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LA BARONNE (PARTIES 1 & 2)

LA BARONNE  (PARTIES 1 & 2)



LU SUR LE NET

La baronne Roberta Von Klit, un mètre soixante dix ; quatre vingt kilos, très blanche de peau (laiteuse), cheveux noirs corbeau, coupés court, un visage de madone aux yeux en amande, d’un vert très clair.
Naturellement velue sous les aisselles avec un pubis en triangle très fourni également très noir, qui lui fait un tapis bouclé, remontant presque au nombril.
La baronne âgée d’une cinquantaine d’années est dotée d’une volumineuse poitrine, quasiment 110E, (les amateurs apprécieront…) avec des tétines très grosses d’un brun foncé ; sa taille est relativement fine si l’on admet un ventre rondelet.
Son fessier est volumineux, son cul bien fendu, voluptueusement cambré. (ce qui fait dire que l’on pourrait poser un verre sur sa croupe).
Madame Von Klit adopte des tenues sévères, le plus souvent de couleur noire, tailleurs ou robes stricts qui ne peuvent malgré tout cacher ses rondeurs voluptueuses.
La belle baronne a l’habitude de porter des dessous d’un extrême raffinement bien que de grande taille, soutien gorge et large culotte de dentelles noirs. Porte jarretelles de même couleur et bas de soie avec couture, été comme hiver. Enfin des escarpins vernis à hauts talons qui cambrent d’avantage encore ce corps potelé et appétissant.
Roberta est aujourd’hui alanguie en peignoir de satin, dans son boudoir, attendant la visite de Vanessa une bourgeoise d’une trentaine d’années qu’elle a rencontrée dans un cocktail et qu’elle a invité à prendre le thé. La jeune femme l’avait attiré et il avait paru que ce sentiment était réciproque, même si l’on en était alors resté à des mondanités polies.
Roberta avait l’habitude et la réputation aussi de séduire de jolies jeunes femmes et de les initier aux amours saphiques…
Vanessa, effectivement qui se rendait chez la baronne, se sentait bien troublée, l’autre soir, le parfum, les attitudes équivoques de la belle quinquagénaire, l’avaient interrogé, elle qui avec son époux banquier falot ne connaissait rien de l’amour sinon celui du devoir conjugal, se sentait chavirée d’un étrange désir que pourtant elle ne voulait point admettre.
Vanessa, pourtant s’était décidée à se rendre à cet étrange rendez-vous, finalement bien excitée, bien qu’elle refusât de se l’avouer.
La jeune femme aussi blonde que la baronne est brune, est une jolie bourgeoise au nez mutin, ses cheveux mi longs encadrent un fin visage qu’illuminent de grands yeux bleus.
La peau dorée, la belle jeune femme a fait une seule concession à l’érotisme s’épilant le pubis qu’elle avait peu fourni, elle est depuis lors imberbe de tout duvet et quand elle ôte sa culotte apparaît une jolie vulve, la fente délicate, indécente apparaissant sans pudeur, un trait horizontal ourlé de lèvres petites et charnues…
Du haut de ses un mètre cinquante cinq, Vanessa respire la fraîcheur et la jeunesse. Elle a revêtu pour la circonstance une robe de soie légère, un petit slip blanc bordé de quelques dentelles et un soutien gorge balconnet de même couleur qui met en valeur ses jolis seins en poire.
Bien qu’elle ne veuille toujours pas se l’avouer, Vanessa est troublée par la belle baronne et elle se rend bien compte que l’invitation n’a rien d’innocent ; cette femme l’a littéralement dévorée des yeux l’autre soir et aussi naïve qu’elle soit dans les jeux de l’amour elle sait au plus profond d’elle-même que quelque chose va se passer…
Arrivée à la porte de l’appartement de Roberta, Vanessa est introduite dans le boudoir par un majordome noir, qui referme la porte derrière elle.
La baronne se lève froufroutante accueillant son invité qu’elle embrasse comme une amie de toujours…Vanessa manque défaillir noyée dans le parfum de son hôtesse.
– Chère petite amie, je brûlais de vous revoir, je vous trouve tellement ravissante !
– Je…j’avais également envie de vous revoir…- réussit à balbutier la charmante invitée.
