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Stage de salopes (fin)

Stage de salopes (fin)



Au petit matin, alors que nous dormons encore et que nos positions sont des plus indécentes, nues sur le dos, cuisses écartées. Toute l’équipe se rince l’œil en se masturbant.
Nous nous étirons dans un feulement de plaisir quand nous sur sautant en vrayant l’attroupement entrain de se masturber.
Marina s’apprête à leurs dire d’arrêter pour pouvoir aller déjeuner quand les doigts d’un des jeunes lui effleurent la moule. Elle pousse mécaniquement un feulement de plaisir et instinctivement ouvre le compas de ses cuisses pour aller au-devant de ses caresses. Encouragés, les autres fondent sur nous et nous lèchent la moule tout en nous malaxant les nibards. Quand la langue e Paul remonte jusqu’à mon anus, je pousse un petit cri effarouché. Je me mets à quatre pattes et me cambre pour mieux m’offrir. Paul, en expert, remonte avec sa langue de ma fente vers mon anus. Puis, il insère son index dans le petit trou et commence à l’assouplir. Il remplace rapidement son doigt par son engin.
Au même titre que les footballeurs hier dans les douches, nous sommes baisées comme de grosses salopes. Je me demande bien à ce moment comment nos hommes vont pourvoir juger de laquelle d’entre nous est la plus salope. Les éjaculation commencent à nous remplir et sans me prévenir, Paul sort de mon cul et me fourre sa queue dans la bouche pour se vider. Quand il a terminé, je lui dis en souriant :
«  Et bien on dirait que tu n’as pas éjaculé depuis une semaine. »
« Il faut dire qu’avec tes copines, vous êtes très excitantes ! »
Après un déj. conviviale, nous reprenons nos travaux de restauration. L’ambiance est joyeuse et les blagues sur le sexe et sur les blondes fusent. Arrivé le midi, il fait une chaleur d’enfer. Alain ramasse le tuyau d’arrosage et dit :
« Les salopes ! Vous avez pas l’feu au cul ? »
Nous en rigolons et Sofia, provocatrice comme toujours, lui dit :
« Non ça va et toi tes couilles sont pleines ? »
Sans répondre, il ouvre l’eau et se met à nous asperger, avant ‘on ait le temps de réagir.
En un rien de temps nous sommes trempées de la tête au pied. Nos débardeurs sont devenus totalement transparent.
Tous applaudissent :
« Alain, t’es très efficace. Tu sais les refroidir ces fourneau à bites ! »
« Vous êtes vraiment cons, les gars ! On a plus qu’à aller se changer… »
Christophe intervient :
« Avec la chaleur qu’il fait ? Mettez-vous à poil se sera mieux ! »
Il faut bien admettre que nos vêtement ne servent plus à rien. Nous décidons donc de rester nues pour le reste de la journée pour le plus grand plaisir des garçons.
Quand nous allons au réfectoire le soir, Les mains se font baladeuse et nous pelote les seins parfois avec trop de rudesse. Nos hommes leurs disent :
« Doucement les mecs ! Les abîmez pas ! »
Un des stagiaire réplique :
« Avec les nibards qu’elles ont on va pas se priver quand même ! »
Christian sourit et dit :
« Ok. Mais faites quand même attention ! »
Sofia prend l’initiative et sous les yeux exorbités de nos hommes, elle saisit le sexe de deux black bien membrés et se met à les masturber. Voulant être la plus salope d’entre nous, elle incite les autres à venir se servir d’elle. Elle se retrouve en rien de temps avec cinq mec sur elle. Sa bouche son cul sa chatte sont remplis. Elle a une bite dans chaque mains.
Marina, Katia, Vanessa et moi, nous écartons de cette arène de débauche pour mieux profiter du spectacle que donne Sofia dans cette tournante infernale.
Vanessa pousse un profond soupir. Absorbée par la scène, je n’avais pas remarqué qu’elle se masturbait au point d’en jouir. On se regarde et on pouf de rire. Mais nous aussi on mouille comme des folles d’autant que Sofia couine de plus belle et se prend queue après queue, éjac après éjac tout en continuant à en redemander. Je dis ) mes copines :
«  Bon, les garçons vont automatiquement voter pour elle. On a aucune chance de gagner face à une telle nymphomane ! »

