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Fantasmes d’une pucelle en chaleur

Fantasmes d’une pucelle en chaleur



Salut les xHamsteriens !

Je me découvre une nouvelle identité sexuelle, un transgendérisme, et en attendant de passer le cap et d’avoir ma première relation sexuelle avec un homme j’ai écrit cet histoire que j’avais envie de partager. Tout ce qui suit est fictif mais correspond cependant à mes désirs secrets les plus intimes. J’espère que cette histoire vous plaira !
Au fait, les liens de le texte renvoie à mes photos qui illustrent plus ou moins l’histoire. N’hésitez pas à aller les voir pour mieux visualiser les scènes 😉

Le bac approchait à grand pas. Je sortis de mon cours de philosophie à 5 heures et je préparai mes affaires pour aller chez mon professeur d’S.V.T particulier car la biologie était la matière où j’avais le plus de lacunes. Je vérifiai que mon string était bien caché sous mon slim et je sortis de chez moi. Dans l’ascenseur, je regardai mon reflet dans le miroir : un jeune homme de 18 ans, châtain aux yeux verts, assez mignon mais rien qui ne laissait présager une quelconque transidentité. D’ailleurs personne n’est au courant (à part vous chers lecteur 😉 et je préfère garder le secret. Je marchais donc dans la rue pour me rendre à chez mon professeur qui habitait trois rues plus loin, et je sentais la ficelle de mon string en dentelle effleurer mon fragile anus à chaque pas, ce qui me donna envie de rouler légèrement des fesses et me procura une semi-érection. Arrivé devant la maison de mon professeur, je vérifiai que mon string était bien caché sous mon slim et j’entrai.

Mon professeur m’accueillit. C’était un homme charismatique : 1 mètre 90 environ, toujours bien habillé, il était brun avec les yeux froncés et il avait les sourcils sévères d’un prof qui sait se faire respecter.
« _Bonsoir Kylian ! Tu vas bien ?
_Bonjour monsieur, ça va très bien merci. »
L’intérieur était décoré sobrement mais avec classe. Je me dirigeai vers la table en verre où nous avions l’habitude de travailler. Au bout de trente minutes, je passais aux toilettes pour soulager ma vessie avant de me remettre au travail.
« _Hmmm.. Je vois que tu portes un joli string Kylian.. »
Mon sang se glaça et je devins écarlate. En effet, mon string dépassait de deux bons centimètres. Je pris sur moi pour le regarder dans les yeux. Aucun mépris dans son regard, seulement un sourire un peu moqueur ainsi qu’une lueur de … de désir ? Je finis les cours en évitant tout contact visuel, essayant de me concentrer sur le travail pour oublier ma maladresse. Ce fut vain. Une fois chez moi, j’enlevai mon dessous sexy, en colère de m’être fait att****r si facilement avec des sous-vêtements féminins. J’avais rendez-vous le lendemain pour un nouveau cours particulier et je pensais déjà à lui annoncer que je préférai arrêter les cours. En effet il me serait impossible de me concentrer en sachant qu’il avait découvert mon secret. Sur cette résolution, j’allais me coucher, mais je mis longtemps avant de trouver le sommeil cette nuit là.

Il était derrière moi et je sentais son pénis en érection à travers son caleçon, bien au chaud entre mes deux fesses, vêtu d’une minijupe noire moulante. Il semblait faire d’imperceptibles mouvement de va-et-vient. Je me sentais comblée et n’hésitai pas à faire ressortir ma croupe, me trémoussant au rythme régulier de ses allées et venues. Puis, lentement, j’enlevai ses mains de mes hanches pour m’accroupir devant lui, mon visage à la hauteur de son membre viril. Ainsi, je caressais son pénis à travers le tissus du caleçon. Entrouvrant la bouche, je léchais son engin, toujours à travers le caleçon, de la bases jusqu’au gland, puis du gland jusqu’à la base et je répétai ce mouvement plusieurs fois tout en lui massant les testicules. Je sentais que son pénis grandissait à chaque allé-retour. Alors, je saisis l’élastique de son caleçon pour découvrir l’objet de mes désirs les plus intimes…

