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Mon amie Alexandra

Mon amie Alexandra



Je prends note des remarques de mes lecteurs.
Peut-être que cette histoire va décevoir certains.
Quoi qu’il en soit, je reste ouvert à la critique et à la discussion.
N’hésitez pas à me noter, à me commenter et même à me contacter.
Bonne lecture à tous…

Je venais d’embrasser Cédric mon copain à pleine bouche pour la première fois depuis une éternité environ deux semaines.
J’avais fait ça machinalement, la tête toujours dans cette petite salle de danse.
Je n’avais pas réalisé immédiatement que Cédric allait goûter au foutre de ce mâle en rut.
Sur le coup, j’en éprouvais de la gêne, de la honte même, puis, je me suis souvenue pourquoi j’avais fait ça ; premièrement, pour moi, deuxièmement, pour le punir…
Je pensais qu’il allait exploser sur moi… Mais il n’a rien dit. Il s’est contenté de me regarder d’un air idiot, se passant la langue sur les lèvres.
Mal à l’aise, je me suis enfermée dans la salle de bain pour me laver et accessoirement, me caresser… J’avais envie de recommencer, jouer avec l’interdit, le feu, je trouvais ça excitant… Mais j’avais peur qu’il me quitte, j’étais amoureuse de ce garçon, et lui de moi. Pourtant, le désir était plus fort que tout.
La tête en arrière sous le pommeau de douche, je réalisais que ma bouche goûtait quand même fort le sperme… Cédric devait avoir bien compris de quoi il était question, mais il n’a pas lâché le moindre mot. Eh bien, mon chéri, je vais encore devoir te punir, pensais-je.
Nous avons mangé rapidement, débarrassé, puis il s’est levé et m’a rappelé qu’il devait partir quelques jours chez un de ses potes, puisqu’il avait trouvé un stage d’observation dans une classe de français dans un lycée d’une autre ville. Ouh là ! … Ça voulait dire que j’allais me retrouver seule presqu’une semaine… ? Des pensées plus perverses les unes que les autres se mélangeaient dans ma petite tête…
J’allais le laisser seul, une semaine. Merde, je venais de comprendre (même si je ne pouvais m’y résoudre), qu’il était cocu;
N’importe quelle fille aurait pétée un plomb, mais pas moi. J’étais plutôt de genre à éviter les conflits. Je n’ai rien dit. D’un côté, j’étais mortifiée, de l’autre, passablement excitée. Á dire vrai, ça me rendait chaude de savoir qu’il pouvait me faire cocue… Mais d’un autre côté…
Oh, je sais, ça peut sembler stupide de m’avoir laissée me faire défoncer par deux gros types pervers, en même temps, chez nous, dans notre lit et puis de jouer au jaloux.
Mais là, tout ce dont je m’étais plaint qu’il allait à reculons côté sexe me revenait comme un boomerang en plein front. Je sentais qu’il y avait un prix à payer, si je voulais me voir devenir plus, comme dire… Plus espiègle, coquine, perverse, salope, cochonne…
Je n’avais pas la moindre idée de, où mes écarts allaient me mener, mais je sentais que je devais faire ces choses-là. J’avais envie qu’il me parle, mais ça aurait voulu dire que je devais arrêter ma « progression ».
J’étais entrée dans un tunnel et, tant que je ne verrais pas la lumière, je continuerais.
Je n’en étais encore qu’à un partenaire sexuel (dans le dos de Cédric), mais je sentais cela…
Je suis donc parti début d’après-midi. J’ai embrassé Cédric sur la bouche.
Parce que quand il m’a vu, fesses nue sortir de la salle de bain, j’avais des traces sur les fesses justement, comme des suçons.
