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24h de soumission – part1

24h de soumission – part1



Plusieurs jours après des échanges incessants sur internet, et après avoir décalé le plan à plusieurs reprises prétextant une indisponibilité fictive, j’accepte le RDV que mon contact vient de me donner ce soir.

La veille je prend le soin de bien me raser le sexe, les fesses, les aisselles et la barbe fine que j’avais comme il me l’avait clairement indiqué. Je termine ma journée de boulot et prend le train en direction du lieu de rencontre. Arrivé sur place, je retrouve une petite voiture bleu qui m’attend avec un mec à l’intérieur. C’est bien lui, un jeune de 29 ans, plutôt rond avec une barbe de quelques jours.
Le contrat que j’avais signé sur internet prenait effet au moment ou j’allais m’adresser à lui, à compter de là je devais lui obéir au doigt et à l’oeil.
Je me dirige donc vers lui avec quelques pas d’hésitation, arrivé à sa voiture je toque à la fenêtre coté passager et lui dit la phrase qu’il m’avait imposer de dire : « je suis tout à toi pendant 24heures » avec l’angoisse que je m’adresse bien à la bonne personne, je le voit me fixer pendant quelques secondes sans rien dire, pour la her au bout de ces interminables secondes un « ok, c’est partit pour 24h de folie ». Ouf, je suis soulagé je me suis bien adressé à la bonne personne!
Pour commencer enlève ton pantalon.
Je suis sur la place de la tare avec des voitures autour et des voyageurs pouvant me voir. Je lui demande si je pouvais monter d’abord et l’enlever dans la voiture. Il me répond sèchement que je n’ai pas à discuter ses ordres et que je doit exécuter sans parler sinon je vais avoir droit à une punition.
Etant excité et voulant aller plus loin dans cette expérience, je regarde à droite et à gauche et puis derrière mois, pour constater quelques personnes autours. Je ne pouvais échapper à leurs regards. Je commence donc par enlever mes chaussures que je pose à l’intérieur de la voiture, enlève ma ceinture, déboutonne mon jean et le fait tomber pour se retrouver en jock strap devant la gare. (Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit d’un slip sans tissu à l’arrière, juste les élastique, j’avais donc les fesses à l’air. Je ne tente même pas de regarder autour de moi si quelqu’un voit ce que je viens de faire, mais j’ai entendu des gens rires autour et je présume que c’est dû à ce que je venais de faire.
Je regarde par la fenêtre de la voiture en me penchant pour pouvoir le voir et savoir ce que je doit faire à présent. Il me regarde pendant quelques secondes encore une fois qui me paraissent interminables et me dit de monter. Je me presse donc à ramasser mon jean par terre et monte dans sa voiture au plus vite. Une fois caché derrière la portière je jette un oeil dehors et je vois au moins une dizaine de personnes me regardant, je baisse immédiatement les yeux pour éviter leur regard et honteux de ce que je viens de faire.

Une fois dans la voiture, mon maître (je devais l’appeler ainsi pendant la durée du contrat) me parle de l’endroit vers lequel nous nous dirigeons, il s’agit d’une cabane dans les bois qu’il utilise principalement pour stocker son matériel industriel et qu’il a aménager avec les moyens du bord pour pouvoir recevoir ses sujets et passer du bon temps sans être déranger. Il me rappelle que je lui appartient pendant 24h et jusqu’au lendemain 19h, et que je ne peux plus rompre ce contrat sauf en disant un mot qu’on avait préalablement défini si le plan dépasse les limites qu’on s’était fixé.

Nous sommes arrivés sur les lieux assez rapidement, il fait sombre et humide. Il fait un peu frais. Il s’arrête devant une cabane au milieu de nul part. Mon téléphone ne captait plus, ça aussi il me l’avait dit, je prend donc conscience que je suis déconnecté de tout et que je suis seul avec ce mec.
On descend et on se dirige vers sa cabane comme il l’appelle, mais c’est plutôt un abris en bois plutôt rudimentaire. Il ouvre la porte qui est fermée avec des chaines et me laisse entrer en premier en me guidant en posant une main sur mes fesses nues. C’etait notre premier contact physique.
Une fois à l’intérieur, il me dit de me mettre à genoux et de l’attendre , il allume donc des bougies et 2 petits réchauds pour réchauffer un peu l’atmosphère.
