Lors des vœux 2020 d’un cousin, je me suis rappelée d’une aventure avec lui fin des années 80 alors que j’étais à peine débourrée. C’était un jour d’été. Yoio me téléphone pour me demander de passer chez lui pour me montrer quelque chose.J’étais loin de me douter de l’expérience que j’allais vivre.
A l’époque, malgré mon jeune âge, j’avais déjà une certaine expérience des choses du sexe avec l’éducation, pour ne pas dire le dressage que Tonton Vick m’avait donné.
Yoio, de 10 ans mon aîné est un sportif de haut niveau. C’est une armoire à glace d’un mètre quatre vingt quinze.
Je l’aime bien et ne lui pose pas de question impatiente de voir ce qu’il a à me montrer. Arrivée chez lui vers midi, il m’embrasse pour me dire bonjour en me serrant un peu plus fort que d’habitude. Des potes à lui sont là et je suis un peu déçue de ne pas être seule avec lui. Il m’offre un flash, mélange de vodka, Red bull, Martini et Gin. L’effet du mélange sans doute et entraîné par les autres, je suis légèrement éméchée. Tous les mecs y vont, ouvertement devant moi, de leurs histoires de sexe, observant mes réactions. Je les écoute sans rien dire. Mais je me sens toute chose et pense aux aventures que m’avais fait vivre Tonton Vick. A un moment, Ben me demande :
« T’es bien muette Michèle ? Racontes nous ton dépucelage ! Parce-que une jolie nana comme toi ne doit certainement plus être vierge ! »
Je rougie de honte et de surprise. Comment pourrais-je raconter quelques chose d’aussi intime à cette bande de mecs. Je tente de bredouiller quelque chose pour esquiver cette question et Yoio vient à mon secours remarquant mon embarrât.
« Les mecs foutez-lui la paix ! C’est déjà assez excitant pour elle d’être parmi d’aussi beaux mâles. Si vous voulez tout savoir c’est notre Oncle qui a déniaisé la gamine. »
Je voudrais être une petite souris et je fusille des yeux mon cousin qui est ravis de l’effet qu’il a produit sur l’assemblée. Il n’a fait qu’attiser la curiosité de ses copains qui lancent des quolibets et autres sifflements. Tous scandent alors :
« Une histoire ! Une histoire ! Une histoire ! Une histoire ! »
Je me racle la gorge et tentant de faire de l’humour, je raconte et brode une des aventures avec mon Tonton.
« Et bien….Euh…. J’étais nue à me dorer au bord de sa piscine. Il s’est allongé à côté de moi avec une érection d’enfer. Alors pour rigoler, j’ai joué avec son truc comme si je passais les vitesses d’une voiture. »
Tous explosent de rire et me conforte de l’effet que ma révélation produit. Mais il en veulent plus.
« Racontes-nous en plus maintenant que tu nous as mis l’eau à la bouche ! »
Cette fois, la voix plus assurée, je me lance dans le récit de cette aventure.
« Eh bien, comme une gamine dévergondée, je jouais avec son gros levier en faisant des vroum vroum. Il en avait une énorme et bien sûr, le jeux anodin au départ a commencé à sérieusement m’exciter. Je n’avais pas vraiment conscience que les choses que je faisais avec lui étaient tabous. En me souriant, il m’a dit que j’étais douée et que j’aurais haut la main mon permis de conduire les hommes…. Voilà les gars ! »
Thierry, en haranguant les autres me dit alors :
« Marrante ton histoire ! Mais on aimerait bien que tu nous montre sur Yoio comment tu passes les vitesses ! Pas vraie les gars ? »
« Les vitesse ! Les vitesses ! Les vitesses ! »
Yoio rigole de me voir rougir et les tenant en haleine leurs dit :
« Et puis quoi encore les mecs ! Vous pouvez toujours vous tirer sur la tige ! »
Tous, dans un esprit de groupe, se mettent à scander :
« Allez ! Allez ! Vas-y Yoio ! Fait lui passer le permis de branler ! »
Dépassés par les événements, l’alcool aidant et dans cette ambiance survolté, je regarde Yoio ahurie, ne sachant pas sir je dois fuir, en rigoler ou m’exécuter devant eux. Ce qui est sûr c’est que j’étais plutôt excitée. Mais son regard en dit long sur l’envie qu’il a de démontrer à ses amis la salope débutante que je suis. Pour me rassurer, il dit à ses copain :
« Bon, OK, mais juste une branlette ! »
Ils répondent en chœur :
« Oui !!!! Pas de bléme !!!! Allez-y On vous regarde ! »
Yoio baisse alors son short, dévoilant une magnifique érection. Si il n’y avait pas eu tant de monde à regarder, je l’aurais sucé d’emblée.
Un peu fébrile, j’approche ma main de son mat bien raide et dur. Je sens la cyprine humidifier le haut de mes cuisses. Ses couilles me semblent grosses, lourdes, prometteuse d’être bien pleine de foutre. Je le caresse doucement. Une rumeur s’élève parmi les voyeurs. Entre désir et humiliation, je suis choquée d’entendre Yoio dire à ses potes :
« Faites le bruitage du moteur et des changements de vitesses ! »
Sans rien dire, à leurs bruitages, j’enclenche la première, la seconde, la troisième et curieuse de constater la qualité de ses boules, je lâche le manche pour empaumer ses grosses couilles. En lâchant son manche, sa queue remonte presque à touche son ventre. Ses copains s’exclament :
« Mais quelle gourde, celle-là ! T’ es revenu au point mort ! Gardes son engin bien en main si tu ne veux pas qu’on te passe tous dessus ! »
Je n’en crois pas mes oreilles et me ressaisis de son levier de chair pour repasser la première…Au bout de quelques minutes de ce spectacle comiquo-humiliant, je leurs lance :
« Voilà, vous êtes content ? »
C’est Yoio qui me dit :
« Tu rigoles ou quoi ? Maintenant que tu m’a bien branlé, il faut que tu passe à la pompe ! »
Je le regarde interloquée, ne voulant pas croire à ce qu’il veut vraiment dire par… passer à la pompe.Les autres évidemment m’encouragent.
