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LES CHALEURS DE SOPHIE

LES CHALEURS DE SOPHIE



LU SUR LE NET

Mon nom est Sophie et je suis une jeune femme, de taille très forte. À ma naissance, j’étais déjà grosse. J’ai dû affronter la dure réalité de la vie assez tôt. J’ai toujours été ridiculisée par mes petits amis de classe « Sophie la bouboule » qu’on m’appelait.
Puis, à l’adolescence, Sophie la bouboule s’est faite plus petite, pas en taille mais en présence. Je ne sortais pas beaucoup, j’étais tellement meurtrie par tous ces regards méprisants. Je ne sortais que pour aller chez des copines.
Puis, l’école terminée, me voilà sur le chemin du travail. Devenant autonome, j’avais ma voiture et mon appartement. J’étais libre de sortir ou pas!
Tout ce que je voulais, c’était qu’on me remarque le moins possible. Je m’habillais avec des vêtements sombres, de grands pulls, bref… rien qui me mette en valeur. Rien pour me faire remarquer quoi!
Donc, me voilà seule dans mon univers. Pourtant quand je me regarde dans le miroir, je vois un beau visage avec une peau soyeuse, mais quand je baisse les yeux, je vois tout ce tas de graisse qui me répugne! De gros seins qui me ballottent sur le ventre, des replis de peau partout.
Comment être bien avec quelqu’un si je ne suis pas bien avec moi-même… J’ai des besoins comme tout le monde, j’ai une libido moi aussi et mon corps n’est pas asexué. Je me contente en me masturbant et en m’imaginant avec mon beau voisin!
Comme il est beau et élégant. Quand on se croise, il me dit bonjour et je lui souris d’un air très gênée en baissant la tête. Mon visage devient tout rouge comme une petite fille.
Alors, plus je me masturbais, plus mes frustrations devenaient grandes et j’ai commencé à collectionner les gadgets sexuels. Ça me donnait beaucoup de jouissance, mais il me manquait toujours cette tendresse. Un homme qui m’aimerait pour ce que je suis et non ce que je laisse paraître. Mais pour le trouver, encore faut-il que je sorte de chez moi, pas question! Les gens ont assez ri de moi, je ne veux plus revivre ces situations. En restant ici, personne ne peut m’injurier!
Le temps passe et je me contente toujours avec mes « bébelles » synthétiques et froides.
Un jour, je suis allée prendre une tisane chez une collègue de travail. Sa copine est venue nous rejoindre, elle est très sympa. Elle est aussi grosse que moi, alors, je ne me sentais pas jugée! On a bien rigolé, j’ai passé une excellente soirée. On a prit nos numéros de téléphone pour se voir à l’occasion.
Le weed-end suivant, je décide de l’appeler. Nous décidons que nous soupons ensemble chez elle. On prépare la bouffe ensemble et on jase librement de sujets qui nous touchent particulièrement. Puis, on s’assoie à la table pour débuter le repas.
Voilà qu’un gros chien fait son apparition dans la salle à manger. Il est énorme, je ne sais pas quelle race il est, mais je trouve que c’est un gros chien. Il s’en va directement en dessous de la table.
-il se couche sous la table?
-hum…. non, pas vraiment!
-ha! Tu lui donnes de la nourriture!
-non plus…
Curieuse, je me penche et je vois ma copine les jambes écartées et le gros chien lui lèche la chatte à grands coup de langue!
-mais…. mais qu’est-ce que tu fais?
-c’est mon amant, je te le présente, il se nomme Hercule! Il est très doué tu sais!
Je suis complètement déroutée et en même temps excitée. Elle me voit surprise, gênée et rougeâtre.
-si ça te dérange? je vais l’envoyer
-non, non, ça va aller. Je ne m’attendais pas à une telle surprise!
Tout le long du repas, je le regardais, elle essayait d’avoir une conversation continue, mais elle avait bien de la difficulté. Elle me demanda si je voulais essayer.
-non merci!
-tu as du dégoût?
-hum, ma foi… un peu!
-si tu savais. Excuse-moi, je vais revenir.
Elle est partie avec son chien. Mon corps était tellement excité, ma culotte était toute trempée. Mais jamais je n’oserais faire une telle chose avec un chien.
Puis, ma copine revient avec un grand sourire et se rassoit pour terminer le repas. Nous n’en avons pas rediscuté. Je n’avais qu’une envie, JOUIR. Comme je n’en pouvais plus, après avoir fait la vaisselle, j’ai prétexté une terrible migraine pour retourner chez moi.
J’entre dans mon appartement, je cours pour aller chercher mes godes et me dépêche à me branler pour assouvir mes pulsions d’une extrême intensité.
Je ne faisais que penser à cette bête énorme, ça me répugnait et m’excitait en même temps. Mes godes ne m’intéressaient plus, je pensais à cette chaleur que pouvait me procurer la queue d’Hercule dans mon cul. N’en pouvant plus, j’ai rappelé ma copine pour aller prendre un café.
Comme nous nous assoyons à la table, voilà qu’Hercule fait son apparition et encore le même stratagème. Cette fois-ci, elle remarque mon excitation et me demande si je veux essayer