« _Tu n’es pas en cours ?!
Je mis du temps à revenir à la réalité
_Mais tu as vu l’heure ?! Dépêche-toi tu as 30 minutes pour le rendre à ton cours de bio ! »
Mon réveil avait sonné une dizaine de fois sans parvenir à m’extirper de mon rêve. Je me levai et je ne fus pas surpris de constater le volume de mon pénis, gonflé à bloc. Le désir pour mon professeur était bien réel, intense même, et j’avais la ferme intention de l’assouvir. C’est sur ses pensées fécondes que je commençai à me préparer pour me rendre à mon cours. Je me lavai l’anus puis j’enfilai mon string préféré. Un string noir, en soie avec de la résille sur les bords et un petit nœud papillon à l’avant. Il était vraiment doux pour mon fragile anus tel que les frottements se faisaient sans accrocs, glissant entre mes fesses et me procurant une sensation agréable qui me donnait toujours beaucoup de plaisir. Je mis mon jean le plus serré de façon à faire ressortir mon bassin et je laissai dépasser mon string de trois bon centimètres, baissant mon slim de façon à ce que l’on puisse apercevoir le début de ma raie et la soie d’engouffrant entre mes fesses, tel un appel au sexe. Cependant, je ne trouvait pas de haut convenable dans mon armoire. J’allais donc chercher dans les affaires de ma grande sœur et je choisis un t-shirt noir, moulant, qui s’arrêtait au niveau de mon nombril laissant apparaître mon string bien remonté. Je faillis partir comme cela mais j’étais optimiste quant à mes chances de séduire l’homme que je désiré. Je décidai alors de choisir une tenue sexy que je mettrai au moment opportun. J’hésitai longtemps devant toute ma lingerie et j’optai finalement pour des porte-jarretelles noirs avec les bas assortis ainsi qu’un haut noir lui aussi, transparent et bien moulant. Je choisis aussi mon maquillage et des talons aiguilles avant de mettre le tout dans mon sac de cours. Enfin, j’enfilai un pull pour cacher les vêtements que je portai et je m’en allai.

Il me fis entrer avec un petit sourire, posant sa main dans les creux de mes reins au moment où je franchissais le pas de la porte. Ce simple contact suffit à m’exciter. Je retirai alors mon pull tout en cambrant mes hanches, laissant le string bien apparent, et je m’assis près de la table en verre sans un regard dans sa direction. Cependant je sentais bien que ses yeux étaient fixés sur mes fesses et sur le tissus de mon string. Le cours commença comme à son habitude. Il ne fallut que cinq minutes pour que je sente sa main se poser sur ma cuisse. A ce contact, je me cambrais de mon mieux pour lui faire comprendre que son geste était le bienvenue. Sa main jusqu’alors immobile se mit à caresser ma cuisse, puis le bas du dos avant de bifurquer à l’entrée de mes fesses. Il joua quelques instants avec l’élastique de mon string tandis que je faisais semblant de continuer l’exercice. Enfin, il parla, brisant de ce fait le long silence devenu pesant :
-« J’ai envie de toi Kylian.
Yessss ! J’étais aux anges. Cependant je pris sur moi pour rester calme. Alors il continua :
_Tu as déjà couché avec quelqu’un ?
_En tant que garçon oui mais jamais en tant que fille.
_Et tu aimerais faire ta première fois avec moi ? Tout de suite ?
C’était une invitation claire et nette. Il me regardait avec des yeux emplis de désir, et je lui rendis mon regard le plus docile.
_Oui j’en ai beaucoup envie. J’aimerai juste allé me préparer quelques minutes, cela ne vous dérange pas si je suis un trans ?
_Non, au contraire j’aime ça. Allez va te préparer que je te te donne une bonne leçon ! »
Il me mit une fessée au moment où je me levai, donnant dès le début le ton qu’allait avoir notre relation sexuelle : intense et violente. Je me rendais donc dans la salle de bain pour me préparer. J’enlevai mon jean et mon T-shirt puis j’enfilai mes collants. Je n’avais pas encore pris conscience de ce qui allai arrivé. Le contact du nylon sur ma jambe me procura immédiatement une érection. Peu importe ce qui arriverait, j’étais excité comme jamais et j’étais sur que ce moment allait être magique. Je saisis les porte-jarretelles que j’eu du mal à accrocher à mes bas tant mes mains tremblaient d’impatience. J’enfilai mon haut transparent et je commençai à me maquiller. Lorsque j’eu fini, j’enfilai mes talons aiguilles et je me regardai dans le miroir, fière du résultat. Je pris une profonde inspiration pour me donner du courage et je le rejoignis dans la chambre. Il m’attendait en caleçon sur son lit.

