son mariage…
Ensemble, nous avons décidé de fomenter un plan machiavélique afin de s’amuser un peu.
Voilà ce qui se passa:
Depuis quelques années ma femme faisait du libéral à domicile, avec une associée.
Un jour elle reçu l’appel d’un vieux monsieur qui, ordonnance à l’appui, avait besoin de passage pour des injections d’insuline pour son fils attardé d’une trentaine d’année.
Après une première prise de contact, mon épouse accepta de l’insérer dans sa tournée de début de soirée.
Ce vieux monsieur était un cousin pervers de Saliha qui vivait dans sa cage d’escalier. Par respect familial, elle avait les clés de chez lui et venait le moins qu’elle pouvait le saluer, car elle avait déjà mesurer la libido débordante de ce veuf et de son fils mongolien.Il sentait mauvais et ses dents déchaussées apparaissaient à ses moindres rictus. Saliha, dans sa grande bonté, m’envoya des mms de leurs visages.
Les semaines passèrent et un jour elle me demanda de venir la voir: « Je vais t’ouvrir l’appartement de mon cousin, il est chez le médecin avec son fils, cache dans l’armoire de Toufik (le mongolien) et attend! Je viendrai te chercher dès que ta femme sera passée! »
Tremblant un peu je me fis conduire par ma complice dans un Kzed qui sentait le mort et la moisissure. Un sourire au lèvre, Saliha me rassura et laissa les portes à peine entrouvertes, afin que je puisse jouir de la scène.
Peu de temps après, le vieux monsieur rentra avec son fils, chacun de leur côté, ils se mirent à l’aise: tricot de corps marcel blanc taché et pantalon de pyjama élimé. Le vieux qui se faisait appeler Beba (papa en arabe) était chauve avec un bide énorme qui pendait hors de son tricot sur son pantalon. Il avait une grosse voix rocailleuse qui imposait le silence à son fils Toufik.
Il entra dans la chambre et ordonna à son fils d’aller regarder la télé dans le salon lorsque la sonnette retentit.
Dans la pénombre de cette chambre qui sentait la pisse et la sueur, j’entendis la vois douce et modulée de mon épouse à l’entrée. Je pouvais lui reconnaître parmi ses qualités, le grand respect qu’elle montrait aux « chibanis » (les anciens en arabes), lorsqu’elle les croisait, avec une multitude de formules de politesse propre à la langue arabe.
« Ca va aujourd’hui Hami? »
« tu n’as pas fait d’abus? »
Il riait tout en lui jurant du sérieux de son alimentation.
La lumière de la chambre s’alluma tout à coup, et je le vis entrer suivi de mon épouse.
Comme je ne l’avais pas vu sortir de la maison, je la découvris en saroual, noir, t-shirt noir et claquette…noir.
Le vieux baissa son pyjama et s’assit sur le lit non sans peine. Mounira se plaça devant lui, accroupie et lui piqua la cuisse.
La suite fut moins classique voire surréaliste: Alors qu’elle le piquait, il se mit à lui caresser les seins à travers le tissus, sans qu’elle ne réagisse!
Elle baissait les yeux alors qu’il lui prenait maintenant les seins à pleines mains.
La piqure finie, elle voulut se lever mais il lui attrapa les avants bras et la fit basculer sur son entrecuisse. Alors que n’importe quelle femme aurait crié ou objecté, elle se laissa frotter le visage sur le vieux slip sale en érection, tenue par la nuque.
D’une main ferme, il la tenait par la nuque, et de l’autre, il extirpa une grosse queue épaisse d’une touffe de poils grise, et lui supplia: »S’il te plaît »
Elle murmura: »d’accord hami » et se mit à le sucer goulument, ses mains sur ses cuisses velues et moites.
Il grognait, et alors que sa main caressait le bas de son dos, tout en continuant sa besogne, elle fit glisser l’élastique se son saroual pour laisser apparaître ses fesses mates cambrées.
Ses doigts boudinés fouillaient l’entre fesse de mon épouse qui oscillait pour lui faciliter la tache.
Une voix masculine et molle se fit entendre à l’entrée de la pièce, c’était Toufik qui bavait devant la scène. Bien qu’attardé, il était adulte, et ses hormones sexuelles inassouvies, étaient au plus haut…
Le vieux ne réagit pas, mais ma femme se retourna tout en branlant l’ancien.
Elle vit sa détresse, et dit « merliche » (ça fait rien)
Elle le laissa approcher la bite à la main et se cambra encore plus.
Comme Arthur devant le Saint Graal, Toufik regardait ce fessier féminin comme une réponse à ses tourments.
Elle écarta les jambes, toujours à quatre pattes pour l’attirer, et lorsqu’il fut tout proche, d’une main experte, elle le guida dans sa chatte trempée par la situation.
Les coups de butoirs de Toufik lui faisait taper la tête contre le gros ventre du vieux alors qu’elle s’évertuait à le faire cracher.
Une dizaine de minutes plus tard, les deux hommes s’écroulèrent dans un râle commun, l’un sur le lit, l’autre sur mon épouse.
Mounira se dégagea difficilement des deux masses pour se redresser face à moi, enfin face au miroir derrière lequel je me cachais.
Je la vis s’essuyer la commissure des lèvres et remonter son saroual sur ses lèvres suintantes.
Elle ramassa ses affaires et partit en les saluant sommairement.
Deux heures après que les hommes eurent quitter la pièce, Saliha vint me chercher un sourire aux lèvres.
Pressé de rentrer à la maison afin de ne pas trop éveiller les soupçons (le monde à l’envers), je fis sucer Saliha dans la cage d’escalier pour évacuer le trop plein de mon excitation. Sans lui demander la permission, je lui crachai dans la bouche et lui posai une question: « Tu couchais quand tu étais jeune avec ma femme? »
Elle me fit un signe affirmatif de la tête.

J’avais un nouveau plan…

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