Le jeudi le tapin marche bien pendant une partie de la journée, avec le bouche à oreilles je commence à être connue, puis soudain il se met à pleuvoir, je suis vite trempée comme une soupe même en m’abritant sous les arbres.
Quand enfin la pluie cesse je me change, je m’aperçois que j’ai bien fait d’apporter des vêtements de rechange.
Je suis arrivée vêtue en rose et je suis maintenant en tenue noire.
Je reprends le travail mais les clients refroidis par le temps sont moins nombreux.
Quand mon maître vient me chercher en fin de journée, pendant qu’il m’observe, un seul client viens me payer pour lui faire une pipe.
Arrivés chez lui il compte les préservatifs usagés et les billets que je lui tends et se montre très déçu.
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Je sais que ce n’est pas la peine de discuter avec lui, je baisse la tête.
cela ne l’empêche pas de me sodomiser avant de me donner à manger.
Une fois que je suis allongée sur le plancher qui me sert de lit il enduit mon vagin, mon anus et mes tétons de produit qu’il tire d’un tube.
Il me pose des pinces sur les tétons de seins et les serre trop, je sursaute car c’est douloureux.
Il me donne l’ordre de me coucher sur le ventre, je plie mes genoux et tends mes bras en arrière, il attache mes chevilles et mes poignets ensemble.
Je dois essayer de dormir dans cette position très inconfortable. Les endroits ou il a mis du produit me chauffent et me démangent longtemps, j’ai de grosses envies de bite.
Le vendredi matin je suis fatiguée quand mon maître vient me chercher et me délivre car j’ai très peu dormi et mes membres sont ankylosés et douloureux.
Avec mon maquillage abondant il n’y a pas de trace de ma mauvaise nuit.
Direction mon lieu de prostitution.
Pour le tapin c’est une bonne journée, il y a beaucoup de trafic sur la route certainement parce que c’est le dernier jour de travail de la semaine, plus d’hommes que d’habitude viennent me demander de leur faire une pipe ou de pénétrer mon vagin.
Le soir mon maître m’informe que pour mon emploi du temps un calendrier a été établi pour chaque jour des semaines à venir, ce qui ne déroge pas à ce que je fais actuellement:
Pendant la journée tapin en bord de route si le temps s’y prête ou en ville si le temps est mauvais, en rentrant je dois soulager le chien d’Amandine puis après le repas jusque tard dans la soirée je dois recevoir des connaissances de mon maître s’il y a de la demande.
Le samedi je commence par faire éjaculer le chien puis dans la matinée c’est le tour de Jacques l’obèse et ensuite l’après-midi des hommes ou groupes d’hommes qui veulent se servir de moi comme vide-couilles.
Le dimanche je m’occupe d’abord du chien puis toute la journée des hommes et groupes d’hommes qui ont besoin d’une putain pour se soulager.
Le plaisir d’Amandine est d’assister avec un sourire narquois à mes ébats sexuels avec son chien et surtout à me voir avaler son sperme en lui faisant une fellation.
Dés que j’ai un moment de libre comme par miracle je la vois apparaître avec Max et il m’arrive de le faire éjaculer jusqu’à trois fois par jour le weekend: le matin de bonne heure, le midi avant de manger et dans la soirée quand je n’ai pas ou peu d’hommes à soulager.
Le plus débile c’est la phrase qu’elle m’a sortie:
<<à force de te faire sauter par mon chien vous allez certainement finir par faire un petit, ça va être marrant de voir à qui il va ressembler, aura t'il ta tête et son corps ou l'inverse mais il est sur que ce sera un phénomène rare>>.
Le lundi suivant je me prépare en suivant les ordres de Mathieu: mini jupe rouge fluo, corsage presque transparent avec un minimum de boutons utilisés pour que mes seins soient très visibles et des cuissardes.
Il tient à ce qu’on voie nettement et de loin que je suis une prostituée.
Il refuse que je prenne des affaires de rechange.
Mais au lieu de m’emmener à l’endroit ou je travaille d’habitude mon maître prend une autre direction, nous arrivons dans la grande ville la plus proche.
Il s’arrête devant un immeuble.
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Je le suis dans l’immeuble, arrivés au deuxième étage il sort une clé de sa poche et ouvre la porte d’un appartement.
Il me guide vers une pièce ou il y a seulement un matelas posé sur le sol, dans un angle je vois un lavabo. La pièce est triste avec sur les murs le papier arraché.
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Avant de me quitter il me montre l’endroit ou je dois tapiner, d’après lui je ne serais pas seule dans ce secteur à exercer le métier dans la journée.
Je commence à arpenter le trottoir en prenant des attitudes de salope mais comme il est tôt les clients ne se bousculent pas.