_ »Waw ! Tu es super sexy ! Quel est ton nom jeune fille ?
_Charlotte ! dis-je d’une voix féminine.
_Eh bien Charlotte, approche un peu que je profite de tes fesses. »
Je m’exécute, il se lève et prend mes fesses dans ses mains pour les malaxer. Tout à coup, sans prévenir, il me les claques avec fermeté. () Je pousse un petit cri de salope et lui demande de recommencer, ce qu’il fait sans se faire prier. Puis, lorsqu’il en a assez de claquer mes fesses déjà toute rougies, il me pousse brutalement contre le mur et colle son membre contre mes fesses, à travers le caleçon tandis qu’il me caresse de toutes parts avec ses deux mains. Je me cambre au maximum, la respiration accélérée comme une catin en chaleur. () Ses mains me tripotent de partout, et il se met même à me branler vigoureusement, si fort que je dois faire un effort pour ne pas éjaculer, n’osant pas lui demander d’arrêter en toute soumise qui se respecte. Alors il me fait retourner et je m’agenouille devant lui, entièrement soumise à sa volonté. () Il me regarde d’en haut, je le regarde d’en bas, les yeux brillant de plaisir. Il me prend alors par la nuque et m’enfonce le visage dans son caleçon. Je sens son objet dur comme du chêne creuser ma joue, et je continue de le regarder tel un objet sexuel. Après trente secondes dans cette position, il fait glisser son caleçon vers le bas, libérant son pénis en érection qui me percute de plein fouet. Je vois enfin cet objet tant désiré, ce bel organe d’une taille moyenne, récemment rasé, qui m’ attire encore plus maintenant qu’il est là, à porté de bouche. Je ne cache pas mon admiration. Il me lâche alors la tête pour me laisser effectuer ma tâche, ma première fellation tant fantasmée. Je saisis alors sa verge et je commence à le masturber lentement mais avec des gestes amples, tout en serrant très fort son membre viril entre mes doigts. Une légère odeur se dégage de son gland mais elle n’est pas désagréable, je la trouve même aphrodisiaque. Je sens ses veines sous ma main et je les vois de près, mes yeux à trois centimètres de son phallus. J’en oublie ma conscience, j’en oublie même mon prénom, obnubilée par ce que je tiens entre les mains. Et c’est là que mon désir s’enflamme. j’ai tout à coup une terrible envie de sucer son sexe, de le sucer jusqu’à m’en étouffé, jusqu’aux crampes, jusqu’à ce qu’il me sperme sur mon visage maquillée, et il n’y a rien pour m’en empêcher. J’aurai voulu y allait progressivement mais cela m’est impossible de par la puissance de mon désir. Alors j’ouvre grand la bouche et j’y loge son organe qui me fait un effet de folie. Ne pouvant plus admirer ce merveilleux sexe, je lève les yeux vers son possesseur qui me regarde avec des yeux mêlés d’autorité et de plaisir. J’entreprends des mouvements de va-et-vient avec ma tête, comme toute salope qui se respecte tout en tortillant ma langue pour lui procurer le maximum de plaisir. Ma première vague de désir s’atténuant, j’en profite pour ralentir le rythme et je frotte son pénis contre tout mon visage avide de sexe pour m’en imprégner. Puis, lorsque je me sens satisfaite, je reprends mes mouvements de va-et vient, le branlant d’une main, lui malaxant les testicules de l’autre. J’aurai pu continuer des heures mais mon anus réclame lui aussi sa dose si bien que j’arrête de le sucer. J’ai à peine le temps de me relever qu’il me pousse violemment sur le lit :
« _Alors Charlotte, on en veut dans le cul maintenant ?
Je le regarde telle la plus soumise des salopes nymphomanes.
_T’en fait pas ma belle tu vas être servie comme tu le mérites ! »

