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Séance (très) soft d’un Mai&ici

Séance (très) soft d’un Mai&ici



Ceci est un de mes tout premiers textes. Je vous le livre aujourd’hui avec la satisfaction de pouvoir de prendre du recul dessus.

1ère partie :

Il lui a laissé des instructions précises. Rentrer dans la chambre, se déshabiller complètement, passer devant la fenêtre à deux reprises, avant d’aller se vêtir de la robe dans la penderie préparée pour l’occasion. Une jolie robe blanche, légère, qui remontait jusqu’aux genoux. Elle s’exécute et enfile la robe. La suite des instructions est simple : enfiler un bandeau et s’allonger sur le ventre, au milieu du lit, les quatre membres écartés. Elle s’empare du bandeau, se dirige vers le lit, s’y allonge dans la position ordonnée par son maître. Elle enfile le bandeau et attend. Ces minutes sont interminables pour elle. Elle sursaute au moindre bruit dans le couloir. Elle est crispée, très tendue, rigide presque.

Elle entend la poignée de la porte. Elle ne bouge plus, tétanisée. Elle entend quelques pas. Sa démarche montre qu’il est serein, calme, posé. Elle est impressionnée et sent déjà l’excitation monter en elle. Il se rapproche du lit, s’assied à ses côtés et lui caresse les cheveux sans dire un mot. Il passe la main le long de son dos et caresse ses cuisses. Il remonte sa robe et lui pétrit les fesses. Elle est son jouet et elle aime ça. Sa respiration est un peu accélérée. Elle a tant attendu que les dernières secondes qui la séparent de la fessée de son maitre sont interminables. D’une voix sûre, il lui demande :

– Tu as peur ?

Elle acquiesce d’un signe de tête, et répond, en bredouillant :

– Ou…oui, Maitre. Je vous crains vous et vos envies les plus folles.

– La première envie qui me vient à l’esprit est de te fesser et ensuite te baiser comme une chienne.

Son geste accompagne ses mots. Et d’un geste sûr, il claque la paume de sa main contre sa fesse. Un gémissement à peine audible sort de sa bouche.

– Tu as été autorisée à gémir ?

Le ton est glacial. Elle est apeurée, ses poings sont fermés.

Je… je… non… ?

Sa mâchoire se crispe. Elle connait trop bien son maître et anticipe les prochains coups. Il ne dit rien et commence la séance de fessées. Les premières sont une simple mise en bouche. Ses fesses rosissent légèrement. Il s’assied à côté d’elle, proche de son visage. Elle l’entend défaire sa braguette. Elle ne bouge pas, de peur. Il lui tire les cheveux.

– À ton tour de me procurer du plaisir, chienne ! Ouvre la bouche.

Il sort son sexe de son boxer, caresse son bout contre ses lèvres.

– Tend la langue maintenant !

Il tapote son gland sur sa langue, puis lui tire violemment les cheveux.

– Tu vas ouvrir bien grand maintenant. Tu vas obéir et être sage c’est clair ?

– Oui Maî…

Il a enfoncé son pieu au fond de sa gorge. Il lui fait subir des va et vient tout en continuant à lui tirer les cheveux. Il lui baise brutalement la bouche. Elle son gland taper au fond de sa gorge. Ça l’excite au plus haut point malgré la douleur à la mâchoire qui commence à se faire sentir.

Quand tu es comme ça, tu es sage, on t’entend pas. Alors continue à me pomper le dard salope !

Il tire ses cheveux de plus en plus fort et immobilise sa tête quand il fourre sa queue complément au fond de sa bouche. Il pose ses deux mains derrière sa nuque, lui tient la tête jusqu’à lui déverser son jus dans la bouche. Il gicle en lâchant un puissant râle, il a immédiatement relâché ses cheveux et sa nuque. Elle garde son sperme chaud en bouche et obéit quand il lui demande d’en recracher un peu. Il lui étale sur le visage avec le bout de son gland. Elle lui sourit, satisfaite d’avoir servi de trou à son maître. Il lui caresse les cheveux, se lève et se dirige vers le pied du lit.

– A quatre pattes maintenant !

– Oui, Maître.

Elle écarte un peu plus les jambes quand elle entend son maître arriver derrière elle. Il dépose son gland à l’entrée de son intimité et rentre progressivement son sexe en elle. Elle ne peut pas se retenir de se cambrer, de serrer les draps dans ses poings et de gémir. Il continue ses va et vient de plus en plus fort. On entend le bruit de ses boules qui claquent contre ses fesses. Il la fesse et l’insulte tout en la baisant. Elle se sent complètement lui appartenir, particulièrement quand il laisse aller ses instincts les plus sauvages et les plus bestiaux. Il lui tire à nouveau les cheveux au moment de jouir et redouble d’efforts. Il jouit en elle dans un dernier coup de rein avant de lui caresser les cheveux et le visage, et qu’ils s’allongent côte-à-côte et s’endorment ensemble, la soumise dans les bras de son maître.

Fin de la première partie

Au plaisir de vous faire plaisir chères lectrices et chers lecteurs.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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