Et même, ce qui semblait être des traces de mains, comme si j’avais reçue une fessée. C’est donc dans cet état d’esprit et avec ces images qu’il est parti… La boule au ventre, la queue en érection… Les scénarios les plus fous se dessinaient dans sa tête…
Le soir, j’avais rendez-vous chez une de mes meilleures amies pour réviser. Les peintres primitifs flamands. Alexandra… Cette fille me fascinait. Je l’avais rencontrée dès le premier jour de mon arrivée à la fac’.
D’emblée, je n’avais pas pu m’empêcher de remarquer qu’on se ressemblait très fort, bien qu’elle avait les cheveux blonds comme moi.
On faisait la même taille, elle était également assez musclée des jambes, elle avait une belle poitrine qu’elle mettait souvent en valeur avec des décolletés incroyables. Elle faisait saliver les mecs.
Nous étions proches et les mecs justement, ne se privaient pas pour nous faire part de leur fantasme de nous voir « jouer » ensemble. Personnellement, j’étais très pudique mais elle, je voyais que l’idée ne l’aurait pas dérangée…
Elle était connue pour être sexuellement, très gourmande, mais elle savait mettre des barrières quand elle estimait que ça allait trop loin. Elle choisissait ses coups, et ça la rendait incroyablement attirante, pensais-je. C’était une fille forte, indépendante, épanouie. C’est d’ailleurs elle qui m’avait recommandé quelques sites internet, quand je lui avais discrètement fait part du fait que Cédric ne se montrait plus si « entreprenant », sans lui dire que je m’étais faite baisée par deux gars en même temps…
J’avais rendez-vous vers 18h00 chez elle. Je m’étais pomponnée comme si j’allais à un rendez-vous galant… !
J’avais l’impression d’être une gamine, je m’étais préparée avec un soin tout particulier ! Même si je doute fort qu’une gamine surveille l’épilation de son maillot et vérifie que son petit trou est nickel…
J’ai pris mon sac à main, mon sac de cours, une bouteille de rhum que j’avais achetée dans la journée ;
ohlala, je me sentais d’humeur festive, je me sentais légère, mais j’avais encore envie de cul… Je filai au bas de l’escalier, pris le bus pour aller chez Alex’ ; elle habitait à 15 minutes en bus et je n’avais pas envie de marcher, malgré le fait qu’il faisait bon, dehors.
Alex’ habitait dans un quartier beaucoup plus calme que le nôtre, dans une maison où la propriétaire qui vivait seule, avait aménagé une partie de son étage en appartement étudiant. Elle était bien où elle était, d’autant que la propriétaire n’était presque jamais là et que, elle au moins, n’aurait pas eu envie de la baiser, si elle avait loupé le loyer.
Mais bon, était-ce vraiment un avantage ? Moi, ça m’avait révélée chienne, donc, … ! J’ai eu un petit rire nerveux. Je me remettais de cette légère absence et je suis descendue du bus constatant une fois de plus que les hommes présents fixaient mon cul avec des regards équivoques.
Je me trouvais devant chez Alex’, dans l’allée de la maison bordée d’une pelouse et de parterre de fleurs impeccablement entretenus, comme mon maillot, songeais-je en rigolant intérieurement.
– Coucou, ma chérie ! Comment ça va ? Wahou ! T’es belle ! Petit bisou sur le coin de mes lèvres…
Je sentais l’excitation monter, même si je n’avais jamais été attirée par une fille auparavant… Je feignais de ne pas le montrer.
Alex’ était magnifique. Une petite robe bleu foncé, ses cheveux dorés mi longs, légèrement ondulés, ramenés derrière ses oreilles, laissant apparaître ainsi son visage si doux. Elle avait ses sourcils plus foncés que ses cheveux, ce qui lui donnait un air mystérieux, intimidant. Elle avait les yeux bleus en amende, une petite bouche avec des lèvres fines, les pommettes rebondies, les joues légèrement rosies qui ressortaient, grâce à sa peau claire. Elle portait de petites sandales laissant voir ses petits pieds soignés. Ses jambes étaient superbes, de même que sa poitrine forte, impeccablement mise en valeur grâce à sa robe.
