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le commencement

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Depuis toute petite j’ai grandi dans un environnement élitiste. Mon père est médecin cardiologue très renomé, il a soigné bon nombre de personnalités célèbres. Ma mère est la directrice de la rubrique « Soin du corps » d’une grande boutique qui vend des produits haut de gamme dans le monde entier. Elle choisit les lotions hydratantes, les crèmes de soin pour le visage, le corps, les mains, les pieds et impose tous ses caprices suivant son humeur du jour aux membres du personnel. Elle est sévère et autoritaire, comme à la vieille époque. Ses employés la déteste. Moi je suis fille unique et je suis prédestinée à suivre une carrière dans la lignée de mes parents. Ils parlent de moi comme d’une princesse. Autant dire que je suis surveillée. Je n’ai pas droit à l’échec ni à les décevoir. Etre issue de famille riche ce n’est pas toujours très amusant mais cela me procure quelques avantages. J’ai une très grande chambre avec un immense lit de 240×200 cm très confortable avec ma propre salle de bain et une autre de fitness. Mais la pièce que sans conteste je préfère est sans aucun doute mon dressing. J’y range les centaines de vêtements, de robes, de jupes, de chemisiers et d’impairs que je reçois par colis des boutiques de vêtements en ligne pour lesquelles je pose dans les catalogues. Malheureusement pour moi c’est ma mère qui sélecionne et commande les vêtements et uniformes que les boutiques m’envoient. Du coup j’ai l’air un peu ringarde, gamine. Je n’ai même pas droit à porter de collants. Enfin, pas ceux en nylon. Les seuls collants que je suis autorisée à porter sont … ideux, en laine ou en coton, c’est à dire ceux qui piquent et qui réchauffent en hiver. J’aimerais tellement en avoir en nylon mais ma mère me l’interdit formellement car soit disant ça fait mauvais genre à mon âge, seules les garces peuvent en porter. Pourtant au lycée je vois beaucoup de filles avec des collants en nylon. Je les envie. Je les regarde et admire leurs jambes galbées de ce tissu qui a l’air si doux, si soyeux et affriolant. Bon c’est vrai, toutes ces filles qui en portent sont plus matures que moi de quelques années, mais est-ce que vraiment l’âge est important ? J’en ai marre d’être traitée comme une petite fille, je veux grandir, faire des découvertes, profiter de la vie.

Juste en face du lycée se terminait de construire le tout nouveau centre sportif. Les cours de sport et de gymnastique se dispensaient à présent tous les mardis et jeudis après-midi. Comme il y avait de la place pour accueillir de grands groupes, les filles de 3e, 2e et dernière année seraient rassemblées toute ensemble. J’allais donc cotoyer des filles plus âgées que moi qui n’étaient pas forcément dans ma classe.

Un jour j’arrivais un peu en retard en sport. Quand je rentrais dans le vestiaire pour me changer, toutes les filles avaient déjà rejoind le professeur dans la salle. Il ne restait plus que moi. Je cherchais une place pour accrocher mes vêtements. Je finis par trouver un crochet libre. Juste à côté se trouvaient les vêtements d’une fille qui n’était pas dans ma classe car je voyais qu’elle portait des collants en nylon et dans ma classe aucune fille n’en portait. C’était des collants noirs, soyeux et légèrement brillants. Je les trouvais vraiment magnifiques. J’avais très envie de les toucher. Et pourquoi pas ? Je me retournais, regardais partout autour de moi, … personne. Je décidais alors de les toucher. Je les caressais et les pris dans mes mains. Ils étaient si doux, tellement beaux, à tel point que je ne pouvais pas m’empêcher de les sentir. Ils étaient délicatement arrosés de parfum à la vanille. Je les posais sur mon visage et me caressais la joue et les narines en respirant profondément leur odeur. Et dire que je n’étais même pas autorisée à en porter ! Et pourtant ils étaient là entre mes doigts, caressant mon visage. « Un jour j’en achèterais que pour moi, j’en aurais tout plein et j’en porterais autant que je le voudrais! » Me dis-je toute seule dans la tête.

— « Et pourquoi pas tout de suite ? »,

— « Non ! Ca ne se fait pas ! Et si quelqu’un entrait ? »

— « Je n’ai qu’à les essayer dans les toilettes ! »

Je pris les collants de l’inconnue au parfum de vanille et m’enferma dans les toilettes du vestiaire. J’étais là, seule, à l’abri de tous les regards, prête à enfreindre l’interdit de ma mère, prête à essayer ces collants en nylon qui me faisaient tant rêver. Je retirais mes ballerines et ma jupe. Devais-je aussi retirer ma culotte ? A l’intérieur des collants il y avait un gousset. Je décidais d’enlever ma culotte, ce serait certainement plus confortable ! Je m’assis sur le couvercle de la toilette et enfila le collant. J’enfouis mon pied et ma jambe dans le vêtement de lingerie soyeux, ensuite l’autre jambe, je sentis aussitôt une sensation très jouissante m’envahir, un plaisir charnel tout entier me conquérir. Je continuais à enfiler le collant, jusqu’à mes hanches et recouvrir mon pubis de ce voile si doux et délicat. Ca y était ! J’avais enfin enfilé pour la première fois des collants ! Je me sentais toute excitée et plus grande ! Ces collants m’offraient une sensation plus intense encore que je l’espérais. Ils étaient tellement doux. Je me caressais les jambes, les cuisses, les hanches, le pubis et pour finir les lèvres de mon petit minou. Mes jambes s’ouvraient sans que je le décide, ma main se mit à frotter mon chaton tout entier et mes doigts à frotter mon clitoris au travers du collant. Ca me faisait énormément du bien. Mais il fallait que j’arrête. Pas question de continuer sinon j’allais commencer à mouiller et me mettre encore plus en retard. Sur un coup de tête, je retirais les collants que je rangeais à leur place et me mis en tenue de sport pour rejoindre le reste du groupe dans la salle. Je m’intérrogeais sur la fille à qui appartenait les collants. Qui était-elle ? Comment était-elle ? J’espérais en connaître rapidement la réponse. Ce ne serait qu’une fois le cours de sport terminé, lorsque tout le monde rentrerait au vestiaire que je me rendrais compte de qui ce serait. Il y avait beaucoup de jolies filles qui me plaisaient dans ce cours de sport. Et celle qui vint s’asseoir à côté de moi au vestiaire pour récupérer ses collants à la fin du cours était l’une des plus jolies, qui sait, peut être même bien LA plus jolie ! Elle s’appelait Lucille. Je faisais semblant de rien mais discrètement je la regardais retirer sa tenue de sport. Elle avait un corps de rêve, mince avec des formes qui se dessinaient déjà bien rondes et fermes au niveau de ses fesses et de sa poitrine. On aurait dit déjà une femme presque adulte. Elle portait un soutien gorge très élégant alliant la soie et le coton avec le bord en dentelle et qui mettait ses seins très joliment en valeur.

— Qu’est-ce qu’il est beau ton soutien ! J’en avais jamais vu d’aussi beau dans cette collection ! Lui dis-je. Je lui citais la marque et la collection et je lui demandais si je ne me trompais pas. Elle qui ne m’avait prêté aucune attention jusqu’à présent se retourna d’un air très surpris en se demandant comment se faisait-il qu’une jeune petite gamine comme moi pouvait s’y connaître aussi bien en matière de lingerie haut de gamme.

— Mais oui, c’est exact ! Comment le sais-tu ? En fait c’est un ensemble, regarde la culotte !

Nous commencions à discuter de vêtements de modes et nous nous aperçûmes que nous avions des goûts très similaires sauf que Lucille était libre de porter ce qu’elle voulait et qu’elle avait un tas de choses à m’apprendre. C’est ainsi que rapidement nous devenions amies. Nous nous entendions à merveille. Elle m’enseignait la mode, la coiffure, le maquillage, … Elle m’aidait à ajuster et à racourcir mes tenues pour que j’ai l’air moins gamine. En échange je lui apportais des échantillons de lotion pour le corps, des crèmes de soins pour les mains et le visage. Malgré que j’étais de trois années plus jeune qu’elle, Lucille m’appréciait beaucoup. Elle venait souvent me chercher pour me montrer dans un catalogue les vêtements de mode qu’elle voulait s’acheter et me demandait mon avis. Un vendredi après-midi après les cours en sortant du lycée elle m’emmena faire du shopping avec elle. J’étais devenue sa petite protégée, en dehors de l’école elle m’appelait même sa petite « chérie ». Je prenais ça pour une marque d’affection.