Quand tous se sont vidés en elle, Sofia n’est plus qu’une loque effondrée au sol.
Paul lance en nous regardant :
« Soyez pas jalouses les filles mais vous n’êtes pas à la hauteur ! »
Christian reprend :
« Bon occupez-vous d’elle ! Elle aura besoin de toute ses capacités pour l’apothéose demain ! Puisque vous n’avez pas été à la auteur, je vous réserve un traitement particulier ! »
Vanessa est vexée et lance :
«  Encore heureux ! Je ne suis pas une pute comme Sofia ! »
Seb la regarde d’un air sévère en lui disant :
« Toi demain tu suppliera ! »
Nous emmenons Sofia à la douche et ne voulant pas nous confronter avec les mecs nous réintégrons notre algéco et nous nous endormons avec l’angoisse du lendemain.
Le lendemain, curieusement ils nous laisse faire la grâce mâtiné. Quand nous allons déjeuner, les mecs nous propose même de ne pas travailler à la restauration et d’aller passer du bon temps à la plage. Il ne faut pas nous le dire deux fois et nous passons notre journée en farniente sur le sable chaud entre baignade de bronzage.
Nous savons pertinemment que Sofia va passer à la casserole le soir même et elle s’en réjouit. Mais pour nous c’est la grande interrogation. Je sais que Paul veut nous puinir mais jusqu’à quel point ?
De nous cinq c’est Vanessa qui est la moins rassurée avec son incartade de la vieille où
Seb lui a promis des représailles sévères pour son manque de docilité.
Quand nous rentrons au camp, les mecs ont transformé la cour du château en place des supplices médiévale.
Au milieu quatre croix on été érigées. Il y a un carcan dans un coin et des cages en grosse ferraille pendent à une poutre. Ca fait froid dans le dos. Sur une table trône des engin de tortures divers.
C’est Paul et Christian qui nous accueil très jovialement.
« Vous voyez les filles ? On a pas chaumé pendant que vous vous prélassiez à la plage. »
Paul prend la parole :
« Pour faire plus vrai ; dans la tradition médiéval, vous allez être juger par un tribunal composé par moi et vos hommes. Nous statuerons de vous pénitences sans recous possible. En attendant l’heure de votre jugement, déshabillez-vous et entrez dans ces cages. »
Nous les regardons un peu agardes et docilement nous nous mettons nues. Une fois à poils, ils nous enferme chacune dans une cage et la suspend en l’air. Puis ils nous laissent ainsi pour aller faire ripaille comme ils disent en rigolant.
Voilà presque une heure que nous nous balançons nues dans nos cages.
C’est l’heure du jugement. Le tribunal s’installe.
Paul en est le Président.
« Qu’on nous amène la dite Vanessa ! »
Je frissonne de trouille pour elle. On descend sa cage et un des stagiaires la prend par les cheveux et la jette au pied de ses juges. Elle les implore d’être clément mais les sanctions sont déjà établis.
« Par décision unanime, tu sera mise au carcan, fouettée, baisées à volonté par tout les trous !  Excursion immédiate ! »
Puis vient le tour de Katia et Marina.
« Pour vous la sanction sera plus clémente ! Vous aurez le droit à la cire chaude, aux pinces et si le cœur nous en dit au fouet ! »
Elle sont aussitôt attachées aux croix en attendant la fin du tribunal fantoche.
Vient mon tour. J’ai les jambe en flanelle. Mon cœur bat à tout rompre. Le désir, la passion, la peur des s incroyables se bousculent dans ma tête.
« A genoux chienne pour écouter ta sentence ! »
Soumise, je m’exécute. Je remarque le sourire de mon mari qui semble très satisfait de moi. Je ne veux surtout pas le décevoir.
« As tu peur Michèle ? »
Je joue le jeu et lui répond :
« Non Maitre. Je suis fière de me présente humblement devant vous ! »
Paul sort d’un sac un martinet et un fouet en me disant :
« Tu vois ça grosse chienne ? Ces instruments sont faits pour corriger les filles comme toi, qui ne se donnent pas assez aux hommes ! Tu va être attachée en croix ! Ton corps subira la morsure du fouet ! Tes orifices seront investis par des godes vibrant ! Tu en jouira sans pouvoir te toucher pendant que Sofia se fera baiser par tout le staf et l’équipe de foot local et leurs amis ! »
C’est la gorge nouée qu’on m’attache à la croix.
A ce moment, les protagonistes entre en scène. Il y a au moins une quarantaine de mâles dans la cours médiévale. Rapidement Sofia entre en action. La voilà suçant et bavant le long des queues qui se présente à elle, léchant les couilles de passage. Pendant ce temps, Certain stagiaires n’ayant pas réussi à sauter Vanessa, se venge sur elle à coup de fouet ou en lui insérant dans le vagin ou le cul des objets divers. Sofia est secouée de tout coté. Il la bourre sans ménagement et pour le moment elle semble adorer ça.
Pendant que mes autre amies se font recouvrir de cire chaude en gémissant, On vient m’enfile deux gode vibrant. Je veux crier mais rien ne sort de ma bouche.
Dans nos affres de souffrances et de plaisirs, on peut voir les orgasmes de Sofia qui se fait couvrir par plusieurs footeux.
Vanessa est zébrée de coup de fouets. Aucune partie de son corps n’a été épargné. Elle est entrain de se faire enculer par un black bien monté. Son corps est pris de spasme et je ne peux déterminer si c’est par le plaisir ou la douleur. Je suis moi même trop excitée par ces gode infernaux.

Comme Sofia n’arrive pas à satisfaire autant de mecs en même temps, nous sommes détachée et mis à contribution. Des dizaines de mecs se relayaient et nous débordons de sperme.
Toute la nuit nous nous faisons baiser toutes les quatre. Je n’ai jamais bu autant de sperme.
Vanessa n’est utiliser que pour recharger leurs batteries en s’amusant avec ses seins ou en la fouettant.
A la fin de la nuit tous repartent les couilles vides.
Les stagiaires et nos hommes vont se couché en nous laissant là comme des déchets. Il faut reconnaître que nous ne ressemblons plus à des femmes. Tant bien que mal nous détachons la pauvre Vanessa et restons prostrée les une dans les autre à même le pavé de la cour.
Le lendemain, Les rayons du soleil nous réveille péniblement. Nous sommes éreinté et couvertes de sperme séché.
J’ai un peu peur quand je vois se pointer toute l’équipe. Mais c’est avec un soin extrême qu’il nous douche pour nous laver et nous masse d’huile bienfaisantes..
Il nous faudra quelques jours pour nous en remettre, surtout Vanessa. Mais nos hommes sont contents et ça nous remplis de fiereté.

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