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[VU SUR LE NET] Kary-23

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Madame n’a pu s’empêcher de s’amuser avec moi immédiatement avec son nouveau jouet. Elle m’a fait placé debout et après m’avoir installé deux bracelets de cuire aux poignets elle m’a suspendu au milieu du donjon. Elle a ensuite pris soin de placer une barre d’écartèlement à mes chevilles. Je l’ai vu enfiler les gants. Elle semblait hypnotisée par ses nouveaux jouets. Elle me regardait différemment qu’a l’habitude. Son regard était pétillant, sa bouche arborait un sourire sadique. Elle a placé délicatement sa main sur ma vulve et m’a regardé droit dans les yeux. J’étais terrifiée.

-Alors petite salope tu es prête à me faire plaisir et me montrer comment tu es toute dévouée pour moi?

-Heu… Oui Madame…

-Malheureusement pour moi j’avais hésité à répondre et cela avait frustré Madame.

-Tu hésites petite pute.

Madame a aussitôt resserré la main sur ma vulve et j’ai senti les pointes dans ses gants s’en prendre à mon sexe. C’était tellement douloureux. J’ai compris à ce moment-là que carpette était habitué et endurci face à ces instruments diaboliques. Carpette avait dû avoir un long entrainement pour supporter ce supplice. J’ai fait onduler mon corps face à cette douleur, mais cela n’était pas une bonne idée, cela n’a fait que remuer les pointes sur ma vulve pour accentuer la souffrance d’avantage.

-Ouchhhhh! Maadaaaameee… Pitié…..

-Hummmm, ma petite salope renonce déjà, moi je commence juste à m’amuser.

-Sniffff, snifffff.

-Tu as intérêt à ne plus hésiter petite sotte.

-Oui Madame.

-Alors kary tu veux me faire plaisir… Tu veux me montrer que tu es prête à souffrir pour moi, j’aime tellement te voir te tortiller devant moi.

-Oui Madame.

-Bien, alors rend moi fière de toi maintenant.

-Oui Madame.

C’est alors qu’elle a commencé à malaxer ma vulve avec intérêt. Elle prenait bien soin de regarder ma réaction suite à chaque mouvement. Moi de mon côté j’essayais de supporter le plus possible la douleur pour qu’elle soit fière de moi. J’avais peine à retenir mes larmes qui se sont mise à couler abondamment sur mes joues.

-Ha que tu es belle quand tu pleures kary… C’est tellement un beau cadeau que tu me fais. Tu aimes souffrir pour mon plaisir?

-Oui Madame. Snifff.

-J’aimes tellement tes grimaces, tes larmes et tes ondulations que tu fais avec ton corps face à la souffrance.

Madame s’amusait comme une chef d’orchestre qui dirige ses musiciens, elle contrôlait mes mouvements et mes grimaces à sa guise. Finalement après un certain temps elle a retiré sa main de ma vulve. J’ai senti comme un courant d’air frais envahir mon entre jambe. Madame s’est collé sur mon corps et m’a embrassé goulument. Puis sans crier gare elle a empoigné mes fesses avec fermeté. J’ai retiré mes lèvres rapidement des siennes pour ouvrir grande ma bouche et lâcher un cri de douleur. J’ai senti les pointes entrer dans ma chair.

-Ne t’arrête pas salope, embrasse-moi.

-Oui Madame

J’ai alors reposé mes lèvres sur celle de Madame et je l’ai embrassé goulument. Mes mouvements de langue étaient rythmés avec le massage sadique de mes fesses. Je sentais le corps de ma tortionnaire se presser contre moi. Je sentais cette chaleur m’envelopper. Ma vulve était aussi humide que ma bouche et mon corps ondulait dans un ballet sensuel, quoique rythmé et saccadé. Les larmes coulaient sur mes joues. La douleur disait à mon corps que tout devait s’arrêter, mais mon esprit, cette petite voix masochisme, en redemandait encore. Je souffrais, mais j’étais bien.