C’était le genre de fille qui avait, comment dire, une sensualité naturelle, quoi ! Sans en faire trop. Elle ressemblait à la supportrice de football, la belge dont beaucoup de mecs parlaient.
Je me plaisais à penser que je commençais à être sensuelle, moi aussi, même s’il avait fallu que je me fasse partouzer pour ça…
Elle m’a invitée à entrer, passant devant moi dans l’escalier qui menait au premier. Là, je détaillais son cul, parfaitement moulé dans sa robe… Je chauffais…
Perso’, j’avais mis une chemise longue, légère, bleu ciel, et une petite jupe bleu marine, légèrement plissée, courte, et mes petites sandales. Toutes les deux ensemble, habillées comme ça, on était très belles pensais-je.
La soirée d’étude s’est déroulée sans ambiguïté sexuelle, pas de sous-entendu, rien. Le seul événement sensuel, c’était le petit baiser. Peut-être m’étais-je fait des idées ?
Nous avons terminé les petits sandwiches préparés par Alex’ en analysant une énième peinture de Van Eyck quand le réveil de la chambre afficha 21h00. On avait bien travaillé.
J’étais prise d’une seine fatigue. J’avais du mal à me dire que le matin même, je me faisais sauter par le concierge du complexe sportif…
Nous avons mis de la musique, très légèrement, même si la propriétaire n’était pas là (du rock des années 1980’), nous avons bu quelques verres et avons parlé longuement ; des partiels, des filles qu’on aimait pas, de fringues, … Puis comme ça, Alex’ m’a demandé : – Tu as aimé mon baiser ?
– Que… quoi ? Bafouillais-je. Je, heu… Je, oui. Oui. J’ai aimé.
C’était venu comme ça, d’un coup. Nous étions assises en tailleur sur son canapé, nous avions enlevé nos sandales, nous buvions un verre et la question est arrivée.
– J’espère que ça ne t’a pas semblé trop direct, me demanda-t-elle.
– Non, bien sûr que non… C’était un petit baiser, voyons ! Mais ça m’a fait plaisir. Je jouais l’ignorante, même si j’avais envie d’en savoir plus sur ses motivations.
– Tu sais, je t’ai toujours trouvé très belle, Soph’… Mais je sais que niveau sexe, tu es plutôt réservée. Je voulais voir ta réaction, quand je t’ai suggéré quelques sites internet. Je voulais voir comment tu réagirais si une suggestion sexuelle venait d’une fille, venait, … de moi.
L’alcool aidant, sans doute, et la confiance que j’avais en Alex’ me poussa à me dévoiler. Je lui ai avoué que j’étais allée sur ces sites… Là, elle me regardait avec étonnement et envie.
– Je n’aurais jamais cru que tu aurais franchi le pas ! Tu t’es, masturbée… ?
– Oui. Avouais-je.
– Ouh là ! Moi qui pensais que tu ne voyais que par Cédric !
– Oui, c’est exactement ça ! Je ne voyais que par lui ! Dis-je en me redressant dans le fauteuil. Mais il s’est passé quelque chose entre nous et depuis, je suis devenue totalement une autre femme (une vraie salope, pensais-je).
– Quoi ? Comment ça ? Il t’a trompée ?
– Non, non. C’est pas ça. Je bu une autre gorgée de rhum/cola.
– Quoi, alors ? Dis !
– Alex’, tu dois me promettre de ne jamais rien dire à personne ! Je veux bien te raconter, mais jure-moi que ça restera entre nous. Tu es ma meilleure amie, je n’ai pas envie de te perdre.
– Je te jure, Soph’ ! C’est si grave que ça ? Tu me fais peur, là !
Et là, je lui ai tout raconté. L’appart’, les loyers impayés, Cédric et le jeu, le proprio’ et ses acolytes. Mon épilation, les manucures, pédicures, etc. Surtout, mon excitation à être prise par deux mecs en même temps. Mon envie et mon excitation d’humilier Cédric. Je la regardais, elle était abasourdie.
