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Voyeurs, voyeurs

Voyeurs, voyeurs



Tu avais répondu à une annonce sur le net où il était recherché une jeune femme qui accepterait de s’exhiber dans une soirée privée. L’annonce parlait de strip-tease, curieuse tu avais appelé le numéro indiqué. Avoir une femme au bout du fil t’avait rassuré, elle t’avait expliqué ce qu’elle attendait de toi et convaincu de venir samedi soir dans sa villa pour te montrer nue et faire quelques jeux pervers de soumission devant des personnes plus âgées que toi.
Comme convenu tu te présentes au rendez-vous, pas totalement naïve tu savais que l’on allait te faire faire des petites cochonneries devant de vieux voyeurs pervers. Une femme, celle du téléphone sans doute, t’accueille sur le perron de la villa, très classe, style bourgeoise, tes dernières craintes s’envolent lorsque tu l’entends te vouvoyer, tu apprécies cette forme de respect qui achève de te rassurer.
C’est donc confiante que tu la suis dans un salon où t’attendent les invités. Il y a là six personnes, toutes bien mises, robes élégantes pour les femmes, costumes cravate pour les messieurs, pas du tout l’idée que tu te faisais de vieux pervers lubriques. Ils ont tous soixante ans passés, un des hommes doit même approcher les quatre-vingts à en juger par la profondeur des rides qui marquent son visage. La maîtresse de maison t’invite à t’asseoir et t’offre un verre, les autres convives ont tous une coupe de champagne à la main et tu trinques donc avec eux. Une conversation de salon s’engage, chacun s’intéresse à toi et te fais poliment la conversation, ce que tu fais dans la vie, tes goûts, le dernier roman que tu as lu, tout y passe. Le vieux monsieur, particulièrement vif d’esprit, t’es particulièrement sympathique, sa conversation est agréable, son regard brille, il semble faire preuve d’une réelle empathie à ton égard, son éducation et sa manière de s’exprimer te font le classer dans la catégorie « gentleman ».
Une bonne demi-heure se passe, avant que les invités ne se dirigent vers un grand salon, la femme t’accompagne dans une chambre pour te dévêtir, tu te sens détendu et complètement à l’aise après ce début de soirée en bonne compagnie. Tu as hâte de commencer l’exhibe, la femme t’observe dévêtue et te tend une petite culotte blanche en nylon en te demandant de la porter.
Alors tu rejoins les voyeurs et voyeuses dans le grand salon, tu es surprise de les voir tous assis côte à côte, comme au spectacle, sur des chaises parfaitement alignées. Placé à quelques mètres devant eux un grand miroir sur pied, tu comprends que tu dois faire ton exhibition devant la glace, ton côté narcissique n’en est que plus flatté, tu vas pouvoir te regarder pendant qu’ils te matent…
Sans hésiter tu te places entre le miroir et les voyeurs et leur tourne le dos, ils peuvent ainsi voir ton coté pile à loisir et dans le reflet du miroir ton ventre, tes seins, ton visage… cela ne t’a pas surpris que la femme te joigne les poignets au-dessus de la tête avec une cordelette, soumise tu attends ses ordres en regardant dans le miroir les spectateurs derrière toi. Le vieux monsieur te plaît vraiment , il pose sur toi un regard « émerveillé », plein de gentillesse. Alors la maîtresse de maison s’adresse à toi et te dit : « danse ma chérie »
Tu commences alors ton show, le genre d’exhibe que tu adores et que tu sais très bien faire, en te regardant dans la glace tu ondules de tout ton corps et plus particulièrement du cul puisque celui-ci est justement tourné vers l’assistance. La femme s’approche alors de toi et c’est à peine si tu as le temps de remarque l’objet qu’elle tien à la main, sans t’avertir, sans attendre, le coup claque, sec, cinglant, la cravache s’est abattue sur ta fesse. Surprise tu cherches son regard, tu n’y vois aucune expression, un regard vide, une femme froide, tout à son jeu pervers, brutal…