Il referme la porte, non à clef cette fois, et se dirige vers moi et me demande de me déshabiller entièrement en gardant le jock strap et de me présenter et de dire quelles étaient mes motivations.
Je me déshabille donc, il ne me restait que ma veste, les chaussettes et ma chemise à enlever, et toujours à genoux je commence à me présenter:
Je m’appelle Jean, j’ai 25 ans, je travaille dans une société d’informatique depuis 1 an. Je suis ici parce que j’ai envi de satisfaire mon maître, d’obéir à ses ordres, d’être son objet et son jouet.
Ok, bien résumé me répond-il, met toi à 4 pattes et cambre toi
Je l’exécute en lui disant oui maître.
Il se pose sur un vieux fauteuil 2 places qui a l’air d’être bien moelleux vue comment il s’est enfoncé dedans en s’asseyant. Me demande de me rapprocher de lui à 4 pattes. Une fois devant lui à l’horizontale, il prend ma jambe droite et la rapproche vers lui écartant ainsi mes fesses. Sans tarder, il inspecte mon rasage en passant une main sur ma raie, ensuite passe une main sous mon jock (qu’il m’avait fait acheté par ailleurs avant notre plan) pour tester mon pubis et sous les aisselles. Une fois son inspection terminée il me félicite en me disant que j’étais un bon soumis et que je méritait mon collier de soumission. Il prend un collier qu’il avait sur la table à coté au milieu de pleins d’autres instruments que je n’arrive pas à voir à cause de la lumière de la bougie qui se trouve à présent derrière moi et j’assombri la table. Une fois le collier à sa place et bien ajusté, il y rajoute une laisse qu’il met autour de son poignet.
Il me met une première claque sur les fesses plutôt soft en me disant cette claque c’est pour te dire que je suis content de toi, il est rajoute une autre largement plus puissante qui me fait avancer de quelques centimètres, et me dit que celle-ci c’est pour me punir quand je n’obéis pas. Je lui dit oui maître j’ai compris. Il en rajoute une troisième soft qui commence à me faire bander.
Il me fait retourner à la verticale maintenant pour continuer son inspection, je me retrouve donc le visage entre ses jambes, lui qui est toujours habillé et moi entièrement nu ou presque. Il inspecte mes joues, me fait ouvrir la bouche et y insère un doigt, il avait plutôt un gros doigt que je me met tout de suite à sucer. Il inspecte tous les recoins de ma bouche à présent avant d’y insérer un deuxième que je continue à lubrifier et à sucer.
Il enlève ses doigts de ma bouche et me fait redresser, toujours à genoux, et il vient titiller mes tétons. Il les voit et me dit que c’est la première fois qu’il voyait des aussi gros tétons qu’on dirait limite des mamelons, il se met à les pincer et les relâcher à plusieurs reprises jusqu’à ce qu’ils soient durs. Il tire dessus plusieurs fois me faisant un peu mal par moment.
Il descend vers ma bite qui affiche une belle dure à présent, cachée derrière mon jock strap blanc en tissu maille, il le baisse en dessous de mes couilles offrant ainsi ma bite bien dure rasée de prés, qu’il décalotta aussitôt. Il la toucha en y apportant quelques pressions comme pour tester la maturité d’un fruit, descend vers mes couilles et apporte la même pressions sur mes testicules. Il remonte mon jock et me dit de me retourner et me remet à 4 pattes offrant ainsi une vue à la verticale sur mes fesses encore rougies par les claques de tout à l’heure. Sans trop tarder il y insère un doigt sans le lubrifier qui m’a fait mal et fait un mouvement vers l’avant avant de me faire appeler à l’ordre par une fessée pour ne pas bouger. Il fait quelques vas et viens avec son doigt et le lubrifie avec sa salive, avant d’y insérer un deuxième qui fut moins douloureux que le premier aidé par la salive et mon trou qui s’est détendu après la fessée. D’habitude c’est un peu la limite de ce que je peux prendre, et après quelques vas et viens et ayant de gros doigts je commence à sentir que je vais jouir, mais je me retiens. Il présente un 3eme doigt qu’il essaye de pénétrer, cette fois il rajoute du lubrifiant et pousse petit à petit ses doigts vers le fond de mon trou. Je ne pensais pas que je pouvais en accueillir 3 à présent mais je sentais bien que c’était ma limite, plus aucun millimètre de l’entrée de mon trou n’était libre. Il fait tomber mon jock à présent pour avoir un meilleur accès à mes couilles qu’il prend en main et essaye de les tirer. Mes couilles ne sont pas vraiment pendantes et il me le fait signaler en me disant qu’il faut qu’on travaille dessus. Il commence donc à les malaxer et tirer vers le bas pour voir leurs élasticités, de plus en plus fort…il enroule ensuite une cordelette autour comme pour les isoler de ma bite serrant au maximum.