Ensuite pendant la journée si les hommes m’abordent en auto je monte dans leur voiture, ils vont se garer près d’un parc, soit je leur fais une pipe en restant assise sur le siège, soit nous descendons et cachés derrière un bosquet d’arbustes ils me pénètrent en levrette. Automatiquement je récupère les préservatifs usagers.
Si le client est à pied nous montons dans l’appartement et faisons ça sur le matelas.
Dans la journée d’autres prostituées viennent travailler dans la même rue sans s’offusquer de ma présence.
Cela fait trois jours que je tapine en ville.
Le plus difficile à supporter c’est les commentaires et le regard méprisant des « bonnes mères de famille », les hommes qui en groupe rient et se moquent n’ont pas la même attitude quand ils sont seuls.
Un black bien foutu m’aborde.
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Je le suis et nous entrons dans l’immeuble puis dans son appartement.
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<<ça tombe bien car je suis très spécial>>.
Nous entrons dans sa chambre meublée d’un lit à barreaux métalliques et d’un mobilier assorti.
il veut un streap tease, je lui dis que je ne porte ni culotte ni soutien-gorge et que cela va être difficile.
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Je commence à danser, me déhancher, à tourner sur moi même tout en commençant à retirer mon chemisier puis le remettant en place plusieurs fois en montrant une partie de mon buste de plus en plus importante jusqu’au moment ou je retire le vêtement et exhibe ma poitrine à sa vue.
J’en fais autant avec ma mini jupe qui finit sur le sol puis je prends des poses suggestives lui montrant tout ce que je peux de mon intimité.
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Cela ne m’empêche pas d’apercevoir une énorme bosse dans son pantalon au niveau de son sexe, il doit être bien monté.
Il sort un martinet à larges lanières plates d’un meuble et m’en colle un coup sur les fesses.
Maintenant danse et applique toi un peu mieux>>.
Je me trémousse, insatisfait il manie le martinet qui cingle la partie de mon corps qui se trouve à proximité de Djawad à ce moment la.
C’est plus la douleur que l’envie de m’appliquer à danser qui me fait améliorer ma chorégraphie.
Enfin il en a assez de me frapper,il me dit que ça suffit et que comme danseuse je suis lamentable.
Mon calvaire ne s’arrête pas là.
Il prend une règle métallique dorée sur son bureau puis me demande de présenter mes mains tournées paumes vers le haut et de réunir mes doigts.
La règle s’abat sur mes doigts, c’est très douloureux et je retire mes mains mais je dois me remettre en position.
Insensible à mes cris et pleurs il continue à frapper mes doigts ou mes paumes en tenant fermement avec sa main libre la main qu’il frappe.
Quand il cesse de me frapper mes doigts sont très rouges et me font mal.
Il pose l’instrument de torture sur le sol et il me dit de me mettre à genoux sur la règle avec les mains sur la tête.
Pendant ce temps il vaque à ses occupations et j’entends de l’eau couler dans la salle de bain.
C’est très douloureux mais j’évite de bouger pour ne pas amplifier la souffrance
Enfin Djawad me donne l’ordre de me lever, mes genoux sont bien marqués par la règle.
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Il m’attache les bras et les jambes aux barreaux côté tête et pied du lit.
A genoux à côté de moi il me met un foulard autour du cou et serre de plus en plus fort en prenant son temps tout en regardant mon visage.
Au début je me débats puis ma vue se brouille et je commence à perdre connaissance. Il desserre le foulard et quand je suis remise il recommence l’étranglement avec le même résultat, il fait cela plusieurs fois.
Il enlève son pantalon et son slip, j’aperçois une très grosse queue bien érigée.
Il s’allonge sur moi, son pénis bute contre mon sexe, il pèse de tout son poids pour le faire pénétrer dans ma chatte dans laquelle il s’enfonce en forçant les chairs.
Il prend dans une main un linge qu’il applique sur ma bouche et mon nez.
Rapidement je manque d’air, je remue pour essayer d’échapper à la torture, je commence à voir des étoiles.
Il me permet de reprendre ma respiration puis applique de nouveau le linge sur mon nez et ma bouche me privant d’air.
Il recommence l’opération plusieurs fois et quand il arrête la torture et que je retrouve mes esprits je constate qu’il a éjaculé dans mon vagin et que c’est ce genre de torture qui l’amène à la jouissance.
Sa queue n’a jamais fait de va-et-vient dans mon intimité, c’est le plaisir qu’il a pris en me torturant qui l’a fait jouir.
Direction la salle de bain
Debout les mains attachées dans le dos je dois me pencher au dessus de la baignoire qu’il a remplie.
Il se place derrière moi et introduit sa queue dans mon anus après l’avoir enduit de produit et même avec ça son gros engin pénètre difficilement et déchire les chairs quand il coulisse dans mon cul.
Il m’att**** par les cheveux et d’un mouvement brusque plonge ma tête dans l’eau.
Je panique mais il me maintient fermement pendant un moment, j’avale de l’eau et je suffoque puis je perds ma lucidité.