– La vache, Soph’… Et toi, comment tu te sens, maintenant ?
– Pour tout te dire, depuis, je ne pense qu’au cul.
Ce matin, j’avais cours de danse, tu te souviens ? Eh bien, le concierge du complexe a déboulé quand j’étais seule dans la salle, complètement nue, et il m’a baisée… J’en avais terriblement envie, j’en avais besoin… C’est un type sale, mais j’avais envie de me faire sauter, il me fallait une bite, peu importe le propriétaire…
Le pire, c’est que j’ai embrassé Cédric sur la bouche en rentrant à l’appart’, et que j’avais encore du sperme dans la bouche…
Il ne peut pas ne pas l’avoir senti, mais il n’a rien dit. Et aujourd’hui, il est parti pour son stage chez son pote, pour la semaine. Désolée pour ces détails sales, Alex’…
– Non, t’inquiète ! Elle me regardait avec la bouche légèrement ouverte, elle avait l’air intriguée.
– J’ai envie de punir Cédric, même si d’un autre côté, je ressens un genre de gratitude pour tout ça… C’est confus, les sensations et les sentiments s’entremêlent en moi… La seule chose dont je suis certaine, c’est que j’ai follement envie de cul en ce moment.
– Oh Soph’, je n’aurais jamais cru que tu serais capable de ça ! Je ne te juge pas, tu sais bien que je suis plutôt portée sur le cul aussi… Pardon de te dire ça, mais comme on se parle franchement… Ton histoire m’excite… Deux mecs d’une fois, wahou, quelle bête tu fais !
On a bien rigolé, et je ne me suis pas aperçue immédiatement qu’elle avait posé son pied entre mes cuisses.
On se regardait dans les yeux, fixement. Je lui caressais lentement sa jambe droite, elle était douce et lisse ; Alex’ sentait bon le jasmin et les agrumes.
Dans la lumière tamisée de sa chambre, l’atmosphère devenait plus lourde, mais très sensuelle ; il y avait quelque chose d’érotique dans l’air, comme de l’électricité…
Nos regards toujours mêlés, on se détaillait comme deux fauves prêts à se sauter dessus.
Elle s’est approchée lentement, tout en posant son verre sur le petit guéridon à côté de nous. J’avais mis le mien sur la table basse, derrière l’accoudoir du fauteuil en rotin.
Nos yeux toujours l’un dans l’autre, bleus contre verts ; cette rareté physique rajoutait du sensuel à ce qui allait inévitablement se passer.
Là elle m’a dit d’une voix plus rauque : – Embrasse-moi…
J’attendais ça depuis qu’elle avait ouvert la porte… Mes lèvres ont touché les siennes, nous avons collé nos bouches l’une sur l’autre, lentement d’abord, pour que ce baiser devienne plus passionné ensuite, nos langues se mêlant l’une à l’autre…
Je sentais son haleine légèrement mentholée malgré l’alcool. Je n’avais jamais embrassé une fille avant mais elle, de toute évidence, oui. Je me laissais guider sur ce sentier des plaisirs par cette beauté sauvage qu’était Alex’.
Elle a posé sa main sur ma joue gauche tout en me caressant le visage, sa main gauche posée sur ma cuisse droite, son pied toujours posé entre mes cuisses. Nos respirations se faisaient fortes, à présent. Ce baiser était agréable, tendre, doux, chaud ; jamais je n’avais éprouvé une sensation comme celle-là.