La surprise passée, ce jeu te plaît, tu es venue pour t’exhiber, te soumettre, te faire attacher devant des pervers, tu y’ es maintenant. La femme te dit alors d’un ton cassant « donne-moi ton cul », cet ordre n’était pas nécessaire, tu allais de toute façon le lui donner, mais entendre ces mots crus t’excite au plus haut point, sans doute le sait-elle. Tu creuses les reins, jettes ton cul à la rencontre de la cravache, vers les mateurs qui en prennent plein les yeux. La femme te faisait danser à sa guise, frappant avec une précision redoutable tes fesses, tes cuisses, lentement plus rapidement ou en saccades. Tu te regardes dans la glace, ce que tu vois est obscène, tu danses, tu ondules, tu te trémousses au rythme des coups de cravache dans une sorte de communion avec cette femme, une danse de salope entre une maîtresse et sa soumise. Les petits coups de cravache précis ne te font pas mal, elle sait doser sa force pour te stimuler sans douleur, ainsi les coups n’étaient que sublime saveur, elle te rend folle, tu danses comme une possédée, ton corps est perlé de sueur, tu sens le désir qui monte, et soudain le tendre supplice s’arrête d’un coup sans prévenir comme il avait commencé.
Elle te détache et prend tes poignets pour maintenir tes mains dans ton dos et t’amène alors devant le vieux monsieur. Elle sait certainement ce qu’elle fait la cochonne, elle sait très bien observer les gens. Tu es debout devant le vieillard assis sur sa chaise, son regard est planté droit sur le triangle de ta petite culotte lorsque la femme te fait ouvrir les cuisses en s’aidant de la cravache et te dit : «pisse maintenant »…
Tu ne t’attendais certainement pas à ça, mais tout compte fait ça t’excite de pisser devant ce monsieur qui pourrait être ton grand-père et qui te plaît bien, tu as envie de lui faire plaisir. Délicatement, le regard toujours fixé sur ta culotte, il te tapote gentiment la vulve des doigts à travers le nylon pour te presser de pisser, alors dans un grand relâchement, au comble de l’excitation, tu te vides complètement, l’urine inonde ta culotte qui laisse maintenant par transparence deviner les lèvres de ton sexe. Le vieux monsieur att**** alors le petit bout de nylon trempé pour enlever ta culotte, tu frissonnes de sentir et de voir ces vieux doigts noueux, fripés et malhabiles , toucher ta peau si douce. Voir le regard brillant de désir du vieillard et sentir le contact rugueux de ses mains qui te dénudent provoque en toi une excitation intense, mais sitôt ta culotte envolée, la femme t’écarte et t’emmène vers l’immense table du salon sur laquelle elle te fait t’allonger.
Le contact rude et froid de la table sur ta peau provoque une nouvelle sensation, tes poignets et tes chevilles sont vite immobilisés par des sangles, tu ne peux pratiquement plus bouger. Tu te sens comme une femelle offerte en sacrifice, les pervers vont pouvoir jouer avec toi comme ils le veulent, ton excitation est à son comble, tu as envie d’être touchée, caressée, baisée, prise violemment et surtout tu ne penses plus désormais qu’à jouir, t’éclater, prendre ton pied, le désir d’un orgasme a pris la place du simple plaisir de te montrer nue, tu attends le moment ou ton corps sera délivré de ce trop-plein d’excitation… La femme te bande alors les yeux et commence à t’enduire le corps d’une sorte de liquide huileux à l’odeur musquée et enivrante qui envahit la pièce. Tu frissonnes de plaisir, la sensation est agréable et la privation sensorielle, le fait de te retrouver dans le noir, fait soudain que mille idées perverses se bousculent dans ton imagination. Les caresses commencent, douze mains glissent sur toi, te palpent chaque parcelle de ton corps, des doigts tirent et pincent tes tétons, d’autres caressent ta chatte, ça te rend folle, tu ne peux ni voir ni bouger, mais tu sens le plaisir monter, tu es leur chose, leur objet sexuel, ils vont te faire jouir, tu n’as plus que ça en tête maintenant, tu contrôles comme tu peux le plaisir pour ne pas te laisser submerger trop vite, tu as envie d’un orgasme, mais tu le veux très fort tu sens alors que l’on appuie sur ton sexe une sorte de boule qui se met à vibrer, un vibromasseur, pas un gode, juste un vibro qui excite l’entrée de ta vulve et ton clitoris. Tu es au summum de l’excitation, les vibrations du sex toy sur ta chatte, sur ton clito, toutes ces caresses qui se succèdent sans arrêt te font trembler de plaisir des pieds jusqu’à la tête, tu n’en peux plus, tu commences à gémir, prête à te laisser aller, à laisser l’orgasme te foudroyer, quelqu’un détache alors tes liens et enlève ton bandeau. Sans que tu saches comment tu te retrouves avec le vibromasseur dans la main la femme t’ordonne alors de te baiser, de prendre ton pied, maintenant, tu tiens l’engin à deux mains et le presse de toutes tes forces sur ta chatte, un tremblement parcourt tout ton corps et tu lâches un cri aigu lorsque les spasmes de l’orgasme t’emportent au ciel…

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