Histoires de sexe arabes Histoires de sexe hétéro

Les racailles aprés le cinéma

Les racailles aprés le cinéma



En rentrant du cinéma, une bande de racailles du quartier qui me sifflent au passage et lancent de quolibets du style « t’es bonne toi» « Viens me sucer la bite » etc… Je presse le pas mais Alain me dit :
« Ho Michèle, il n’y a pas le feu ? »
En montant chez nous, il me pelote les fesses et s’amuse à relever ma jupe sur mes hanches. Je le laisse faire et trouve le jeux plaisant.

Arrivé chez nous, il me dit :
« Et si on jouait à 50 nuances de Grey ? »
Je suis encore toute émoustillée par notre aventure dans le cinéma et c’est joyeuse que je lui réponds :
« Oui je serais ta docile soumise. »
Il me bande les yeux, me déshabille, et m’attache nue à un montant du baldaquin de notre lit.

Il caresse délicatement mon corps qui frémit sous ses doigts. Il presse mes seins roule entre ses doigts mes tétons qui durcissent. Sa main descend sur mon coquillage ses doigts inquisiteurs teste la moiteur de mon vagin qui dégouline de cyprine. Je gémis de plaisir. Mais il me laisse ainsi et je l’entend ouvrir la porte d’entrée et sortir sans la refermer. Je commence à ne plus trouver ça drôle mais je ne peux rien faire attachée comme je le suis.

Je flippe vraiment. Voilà bien 10mn qu’il est parti en laissant la porte d’entrée ouverte. Pleins de pensées se bousculent dans ma tête. Il m’a dit qu’il voulait jouer à 50 nuances de Grey mais je me rappelle aussi du fantasme dont il m’avait parlé il y a quelques temps où il me livrerait à des racailles du quartier. Mon angoisse ne fait que accroître quand j’entends des pas dans l’escalier et du monde entrer dans la maison. Je reconnais la voix d’Alain qui dit aux autres :
« Vous pouvez aller dans la chambre ma femme est prête à se faire prendre, soumettre et défoncer comme une grosse pute. »

Quand je pense que pour le faire bien bander, je lui envoyais des histoires de gangbang par SM où je me faisais mettre et humiliée. Quand il était au boulot ou en déplacement, je narrais des exploits imaginaires où je suçais des tonnes de bites et que je finissais recouverte de sperme.

Dans ces affabulations, j’étais prise en sandwich aussi par des militaires ou des racailles.Et bien cette foi, il m’avait pris au mot et avait invité les racailles croisés dans la rue à se servir de moi. En entrant dans la chambre, les commentaire fusent :
«  waouh, t’es vraiment trop bonne comme ça saloooope ! Dis donc t’as des nichons d’enfer sale pute ! Putain t’as de la chance d’avoir une salope pareille ! »
Deux mecs ont recommencé à me peloter les seins. Ils me les pétrissaient sans douceur. Des mains parcourent mon corps en explorant les moindre recoin les plus intimes. Un troisième mec sort sa bite déjà bien dressée la bite à l’air et présente sa queue à ma bouche. Je ne me fait pas prier et me met à le sucer. 
« Cette salope est vraiment qu’une pompe à jus ! T’as du en sucer des kilomètres de queues pour pomper aussi bien ! »
« Oui quel garage à bites putain ! Elle avale ton chibre en entier ! »

Malgré cette situation forcée et humiliante, plus les insultes sont salaces plus je suis excitée. Mon homme ma raconté ensuite qu’il avait sortit sa queue pour se branler. Les queue défilent dans ma bouche sans que je sache qui me fourre. L’un d’eux me lance :
«  Allez sort ta langue et lèche moi les couilles. C’est bien t’es une bonne chienne. T’auras tout mon jus. »
.
« Putain je vais la baiser cette pouffiasse. Allez dis le que t’es une salope ! Dis le que t’aimes les queues salope on t’entend pas ! »
«  Oh oui ! Aabusez de moi ! J’suis vot’ salope, une vide couilles, une éponge à foutre. »
On me détache et on me retourne pour m’enfiler par la chatte.