Il me relâche, je relève ma tête, je respire bruyamment et je tousse.
Il me plonge de nouveau dans l’eau et c’est moi en me débattant qui fait bouger son pénis dans mon cul. Il arrête la torture avant que je ne perde connaissance.
Il recommence plusieurs fois et ne me libère que quand il a éjaculé dans mes intestins.
C’est bien ma veine je suis tombée sur un sadique.
Satisfait de ce qu’il m’a fait il me renvoie faire le trottoir, j’y vais sans entrain pas encore remise de la torture.
Mathieu arrive.
Avec un sourire narquois mon maître me demande:
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Je passe le reste de la semaine à me prostituer en bordure de la route à grande circulation ou j’ai commencé à pratiquer le métier.
C’est le train-train et à longueur de journée soit je fais des pipes soit je me fais prendre en levrette.
Je vois toutes sortes d’hommes dont certains ont une hygiène repoussante ou un comportement de rustre mais il faut bien travailler.
Le weekend arrive
Le samedi rituel habituel: le chien, Jacques l’obèse, le chien puis un groupe d’hommes. Ma bouche, ma chatte et mon cul sont bien occupés.
Le dimanche matin je viens à peine de me laver après avoir fait jouir dans mon intimité Max le chien d’Amandine que mon maître vient me chercher dans le chalet qui me sert de prison.
Il m’amène tenue en laisse dans sa maison ou l’attend un couple, une femme de ma taille blonde à grands cheveux et forte poitrine, un homme brun grand et mince.
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Je m’approche de la femme et passe mes bras autour de son cou puis pose mes lèvres sur les siennes.
Ma langue pénètre dans sa bouche mais il lui faut un moment avant de réagir. Enfin nos langues se mêlent.
Comme elle a tendance à abréger le baiser je l’embrasse plusieurs fois tout en caressant par dessus les vêtements ses seins, son ventre puis son sexe.
Ce n’est pas gagné, elle se tient raide.
Je commence à la déshabiller en commençant par son corsage et au fur et à mesure que j’enlève un de ses vêtements je lèche et embrasse la partie de son corps qui est à nu. J’insiste sur les gros seins puis sur les tétons que je mordille, elle ferme les yeux et respire plus vite.
J’en fais autant sur son ventre.
Je me mets à genoux et fais glisser sa culotte sur ses chevilles, elle a un mouvement de recul.
Je lèche et embrasse son entre-jambes en la forçant avec mes mains à écarter ses cuisses puis j’en fais autant sur sa chatte de blonde très peu poilue.
Je la pousse pour qu’elle tombe sur le lit les jambes écartées pendant dans le vide.
Toujours à genoux je place ma tête entre ses cuisses, je lèche sa chatte puis ma langue s’introduit à l’intérieur et la fouille pendant un moment, elle apprécie en soupirant.
Elle commence à humidifier ma langue avec sa mouillure.
Je délaisse sa chatte et tout en l’embrassant je caresse ses seins et maltraite ses tétons ce qu’elle apprécie vu les mouvements de son corps.
Je caresse son ventre puis son sexe. De nouveau ma bouche et ma langue s’occupent de sa chatte puis de son anus et enfin de son clitoris.
Je m’allonge tête-bêche sur elle.
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Pendant qu’avec une main je masturbe son clitoris avec l’autre main je lui doigte en même temps la chatte et l’anus.
Elle caresse ce qu’elle peut atteindre de mon corps puis aux mouvements de son corps je constate que le plaisir monte dans son corps.
Elle m’enserre de ses bras, plaque sa bouche contre mon sexe et sa langue pénètre dans mon intimité qu’elle explore; ensuite une de ses mains caresse une de mes fesses avant qu’un doigt ne pénètre mon anus et s’amuse à l’agrandir.
Je mets de l’ardeur à la masturber et la doigter. Elle est très réceptive, son corps se soulève et prise de spasmes elle jouit arrosant mes doigts avec la cyprine qui sort de son vagin.
Je me déplace et l’embrasse tout en caressant son corps.
Ma bouche retourne sur son sexe dégoulinant de mouillure et ma langue le pénètre et le fouille de nouveau pendant un moment puis des doigts d’une main je recommence la masturbation du clitoris et avec les doigts de l’autre main je lui doigte la chatte et l’anus.
Comme je mets de l’ardeur dans ce que je lui fais elle part dans des orgasmes de plus en plus rapprochés.
Je pense que son mari, qui se déplaçait autour du lit et se penchait pour ne rien perdre de ce que sa femme subissait, en a assez vu je me relève et attends au pied du lit qu’elle reprenne ses esprits.
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Elle s’assoit sur le lit et nous regarde avec un sourire qui en dit long sur ce qu’elle pense de ce qui vient de lui arriver.
<<ça vous a plu madame>>.
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