Les baisers les plus sensuels et tendres que j’avais échangés, c’était avec Cédric. Karl, et Didier eux, de même que le concierge, c’était plus pour m’avaler la bouche qu’autre chose ! Là, c’était différent… Pas forcément mieux qu’avec un homme, juste, différent. Différent, mais, passionné…
On a reculé nos têtes, on s’est regardé, c’était synchronisé…
On a baissé nos regards ensemble en souriant, mi- gênées, mi- excitées… Mon cœur battait à 100 à l’heure, ma poitrine était gonflée, mes tétons durcis, je le sentais. Alex’ également, de son côté…
Je le voyais et je devinais par la même occasion qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Nous nous sommes re- adossées dans les coussins du fauteuil, la respiration haletante. Sa jambe toujours entre les miennes, j’ai pris son talon dans la paume de ma main gauche, j’ai levé son pied que j’ai pris dans mes deux mains ensuite, et j’ai commencé à le masser doucement… Elle respirait fortement, la bouche légèrement entrouverte, les mains sur les côtes, elle remontait ses mains jusqu’à ses seins, se massant doucement la poitrine par en-dessous. Je la regardais dans les yeux, puis j’ai déposé un baiser sur son pied, doucement. Je la tenais par la cheville, puis j’ai embrassé sa plante de pied, tout doucement avant de le lécher…
Á présent, elle se caressait le sexe, sa robe légèrement remontée. Voyant qu’elle y prenait du plaisir, j’ai continué pour ensuite sucer ses orteils. Ça a duré quelques minutes, jusqu’à ce qu’elle se redresse pour revenir m’embrasser à pleine bouche, en me caressant les seins à travers ma robe. Elle a passé sa main droite dans ma nuque, et a commencé à me caresser le sexe de la main gauche, tout en m’embrassant et me léchant le cou… Je mouillais comme une folle, elle aussi, à n’en pas douter…
Au bout de quelques minutes, je me suis levée instinctivement ; elle a tiré ma jupe lentement pour que je me retrouve en string. Elle m’a empoigné les fesses et a commencé à me les malaxer, tout en frottant sa tête contre mon ventre à travers de ma chemise. Je lui caressais ses cheveux quand elle a enlevé mon string, moi, je déboutonnais ma chemise. Elle a passé une main entre mes fesses pour me caresser le sexe et elle a constaté qu’il était déjà bien mouillé. D’un geste rapide elle a dégrafé mon soutien-gorge et je me suis retrouvée nue devant une fille, dans un contexte qui sentait bon le sexe, la sensualité, la douceur, le jasmin et les agrumes…
Elle a détaillé mon corps, ses mains sur mes côtes à proximité de ma poitrine, gonflée de désir, à présent.
Mes mains sont passées dans son dos, pour tirer la fermeture éclair de sa robe, laquelle est tombée à ses pieds. Comme je l’avais deviné, elle ne portait pas de soutien-gorge et j’ai pu admirer sa superbe poitrine, ferme et douce… Elégamment, elle a levé ses jambes l’une après l’autre pour se débarrasser de se robe, les pieds cambrés. Elle m’excitait, j’avais envie d’elle… J’ai enlevé délicatement sa petite culotte qui est tombée sur le sol et là, elle a pris ma main et m’a attirée vers le lit. Je me suis couchée sur le dos et elle a commencé à me mordiller les tétons bien durs, à présent tout en me caressant le sexe…
oooh Je gémissais comme une folle, dans les mains de cette beauté blonde ; mes cuisses se sont ouvertes comme une fleur, instinctivement, et là, elle a dirigé sa tête vers mon entre- cuisses, pour commencer par m’embrasser doucement le sexe…
Je me suis cambrée et là, sa langue s’est écrasée contre mon clitoris, m’arrachant un petit cri de plaisir haaagh… Là, elle a introduit son index dans mon sexe tout en me léchant… 5 minutes plus tard, j’avais mon premier orgasme… Ensuite, elle s’est mise sur moi, offrant à ma vue son sexe, un sexe parfait, légèrement plus poilu que le mien, mais tout aussi bien entretenu. Un abricot magnifique, doux et chaud…
Je léchais une femme pour la première fois et j’étais excitée comme jamais…
Nous étions entremêlées, serrées l’une contre l’autre et nous avons roulé sur le côté. Là, j’ai senti sans langue dardée venir se poser contre mon anus…
Ohhh, ouiii… Elle a commencé à me lécher mon étoile, deux doigts dans mon sexe à présent, pour enfin introduire dans mon cul, son majeur, lentement, m’arrachant un cri de plaisir étouffé, mais plus intense cette fois… huhhhh ohh Alex’… Il arrivait qu’elle me claque les fesses, tantôt doucement, tantôt fortement…
De mon côté, je n’étais pas en reste, j’avais ma bouche contre son sexe, tournant ma langue comme quand je l’embrassais quelques minutes plus tôt… Elle feulait comme une chatte…
Un orgasme chacune plus tard, nous nous sommes enlacées à nouveau, pour nous embrasser doucement. Je n’en revenais pas d’avoir pu donner un orgasme à une femme, je me sentais pleine de confiance et de désir sexuel…
Sans un mot, elle s’est levée pour aller dans un de ses placards.