« La pompe ! La pompe ! »…. »
Yoio voyant que je ne réagis pas, me prend par les cheveux et insiste :
« Alors ma cousine ? Je sais que tu n’attend que ça de me pomper le nœud ! Fait pas ta timide ?! On est entre amis ! »
« Mais pas devant tout le monde quand même ! »
« Allez ma salope ! Montre leurs que tu es une pompeuse hors paire. »
Je tente encore de m’esquiver mais il me dit :
« Fais pas ta mijaurée ! Je sais que t’adore ça ! Pompe-moi Michèle ! »
Il me force en me poussant la tête vers son gros membre tendu à l’extrême. Je le prend en bouche et j’entends autour de moi des murmure qui prennent de l’ampleur et m’encourage à leurs montrer que je suis une bonne suceuse. Yoio lui-même me dit :
« Et bien voilà.. !!! C’était pas la peine de faire tant de simagrées ! Ouiii c’est bien continue comme ça ! T’es trop bonne salope ! »
Ma bouche s’active sur sa longue tige. Je salive beaucoup. Je lui pelote en même temps les couilles. Je ne fais plus attention à nos voyeurs et je sens le désir monter en moi. La cyprine me coule le long de mes cuisses nues. Des mecs viendraient me prendre à ce moment que je me laisserais faire sans soucis. Yoio pousse son bassin en me maintenant la tête pour m’engager dans une gorge profonde qui m’étouffe. Quand il me relâche pour que je reprenne ma respiration, un long filet de bave et de liquide séminal relie mes lèvres à son gros gland turgescent.
Des mecs en profite pour ôter le peu de fringues que je porte et me voilà nue devant ses copains à pomper mon cousin. Tout à coup, je sens une main fouineuse qui investie ma chatte brûlante. Un pouce me masse la rosette. Au lieu de m’insurger contre cette …agression… Je me cambre pour leurs laisser le libre accès à mon intimité. Yoio de son côté profite de ma docilité pour me forcer à prendre sa queue à fond en l’enfonçant jusqu’à l’entrée de ma gorge. Mon menton touche ses couilles. Des mains agrippent mes fesses et à mes seins. Un dard remplace le doigt qui me titillait l’anus pour faire une incursion dans mon étroit conduit. La douleur au début se remplace rapidement pas des sensations plutôt agréable sans pour autant faire monter mon désir. La queue s’enfonce profond dans mes entrailles et commence un lent va et vient, alors que je sens la bite de mon cousin vibrer dans ma bouche. Je sais qu’il ne va pas tarder à jouir. En effet, alors que je me fait labourer le cul, il décharge rageusement dans ma bouche. Son sperme chaud et gluant gicle puissamment par saccades dans ma gorge. Une impression de plénitude m’envahit en même temps qu’un orgasme violent qui me fait me resserrer sur la verge qui me sodomise. S’en est trop pour mon enculeur qui se lâche dans mon fondement en grognant de plaisir. La texture de son sperme est épaisse et son goût particulièrement âcre, au lieu de me dégoûter, me surprend et j’avale sans qu’il ait à me le demander comme je le faisais avec Tonton Vick. Un mélange de sperme et de salive s’échappe de ma bouche pour couler sur mes seins. Yoio fière de moi lance à ses potes :
« Regardez-moi cette jolie gueule d’ange comme elle s’est bien débrouillée ! T’as sucé comme une pro jusqu’au bout et tu t’es bien faite démonter le cul ! Mais il ne faut pas laissé mas amis dans un tel état ! Vas leurs faire plaisir ma cousine ! »
Ils ont tous des gaules d’enfer. Et bien évidemment, ils n’attendent que ça d’être pompé de la même façon. Encore agenouillée avec le sperme de mon cousin sur la figure et les seins, je suis forcée de me mettre à pomper à la chaîne.
Je prends une sorte de plaisir malsain à servir de vide couilles lors de cette fête improvisée. Je suis prête à m’offrir à ses queues tendues. Je suis à leurs entière disposition dans cette soumission délicieuse.
Les premier commence à décharger sur moi.. Ils m’envoient plusieurs jets épais sur mes seins, mon visage et mes cheveux. Mon maquillage est totalement détruit. Certain se lâchent dans ma bouche et j’ai bien du mal maintenant à tout avaler. Alors que je me suis faite sodomiser tout à l’heure, aucun d’entre eux pour le moment ne s’occupent de mes partie les plus intimes.
Mais c’était sans compter sur mon cousin qui se met à encourager ses amis de me prendre en doublette. Il n’en faut pas plus pour que je sois rapidement investie par les deux trous. Je suis l’attraction de la soirée. En bonne jeune femelle, je les accueille tour à tour et sans avoir d’orgasme, je prends un plaisir continue qui m’épuise. Je ne sais combien de temps cette orgie dure. Mais les dernier qui se lâche en moi, ne baise plus qu’une loque, une poupée comme disloquée. Totalement vannée, dégoulinante de sperme, je suis conduite à la douche et mon cousin me dépose délicatement dans son lit où je m’endors comme une masse.
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