Lorsque Madame a eu finit de tester et de s’amuser avec son nouveau jouet elle m’a fait faire de petits exercices d’obéissance du genre aux pieds, va chercher la balle, à genoux, saute sur place etc… J’avais l’air d’une vraie chienne savante. J’exécutais toutes ses commandes avec soins. J’étais fière qu’elle me possède dans tous les sens du terme et d’être son objet de plaisir. C’est incompréhensible pour moi, mais dans cette condition de devoir obéir, de servir, de n’être qu’un jouet appartenant à une personne qui peut disposer d’elle comme bon lui semble, je me sens tellement bien.

À partir de cette rencontre avec Maitresse Amanda, Madame s’est mise à changer. Elle est devenue plus stricte et exigeante. Ce qui m’a semblé être un jeu excitant au début de notre relation est devenu un mode de vie. Karine s’est effacée tout doucement. À part sur mon lieu de travail j’étais à présent toujours kary. Les passages à mon condo se sont faits de plus en plus rare avec le temps. Tous mes uniformes de travail étaient chez Madame à présent et c’est Carole la femme de ménage de Madame qui faisait mon lavage.

Madame a continué à voir Maitresse Amanda et son soumis afin de prendre de l’assurance dans son rôle de Maitresse et de connaitre ses besoins afin de pouvoir m’utiliser pour sa convenance. À chaque semaine je devais faire des exercices d’obéissance et je devais apprendre à obéir à Madame sans qu’elle n’ait besoin de dire un mot.

Pour cadeau des fêtes elle m’a offert un bijou. Je me souviens très bien du jour où nous sommes allez le chercher. C’était un vendredi de décembre juste avant Noel. Après mon petit déjeuner, à quatre pattes sur le plancher de la cuisine bien entendu et sous les regards de Madame, Sylvie et Carole, Madame a ordonné à ses deux domestiques de me passer les bracelets de cuire aux poignets et aux chevilles. Puis Madame m’a ordonné de mettre un imperméable gris qu’elle avait sorti du garde-robe d’entrée. Nous sommes allez au garage et j’ai pris place côté passager dans sa voiture. Je m’interrogeais sur notre destination. J’étais pieds nus et avec pour seul vêtement cet imper. Madame a pris la direction du centre-ville de Montréal. Finalement elle s’est stationnée dans une petite ruelle.

-Descend de la voiture petite salope.

J’étais pieds nu et nous étions au centre-ville. Malgré le froid de l’hiver, une bouffé de chaleur à envahie mon corps tout entier. Sans trop hésiter je me suis exécutée. Madame est venue me rejoindre sur le trottoir et a fixé mes poignets derrière mon dos. Puis elle m’a obligé à avancer. Deux coins de rue plus loin ayant bien été dévisagée par les passants nous sommes entrées dans une boutique un peu glauque.

-Bonjour Madame

-Bonjour Mademoiselle, nous venons pour la petite cérémonie.

-Bien sûr, veuillez me suivre.

J’avais les pieds gelés, mais mon cerveau bouillait d’inquiétude. Qu’était-ce cette cérémonie? Qu’allait-il se passer? Madame m’a dirigé, me faisant suivre la caissière du magasin. J’ai eu droit à quelques regards des clients qui magasinaient quelques jouets. Juste avant de passer la porte qui nous faisait face la caissière a placé un bandeau sur mes yeux. Puis nous sommes entrées dans l’arrière-boutique. J’ai traversé une pièce pour me retrouver face à un mur.

-Je vais enlever ton bandeau et tu vas rester le nez collé sur le mur ta compris.

-Oui madame.

Elle a libéré mes poignets et a retiré mon imperméable, pour ensuite ré attacher mes poignets dans mon dos. J’étais donc nue, face au mur et les mains dans le dos dans cette arrière-boutique de magasin. Je grelottais, quand soudain j’ai entendu des voix, dont une que j’ai reconnue.

