L’autre matin, Je suis appelée par Marina qui a besoin d’un service.
Je m’y rends l’esprit léger même si elle habite dans une cité un peu louche. Je gare ma voiture sur un parking désert et lorsque je rentre dans le hall de son immeuble, cinq jeunes racailles sont assis sur les marches de l’escalier.
Je leur souris en leur disant bonjour, en leurs demandant de se pousser pour me laisser passer.
Un seul me répond :
« Ha oui ? Tu veux passer ? »
« Oui, s’il vous plaît. »
L’un d’eux se lève et je me glisse entre eux en les remerciant.
« Mais il faut être gentille avec nous. »
Celui qui c’est levée écarte ses bras me barrant le passage, en me disant :
« N’ai pas peur la bourge ! On va pas te manger. Tu sais qu’t’es bien roulée la meuf ? »
Un autre lance :
« Vous avez vu ses airbags les mecs ? »
Le plus entreprenant des cinq, me demande :
« Pour passer, tu nous montre tes nibards ? »
Je m’insurge mollement en refusant et leurs disant :
« Bon ! Laissez-moi passer je dois aller voir ma copine. »
Ils rigolent en disant :
« Pas nibards ! Pas de passage ! »
Les cinq racailles me regardent et attendent que j’ouvre mon corsage. Le chef de la bande me relance :
« Allé ! Montre nous tes loches ! Tu dois en avoir l’habitude ? Les bourges comme toi on les connaît et si t’es aussi salope que ta copine, ça doit pas te poser de problème. »
Je suis surprise.
« Mais… Mais… Comment savez-vous qui je vais voir ? »
A nouveau ils rigolent en me disant :
« Marina c’est la seul meuf qui habite dans la cage. Et c’est une sacré salope ! Bon arrête de faire la mijaurée et montres-nous tes loches ! »
A ces mots j’écarte légèrement l’échancrure de mon corsage dévoilant mon soutif de dentelles noir et rouge qui met en valeur mes seins. Je leurs offre une vue imprenable sur ma gorge opulente.
« Pas mal, mais on veut en voir plus la bourge ! »
J’ouvre entiérement mon corsage en le regardant droit dans les yeux et provocante je lui lance :
« Alors satisfait ? J’peux passer maintenant ? »
Leurs jeux prenaient un aspect qui ne me rassure pas trop.
« Vire ton soutif salope ! »
Deux mecs m’att****nt par les bras, pendant que deux autres font sortir mes seins des balconnets du soutien-gorges. Je n’ose plus bouger alors que leur chef s’approche et se met à me palper les seins.
« Hé qu’est-ce que vous faites !!? »
« Je teste la marchandise. C’est normal non ? »
là l’un deux passe ses mains sous ma jupe et arrache mon string. Cà se passe si vite que je n’ai même pas le temps de me débattre.
« Voilà comme j’aime les bourges ! »
Ils me lâchent et me laisse enfin passer en rigolant de mon émoi. Je me précipite jusqu’à la porte de Marina où je frappe comme une forcenée. Dans la cage de l’escalier je les entends qui se chamaillent en se disputant mon soutif et ma culotte qu’ils m’ont subtilisés.
« Putain t’es con on aurait pu l’embarquer dans les caves pour la baiser cette grosse pute ! »
« Ouis ;;; Mais rends moi sa culotte ! »
« On irait bien chez sa copine, non ? »
Enfin Marina m’ouvre et s’étonne de mon désarroi et de me voir les seins à l’air. Je lui explique ma mésaventure quand on entend frapper à la porte. Marina va ouvrir et les cinq loubards s’engouffre dans l’appartement de ma copine.
L’un d’eux fait tourner au bout de son doigt mon soutif, alors qu’un autre renifle mon string en demandant :
« Tu veux récupérer ton soutif salope ? Pour ton string c’est trop tard. Mon pote l’a détruit ! »»
Marina intervient :
« Hé qu’est ce que vous faites les mecs ! »
« Ta gueule Marina ! On va s’occuper de toi aprés ! Alors ? Tu veux le récupérer ou pas ? »
Je ne sais pas trop quoi faire et devant une telle situation c’est la femelle qui prend le dessus et je lui réponds d’une voix hésitante :
« Heu…Oui bien sûr ! »
« A poil alors ! »
« Non mais ça va pas non ! »
Marina me vient en aide.
