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L’amour à Trois….

L’amour à Trois….



L’amour à trois ?

Je vais vous raconter comment c’est arrivé presque fortuitement à une de mes amies.
Cela se passe il y a quelques années de cela, elle étudiante à Louvain-la-Neuve (en Belgique) et moi, 20 ans de plus qu’elle. Nous nous sommes connus lorsqu’elle est venue faire un stage dans une agence de pub où je travaillais à l’époque. Elle était très intelligente, super sympa, très rigolote, et très, très jolie, avec un petit côté sexy, aguicheuse. Je lui plaisais beaucoup et c’était réciproque. Nous sommes sortis ensemble, et nous sommes devenus amants. On faisait merveilleusement bien l’amour ensemble, elle était très sensuelle, voluptueuse et sans tabou. Elle aimait tout ce que nous faisions ensemble au lit, et le sexe anal est très vite devenu comme une drogue pour nous: elle adorait cela, cela lui provoquait des orgasmes très violents, très intenses. Puis elle a découvert que chez moi aussi, c’était une zone très érogène, et elle me câlinait souvent l’anus avec sa langue ou avec ses doigts.
Puis, nos vies respectives reprenant le dessus, on s’est un peu éloignés l’un de l’autre, mais elle me suppliait de rester son amant, même s’il lui arrivait de sortir avec d’autres hommes.
Il m’arrivait d’aller chez elle à l’improviste (les téléphones portables n’existaient pas encore à cette époque lointaine, et l’on ne parlait pas encore du Sida, bienheureux que nous étions…), et je possédais une clé de son petit appartement.
Et donc, un matin, je décide d’aller lui porter le petit-déjeuner, en sachant qu’en général, ce genre de visite se termine plutôt bien… J’arrive, j’ouvre la porte de l’appart, et le couloir est jonché de vêtements, les siens, mais aussi ceux d’un homme, ses chaussures… Je comprends qu’elle n’est pas rentrée seule, et je m’apprête à faire demi-tour discrètement, lorsque j’entends des bruits, des gémissements, venant de sa chambre à coucher.
Bien que la porte de sa chambre soit restée entr’ouverte, ils ne m’ont pas entendu rentrer, tout occupés qu’ils étaient.
Je ne peux pas m’empêcher de regarder par la porte entrebâillée : lui est couché sur le dos, les jambes écartées, et elle est à quatre pattes sur le lit, au-dessus de lui. Elle le suce avec volupté, une main qui va et qui vient au long de sa bite pendant qu’elle lui suce le gland, l’autre main lui caresse les couilles et l’anus.
Le spectacle est d’autant plus excitant qu’elle est toute cambrée, offrant ses fesses, sa chatte et son anus à mon regard.
Je n’en peux plus, la situation est trop érotique, trop excitante…
Je commence à me caresser, j’ouvre mon pantalon, je sors mon sexe tout tendu d’excitation, et je commence à me masturber dans le couloir en les regardant faire.
Je n’y tiens plus, et je me déshabille en silence dans le couloir, mais la boucle de ma ceinture touche le parquet en faisant du bruit… Elle se retourne, me voit nu comme un vers dans l’entrebâillement de la porte, le sexe tendu, bandé…
D’abord, toute confuse, elle commence à bredouiller quelque chose, mais je lui intime le silence en plaçant mon index devant ma bouche, en signe de silence complice, je lui souris, et je lui fais signe de continuer. Je vois que la situation l‘amuse et l’excite, et elle continue à branler et sucer son amant sous mes yeux, en remuant son petit cul et ses fesses.
Je me glisse en silence dans sa chambre. Son amant ne s’est encore rendu compte de rien, ni de ma présence, il pousse de profonds soupirs et gémissements au gré des caresses d’Anne (c’est son vrai nom).
Je me place doucement à genoux derrière elle, je la regarde faire et je trouve cela très excitant. Je caresse son dos, ses fesses, ses cuisses, ses pieds, je lui suce les orteils (elle adorait ça !), puis je remonte avec ma bouche et mes lèvres tout au long des ses jambes, je remonte sur ses fesses que je couvre de bisous tout doux, puis je redescends avec ma bouche et ma langue entre ses fesses, passant sur son anus et terminant sur sa chatte et son clitoris tout gonflé d’excitation.
C’en est trop pour elle, et elle se met à crier, à gémir, et elle dit « Oh, putain, Martin (c’est mon prénom), qu’est ce que c’est boooonnnnn !! »…
C’est alors que son nouvel amant, Pascal, se rend compte qu’il se passe quelque chose, ouvre les yeux, me voit, sursaute dans un mouvement de panique, près à s’en aller, mais Anne, fermement, mais gentiment lui fait comprendre que tout va bien, que je suis son amant, et qu’elle a envie de passer un moment avec nous deux. Un peu mal à l’aise, il se recouche sur le dos, et Anne reprend ses caresses, et moi les miennes. J’ai une idée en tête, et je lui souffle à l’oreille : « J’ai envie de te prendre avec lui….,lui dis-je »….. « Hmmmmm…d’accord… » me répondit-elle !