-Beau bonjour Pénélope

-Bonjour Madame Amanda… Bonjour…

-Je suis heureuse que vous soyez venu pour assister à cette nouvelle étape de la vie de kary.

-Je ne voulais pas manquer cela, je suis tellement fière de vous et de votre petite chienne.

-Merci beaucoup.

-Que de progrès en quelques semaines seulement.

-Vous M’avez tellement aidé cher Amanda et grâce à vous je vois tout le potentiel de kary à présent.

-Vous allez voir, vous allez être très heureuse avec cette acquisition une fois bien programmé.

-Je le suis déjà, alors imaginez…

Ce lieu inconnu, les voix de madame et de Maitresse Amanda derrière moi, cet orage dans ma tête, les scénarios qui s’entre choc, ce puissant sentiment de honte qui m’envahi. Mais ce plaisir qui me transperce en même temps, ouf, je perds mes moyens, je perds le contrôle, mon cœur bat sans compter, je sens mes veines se dilater.

-Tourne-toi à présent kary.

Je me tourne lentement, mon cœur s’arrête. Il y a Madame, Maitresse Amanda et son soumis, La caissière et un inconnu. Tout ce beau monde me regarde avec intérêt.

-Viens ici et met toi à genoux

-Oui Madame.

Il y a une petite table au milieu de la pièce sur la qu’elle il y a une boite. L’homme inconnu ouvre la boite et la montre à Madame.

-Hum… Oui, très beau travail Monsieur

-Merci

Madame en sort une sorte de collier qu’elle dépose sur la table. Puis un autre objet. Elle approche celui-ci de mon visage et dit.

-Allez, li l’inscription de ce côté…

-Propriété de Madame Pénélope.

C’était tellement beau, un petit cœur avec cette inscription. Tout compte fait j’étais heureuse. Puis elle retourne le petit cœur pour me montrer l’autre face. En fait, c’était un cadenas. Et avec les manœuvres suivantes j’ai compris que le bijou en question était un collier. Elle m’a donc passé le collier autour du cou. Il était assez juste. C’était un collier rigide en stainless steel terminé de chaque côté par un anneau. Bien entendu c’était pour recevoir le cadenas de Madame. Le collier a une forme un peu bizarre, il épouse un peu la forme de mes épaules, le cadenas qui le ferme se trouve vis-à-vis ma clavicule gauche et au centre du collier à l’avant il y a un anneau ainsi qu’un deuxième derrière au centre du dos.

-Voilà petite chienne, tu as ton collier permanent à présent.

-Merci Madame

-Maintenant il n’y a plus d’erreur tu m’appartiens.

Elle avait bien dit collier permanent. Soudain j’ai eu une pensée pour mon travail et ma famille. Un autre terrible frisson m’a envahi. Les personnes présentes se sont misent à applaudir. J’ai dû embrasser les pieds de toutes les personnes présentes, puis Madame à sortie une laisse de sa sacoche et l‘a fixé à mon collier. Elle a à peine déposé l’imper sur mes épaules et elle m’a tiré hors de l’arrière-boutique, j’ai traversé le magasin avec l’imper ouvert montrant aux clients une partie de mes seins et ma vulve glabre. C’est rouge de honte que je suis sortie sur le trottoir faisant face aux multiples passants. J’avais froid et j’avais hâte de regagner la voiture. Je me suis assise côté passager, après que Madame est retiré l’imper qui me couvrait à peine et a bouclé ma ceinture parce j’avais toujours les mains liées dans le dos et nous sommes retourné à la résidence de Madame.

Chez Madame c’est à quatre pattes que j’ai fait le trajet entre le garage et le salon. Madame m’a fait placer à genoux au centre, et j’ai attendu patiemment qu’elle revienne. Elle s’est assise dans le fauteuil devant moi tout en prenant son temps pour déguster une boisson alcoolisée. Elle me regardait avec un air étrange, un air de satisfaction, de victoire. Elle savourait le moment comme un accomplissement.