« Foutez la paix à ma copine ! Cassez-vous bande de salops ! »
Mais le chef lance :
« A poil toi aussi la pute ! »
Marina et moi nous nous regardons interloquées et j’ose lui dire :
« Mais… On est pas des salopes qui s’exhibe devant n’importe qui sur demande ! »
Ils se mettent en colère et en me biffant ils nous ordonnent :
« Bon les putes, ça suffit ! on va pas rester là cent dix ans ! A poil ou c’est nous qui nous en occupons ! »
Le ton est monté d’un cran et je les sens soudain prêt à nous faire v******e.
« Ne nous faites pas de mal on va se déshabiller. Mais ne nous faites pas de mal. »
Fébrilement , nous leur faisons un strip-tease en règle. Ils s’approchent de nous et avec un sourire malsain, il commence à nous peloter les seins. On se laisse faire comme deux grosses salopes de peur qu’ils deviennent violents. Mais bien sûre, ils n’en reste pas là et leurs mains passent sur nos fesses et nos pubis. Il ne m’en faut pas plus pour que je me prenne à leurs jeux. L’un deux me fait un suçon dans le cou et je ne peux m’empêcher de gémir. Le chef fourre sa langue dans ma bouche et je réponds machinalement à son baisé fougueux. Des doigt me fouillent la chatte et s’agitent frénétiquement dans mon vagin. Je vois un instant Marina qui est à genoux entrain de sucer les deux autres. Ils s’enhardissent en me voyant réceptive à leurs attouchements. Un sexe dure se cale derrière moi dans ma raie des fesses. Il le frotte contre mon cul puis le glisse entre mes cuisses en commençant de petits va et viens. Le chef m’appuie sur les épaules pour me mettre à genoux et sort sa queue en me disant :
« Suces-nous salope ! »
Je suce les deux bites qui se présentent devant ma bouche et celui qui est derrière moi en profite de ma position pour placer son sexe contre mon anus. Je tente de le repousser en lui disant :
« Non pas per là ! »
« J’vais me gêner connasse ! »
Il pousse ferment sa verge contre mon cul et s’y enfonce de toute sa longueur. Je tente de crier mais les queues que je suce m’en empêche.
« Haaa oui elle est bonne cette grosse salope !!!! »
Marina à côté est à quatre pattes et se fait enfiler la chatte en suçant la grosse bite d’un autre.
« Ouais !!! Sa copine est bonne aussi ! Elle prend son pied comme une vraie chienne ! »
Il me bourre le cul si violemment que j’ai l’impression que l’on me déchire l’anus. Petit à petit, la douleur s’estompe pour laisser place au plaisir. Ils me change de position et je me retrouve rapidement avec deux gros machin dans la chatte et dans le cul qui me ramone frénétiquement pendant que le troisième me baise la bouche. Rapidement mon orgasme monte dans mon ventre. Soudain celui qui m’encule donne un coup de rein plus violent et lâche sa crème dans mes fesses.
« Putain elle est bonne cette pute ! J’joui dans son cul de salope ! »
Aussitôt celui qui est dans ma bouche réplique :
« Yes moi aussi ! J’vais lui nettoyer les amidales ! Haaa ouiiii !!! »
Ses giclées sont si forte que je m’en étouffe. Il n’arrête pas d’éjaculer alors que l’autre continue ses coups de boutoir dans mon vagin. J’avale le sperme pendant que l’autre me secoue comme un bout de viande. Puis il se retire brutalement, vient devant moi et m’asperge la figure de son sperme en disantt :
« Prends ça dans gueule de chienne sac à foutre ! »
Tout en reprenant mes esprit, je regarde Marina qui continue de se faire sauter par les deux autres.
« Putain elles sont chaudes les deux putes ! »
Ils soulèvent ma copine et l’embroche sur les deux bites dressées comme des menhir. Empalée de cette façon elle pousse un feulement de lionne qui déchire la pièce. Les va et viens des deux mâles rend folle Marina. Ses seins sautent en tout sens. La scène est d’un érotisme débridé.
« AAAAhhhhhh putain… j’vais jouir !!!!! »
« Moi aussi ! Viens on va lui en mettre plein la bouche à cette truie ! »
Ils se retirent, se place devant sa bouche qu’elle ouvre en grand et de longues giclées de foutre inonde son visage et sa langue.
« Allez bois tout salope !! »
Elle referme ses lèvres sur son sexe et avale son jus , puis elle nettoie la bite de l’autre.
Ils se rhabillent nous laissant en plan encore hébétées et filent en nous laçant :
« A très bientôt les putes ! »
Remises de nos émotions, nous allons prendre une bonne douche et nous nous cajolons ensembles pour jouir entre filles.
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