Je me mis alors à lui caresser et à lui lubrifier l’anus abondamment avec ma salive, je lui lèche le p’tit trou, je l’ouvre avec ma langue et je pousse de la salive à l’intérieur (ça l’a rendait absolument folle… Hmm… J’adore !! ), je glisse un doigt dedans pour qu’elle s ‘habitue, pour qu ‘elle se détende, et comme je caresse son clitoris et l’entrée de son vagin avec mon autre main, elle ne tarde pas à jouir, contractant les muscles de son vagin et de son anus autour de mes doigts, en spasmes convulsifs intenses et se répétant doucement. Elle se détend, se relâche après avoir joui très fort, toujours avec la bite de Pascal en bouche, qui, lui, n’en revient pas de ce qui lui arrive…
Je dis à Anne : « Vas-y, empale-toi sur sa queue maintenant ! »
Elle avance alors sur ses genoux, se place au-dessus de la bite de Pascal tendue vers le ciel, saisi son bel engin et elle se le glisse doucement dans son sexe tout mouillé. Elle aime, elle gémi, elle bouge doucement de haut en bas et d’avant en arrière sur la queue tendue de son amant pour le faire glisser en elle. Moi, derrière elle, je ne perds pas une miette de ce fabuleux spectacle, ça m’excite très fort de voir le sexe de Pascal entrer et sortir de la chatte d’Anne, dont les lèvres pulpeuses épousent étroitement la forme du sexe de son amant. Hmmm…. Je me caresse, je me branle, je m’astique la hampe en les regardant…
Je m’approche alors, toujours à genoux sur le lit, et je saisis Anne par la taille, mes mains sur ses hanches, et j’accompagne un instant ses mouvements, je me colle contre ses fesses, son dos, je l’embrasse langoureusement dans le cou, je lui mordille l’oreille… Elle se cambre, se redresse et passe sa main derrière ma tête, se renverse en arrière et m’embrasse tendrement.
Je l’ai alors obligé de se coucher sur lui, en plaçant ses mains de manière à écarter ses fesses…J’ai saisi mon sexe tendu, et j’ai appliqué tendrement, mais fermement, le bout de mon gland tout gonflé de désir contre la paroi de son anus, qui d’abord résiste, puis doucement cède, s’ouvre et ma bite s’enfonce en elle… Je fais très attention, je vais tout doucement, nous n’avions jamais fait cela avant, je n’ai aucune envie de lui faire mal, je veux que ceci soit un exceptionnel moment pour nous trois.
Son anus s’ouvre, palpite un moment, se serre autour de mon sexe, se desserre, se relâche enfin, et ma queue s’enfonce en elle, tout à fait, tout au bout, jusqu’aux couilles…
Elle hurle de surprise, de plaisir, et je commence à aller et venir doucement dans son cul, Pascal reprend ses mouvements aussi : c’est très étrange, parce que les parois vaginales et anales sont tellement fines et tellement proches l’une de l’autre que je sens la bite de Pascal aller et venir contre la mienne, et c’est à la fois dérangeant et très excitant, parce que ce mouvement participe aux sensations que j’éprouve tout au long de la tige de ma bite bandée…
Anne colle sa bouche sur les lèvres de Pascal pour étouffer ses cris, sa main se glisse sous son ventre, sous son pubis, elle cherche son clitoris qu’elle commence à caresser doucement et nous dit « Prenez-moi ! Remplissez-moi ! Je veux vous sentir en moi tous les deux, vous êtes à moi, entièrement à moi…. Hmmmm…. Je sens vos deux bites glisser en moi….. Hmmmm….. Je vous sens bien tous les deux…. Putain, c’est trop booooonnnnn ! N’arrêtez surtout pas ! »….
J’ai accéléré mes mouvements, donnant plus d’amplitude aux allers et retours de ma bite dans son cul, Pascal faisait de même dans sa chatte, et Anne n’a pas tardé à jouir en hurlant comme une possédée en criant « aaaahhhhh !!!! Martiiiiiinnnn, tu me fais jouir par le cuuuuuul, c’est booooon !!…. », un orgasme inouï, très violent, tout son corps était animé de spasmes, et cet orgasme s’est prolongé longtemps, avec des paliers, des étages, des moments d’accalmie, puis ça repartait, trois fois, quatre fois, je ne sais plus…
Je sentais les muscles de son anus se contracter et se relâcher autour de ma bite toujours tendue en elle… Hmmmm…. J’adore cette sensation…
Elle s’est laissée retomber sur le torse de Pascal, épuisée, à bout de souffle, abasourdie par ce qui venait de lui arriver.