Quelques secondes plus tard il y attache un poids les tirant vers le bas, il s’agissait de 2 boules de pétanques dont j’ai bien ressenti le poids quand il les a lâché. Le moindre mouvement me faisait mal au début, mais je ne voulais rien dire à mon maître pour éviter de le contrarier. Il me demande si ça allait, je lui ai dit que tout allait bien. Il fait balancer les boules de pétanques attachés à mes boules, en me disant que si je n’obéis pas il va devoir en plus de la fessée, tirer sur mes boules. Voici donc le deuxième niveau de punition. Je bouge de la tête évitant ainsi de crier de douleur. Cette pression me procure quand même du plaisir et je vois couler de ma bite quelques gouttes.
Il me fait tourner à nouveau face à lui, et me pose des pinces à linges sur mes tétons. Une, puis 2 puis 3 puis 4 par tétons. Encore une fois cette pratique me fait mal, je commence donc à me poser des questions par rapport à la suite du plan. Dans mon esprit je voulais plus obéir et satisfaire les envies de mon partenaire et mon maitre et non pas subir des scènes de torture. Il enchaîne en tirant sur les pinces et en mettant des petites tapes dessus me faisant mal à chaque coup qui me fait oublier le poids suspendus à mes couilles. Il me dit alors que ça aussi c’est un autre niveau de punition auquel j’aurais droit si je n’écoutais pas ou que je j’obéissais pas.
Bon, je pensais qu’on avait fait le tour des punitions, avant qu’il me dise qu’il y’en a d’autres qu’il réserve à plus tard… J’ai compris qu’il voulait me conditionner pour bien lui obéir et comme pour fixer les règles dès le début me rappelant ainsi que c’est lui le maître et que je suis à sa merci.
Il enlève les pinces à linges, et mes tétons ont gardés la forme des pincements pendants plusieurs secondes en souvenir.
Il me tend ses pieds en me demandant de le déchausser, et de lui enlever ses chaussettes, je commence par son pied gauche puis son pied droit. Une fois pied nue il me demande de les lécher. C’était la première fois que je pratiquais ça, j’ai eu un moment d’hésitation, avant de me faire tirer vers le bas en direction de ses pieds avec la laisse et en me disant plus vite que ça ! Je commence donc par lui lécher ses orteils avant qu’il me demande de les gober et de bien les sucer que je fais aussitôt. Toujours avec l’aide de la laisse il me fait remonter vers son torse, il enlève son t-shirt, il est plutôt bien velu et assez gros. Je n’avais pas droit à son descriptif avant notre rencontre et n’ayant pas vraiment de préférence physiquement cela ne m’a pas vraiment dérangé. Je commence donc par le lécher les tétons toujours à sa demande, par lui lécher le ventre, son nombril. Il me dirige à présent vers sa bite que je me met à sentir et à le her à travers son bogging et boxer. Je sens une bite plutôt grosse avec une grosse paire de couilles mais toujours au repos. Au bout de quelques instants alors que j’étais à mes occupations et que j’essayais de baisser son jogging pour la voir, je reçois une claque sur le visage en me disant de me calmer, qu’il faut la mériter la queue du maître et que je ne suis pas prêt encore. Il se lève donc de son fauteuil et me dit de m’allonger dessus sur le dos. Prenant soin de bien porter les boules de pétanques pour éviter que ça tire beaucoup je me pose sur le fauteuil en cuir et m’allonge dessus. Il prend mes mains, me fait tourner un peu sur le coté, me les met derrière mon dos et me les attaches. Il se dirige vers une des bougies qu’il avait allumer. Il en fait tomber quelques gouttes sur mon torse en me disant la prochaine fois tu ne touches à rien si je ne te demande pas de le faire, ce n’est pas pour rien que je t’ai mis des poids sur les couilles et ce n’est pas pour que tu les portes, si ça tire c’est fait exprès. Je répond oui maître en m’agitant à chaque goutte que mon torse réceptionne. Je pensais que ça allait bruler davantage ou que ça ferai mal mais c’était supportable et rien de méchant.