– Venez vous asseoir près de moi sur le sofa, nous allons boire le thé et papoter comme de véritables amies…Ou peut être préféreriez vous quelque chose de plus fort ?
– Whisky ? Allez d’accord pareil pour moi.
Roberta sonna son domestique qui réapparut quelques instants plus tard avec une bouteille deux verres et des glaçons.
Trinquant comme deux vieilles connaissances les deux femmes entamèrent une conversation mondaine qui peu à peu les esprits s’échauffant, l’alcool aidant prit une tournure un peu coquine. Il faut dire que Roberta avait bien entendu décidé de séduire sa jeune amie.
De fil en aiguille Vanessa, en vint à se confier se plaignant de la tristesse de sa vie et du vide affectif et amoureux qu’elle ressentait.
La baronne imperceptiblement s’était rapprochée de sa proie et tout en la consolant avec des mots amicaux elle l’avait finalement enlacée et la câlinant lui murmurait des paroles de réconfort puis d’amour…
Crispée Vanessa se détendait peu à peu sous les caresses presque chastes de la baronne, se défendant bien maladroitement contre les assauts tendres mais fermes de sa nouvelle amie.
– Non, il ne faut pas, je ne saurai pas, je n’ai jamais trompé….oh mon dieu… Non cela ne se peut pas vous êtes une femme, c’est mal…Oh seigneur comme c’est doux. Hmmmm…
Roberta sans coup férir avait gagné le cœur et le corps de la blondinette, forçant ses lèvres elle lui donnait un baiser profond suçant sa langue, introduisant la sienne, salivant, léchant…
– Oh Roberta, vous me rendez folle, gémit la blonde enfant répondant au baiser de son aînée, se livrant à ses caresses.
La baronne avait laissé glisser son peignoir et allongée sur le sofa elle avait savamment dépouillé Vanessa de sa robe, l’amenant sur son corps, touchant chaque centimètre de sa peau, explorant le moindre repli, ses doigts s’insinuant sous la culotte de dentelle ravie d’y découvrir la motte imberbe.
Vanessa n’était plus que volupté se laissant investir par la maîtresse femme elle répondait maintenant à ses baisers et à ses caresses, cherchant aussi à explorer le corps de son amante.
Lovée contre la baronne, Vanessa dégrafa l’immense soutien gorge, enfouissant son visage dans les somptueuses mamelles tétant les bouts durcis, léchant avidement les globes monstrueux ; en se tortillant elle réussit à baisser la vaste culotte de Roberta, ébahie par le spectacle qui s’offrait à elle.
– Oh comme vous êtes poilue, quelle belle chatte, elle est merveilleuse, mmmm les poils remontent sur votre ventre, elle est douce, toute noire, laissez moi la manger.
S’installant à califourchon sur sa maîtresse, lui présentant son abricot imberbe, Vanessa plongea son visage dans la touffe velue de la baronne, dégageant de ses doits agiles le clitoris étonnamment développé de Roberta, qu’elle se mit à téter comme une petite bite, lâchant de temps à autre l’organe raidi pour enfouir son visage et pointer sa langue dans la vulve odorante, s’y vautrant comme une jeune truie.
La baronne n’était pas en reste et irrésistiblement attirée par la vulvette écartée au-dessus de son visage elle se mit à la lécher avec application se servant de langue comme d’un sexe, l’enfonçant dans le miel de la douce conque, agaçant d’un doigt le troufignon froissé qui se contractait sous la caresse.
Les deux femmes se dévoraient sans complexe s’abreuvant de sucs délicieux, jouissant sans arrêter sexe dans bouche…
Les deux amies nues et échevelées se reposaient maintenant bouche contre bouche, buvant leur souffle se murmurant des mots tendres.
Vanessa affolée de sexe, se laissa glisser sur la moquette séparant les cuisses de la baronne, qui jambes relevées accepta volontiers l’hommage de sa jeune maîtresse. Celle ci enfouit son visage dans la chatte noire et velue léchant voluptueusement la femme fontaine qui coulait sur ses lèvres et sa langue. Vanessa reprit le gros clitoris de Roberta, pompant le bouton érigé pour le faire éjaculer. La jeune femme amoureuse se branlant d’une main tétait cette petite bite féminine avec gourmandise l’amenant à pisser sa jute féminine qu’elle buvait avec délices, pendant qu’elle enculait Roberta d’un doigt agile…