Je continuais à caresser doucement son dos, ses fesses, ses hanches, ses cuisses, ses pieds… et je laissais reprendre ses esprits.
Puis elle a dit : « Hmmm…. Maintenant j’ai envie de vous faire jouir aussi, mes deux p’tits salauds d’amour !! … Attendez un peu… » Elle dit tendrement à Pascal : « Attend, je vais m’occuper un peu de lui…Et elle me souffle à l’oreille : ton idée est géniale, je t’adore ! »
Elle se dégagea doucement de nos deux sexes toujours tendus en elle dans ses deux orifices, elle fit demi-tour sur le lit, offrant ses fesses cambrées et son anus encore ouvert, dilaté, au regard de Pascal qui avait les yeux exorbités… 😉
Elle me fit me coucher sur le dos, vint se placer entre mes cuisses qu’elle caressait doucement, y déposant des petits bisous, en remontant vers mon sexe. Elle lécha mes couilles, glissait doucement sa bouche, ses lèvres pulpeuses et sa langue tout au long de ma bite toute gonflée, embrassa doucement mon gland, le léchant avec douceur et sensualité, puis elle a littéralement « enfourné » mon sexe tendu dans sa bouche, descendant tout doucement mais fermement ses lèvres tout au long de la tige de ma bite, jusqu’au moment où elle était toute entière dans sa bouche, au fond de sa gorge, ses lèvres posées sur mes couilles… Elle savait que j’adorais ça ! Puis elle est remontée tout aussi doucement, en poussant un « Hmmmm…. C’est bon de sentir ta bite dans ma bouche…. Maintenant, j’ai envie de retrouver le goût de ton sperme… »
Elle s’est retournée vers Pascal qui nous regardait en se caressant, toujours un peu étonné et surpris de ce qui lui arrivait, elle lui a souri gentiment, et elle lui a dit « Viens ! ». Il s’est mis à genoux sur le lit, derrière elle, il s’est approché, et elle a saisi sa queue encore tendue et la placée entre ses fesses en soupirant « Hmmm…. Encule-moi, s’il te plaît ! »
La queue de Pascal est rentrée dans son p’tit cul comme dans du beurre, il était encore tout souple et dilaté… Et Anne a gémi de plaisir.
Alors, pendant que la bite de Pascal allait et venait entre ses fesses, les mains fermement accrochées à ses hanches, Anne a lubrifié mon anus avec sa langue, puis elle a mis beaucoup de salives sur un doigt (le majeur) et elle l’a enfoncé avec beaucoup de douceur et de précaution dans mon anus pour me caresser la prostate pendant qu’elle recommençait à me sucer la bite….. Hmmm….. Elle savait que j’adorais ça, que si elle le faisait, je jouirais presque instantanément. Et ça n’a pas tardé : les caresses qu’elle me prodiguait avec la bouche sur le sexe et avec le doigt dans mon p’tit cul se sont additionnées, comme multipliées, et mon orgasme est parti d’un coup, violent, avec une éjaculation incroyable, forte, puissante, longue, abondante (aaahhh… les massages de la prostate….Hmmm…), tellement qu’une partie de mon sperme est ressortie par son nez (!)…. Il y en avait absolument partout….
Anne a poussé un petit cri de surprise, tout en gémissant avec ma bite en bouche : c’en était trop pour Pascal qui a poussé un grognement sourd, enfonçant sa queue tout au fond du cul d’Anne, ses mains agrippées à ses hanches et à sa taille, et il a éjaculé au fond de son cul. Ce qui a provoqué un nouvel orgasme chez Anne, qui a planté ses ongles dans mes cuisses et enfoncé ma bite au fond de sa gorge une dernière fois en gémissant « Hmmmmm….. !!! »
Alors, abasourdis, épuisés, mais heureux, nous sommes retombés sur le lit en riant comme des gamins qui venaient de faire une bonne farce…
J’ai embrassé Anne sur la bouche en lui disant « Bonjour mon Cœur ! Désolé de vous avoir dérangés, mais c’était vraiment trop tentant ! »
J’ai serré la main de Pascal, puis nous sommes aller nous doucher, et nous avons pris le petit déjeuner ensemble.
Nous avons encore deux ou trois fois fait des câlins ensemble, puis la relation entre Pascal et Anne s’est renforcée, et je me suis retiré. Anne et moi avons une dernière fois fait l’amour avant de nous séparer.
Ils se sont mariés, ils ont deux enfants, et nous sommes restés d’excellents amis, et quand on se revoit, il y a parfois un éclair de complicité dans le regard de l’un de nous trois, ou de tous les trois….

Martin.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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