Il me retourne pour que je sois allongé sur le ventre, prend une attache pour fixer ma jambe droite au dossier du canapé et ma jambe gauche au pied du canapé formant ainsi une belle voie d’accès à mon cul, ayant les bras toujours attachés je suis complètement immobile. Il se rapproche avec mon jock strap et je me demande ce qu’il voulait en faire.
Il me dit j’ai vu ton jock sur toi et ça m’a bien excité, je veux le voir en toi à présent. Je n’ai pas trop compris sur le moment mais j’ai vite compris quand je l’ai vu entrain d’essayer de mettre mon slip en forme de tube en longueur et de le lubrifier. Il lubrifie également mon trou sans ménagement et présente mon jock devant mon trou. Il commence donc à me fourrer avec ce slip, en le poussant à l’intérieur en introduisant ses gros doigts. Ce fut difficile, le jock n’ayant pas beaucoup de tissus mais plutôt élastique était récalcitrants, et ne voulait pas y aller facilement. Quelques coups m’ont fait un peu mal et m’ont donné droit à quelques fessés pour arrêter de gigoter. Mais au bout de quelques minutes j’ai senti que j’était bien rempli et qu’il est bien dedans à présent. Je l’ai vu pour la première fois sourire comme s’il était fier de m’avoir fourrer avec ce slip. Il se relève et va chercher son appareil photo et prend des photos de mon trou rempli, avant de donner un dernier coup pour le pousser bien au fond et permettre à mon trou de se refermer. Il reprend une photo pendant qu’il le poussait et une fois mon trou refermé. J’avais comme une sensation d’être encore plus plein à présent. Jamais ressenti ça auparavant, en tout cas on m’avait jamais fourré avec un objet qu’on a laissé en moi avec mon trou qui se referme derrière.

Je le vois se poser sur un autre fauteuil en face et prendre son téléphone pendant plusieurs minutes, il appelle même son ami pour organiser son week end cinéma et ps4 chez eux et puis le choix du restaurant. Comme si je suis devenu un objet transparent tout à coup. La sensation du jock en moi devient désagréable mais j’essaye de ne pas y penser. Au bout de quelques minutes qui m’ont parues interminables il se dirige vers moi en me donnant une bonne claque sur les fesses me demandant si tout va bien? Encore une fois je dit que oui, mais que la sensation du jock devient un peu désagréable. Il me dit que je dois me démerder maintenant pour l’enlever tout seul. Allongé sur le ventre avec les jambes écartés et attachés et les mains attachés derrière mon dos je suis parfaitement immobile. Je ne peux donc utiliser mes mains. Je n’ai qu’à pousser.
Je tente donc de pousser, sauf que mon cul n’est plus lubrifié maintenant et l’objet est bien enfoncé, après plusieurs minutes à essayer, et ne sentant aucune amélioration comme si j’avais un bouchon dans le cul, je le regarde en disant que je n’y arrivais pas. Il me regarde gémir et me dit de ne pas abandonner et que je dois essayer encore. Je recommence mais je suis à bout de force. Il s’en rend compte, pose son téléphone et se dirige vers moi en me disant attend je vais t’aider. Il prend un spéculum qu’il enduit de lubrifiant et me le met dans mon trou, il était assez froid ça m’a donc contracté le trou. Le temps qu’il se chauffe un peu et que mon trou se dilate un peu, il exerce une petite pression pour m’ouvrir et voir ce qui bloque à l’intérieur. Encore une fois c’est la première fois qu’on utilise ce genre de matériel sur moi, mais je ne suis pas assez dilaté pour voir quoi que se soit. Il abandonne alors l’idée et l’enlève. Il enfonce le tu e de lubrifiant et appui dessus pour libérer une bonne quantité de lubrifiant dans mon cul. Il me dit de pousser à nouveau, je recommence et je sens que ça descend, avec le lubrifiant c’est beaucoup mieux, ça descend et je sens que mon trou s’ouvre pour le libérer petit à petit. Mais arrivé à un moment ou je bloque à nouveau, le jock étant en forme de boule à présent, il est bien trop gros pour sortir. J’exerce quand même quelques pressions mais je reste bloqué. Mon maitre intervient donc en le prenant et en tirant d’un coup dessus sans me prévenir. La boule s’est défaite à l’intérieur avant de sortir de mon trou évitant ainsi de me déchirer l’anus. Je me sens vidé et me sens largement mieux. J’ai quand même le cul en feu. Il vient poser mon slip juste devant mon visage, et me demande d’ouvrir la bouche avant de me le mettre dedans. Ayant le cul propre cela ne m’a pas trop dérangé mais il avait le gout de lubrifiant.
Il me met un plug anal transparent de faible calibre qui vient me masser le trou après cette scène. Il me dit qu’il ne veux jamais voir mon trou inoccupé, il faut que je prenne l’habitude de le mettre tout seul dès maintenant. Il me détache les jambes et me fais assoir face à lui qui reste debout.
Il enlève son jock de ma bouche et me demande d’ouvrir ma bouche.
Il y crache dedans à 3 reprises, avant de baisser son jogging et son boxer juste ce qu’il faut pour me présenter sa bite encore au repos, assez lourde circoncise avec de belles grosses couilles poilus. Je la prend en bouche et commence à le lui lubrifier. Ayant toujours les mains attachés je devais la prendre par le bas avec ma bouche, il y joue un peu en reculant et en bougeant de droite à gauche pour me voir comment je suis mon objectif et comment je ne le perd pas de vue. Je le suce donc et commence à sentir la grosseur de sa bite qui envahit ma bouche. Il attrappe ma tête avec ses 2 mains et me l’enfonce de plus en plus profond dans ma bouche jusqu’à ressentir des hauts le coeur.
Maintenant que sa bite est bien dure, il me fait lever et se pose à ma place, me dit de me mettre à genoux et de continuer à le sucer.
Sa bite avait bon goût, et je m’applique à lui faire des vas et viens en bon et dû forme, aidés par intermittence par quelques minutes de branles qu’il se procure.
Au bout de quelques minutes, je sens qu’il va pas tarder à venir. Je continue quand même à le sucer jusqu’à ce que je sente des jets chauds dans ma bouche qui m’ont fait reculer. J’avais clairement signalé mes limites et ça en faisait parti. C’était la première fois qu’on m’éjaculait en bouche. Il reprend ma tête et la dirige vers sa queue, j’ouvre ma bouche pour évacuer ce que j’avais déjà en bouche mais il en profite pour enfoncer à nouveau sa queue dedans et finir d’éjaculer. A peine il a finit il me dit que je peux tout cracher et me tend une serviette et m’indique même un lavabo pour me rincer la bouche, me détache les mains. Je crache sa semence et va me laver la bouche avant de revenir vers lui. Avant de lui signaler mon mécontentement il me dit qu’un bon soumis se doit d’accepter la semence de son maître, qu’il comprenait le fait que je n’avale pas mais ne pouvait accepter de gaspiller son nectar en éjaculant en dehors d’un trou.
Je ne m’attendais pas à un tel discours, et maintenant que c’est fait et qu’au final j’ai satisfait mon maître et je me suis lavé par la suite, ce n’était pas si horrible que ça. Je lui dit que je comprend, et que ce qu’il disait était logique et que je suis un bon soumis.

Il m’indique que le plan pour ce soir était fini et m’inique un coin par terre avec une couette comme matelas et une couverture pour le couvrir. Il m’indique que c’est la place des soumis et des chiens. Je me dirige vers ma place à 4 pattes comme il me l’a demandé et essaye de me trouver la meilleure position pour y dormir. Quant à lui, il ouvre le canapé qui devient un lit et s’y allonge en me disant bonne nuit, et que la soirée était terminée mais pas la nuit…

Allongé par terre avec le plug dans le cul, les boules attachés à les couilles, le collier et la laisse en place et encore le gout de son sperme chaud dans la bouche, malgré le fait de m’être rincer la bouche, je l’entend ronfler au bout de quelques minutes. Mon matelas n’étant pas du tout confortable et vue qu’il fait un peu frisquet je n’arrive pas à dormir…
Je tente quand même de dormir n’ayant que ça à faire, mais je suis encore excité par ce que je venais de vivre, je bande à moitié et je n’ai pas sommeil. Je reste donc allongé pendant 3 ou 4 heures (je suis dépourvu de montre et de portable, une des conditions du contrat) jusqu’à ce que je m’écroule de fatigue et m’endors.