Maintenant, c’est vrai qque je prends plaisir à devenir un objet sexuel, être une telle pute offerte. Il ne met pas pas longtemps à jouir, soit trop excité soit parce que je suis une bonne pompe à bites. Le sperme coule dans ma bouche et sur ma figure. Un filet crémeux arrive sur mes seins.
«  Tiens prends ça s’pèce de banque à sperme ! » Crie-t-il en jouissant.

Les mecs se succèdent dans ma chatte et ma bouche. Pour le moment ils épargnent mon cul. Ma chatte, ma bouche, mes mains sont prisent par des bites. Ma tête tourne. Je ne sais plus qui je suis et où je suis. Seul mon plaisir et celui des mâles en rut compte. J’appris plus tard que lorsque Alain leurs avait demandé de me sauter, il ne s’attendait pas à une telle ardeur de leur part et une participation aussi active de la mienne. J’avale tout le sperme qui m’arrive dans la bouche.

Certains prennent des photos et je n’y prends pas garde tant je m’occupe et joui de ces queues. Mon cul qui était épargné jusqu’à présent fait l’objet des attentions d’un grand black qui sans trop de précaution se met à m’enfiler par le petit trou. La douleur que je ressent alors est étouffé deux grosses bites dans ma bouche.
«  Alors petite souillon on aime ça se faire défoncer la moule ! Tu la sens ma grosse queue dans ton petit trou ?

Mon mari pour l’instant profite du spectacle et reste en spectateur tout en se branlant. Je ne crie plus, comme une chienne en chaleur, je gueule d’extase quand ma bouche n’est pas investit par une queue. On me palpe les nibards.
«  Alors pétasse ça fait quoi d’être un objet à queues ? Une truie vide couilles ? » Me demande Alain.
Je suis incapable de répondre et hurle en étant prise de spasmes quand le black décharge de mon cul. Quand il en ressort, je ressens un grand vide et le trop plein de sperme coule de mon orifice béant.
«T’es vraiment une sale bourge à défoncer. » Me dit le black en finissant de s’égoutter sur mon dos.
Un autre lance à ses potes :
« Putain on va l’emmener dans une cave de la cité pour la faire sauter par tout le bloc. On va s’faire de la tune avec cette grosse pute ! »
L’idée m’excitait mais je foutait la trouille d’être offerte à des dizaines de racailles qui abuseraient de moi et m’humilieraient comme une grosse pute.

Alain me voit entrain de jouir et constate que j’aime me faire traiter comme une chienne. Les mesc on enfin les couilles vides. Je ne ressemble plus à rien et suis totalement anéantie et exténuée. La séance n’est pas terminée. Il sme font m’agenouiller sur le sol et mes baiseurs se place tous autours de moi. Comble de l’humiliation, ils se mettent à me pisser dessus.
« T’es couverte de sperme ! Il faut bien qu’on te douche ma salope ! » Me dit Alain.
«  Quelle coche ta salope ! J’avais pas idée que ça pouvait exister ! » Renchérît un autre.

Repus de mon corps, vidés, les mecs repartent me laissant souillée sur le sol. Le grand black en partant demande à mon homme :
« Trop bonne ta pute ! Donnes moi ton 06, les gars du chantier où je bosse ne seraient pas contre se taper ta blondasse avec ses grosses mamelles ! »Alain heureuse ment refuse en lui disant :
« Cette chienne m’appartient. Je suis le seul à décidé à qui je l’offre. Mais L’idée du chantier ou de la tournante dans une cave m’intéresse. Donne moi ton tel et je verrais si je te contacte. »
Quand la porte se referme et que le dernier loubard est parti, Alain me demande si j’avais aimé sa surprise.
« Je ne sais pas quoi te dire chéri. Je suis encore sous le choc. Mais j’ai eu des orgasmes presque douloureux et j’ai mal à la mâchoire et au cul. Maintenant j’ai honte et j’ai envie de vomir. J’ai avalé trop de sperme.

Depuis cette expérience, je suis devenue sa chienne docile, sa pute obéissante, sa salope offerte et Alain continue mon dressage.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire