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Cousins…, cousines, tante ( 7)

Cousins…, cousines, tante ( 7)



Tatie fit semblant de ne pas entendre la confession de sa fille…
Nous dînâmes et comme la soirée s’annonçait romaine, nous la passâmes au bord de la piscine. Je n’avais aucune idée de l’heure, lorsque ma tante me fit remarquer que sa fille s’était endormie. Nath rapprocha sa serviette de bains de mon transat, non sans lorgner ma demi-molle et mes testicules endoloris par l’envie d’expulser leurs locataires. Elle me versa un verre de limonade maison, et surprise…, elle sortit d’un petit sac un petit flacon d’un liquide transparent, qui s’avéra être du gin…
Elle en mit une petite lampée dans chacun de nos verres et murmura :
« Ne dis rien à tes vieux…, après tout, dans deux jours tu auras 16 ans… ! .. Bof, t’en boiras d’autres ! »
Après avoir trinqué, ma tante commença à me raconter sa vie…
« Tu sais Julien, c’est avec moi que ton père avait flirté en premier… .. Nous formions une équipe de six copains, copines du quartier. .. Ma sœur et moi étions les seules filles, avec quatre garçons, dont ton père. .. Nous avions construit et aménagé une cabane dans un bois près de chez nous et nous nous retrouvions au hasard… .. Nous avions fait chacun son lit, à même le sol, en « empruntant » des vieilles couvertures à nos parents. .. Je devais avoir l’âge de ma fille, quand un jour d’été, étant seule, étendue sur ma couche, lisant un bouquin, un violent orage éclata ! .. Je me dis que personne d’autre n’allait me rejoindre, vu le mauvais temps, lorsque la porte s’ouvrit et ton père apparut, mouillé comme une éponge au fond d’une mare. .. Cela me fit beaucoup rire de le voir ainsi transit…, il me fit remarquer que j’allais moins rire, puisqu’il était obligé de retirer ses vêtements mouillés. .. Pensant qu’il ne retirerait que son tee short, je fus ébahie de voir toutes ses fringues s’étaler sur un dossier de chaise pour sécher. .. Arrivé à son slip, ce dernier valsa au loin, d’un seul coup de pied. .. Rouge comme une tomate verte, moi je replongeai dans ma lecture, faisant semblant de rien. .. En plus il s’allongea sur la couche prés de la mienne… .. J’avais beau rapprocher mon livre à 5 centimètres de mes yeux, de côté, j’apercevais son énorme sexe posé sur ses abdominaux et son entre-jambe d’où dépassaient deux énormes noix de coco, velues comme des yétis. .. Je dois t’avouer, que j’étais encore vierge, comme ta mère d’ailleurs, sauf qu’elle, étant plus âgée, m’avait avoué avoir déjà eu des contacts avec le sexe opposé… .. Et même, d’avoir effectué quelques fellations, ce qui lui avait permis de garder son hymen intact. .. La voix de ton père me fit sursauter…, il me proposa de le regarder franchement, plutôt que de me cacher derrière mon bouquin, et même de le toucher si j’en avais envie, que ça ne le dérangeait pas du tout, il comprenait très bien, sachant que je n’avais encore jamais croqué la pomme. .. Intéressée, je posai mon livre, et me remplis les yeux d’images inconvenantes…, mais tellement excitantes. .. Ton père, devinant mon émoi, passa sa main derrière ma nuque, et m’attira vers ses lèvres… .. Etant la seule chose que je savais faire, je lui rendis son baiser… .. Sans me rendre compte de la tournure des événements, sa main prit la mienne et la posa sur son sexe… .. Une onde brûlante me zébra le bas-ventre, je sentis un liquide visqueux couler à l’intérieur de mes cuisses. .. La peau de son sexe était douce, et très chaude… .. Voyant que je restais ainsi bêtement la main posée, il me l’enroba de la sienne et la referma sur son gland. .. Il entama de haut en bas une caresse qui me fit penser au mode de masturbation des garçons…, d’ailleurs, à mon humble avis, c’en été une. .. J’en étais à peine à mon deuxième voyage, que je me rendis compte que le volume et la dureté de sa verge avaient été multipliés par dix… .. Voulant avoir le cœur net, je quittai un instant ses lèvres et, dirigeant mon regard, je fus sidérée par l’ampleur de la chose. .. Prenant peur, je repris mon livre, et ouvrant une page au hasard, me remis à lire… .. Ton père me l’arracha des mains et me fit comprendre qu’il fallait terminer ce que j’avais commencé… .. Il me fit poser la tête sur son ventre, me remplit la main gauche de ses testicules et la droite, la replaça sur son gland turgescent et baveux, telle une limace… .. De toute évidence, ton vieux était dépucelé depuis belle lurette… .. Après quelques minutes de traitement, ton père commença à geindre, puis à grogner comme un