Je suis un jeune homme de 23 ans travaillant du mardi au samedi dans un magasin de disques et d’instruments de musique. Ma routine habituelle était de faire mes courses au super marché le vendredi soir. Mes aliments fétiches étant un ou deux steaks de viande rouge, de la dinde fumée tranchée, une boîte de céréale Crispix, du yogourt au café, des oignons jaunes, une pinte de lait, quelques tomates, un pain brun, du chocolat chaud instantané et du jus d’orange. Croisant la route depuis trois semaines d’une dame d’un certain âge. Rolande âgée de 64 ans. Une petite madame de 4 pieds 11 pouces un peu rondelette. Blonde aux cheveux courts et aux yeux bruns portant des lunettes. Une jolie dame souriante et toujours bien mise. Fort probablement mère de plusieurs enfants et petits enfants. Nos regards se croisant pour une quatrième fois dans la section des produits laitiers. Celle ci décidant d’emboîter le pas et de venir m’adresser la parole…
Rolande – Alors jeune homme…On se revois à nouveau…
Moi – Oui…20 heures…Mon heure habituelle pour faire les courses…
Rolande – La vie d’adulte…C’est pas trop difficile…
Moi – Non…Pas trop…
Rolande – J’arrive pas à atteindre le yogourt vanille sur cette tablette…Pourrais-tu m’aider…
Moi – Ah…Certainement…
Plus grand qu’elle à 5 pieds 6 pouces. Prenant l’objet pour ensuite lui donner. Reluquant un peu son panier y remarquant quelques bananes, des barres de chocolats cadbury aux fruits et aux noix, des poitrines de poulets farcies au fromage brie et aux asperges, du ginseng, un ananas et une pinte de lait. Fort sympathique la madame me semblait vivre seule. Recherchant peut-être quelqu’un avec qui converser…
Rolande – Ah…Merci…Alors à vendredi prochain…
La dame au passage effleurant mon bras un instant du bout de ses doigts. Me signifiant peut-être de la suivre. Mais j’avais d’autres aliments à acheter pour le moment. Croisant à nouveau Rolande deux jours plus tard un matin dans un marché un peu plus spécialisé. L’endroit situé au centre ville y vendant des fromages raffinés, des charcuteries, de la bière de microbrasserie, du thé japonais, des croissants, du café, des sandwichs et des pâtisseries. Saluant la dame avant son départ du commerce. Une bière appelée La Buteuse, un petit gâteau Tiramisu et un fromage camembert à sa main. L’odeur de son doux parfum croisant ma route à nouveau.
De retour au super marché le vendredi suivant. La madame venant m’aborder à nouveau. Son panier comprenant des pains à hamburger, deux livres de steak haché de boeuf, de la choucroute, une salade de choux, du fromage suisse, des oignons jaunes, du miel, de la moutarde de dijon, du bacon, une laitue et des tomates. Rolande se cherchait quelqu’un pour venir déplacer quelques meubles à son appartement. Vivant à quelques pas du super marché. Me proposant un samedi soir pour venir l’aider. Très heureuse de mon offre humectant son doux parfum au passage. La madame devenant de plus en plus entreprenante à mon égard. Me suggérant de ne pas trop manger avant d’apparaître à son logis. Faisant la file derrière elle. Une odeur de vieille chatte en chaleur apparaissant alors vers mes parois nasales. La sachant émoustillée. Me disant que c’était juste la fin de la journée qui faisait réagir son corps ainsi.
Cognant à la porte de son appartement vers 19 heures Rolande ouvrant. Habillée sobrement la dame portait un chemisier léger noir et un pantalon blanc. Puis un collier de perles assorti d’un pendentif au motif d’ancre dorée. Ses lèvres subtilement rosées. Vivant dans un chaleureux deux et demi. Déplaçant une commode et un bureau la chaleur de l’endroit un peu trop élevée à mon goût. Les travaux terminés la madame qui voulait naturellement discuter un peu. Me proposant un verre de gin avec de l’eau chaude et du miel. Et un ou deux hamburgers si j’avais en plus envie de manger. Acceptant les deux propositions…
Rolande – Alors…Le hamburger…
Moi – Vraiment très bon…J’en prendrais presque un autre…
Rolande – Laisse toi aller…Ils sont là pour çà…
Rolande m’en servant alors un autre. Celui ci garni à souhait. L’ambiance de sa cuisine tamisé de la fine lumière d’une lampe….