Elle revint quelques secondes plus tard, avec un « jouet » de belle dimension, dont les deux extrémités avaient la forme d’un sexe d’homme, avec des glands de belle dimension, pensais-je. Elle avait également un pot d’huile de coco qu’elle ouvrit et posa sur sa table de nuit.
Elle revint vers moi telle une panthère prête à sauter sur sa proie et m’embrassa à nouveau. J’étais assise sur ce grand lit, attendant impatiemment la suite des choses.
– Tu es prête… ? J’ai envie qu’on joue un peu… Mets-toi à quatre pattes, me dit-elle ; ce que je fis… Elle prit le pot d’huile sur sa table basse, et prit soin de bien m’enduire l’anus, ainsi que le superbe gode noir qu’elle avait en main. Lentement, elle fit ce que j’attendais depuis un bon moment… – Tu es belle, Sophie…
– Oh, ma chérie, vas-y, pénètre-moi, ah ! Je, … haaa, ouiii, c’est bon ! Encor’, encooore… Je ne savais pas à quelle longueur il était en moi, mais ce gode me faisait du bien beaucoup de bien… Là, elle s’est retournée, et s’est mise « dos » à moi, prenant en main l’autre partie du gode pour se l’insérer à son tour, lentement dans son cul, jusqu’à coller ses fesses rebondies sur les miennes…
Nous sommes restées comme ça sans bouger quelques secondes, histoire de s’habituer à l’intromission de cet ersatz de queue dans nos petites étoiles respectives… J’ai senti ensuite sa main rejoindre mon sexe, par en-dessous, pour me caresser la chatte…
Comme une évidence, j’ai fait de même et, à l’unisson, nous avons commencé à remuer et à chanter notre plaisir comme deux petites perruches posée sur une branche de belle dimension…
Elle a joui une ou deux minutes avant moi, étouffant son râle de plaisir sur son matelas ; comme de bien entendu, je l’imitai quelques instants plus tard, la tête enfoncée dans un oreiller resté sur le lit malgré nos ébats, oreiller que j’avais enduis de bave, totalement abandonnée à mon plaisir…
Le souffle court, nous sommes restées le cul en l’air quelques instants, jusqu’à ce que, synchrones, nous arrêtions cette pénétration torride…
Elle reposa le gode sur un des oreillers tombés au sol, et vint m’enlacer, tendrement, doucement. Nous nous sommes embrassées longuement, mêlant petits smacks et longues embrassades langoureuses. Dans le silence, nous parlions, et c’était très, très sensuel.
Son réveil indiquait 22h27. Nous avions partagé ce moment si intensément, que j’avais le sentiment d’être sortie du temps, et Alex’ aussi… Quel pied j’avais pris… Alex’ a rompu le silence.
– Tu as aimé… ?
– Hmmmh… Fis-je en m’étirant ; oui, j’ai adoré… Tu as eu une idée incroyable avec ce gode, ma chérie…
– Ton histoire m’a clairement laissé penser que tu appréciais avoir quelque chose dans le cul, alors… Vu que, moi aussi, ça m’a paru évident… Tu lèches vraiment bien, pour une débutante…
– hihi ! Merci… Tu couches souvent avec des filles ?
