Bonjour, je m’appelle Sylvie, belle blonde de trente huit ans, d’après mes amis.
Ce week-end, mon mari et mon fils sont partis à la chasse, aussi, je décide d’aller passer l’après midi chez ma sœur, pour profiter de la piscine. En effet, il fait une chaleur torride. Aussi, je suis vêtue léger. Mini jupe, petit haut qui découvre le nombril, chaussures compensées.
Mon beau frère passe me prendre vers quinze heures.
Je suis accueillie par Lucas, mon neveu, âgé de vingt ans. Il est beau comme un dieu. Même s’il est jeune, il a une réputation assez sulfureuse. On ne compte plus ses conquêtes, même avec des femmes mariées.
On passe à table vers vingt heures. Lucas s’installe à côté de moi.
-Alors mon chérie, lui dis-je, t’as pas emmené de copine aujourd’hui.
-Ben non, répond-il, mais je dois rejoindre des copains ce soir.
Arrivé au désert, je sens une main qui frôle ma cuisse. Je ne m’affole pas, Lucas n’aurai pas le toupet de draguer sa tante. Mais la main insiste, s’investit plus loin entre mes jambes. Je la repousse, sans un mot, ne voulant pas faire d’histoire. Un court instant passe, puis voila la main qui revient. La trajectoire est plus précise, elle est carrément contre ma culotte, puis se fige.
Je suis scotchée par tant d’insolence. Je sens un doigt glisser sur ma fente par-dessus ma petite culotte. Un autre doigt l’écarte, va de bas en haut. Le pire, c’est que je me prends au jeu.
Lucas se penche sur moi, murmure à mon oreille.
-C’est dommage que tu es une culotte tatie, j’aurai tant aimé gratter ta petite chatte.
Je le regarde en souriant. Au point ou j’en suis. Mon époux me délaisse, ne pense qu’à sa chasse ou sa pêche. Et si je ne profite pas de l’occasion, ce sera une autre. Je trouve l’excuse d’aller aux toilettes.
Imprudente, je pose ma culotte sur le lavabo, et reviens prendre place.
A peine assise, que déjà la main reprend sa place sur mon minou. Cette fois, j’écarte les jambes pour faciliter l’accès à mon intimité. Caché par la nappe, personne ne remarque la main de mon neveu sous la table.
Lentement, un doigt lisse ma fente parfaitement épilée. Le doigt va plus haut, décalotte le clitoris, l’excite. Puis ce sont deux doigts qui écartent mes lèvres intimes, et pénètrent ma chatte déjà humide. Ces caresses commencent à me donner des frissons le long de l’échine.
De temps en temps, je croise le regard vainqueur de mon neveu. Quel aplomb.
Lucas reste imperturbable, regardant à droite et à gauche, comme s’il m’ignorait. Moi, je ne me maitrise plus, je suis soumise à ces doigts qui me fouille, et qui me rendent folle. L’orgasme est là, imminent. Je cambre mon bassin sur les doigts qui me branlent. Ma chatte devient une source intarissable de mouille et de cyprine. Je prends une serviette, la plaque sur mon visage pour atténuer mes cris de plaisir. Lucas a tout compris, il me regarde en souriant.
Je trouve une excuse pour aller aux toilettes, rincer mon intimité, me rafraichir le visage.
En revenant, je croise ma sœur. Je dois être rouge de honte.
-Mais que t’arrive-t-il ma chérie, me dit-elle, tu n’as pas passé une bonne soirée ?
-Oh que si ma sœur, super, mais je ne vais pas tarder à rentrer.
-Tu as une drôle de tête, poursuit-elle, tes yeux sont cernés…et c’est quoi cette culotte que j’ai trouvé sur le lavabo, je l’ai reconnue, c’est bien la tienne. Qu’as-tu fais vilaine.
-Je me suis sali tout à l’heure, je vais la récupérer que réponds.
-A non, poursuit-elle, je l’ai mise au sale. Au fait, Lucas va en ville, tu veux qu’il te ramène ?
-Heu, oui, que je bégaie, pourquoi pas, si ça ne le dérange pas.
En route, je m’excuse pour ma conduite impardonnable, disant que je ne sais pas ce qu’il m’a pris. On arrive devant la villa. Lucas me force à tourner la tête, me prends tendrement les lèvres
-Mais tatie, ce n’est pas grave, répond-il. L’important, c’est que tu es pris du plaisir, en as-tu pris ?
-Tu le sais polisson, tu as senti comme j’ai joui.
J’enroule mes bras autour de son cou, lui murmure à l’oreille.