-enlève ta culotte et écarte les jambes
-(j’ai pas mis de culotte!) d’accord, ça semble intéressant!
-tu ne seras pas déçue
Wow! Cette langue rugueuse et épaisse qui me léchait la chatte d’une seule lapée, je ne trouvais pas de mot pour décrire ce que je ressentais! Ma copine me regardait et savait ce qui se passait en moi. Je mets mes mains et écarte mes lèvres pour mieux mettre mon clito sur le chemin de cette grande langue. Ouhhh…. Mon Dieu que c’est bon. Puis encore une autre léchée et une autre, j’ai de la difficulté à garder le contrôle. Elle me dit d’aller dans sa chambre et de me mettre à mon aise. Ce que je fis. Je me plaçai sur le dos, mes grosses jambes écartées le plus que je pouvais et je les relevais au cas où cette grosse langue me touche mon anus au passage. Il le frôlait, ça m’excitait encore plus. Puis, j’ai joui comme une dingue. Je tassais le chien et il remettait toujours son nez sur mon sexe.
J’entends ma copine
-laisse-le faire et retourne toi
-je me retourne et me mets à quatre pattes
Le chien se plaça immédiatement en arrière de moi, ma copine s’approcha pour lui enfiler sa queue dans mon cul si dilaté. Il entre d’un seul coup et se met à me défoncer le cul à grands coups. J’adorais, pour une fois, j’avais un sexe chaud dans mon corps. Il ne tenait pas compte de mes grosses fesses, de mes amas de graisses et de mes gros tétons. Il m’enculait comme une chienne. Son mouvement était rapide et je jouissais beaucoup. Ma copine sortit un gode et me l’a enfilé dans ma chatte. Elle faisait des va et vient aussi. J’étais au comble de l’extase. J’ai mis ma main sur mon clitoris et j’ai commencé à le caresser, il était sur le point d’exploser. J’ai joui assez vite et le chien aussi, laissant sa semence dans mon cul et reparti.
Ma copine me regarde
-tu as aimé?
-tu parles, incroyable!
-si tu veux, tu peux toujours l’apporter chez toi à l’occasion
-oh oui, j’aimerais beaucoup.
Une fois par semaine, j’allais chercher Hercule et je l’apportais chez moi. Il m’arrivait à l’occasion de croiser mon beau voisin que j’aurais bien aimé avoir à la place de ce chien. Mais à défaut, je me faisais prendre par cette bête dans tous mes trous. Je l’ai même masturbé et j’ai avalé sa semence. Ça m’excitait de le voir jouir ainsi. Je profitais de ma journée avec Hercule, je le faisais me lécher partout, ça m’excitait, je jouissais à répétition.
Un jour, je me suis fait enculer comme jamais par Hercule, je jouissais tellement fort que je hurlais quand soudain, on frappe à ma porte. Je met un peignoir et je vais ouvrir, c’était mon voisin. Il entendait des cris et il est venu voir pour ma sécurité.
-j’ai entendu des cris et je voulais savoir si tout allait bien.
Il a vite remarqué mes joues rouges d’excitation. Il était loin de se douter que je prenais mon pied avec un chien!
-je dérange je crois?
Et comme il dit cette phrase il voit le chien qui vient se mettre le nez dans mon gros cul. Je voulais mourir de honte.
-Excusez-moi, je… je suis vraiment désolée
-ne vous excusez pas. Puis-je me permettre une question?
-allez-y
-puis-je me joindre à vous?
Je ne savais plus quoi dire, j’étais déboussolée par cette invitation et ce chien qui n’arrêtait pas de me fouiller dans le cul.
-heum… entrez
-ne soyez pas mal à l’aise, vous n’avez juste qu’à me montrer le chemin.
-par ici
Il me suivait et quand il est entré dans la chambre et s’est déshabillé complètement et m’a avoué qu’il me désirait depuis longtemps, qu’il aimait les femmes « bien enrobées ». Il s’est appuyé contre moi, a enlevé mon peignoir et s’est mis le visage entre mes gros tétons. Il aimait ça comme un fou.
Il m’a suggéré de me mettre à quatre pattes
-tu vas me donner de ces petites douceurs lui dis-je?
-non, pas tout à fait
Il installe le chien en arrière de moi et aligne sa queue énorme dans mon cul. Il me regardait me faire ballotter par ces coups de queue. Ma graisse allait dans tous les sens. J’étais gênée, mais ma jouissance l’emportait sur ma gêne. Mon voisin était très excité. Il a réussi, malgré mon épaisseur, à se faufiler en dessous de moi et m’enfila sa belle bite bien dure dans ma chatte.
-tu aimes ça hein?
-oh que si, je n’avais jamais vécu ça avant
-j’aime te voir ainsi, jouis ma belle, jouis
C’est ce que j’ai fait à plusieurs reprises. Quand le chien est venu à son tour, il débarqua et l’homme aussi. Je lui ai pris sa belle queue entre mes lèvres pulpeuses et il a joui quelques instants après, m’envoyant sa crème au fond de la gorge.
Je me rendais compte combien d’années j’avais perdues à m’enfermer chez moi pensant que personne ne me trouvait jolie.
Depuis ce temps, mon voisin Éric et moi sommes ensemble et nous baisons le plus souvent possible. Mais il nous arrive à l’occasion d’aller chercher Hercule!

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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