– Ça m’arrive, mais pas je sélectionne bien les filles avec j’ai envie de baiser…
– J’ai aimé, adoré même, mais je crois que je retournerai quand même vers les hommes. Enfin, je recoucherai avec une fille un jour, c’est évident, mais, je voudrais que ce soit toi… Dis-je, espérant ne pas trop l’effrayer. J’ajoutai : – C’est bête à dire, mais j’aime le goût d’une queue, du sperme…
– Oh, ma chérie ! Je pense qu’on est sur la même longueur d’ondes… Quand tu raconteras ça à Cédric… !
– Je pense qu’il ne serait pas contre, je crois même que ça lui fera plaisir.
– Tu crois ?
– Oui. Un jour, il m’a dit que si je couchais avec une fille, il ne serait pas choqué, mais pas avec un mec… Enfin, c’est pas ça qui l’a empêché de me livrer à trois bêtes en rut… Ça me choque, quand j’y repense. C’est vrai, non ? Un mec se sent menacé par un autre homme, vis-à-vis de sa femme, mais pas par une femme. C’est un raisonnement de connard de macho, non ?
– Peut-être… Mais je pense qu’on l’a bien puni, toutes les deux, non ? Vu la taille de ce gode, a-t-elle ajouté en riant.
– Oui, sans doute, dis-je en souriant. Mais j’ai encore envie de le punir, je pense…
– Si tu veux, on peut faire encore des trucs, toutes les deux ? Je veux dire, nous deux, et un ou plusieurs autres gars… ?
– Oh ! Tu… Tu crois ?
– Soph’ ! Je sais pas si tu réalises, mais je connais pas mal de mecs, un sacré paquet même, qui auraient été prêts à se couper une couille, juste pour ent****rcevoir ce que Sophie et Alexandra viennent de faire… Alors imagine participer !
Je réalisais doucement ce qu’on venait de faire, toutes les deux, ce qui m’excitait encore plus… C’est incroyable de réaliser à quel point les choses qu’on peut faire parfois, prennent une réelle ampleur, quand on les envisage selon le point de vue des autres…
– D’accord ! Dis-je. Mais alors, tu me livres un de tes secrets !
– hahaa Sophie ! OK ! Dit-elle, se couchant sur le côté vers moi. Nous nous caressions les jambes avec nos pieds, doucement. Elle m’avoua ainsi qu’un jour, elle avait baisé avec un de ses cousins et que c’est là qu’elle avait commencé à apprécier le sexe anal… Wahou, un cousin. Inévitablement, j’ai commencé à transposer certaines images dans ma tête…
– Alex’ ! T’es une vraie cochonne !
– Toi aussi, ma douce petite Sophie… Me dit-elle, déposant un baiser sur mes lèvres.
– OK ! Alors, il faut qu’on choisisse ensemble le mec ! Ou les mecs, on verra !
– Parfait ! Oh, ça m’excite qu’on fasse des trucs toutes les deux… !
Nous avons encore parlé de longues minutes, toutes les deux, avant de prendre une douche ensemble et de revenir au lit, pour à nouveau faire l’amour. J’avais franchi une étape de plus dans mon odyssée sexuelle… Et je n’en éprouvais que plus de plaisir… Moi, Sophie, je venais de goûter à une autre saveur sexuelle ; plus sensuelle et érotique que le concierge et les trois autres. Comme je l’ai dit, différente. Ni mieux, ni moins bien, juste différente. Ma nouvelle vie me plaisait de plus en plus… Mais je pensais encore à Cédric…
Je me demandais s’il allait tenter de nouvelles expériences. Malgré tout ça, malgré mon puissant désir de le punir, je l’aimais encore…
La vie réserve parfois bien des surprises…

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