() Je me met à quatre pattes, il fait glisser mon string sur le côté, crache sur mon anus et y appose son pénis. je cambre mon derrière comme une catin pour l’exciter alors que le contact de son membre sur mon fondement me procure une vague de plaisir infini. Il entreprend quelques mouvements de va-et-vient entre mes fesses sans pour autant me pénétrer, tout en versant une grande quantité de lubrifiant. J’allais enfin me faire baiser. Il appuie son pénis sur mon petit trou encore vierge qui ne s’ouvre pas de suite. Malgré tout le lubrifiant et la pression de plus en plus forte, mon œillet ne s’ouvre pas. Alors, d’un coup sec, il fait céder mon anus qui accueille l’intégralité de son gland. J’hurle mon plaisir. Ce gland écartant les étroites parois de mon anus désormais dépucelé me procure le bonheur d’une vie entière. Alors, il ressort son sexe en entier avant de me pénétrer à nouveau, ce qui me donne une nouvelle fois une vague de jouissance. Cette fois-ci, son membre rentre de deux centimètres de plus. Il répète alors le mouvement jusqu’à ce qu’il réussisse à entrer son sexe en entier et que son pubis viennent percuter mes fesses. Au même moment, il m’administre une claque jouissive sur le postérieur, poussant ma jouissance à son paroxysme. Ma respiration s’accélère alors qu’il entreprend de me sodomiser lentement mais toujours en profondeur, son pénis entrant en son intégralité dans ma croupe à chaque allé et venu. Je pose une main sur mes fesses et je croise les yeux de l’homme à l’origine de mes cris de plaisirs. Il me regarde tel un conquérant, conscient de ma soumission totale. je lui rend un regard de pute en chaleur, de salope soumise, de baiseuse professionnelle. Alors, il accélère la sodomie tandis que nos regards restent croisés. il va de plus en plus vite et à chaque aller-retour, son pubis percute mon postérieur si fort que j’en perd mes appuies. Il accélère encore… Je suis obligée de gainer mon corps pour me pas m’affaler sur le lit. Il accélère encore, toujours plus vite… Je lis dans ses yeux une lueur sauvage de domination. Il peut lire dans les miens la soumission poussée à son paroxysme. Il accélère encore, toujours plus vite et violemment… la sensation que je ressens au niveau de l’anus se propage dans mes cuisses et dans le bas de mon ventre alors que je gaine de toutes mes forces pour ne pas tomber à plat ventre. Il accélère encore, toujours plus vite et violemment, conscient du plaisir qu’il me procure, conscient de mon abandon le plus total à sa volonté. La sensation se généralise, je ferme les yeux et je pousse un cri de jouissance orgasmique. Je suis essoufflée, dominée, comblée. Lorsque j’ouvre les yeux, j’aperçois son membre devant mes yeux, qu’il branle à toute vitesse et tout à coup, il m’éjacule sur la face. je sens son sperme chaud sur mon nez, mes yeux, mes lèvres rouges que j’ouvre en grand. Je sens sa semence visqueuse entrer dans ma bouche alors que je suis encore toute tremblante de plaisir. Alors nous nous regardons de nouveau. Lui les yeux pétillants de satisfaction et moi, mon visage maquillé remplie de sperme, dans ma tenue de putain en manque, les yeux levés vers l’homme qui vient de me baiser comme si il niquait pour la dernière fois.

Essoufflé, il s’allonge à côté de moi, je me redresse alors, saisis son organe plein de sperme et de lubrifiant et je le met dans ma bouche, avec douceur. Lorsque j’ai fini d’avaler tout son sperme, je continue à le branler avec précaution alors qu’il se remet de son orgasme. Il me tend un mouchoir. Mon anus est meurtri, je suis pleine de sperme, je viens de me faire humilier mais je suis heureuse comme jamais. Alors, il baisse sa main pour me caresser mon visage qui repose sur son pubis, à trois centimètres de son organe. Nous restons ainsi une dizaine de minutes, lui me caressant le visage, moi lui caressant son sexe au repos que je trouve d’autant plus magnifique. je serai restée une vie entière comme ceci, mon visage posé sur son pubis à trois centimètres de son merveilleux pénis, bercée par sa respiration profonde et lente. Alors je lui caresse la verge et les testicules avec précaution, et je sens son pénis se gonfler progressivement. Je fais pivoter ma tête pour lui faire face. Ses yeux sont de nouveau emplis de désir et je ressens les prémices d’une nouvelle excitation parcourir mon sexe et mon anus. Il me regarde avec un sourire pervers. Sans hésité, je me remet à sucer son membre viril avec vigueur. On était reparti pour une séance de baise phénoménale !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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