-Je ne veux pas passer pour une catin, mais touche ma chatte, elle est toute mouillée encore. Elle a besoin d’un bon coup de queue. S’il te plait, viens, rentre prendre un verre.
-Est- ce bien raisonnable Sylvie. T’as vraiment envie de te le faire mettre par ton neveu ?
Arrivé à la chambre, je lui arrache ses vêtements, ôte les miens. On tombe sur le lit, se donne un sulfureux baiser. Je faufile une main entre nos corps enlacés. Et la, quelle agréable surprise.
-Ben dis dont, quelle bite, comme t’es monté mon salaud. Si ton oncle voyait ça…Tu dois les régaler les filles. Je peux jouer avec ?
-Mais bien sur tatie, elle est à toi pour la nuit si tu veux.
-Détend-toi mon chéri, laisse toi faire.
Je glisse sur son corps en le couvrant de baisers. J’arrive enfin à l’objet du désir, sa queue. Elle est en pleine érection, bien décalottée, j’excite le gland, puis l’engloutit dans ma bouche. C’est la première fois que je suce un tel calibre. N’y tenant plus, j’enfourche mon amant, et m’empale sur sa bite en lançant un long soupir. J’entame de lent va et vient, ne voulant rien perdre de mon plaisir. Lucas n’est pas inactif, il fait rouler le bourgeon de mes seins durcit par le désir, entre ses doigts, un doigt glisse entre nous, doigte le clitoris sorti de sa capuche. Je sens que je viens. L’orgasme est terrible, et celui la, je peux l’exprimer, sans retenu.
Lucas prend plaisir à me voir jouir, m’entendre crier son non…
-Oh Lucas…Lucas…oui salaud…tu me fais jouir…tu aimes m’entendre crier…
Mon neveu s’avère être un amant exceptionnel, sur de lui malgré son jeune âge.
Il joue avec moi comme avec un jouet, me prend dans des positions inconnues pour moi. Toute la panoplie y passe. Il me baise à plusieurs reprises, me sodomise, ce que je n’ai fais qu’une fois avec mon mari, et encore, c’était au début de nôtre mariage. Je lui taille même une pipe, avale son épaisse semence jusqu’à la dernière goutte, lui nettoie le gland avec ma langue, une première pour moi. Mon mari n’a jamais connu ce plaisir.
Rien que cette nuit, j’ai du jouir cinq ou six fois.
Je suis allongée en croix sur le lit, épuisée, jambes écartées. Lucas est à genoux près de moi. Un doigt caresse mon petit bouton, entièrement décalotté, gorgé de sang à m’en faire mal. Je me tors comme un ver sous la délicieuse caresse. Je prends sa tête, la tire entre mes jambes. Je sens sa langue me lécher la chatte, ses lèvres sucer mon clitoris
-Petite salope, me dit-il, t’aimes te faire bouffer la chatte…elle est pleine de mouille…
-Et toi salaud, tu aimes me voir dans cet état…tu me rends folle…oh oui…je joui encore…oui…
Je lui propose d’aller prendre une douche. Il m’embrasse tendrement, me prend la main, et m’entraine à la salle de bains. Après une douche coquine, ou je lui taille une pipe, Il me porte jusqu’ au lit.
Je lui dis que j’aimerai dormir avec lui. Il accepte.
On se glisse sous les draps, me blottis langoureusement dans ses bras. On parvient à s’assoupir.
Je me réveille la première. Je sens le corps chaud de Lucas contre moi. Je sens aussi, contre ma cuisse, l’objet du désir, celui qui m’a faite vibrer toute la nuit. Je le prends en main, le décalotte, caresse les énormes couilles. Puis je glisse sous le drap, et prend la queue en bouche. Lucas se réveille en sursaut.
-Mais Sylvie, ça va pas…que fais-tu enfin.
-C’est l’heure de mon biberon mon chérie…s’il te plait, donne moi ma dose…
Au bout de quelques minutes, un liquide chaud déferle au fond de ma gorge. Lucas se tend dans un râle de plaisir. Moi aussi, je prends plaisir à avaler son jus.
Lucas quitte la villa vers dix heures du matin. On se donne un baiser à damné un saint.
Lucas m’a promis de passer d’autres nuits avec moi, mais, il est jeune, et j’ai peur que nôtre relation soit sans lendemain. Mais sait-on jamais, je serai là, quand il veut.
A peine mon neveu parti, je regagne mon lit, m’enroule dans les draps, et m’assoupit.
Ajouter un commentaire