-À partir d’aujourd’hui kary tu peux dire adieu à Karine, elle n’existe plus. Doré n’avant tu es kary 24 heures sur 24, tu m’appartiens et tu dois toujours m’obéir sans hésiter. T’a bien compris.

-Oui Madame…

-Le collier que tu as reçus aujourd’hui fait désormais parti de toi, jamais il ne te sera autorisé de l’enlever… De toute façon c’est moi qui garde la clé, et soit rassurée, il est très solide.

-Mais Madame…

J’ai à peine eu le temps de finir ma phrase qu’elle s’est levée et m’a giflé à trois reprises de façon très violente. Puis elle a saisi le bout de mes seins en les pinçant très fort et fait un mouvement comme pour me soulever.

-Ne t’avise plus jamais de me contredire ou de discuter mes ordres parce que tu vas être punit très sévèrement petite salope.

Les larmes sont venues très rapidement à mes yeux. J’avais très mal. Madame serrait toujours et mettait une pression vers le haut. Elle me regardait avec un air très sévère comme je ne l’avais jamais vue.

-Écoute bien petite pute, tu es à moi, tu es ma chose, l’instrument de mon plaisir, tu es tout ce que je veux que tu sois, c’est bien clair dans ton esprit ça?

-Snifff…… Ouiiiuiiii Mmaaaadaaammmeee.

Cette journée de décembre l’an dernier a été le point tournant dans ma relation avec Madame Pénélope. Je savais qu’à partir de là ma vie ne serait vraiment plus pareil comme avant. Je pouvais sûrement encore me servir de mon véto pour sortir de cette relation avant que cela n’aille trop loin, mais si j’osais seulement l’évoquer peut-être que Madame y mettrait fin. Tout cela me faisait peur, mais les sensations profondes qui m’habitaient et le bonheur que je retirais de cette situation hors du commun qui m’enivrait au plus haut point me forçait à accepter ma place auprès de Madame. Je n’envisageais plus de vivre une seul journée de ma vie sans toute cette intensité qui caractérisait le rapport de pouvoir entre moi et ma déesse. Elle a finalement lâché mes seins et est retourné s’assoir.

-Merci Madame de me permettre de devenir meilleur pour vous… Je vous appartiens et je vais me dépasser pour votre plaisir. Je vous aime Madame.

Les yeux de ma Maitresse se sont illuminés. J’ai senti sa fierté, son bonheur de me posséder. Du coup j’étais heureuse de lui faire ainsi plaisir. Oui, j’étais heureuse quand je lui faisais plaisir et je ressentais une forme de bien être lorsqu’elle me donnait un ordre ou me faisait faire un nouveau défi. J’étais heureuse lorsqu’elle m’humiliait, me procurait de la douleur ou qu’elle se servait de moi. Je suis incapable de comprendre pourquoi, mais j’aime être soumise. Encore plus, j’aime être une esclave et tout simplement obéir, souffrir, n’être qu’un objet que l’on utilise. Combien de fois je me suis demandé si j’étais normale. Mais j’ai arrêté de me poser la question. C’est comme cela, c’est tout. La seul chose dont je suis certaine et que je comprends, c’est que si je mets fin à ma relation avec Madame je ne serai plus jamais heureuse. Alors même si parfois cela est difficile, je veux continuer d’appartenir corps et âme à cette femme que j’aime plus que tout au monde. J’aime tout simplement être à elle…

Et elle m’a fait un petit discourt pour me donner les nouvelles consignes en accord avec mon nouveau statut de soumise total. Entre autre les domestiques étaient averti que pour eux j’étais ni plus ni moins qu’une petite chienne, un a****l de compagnie pour Madame et qu’il devait me traiter comme-t-elle. Moi je devais leur témoigner du respect au même titre que Madame, sans aucune familiarité. Avant lorsque je venais chez Madame à titre de Karine les domestique avaient pris l’habitude de me vouvoyez et de m’appeler Madame. Mais ce temps était révolu…

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