— Viens ma chérie, je voudrais te montrer une boutique.

Nous parcourions les rayons en quête de nouveaux vêtements chic et à la mode. Elle choisit quelques jupes et chemisiers, me demanda mon avis puis me prit par la main pour m’emmener avec elle les essayer à l’intérieur d’une cabine. Elle se dévêtit sans aucune retenue devant mon regard pour se changer. Elle s’offrait entièrement à moi, me laissait la contempler pour le plaisir de mes yeux et sans compter.

— Il me manque des collants ! Tu sais aller m’en chercher au rayon s’il te plaît ? Prends des bruns, pour aller avec mon chemisier.

Je partis dans le rayon et revins avec les collants qu’elle m’avait demandé. Je la regardais les enfiler avec précaution.

— Ca te va super bien ! Lui dis-je. Tu es vraiment très belle.

— Merci ma chérie ! Et elle me posa un baiser sur la bouche ! Ce bécot me surprit car je ne m’y attendais pas du tout et pourtant il remplit mon cœur de joie lequel se mit à battre plus vite dans ma poitrine.

— Ok, c’est bon on y va ! On va à la caisse. J’ai ce qu’il me faut. Dit elle.

Elle garda les vêtements et les collants sur elle et après avoir payé à la caisse nous sortions du magasin. Alors que nous marchions dans la rue côte à côte presque main dans la main depuis quelques minutes, elle me dit…

— Il te faut mettre des collants toi aussi. Pourquoi tu ne mets pas des collants comme moi?

— J’aimerais tellement mais le problème c’est ma mère. Elle refuse. Elle dit que je suis trop jeune et que ça fait garce. Lucille pleignait la relation que j’avais avec ma mère trop autoritaire. En plus Lucille connaissait mon goût pour la mode et mon envie de porter de nouveaux vêtements avec des collants.

— Tu n’as qu’à en mettre quand tu sors de chez toi sans que ta mère te voit et tu les enlèves le soir avant de rentrer ! J’ai une idée. Viens, suis moi !

Nous étions proche du lycée. Elle m’emmena au centre sportif qui se trouvait juste en face et elle m’attira à l’intérieur d’un vestiaire. Elle s’assit sur un banc et commença à retirer les collants qu’elle venait de s’acheter.

— Tiens ! Mets les pour aujourd’hui. Tu me les rendras plus tard quand ça te chante.

Je ne savais pas quoi lui dire tellement j’étais heureuse. Lucille trépignait d’impatience.

— Allez vas-y ! Qu’est-ce que t’attends ? Mets les !

Je retirais mes souliers et m’appretais à enfiler ses collants devant elle par dessous ma jupe quand elle me dit avec un sourire coquin…

— Si tu veux tu peux aussi enlever ta culotte, ce sera plus confortable !

J’écoutais son conseil. Aussitôt je me rappelais le jour où j’avais enfilé ses propres collants pour la première fois avant de la connaître dans ce même vestiaire ! Depuis je n’avais encore jamais osé le lui avouer. Voilà que pour la seconde fois j’allais pouvoir enfiler des collants, et en plus les siens, ceux qu’elle avait déjà porté !

— Alors comment tu te sens ? C’est agréable hein ?

— Oh oui j’adore ! C’est lisse, tellement doux, comme si j’étais enveloppée dans une caresse qui ne s’arrête jamais !

— Oui, c’est ça ! Fit Lucille en rigolant. Regarde, touche un peu tes jambes maintenant !

Je posais ma main sur ma cuisse en même temps qu’elle posa la sienne pour caresser mes jambes. Et sous la tendresse de sa caresse, je commençais à frémir de tout mon corps.

— Et bien toi alors ! Fit Lucille d’un air très agréablement surpris. Je ne savais pas que tu aimais tellement les collants ! Tu aimes bien ça on dirait !