Roberta et ses amis

La baronne Von Klit a du vague à l’âme ce soir, sa nouvelle maîtresse, la jolie Vanessa, l’a quitté quelques heures plus tôt après un après midi de caresses enflammées mais la belle baronne a encore envie d’amour…Devant son psyché elle se contemple alanguie, pinçant ses énormes mamelles encore sensibles d’avoir été tétées par la jeune femme ; Roberta seulement vêtue d’un porte jarretelles tendant ses bas de soie perchée sur ses talons aiguilles peigne sa toison velue de ses ongles carminés, pinçant délicatement son clitoris érigé… Madame la baronne se branle rêvant que Vanessa lui suce la chatte…
Elle se permet un petit orgasme mais elle sait qu’il lui faudra plus ce soir. Jetant un peignoir sur les épaules elle sort de la maison se dirigeant vers le chenil, où elle entre sans bruit pour ne pas réveiller la domesticité.
Elle boucle la porte et s’approche de ses deux amis réveillés à son approche, s’accroupissant, elle flatte ses deux molosses les caressant doucement leur parlant à voix basse. Les deux puissants animaux s’étirent de contentement heureux de la présence de leur maîtresse. Les beaucerons savent que les rôles vont s’inverser et que dans la pénombre du chenil la baronne va se soumettre à leur désir bestial, devenir comme souvent leur chienne langoureuse…
Le scénario est bien rodé. Roberta se dénude ne gardant que ses bas et se glisse à même la paille son visage dans l’encolure des chiens. Elle se frotte contre les poils rêches des animaux se faisant chienne elle frotte le ventre de Titus le plus âgé, là où le pelage est plus doux, l’autre s’allonge à ses côté, attendant son heure. La baronne effleure maintenant le fourreau poilu et le masturbe tendrement, faisant apparaître hors de la gaine le bout pointu du sexe canin. Titus gémit doucement se laissant manipuler avant que d’imposer sa loi. Roberta coule comme une fontaine sa vulve sécrétant des quantités de fluides odorants… Elle se penche vers la verge rouge à moitié sortie et se met à la sucer amoureusement tétant le bout enflammé de ses lèvres peintes. Le chien se raidit, expulsant dans la bouche de sa chienne son lubrifiant. Roberta le suce avidement ses lèvres s’arrondissant sur la verge allant buter contre la fourrure de la gaine, elle palpe tendrement les grosses testicules, avalant l’engin devenu énorme, d’une incroyable raideur, le nœud est apparu et elle le retient à l’arrière se servant de sa bouche comme d’un vagin enfournant le pieu de chair jusqu’au fond de sa gorge pour mieux le ressortir, suçoter l’extrémité pointue et le ré-enfourner le pompant amoureusement. Elle avale au fur et à mesure les giclées de pré-sperme attendant que son amant se libère sur sa langue. L’a****l est au bord de l’explosion et bientôt se cambre sur ses pattes arrières éjaculant de grosses quantités de semence dans la bouche de sa maîtresse qui déglutit au fur et à mesure les rasades de liquide gluant. Elle trait le sexe démesuré l’essorant proprement ne perdant pas une goutte du sperme délicieux. La baronne va maintenant se faire saillir par le deuxième chien qui s’est relevé son sexe émergeant de la fourrure. Roberta se positionne à quatre pattes et immédiatement le beauceron vient la monter, la ceinturant de ses antérieurs. L’a****l n’a pas de mal à trouver le chemin du vagin trempé de sa chienne qui cambre son gros cul prête à se faire prendre. D’un coup le bout s’introduit entre les lèvres vaginales et s’accrochant à la femelle, Rex l’investit, son engin prenant de l’ampleur dans la douceur des muqueuses de Roberta. Elle est pleine de cette verge énorme et le molosse la soumet la prenant comme une femelle de sa race. A grands coups de reins le puissant a****l baise la baronne qui va au devant de son désir, s’ouvrant encore aux saillies de son amant. Son nœud est à ras des lèvres, d’un coup le chien se fait plus violent et rentre la totalité de sa verge dans la vulve gluante. Roberta est liée à son amant qui la maintient fermement entre se pattes. Le chien s’est immobilisé, son engin enfoui dans l’intimité de la femelle. Pendant de longues minutes il n’en finit pas de se vider à longs traits brûlant dans le ventre de sa chienne dont le vagin resserré le tète. La baronne se laisse imprégner par le molosse coulant ses orgasmes sur l’énorme barre qui la remplit toute. Son amant enfin, se retire la laissant pantelante, sa chatte noire maculée de crême toute poissée du foutre canin…
Le premier a****l maintenant reposé revient rôder autour de Roberta reposant en position fœtale sur la paille finissant de cuver son orgasme, la chatte grande ouverte toute dégoulinante de sperme blanchâtre. Le chien vient se gaver du liquide de son compagnon, lapant avidement la vulve offerte de la femme, léchant par derrière de l’anus jusqu’au clitoris, faisant frissonner la femelle consentante. L’a****l bande maintenant la truffe pleine des odeurs intimes de la chienne qui gémissante se repositionne en levrette pour lui offrir sa croupe…
Le molosse monte la femme -chienne qui se cambre prête à la saillie. Le sexe du chien émerge de la gaine poilue et le bout pointu vient frotter le vagin enflammé de Roberta, il tape contre la chatte velue et trouvant le chemin gluant enfile la femme, grossissant à mesure de ses violents coups de reins. La baronne n’est plus que volupté, gémissante elle s’offre à cette pénétration contre nature bavant de jouissance. Elle est complètement emmanchée par la bite canine, qui a pris une ampleur démesurée. Complètement investie par le chibre énorme elle pousse du cul pour aller à la rencontre de son mâle, heureuse d’être prise, sa choune frottant l’engin qui lui procure tant de bonheur. Le chien devenu maître à son tour ne décule pas, il est bien ancré dans la chatte féminine, son nœud venant buter contre les lèvres vaginales, ses testicules venant battre contre la chatte poilue de la baronne. Lui aussi veut la féconder et d’un coup de butoir plus ample il l’enfile enfonçant la nodosité dans le velours de cette merveilleuse vulve.
Roberta a la figue complètement bourrée de la verge de son compagnon et se contractant, elle le tète amoureusement contractant ses muscles intimes, sentant dans son ventre les giclées de sperme brûlant. Le molosse lui noie la figue de sa semence gluante, éjaculant sans discontinuer collé à sa femelle.
Roberta reste bloquée par son mâle de longues minutes sentant tressaillir la verge a****le dans son con noyé de foutre. Elle jouit sans discontinuer, balbutiant des mots sans suite jusqu’au moment où son vagin distendu laisse échapper le divin chibre canin.

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