Rolande – Je suis séparée de mon mari depuis dix ans déjà…
Moi – Hummm…Çà fais longtemps…
Rolande – Oui…Passablement…
Prenant une gorgé de son gin chaud. Son regard devenant un peu plus pétillant…
Rolande – J’ai quatre enfants et six petits enfants…
Moi – Hummm…Çà fait beaucoup…
Rolande – Oui…Quand même assez…
Moi – Vous êtes séparée depuis longtemps vous me dites…
Rolande – Oui…Depuis un fort moment…Une copine dans votre vie jeune homme…
Moi – Non…Pas pour l’instant…
Rolande – Une auparavant…
Moi – Non…J’aime bien vivre seul…Pour le moment…
Rolande – L’amour à déjà été consommé ou bien…
Moi – Enfin…Pas pour l’instant…(Rougissant un peu)…
Rolande – Ah…Bon…Aimerais-tu entendre une chanson…
Moi – Si vous voulez…(Trouvant que la conversation s’éternisait quelque peu…Devenant un peu trop personnelle)…
Rolande – Il était une bergère…Qui gardait ses moutons ron ron…Elle fit un fromage…Du lait de ses moutons…Le chat qui la regarde…D’un petit air fripon ron ron…Si tu y mets la patte…Tu auras du bâton ron ron…La bergère en colère…Tua son petit chaton ron ron…Elle s’en fut à confesse…Pour demander pardon ron ron…Mon père je m’accuse…D’avoir tué mon chaton ron ron…Ma fille pour pénitence…Nous nous embrasserons ron ron…La pénitence est douce…Nous recommencerons ron ron…Nous recommencerons ron ron…
La madame qui chantait la comptine tout doucement en me regardant dans les yeux. M’indiquant qu’il y avait une autre version à celle ci. Chantant la comptine nouveau…
Rolande – Il était une bergère…D’humeur assez légère…Qui aimait les garçons ron ron…Bien plus que ses moutons…Un jour près d’une rivière…Voyant son ami Pierre…Elle quitta son jupon ron ron…Et son petit pantalon…Se pourléchant les lèvres…S’approchant l’air fripon ron ron…Pour tâter le chaton…La bergère peu sage…Entrouvrit son corsage…En disant au garçon ron ron…Embrasse mes tétons…Pour ensuite ouvrir ses cuisses…Et se faire caresser sans façon ron ron…Le duvet du chaton…Viens vite y mettre la patte…Sur ma petite chatte…Caresse la sinon ron ron…Tu auras du bâton…Il n’y mis pas la patte…Mais bien le menton ron ron…Et le long de la rivière…Retentit cette prière…Une minette au chaton… N’arrête pas c’est trop bon ron ron…Et nous recommencerons ron ron…Et nous recommencerons ron ron…
Moi – C’est pas un peu pervers…Je vous croyait plus sage madame…
Rolande – Çà fait plus de dix ans que je n’ai pas baisée…Alors je suis un peu en manque…
Moi – Ah bon…
Rolande – La première version semble anodine…Mais son sens caché parle de déflorer un jeune homme…
Moi – Ah…Et alors…
Rolande – Voudrais tu un peu plus d’alcool…
La madame me servant un autre verre de gin chaud s’absentant un moment. Revenue ne portant qu’un t-shirt blanc sans sous vêtement. Je pouvais voir son pubis gris et la pointe de ses petits seins tombant dressée. Assise à la table en conversant un peu plus à nouveau. La tension sexuelle augmentant de plus en plus. Ma tige devenu dressée. Figeant presque sur place à la vu de ses parties génitales dénudées…
Rolande – Alors…T’aimerais apprendre à faire l’amour…
Moi – Enfin…Je sais pas trop…
Rolande – Au premier regard…Je savais que tu étais toujours vierge…
Moi – Ah…Bon…
Rolande – Je donnerais n’importe quoi pour que tu me sautes…
Moi – Enfin…À 72 ans…Je sais pas trop…
Rolande – Je parais toujours bien…Et je suis toujours en forme…Je m’entraîne trois fois pas semaine au gym d’ailleurs…
Moi – Et les voisins…
Rolande – Occupe toi pas des voisins…T’as peur des femmes…Ou bien veux tu que je te payes…
Moi – Hummm…Enfin…
Rolande plongeant son index et son majeur dans son verre d’alcool chaud. Caressant tout doucement sa vulve de ses doigts haletant déjà. Ouvrant ses cuisses elle ne semblait pas prête à vouloir s’arrêter…
Rolande – Allez viens…Ma chambre est tout près…Laisse moi te libérer de ce fardeau…
Moi – Ah…Hey bien…
Rolande – Pour quelques dollars…Allez…Viens…(La dame se penchant pour ainsi caresser ma cuisse)…
Moi – Enfin…Si vous incistez…
La dame se redressant d’un bond pour ensuite me prendre la main et nous diriger vers son lit. Enlevant mes vêtements pour venir la pénétrer de façon rude et rapide en missionnaire. Rolande qui voulait se faire prendre de façon vive et sèche. Elle fut finalement servie éjaculant un peu trop rapidement en elle. Réagissant un peu lors de mes vas et vient. Se retirant un instant pour faire une virée à la salle de bain. Et ensuite revenir en trombe pour venir me chevaucher. À 72 ans découvrant sa chatte étroite quand même bien lubrifiée. Lui découvrant presque l’énergie d’une quadragénaire. La relation sexuelle ressemblant un peu à l’intensité de Victoria Abril dans le film Reykjavik 101. Un peu plus endurant cette fois ci. Faisant perdurer le plaisir pendant une bonne quinzaine de minutes. Son vieux matelas qui grinçait à chacun de ses mouvements de bassin. Éjaculant pour une deuxième fois en elle la madame s’affalant sur mon corps. Un peu essoufflée avec la peau humide. Ma tige ramollie imbibé de mes semences et de sa cyprine. Redressant son torse pour ensuite me faire un clin d’oeil de courtoisie. M’avouant que ce n’était que partie remise. Reprenant la dame par en arrière sur son comptoir de cuisine un peu plus tard. En empoignant ses petits seins mous et tombant de ma main gauche. Caressant son pubis chaud de ma main droite. Pour me retirer et ensuite éjaculer mes semences sur son plancher. Rolande venant m’essuyer la tige d’une serviette mouillée. Souriante et satisfaite du devoir accompli…
Rolande – Alors…Ce n’était pas si mal que çà…
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