vieux sanglier solitaire… .. Soulevant l’arrière de ma robe, il glissa sa main sur mes fesses, passa dans ma culotte et son majeur me pénétra l’anus sans aucun ménagement dû à mon innocence… .. Dans un autre moment, je lui aurai certainement collé cinq de mes doigts sur la joue, mais là…, intéressée par ce qui allait sûrement se passer, je fis semblant de rien et accélérai le mouvement, lui donnant même un sens rotatif afin que le parcours lui semblât plus long. .. Il finit d’enfoncer à fond sa doigtée inconvenante, il cabra son bassin, approchant un peu plus son sexe de moi, et en murmurant : « Ohhh…, oui, je crache », une énorme giclée m’atteignit en plein visage, me rendant presque aveugle… .. Surprise par l’arrosage intempestif, j’arrêtai mon mouvement pour admirer mon travail et l’énorme bouche du monstre vomir de larges et épaisses bandes couleur anis. .. Il me supplia de continuer, et le spectacle continua de plus belles… .. Maintenant, son sperme sautillait comme une sauterelle et venait s’étaler sur mon poignet. .. Il finit par arrêter ma main en soufflant d’étonnement… .. Son doigt glissa hors de mon anus évasé par ses nombreux allers et retours… .. Puis se forçant à aller plus loin, il me pénétra mon vagin et siffla d’étonnement en commentant :
« Ben dis donc ma grande…, t’es loin d’être insensible aux charmes de ma queue, si j’en juge les débordements de ton vase à fleurs !!! »
« Gênée par sa remarque, par ma main et mon visage couverts de son sperme, je me levai à la recherche d’une serviette et m’essuyai tant bien que mal. .. Lorsque je revins m’allonger, il coucha sa tête sur ma poitrine et commença à me caresser le ventre par dessus ma robe… .. J’avais une certaine appréhension… .. Elle s’avéra juste, quand sa main passa sous mes vêtements… .. Lorsque ses doigts effleurèrent ma culotte au niveau de mon sexe, je sursautai et entrepris de me dégager pour me relever… .. Mais aussitôt, ses doigts agiles passèrent sous le tissu et l’un d’eux pénétra profondément mon sexe, me bloquant sur place… .. Il me dit qu’il n’y avait pas de raison qu’il ne me fasse plaisir comme moi j’avais fait pour lui, sinon ce ne serai pas juste… ..Je me calmai et, après tout, trouvai assez logique son raisonnement… .. Il fit glissait en bas de mes pieds le seul obstacle à ses turpitudes et je me retrouvai avec le grand écart, la chatte offerte et dégoulinante, prête à subir ses assauts… .. Il dégagea son autre main, la posa en haut de mon sexe et entrepris de me titiller le clitoris, tandis que l’autre, profitait d’énormes coulées de ma lave incandescente pour glisser son majeur dans ma plus profonde intimité… .. Je ne pus retenir mes gémissements, après plusieurs voyages de son doigt, je crois m’être évanouie au premier orgasme, éjectant une quantité de mouille impressionnante, jamais atteinte lors de mes câlins solitaires… .. Bercée par ses attouchements, je revoyais son énorme pieu vomir son jus de couilles à même mon visage et me laissais glisser vers une multitude d’orgasmes sans fin, éjaculant comme un homme… .. J’en étais peut-être à mon cent-millième évanouissement quand, sans prévenir, mon amant changea la position de ses doigts… .. Il me pénétra le vagin de son index, tandis que son majeur me perfora l’anus… .. J’allais retirer sa main, quand une vague encore plus délicieuse, me submergea et, plutôt que de la retirer, je l’appuyai pour qu’elle me pénètre plus profondément…, si c’était possible… .. Sans m’en rendre compte, il accéléra ses mouvements sur mon clito et, prise de panique, je fis un gros pipi sur ton papa… .. Au lieu de s’en plaindre comme je l’aurais supposé, il m’encouragea : « Ouuuiii, ma grande…, voilà…, c’est très bien, laisse-toi aller, continue…, jouis, c’est bien ! »
« Enfin, quand il arrêta la douce torture, le plancher autour de nous ressemblait à une piscine… .. J’étais, tout de même, gênée et je dus insister, pour qu’il retirât ses doigts de mes intimités… .. En fait, c’est lui qui nous a dépucelées, ta mère et moi…, mais bon, c’est une autre histoire et il se fait tard… »
Je sortis de ma torpeur, ébahi et surtout excité comme un baudet dans un harem de juments vierges.
« Ah ben non, Nath…, raconte-moi le reste… ! »
Ma tante regarda sa montre…, le seul vêtement qu’elle portait :
« Bon, il est presque minuit…, d’accord, mais après, faudra que tu transportes ta cousine dans sa chambre, on ne pourra plus la réveiller ! »
Tatie se régala une fois de plus de mon érection et s’apprêta à continuer…

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