— Oui, j’aime bien… Toi aussi tu aimes porter des collants ? Ca me fait toute bizarre !

— Détends toi ma chérie, surtout mets toi à l’aise. Tourne toi.

Elle était toujours assise sur le banc. Je sentais qu’elle voulait que je m’asseois sur ses jambes. C’est alors que je vins me placer sur ses cuisses et elle, par dérrière, se mit à me caresser les deux jambes complètement. J’étais en train de devenir de plus en plus tremblante comme une feuille. Je priais pour qu’elle pose sa main sur mon minou. Ce qui ne tarda pas à arriver. Elle me caressait maintenant avec une main à l’intérieur de mes cuisses tandis que l’autre elle l’a posa sur mon ventre. J’avais une forte envie d’écarter mes jambes et de me laisser aller.

— Laisse toi aller ma chérie ! Me dit elle tout bas dans le creux de l’oreille. Elle lisait dans mes pensées. J’écartais quelque peu mes jambes pour ouvrir le passage. Cette fois-ci elle passait une main sous mon chemisier pour toucher mes petits seins à peine éclos et de l’autre elle frottait mon minou avec de plus en plus d’insistance. Elle finit par glisser ses doigts entre mes lèvres ouvertes et à frotter mon clitoris.

— J’aimerais que tu mouilles ton collant. Me souffla-t-elle toujours très bas dans le creux de mon oreille alors qu’elle l’enfonçait avec ses doigts à l’intérieur de mon vagin. Elle enfonçait tant et si bien le collant en nylon que le gousset entier disparu à l’intérieur de moi avec la moitié de ses doigts. S’ensuivit un mouvement de va et vient qui me fit lâcher toute la pression. J’ouvrais cette fois-ci totalement les jambes. Je les avais on ne peut plus écartées. Je fermais les yeux, respirais par accoups et commençais à entendre le son de mon collant qui mouillait lorsqu’elle introduisait ses doigts. Le gousset ressortait totalement mouillé de ma petite chatte. Lucille l’entendait et cela l’excitait.

— Vas y ma chérie, continue à mouiller s’il te plaît. Je veux que tu mouilles les collants.

Je l’encourageais à me masturber plus fort et plus profondément encore. Je posais ma main sur la sienne pour l’aider à l’enfoncer et à me masturber ensemble. Tout le gousset du collant rentrait dans mon vagin. Je mouillais de plus en plus. Je senti mon liquide couler et lorsque j’ouvris les yeux je vis une grande auréole à l’aspect blanchâtre imprégner mes cuisses. Flop flop flop faisait le collant dans ma chatte. Je ne pouvais m’empêcher de remuer mon bassin et de sautiller sur les jambes de Lucille.

Sa main qui me caressait les seins entra dans ma bouche mais ses doigts ne me rassasiaient pas. Il fallait que je goûte sa langue. Alors je me retournais pour m’asseoir sur ses jambes en face d’elle. Je saisi sa tête entre mes deux mains et l’embrassa avec toute la passion accumulée depuis des semaines, depuis le jour de notre première rencontre. Elle continua obstinément à me pénétrer avec ses doigts au travers du collant. Le mouvement était devenu si fort, si profond et si intense qu’elle arriva à obtenir ce qu’elle désirait. Dans un élan de jouissance, je lui offris toute ma mouille. Il sortit tellement de liquide que tout le collant en était imprégné jusqu’à mes cuisses. Se formait alors une belle auréole plus grande encore que la première. Ma bien-aimée Lucille continua malgré tout à me masturber. Le bruit de succion du collant mouillé qui se colle et se décolle à l’intérieur de ma chatte trempée nous fascinait. C’était très excitant. Je l’embrassais fougeusement, introduisant ma langue profondément dans sa bouche et avalant la sienne. Pour terminer, elle sortit ses doigts trempés de mon vagin que nous nous partagions avec appétit sous forme de baisers entre nos deux bouches à bouche.

— J’ai adoré, ma chérie! Me fit Lucille en continuant de m’embrasser. La prochaine fois ce sera à mon tour de jouir ! Viens, habille toi. On retourne au magasin. On va acheter encore des collants !

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