Ma petite femelle, ou ma petite chienne, c’est un des surnoms que me donne parfois mon homme.
J’aime quand il m’appelle ainsi. Je me sens plus chienne, plus a****l. Comme je suis d’un tempérament curieuse et toujours ouverte à toute expérience. J’adore raconter des aventures sexuelles quelles soient réelles, romancées ou totalement sorti de mes fantasmes. Si mes récits vous plaisent, faites savoir de manière cru et n’hésitez pas à me traiter comme vous voulez. J’adore ça. Si vous avez des suggestions d’histoire confiez les moi. J’ai très envie de vous faire partager mes délires. Voilà une histoire à peine romancée qui c’est déroulée il y a environ cinq ans.
Ma voiture tombée en panne, je décide de rentrer en auto-stop. Il va bientôt faire nuit lorsque une voiture s’arrête. C’est une voiture de sport. J’ai de la chance.
Le chauffeur est plutôt du genre costaud, rugbyman. C’est pas pour me déplaire. Au bout d’un quart d’heure, alors que nous logeons une plage, il se gare sur un parking désert. Je me dis :
« C’est pas possible ! Y va pas essayer de m’emballer ? »
Il se tourne vers moi en me disant :
«J’avais prévu de me baigner en passant. Si vous voulez rejoignez-moi dans l’eau ! »
« Heu… Mais c’est que je n’ai pas de maillot ? »
Il rigole et me charrie en me répondant :
« Pas besoin de s’encombrer d’un maillot ! Il fait nuit ! Personne ne vous verra ! »
Je n’ai pas envie de rester seule sur ce parking, de nuit, alors je le suis. La douceur de la soirée incite à la baignade. Mais je ne veux pas me mettre nue devant cet inconnu. Lui est bien moins gêné et je devine son corps nu juste éclairé par la lune. Des frison envahissent mon ventre en voyant en hombre chinoise son engin. J’enléve mon jeans et c’est en string et une simple tunique de lin égyptien diaphane que je plonge dans l’eau fraîche. Sur le coup, je n’ai pas pensé que le tissu allait devenir aussi transparent. Quand je ressors, je suis comme nue devant les yeux de cet homme qui se régale du spectacle et bande comme un âne.
Il reste un instant mater la transparence de ma tunique qui ne cache plus grand chose de mon anatomie. Je lui dis d’un ton équivoque :
« Vous n’avez pas honte de me mater comme ça? »
Il me sourit en disant :
« Difficile de faire autrement. »
Je rougie légèrement, certaine de mon pouvoir séducteur.
Au bout de la plage, une crique offre un refuge discret. Courtois, l’homme me dit :
« Voulez-vous vous sécher au creux de cette grotte ? »
Arrivés dans cette grotte, il se tient derrière moi et doit avoir une vu imprenable. Je suis troublée à cette pensée. Il casse ce silence en disant :
« Au faite moi c’est Christian ! »
En me tournant vers la mer où un merveilleux coucher de soleil teinte de rose la surface des flots, je lui réponds :
« Michèle ! Enchantée ! La vue est vraiment extraordinaire d’ici ! Ne trouvez-vous pas ? »
« Heu… Oui oui vraiment joli spectacle avec un point de vue imprenable! »
Mais ces sur moi que son regard est dirigé. Le remarquant, sur un ton faussement agacé, je lui dit :
« Je parlais du coucher de soleil et pas de la transparence de ma tunique.! »
Avec un aplomb qui me surprend, il me dit :
« Vous le faite exprès pour m’allumer ? Vous êtes dans un endroit désert avec un inconnu et vous vous exhibez quasiment nue ! Je pourrais vous sauter dessus !»
Je reste figée et presque admirative devant cet homme dont l’engin pourrait servir de porte d****aux. Christian sur un ton coquin me lance :
« Qu’attendez vous pour goûter à mon sucre d’orge ? »
Je mouille déjà et j’en ai envie. Il n’a pas besoin de me le dire deux fois. Je me rue presque sur son membre si gentiment offert. Son ton change et il se met à me complimenter de façon plutôt grivoise. J’aime ça.
« Oui, oui, salope, tu suces bien ! C’est vrai que t’es bonne ! Bouffe-moi bien la queue petite chienne ! »
Je me sens belle et forte. Sa bite est superbe. Je le suce avec toute mon expérience et j’ai une envie folle de le sentir éjaculer dans ma bouche. Je tente une gorge profonde et mon nez s’enfonce dans sa toison pubienne.
Je sens enfin sous ma langue les soubresauts de sa verge, prémisse de l’éjaculation. Dans un râle de bête blessée, son sperme inonde ma bouche. Je l’avale puis en lui souriant, je me relève et lui demande :
« Bouffez moi le minou ! J’ai envie aussi de jouir ! »
De bonne grâce, il commence à me brouter le minou. Ses lèvres sont douces, sa bouche est chaude sur mon sexe salé et accueillant. Sa langue est habille et il sait comment me faire monter en moi l’orgasme. Il aspire mon clito, glisse sa langue dans mon vagin détrempé de cyprine. Il écarte mes fesses pour me faire une feuille de rose. Il est trop bon. Je me retiens de jouir tout de suite pour prolonger cette divine caresse. Mais, d’un ton dominateur cette foi, il m’ordonne :
« A quatre pattes salope! Cambre ton cul de pute !»
J’aime ce genre d’ordres brefs de mâles qui savent ce qu’ils veulent. Obéissante, je lui offre mon intimité juteuse. Il introduit deux doigts profond dans mon abricot en me branlant de plus en plus rapidement et de plus en plus fort. Je commence à gémir de plaisir. Tout à coup, il change d’orifice. Sans me laisser le temps de réagir, il enfonce deux doigts, lubrifiés par ma cyprine, dans mon petit trou. Ce manège le fait rebander et il remplace ses doigts par sa grosse queue et me sodomise puissamment. Sa sodomie déclenche un orgasme profond qui me submerge et m’anéantit. Je lui demande alors d’arrêter de me limer le cul. Mais il n’en a pas l’intention. Sa queue plantée entre mes fesses en feu, il me bourre en me pétrissant les seins. Ses coups de reins se font toujours plus violents, toujours plus profonds. Puis, il s’enfonce au plus profond de mon fondement pour exploser en moi.
Après avoir recouvré nos esprits, nous retournons à sa voiture. Une petite heure plus tard, Il me dépose chez moi. Avant de se quitter, nous échangeons nos téléphones et je lui souffle :
« Merci pour tout ! A bientôt j’espère. »
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