Je sens un moment une certaine chaleur m’envahir, assez réconfortante vue le froid de la pièce, mais reste sous ma couette et dans mes rêves, jusqu’à ce que je ressente que cette chaleur réconfortante est devenue humide. J’ouvre donc les yeux, encore embrumer par la fatigue, et j’aperçois mon maître entrain de me pisser dessus ou plutôt sur ma couette, je ne dit rien et le laisse faire, mais en me voyant réveillé à présent il remonte vers mon visage qu’il asperge avec abondance. Je reste immobile jusqu’à le voir se retourner et se diriger vers son lit à nouveau. Je reste ici avec la pisse que j’essaye d’essuyer avec la couette qui en absorba un peu, mais la chaleur que j’ai apprécié un moment refroidi assez vite et avec l’humidité ça devient limite supportable.

Quelques minutes plus tard, j’entend mon maitre m’appeler comme s’il était entrain d’appeler son chien. Je me lève et va le rejoindre. Il défait alors les boules de pétanques et le noeuds qu’il avait fait autour de mes couilles en disant que ça va leur permettre de se reposer un peu, et effectivement en les enlevant j’ai ressenti un vrai soulagement. Il me dit de m’allonger sur le ventre en bas du lit en horizontale au niveau de ses pieds. J’exécute. Il se lève s’absente quelques secondes et il revient, en plein milieu de la nuit je n’arrive pas à discerner ce qu’il fait, il me fait reculer pour être à genoux au pied du lit avec le torse couché sur le lit et les fesses bien cambrés. Il enlève mon plug qui était bien au chaud, mon trou resta dilaté quelques secondes et avant qu’il se referme il enfonça un gode qu’il avait pris le soin de capoté et de lubrifier. Il poussa le gode à son maximum en y faisant plusieurs fois des vas et viens et en le faisant rouler comme pour explorer tous les recoins de mon intimité. Ca me fait bander sans retenue mais je sais que je ne peux pas me branler ou toucher ma bite sans son autorisation, ma bite lui appartenait. Il continue jusqu’à ce qu’il pousse son gode bien à fond qui n’avait pas de frein mais juste une assez grosse base par rapport au bout du gode, petit à petit il le pousse pour l’enfoncer le plus loin possible jusqu’à ce qu’il disparaisse dans mon trou et mon trou s’est refermé derrière. Il me dit que maintenant je vais pouvoir dormir comme ça et finir ma nuit en compagnie de mon nouvel ami. Je me sens rempli à nouveau mais c’était moins désagréable que le jock. Je lui dit ok, mais j’avais une envie de pisser et je lui demande ou sont les toilettes pour pouvoir me soulager. Il me donne un bol dans lequel je pouvais pisser. Je fait donc, il me demande si ça me donne envie de boire la pisse présentée comme ça dans un bol, je lui dit que non et que j’était désolé de ne pas pouvoir le faire. Il n’insiste pas, il sais déjà que ça faisait partit de mes limites.
Je le rejoint au pied du lit pour me coucher soulagé de mes boules de pétanques mais avec un gode bien enfoncé dans le cul.
Pendant la nuit je reçois quelques coups de pieds de la part de mon maître qui dort profondément, et moi j’avais de plus en plus de mal à garder mon gode bien au chaud, je devais bien serré les fesses pour le maintenir en place. Jusqu’à un moment à l’aube, ou je ne pouvait plus le retenir, je décide donc de l’enlever pour me soulager un peu. A ce moment là, peut être réveillé par mes mouvements, mon maître s’est réveillé. Il me voit donc me soulager de mon gode sans que je m’en rende compte qu’il était entrain de regarder.
Je l’entend bouger d’un coup derrière moi, et me retourne pour le voir assis à présent dans le lit entrain de me fixer, alors que moi j’avais le gode en main et pris au piège.
Je voulais lui dire ce qu’en était et que je ne voulait pas le réveiller mais il m’interrompe en me disant que je n’ai pas à prendre des initiatives tout seul et qu’un soumis ça obéis et que ça ne décide pas. Il m’ordonne de venir et de m’allonger sur le ventre sur le lit en lui offrant mes fesses. Je fais donc, il commence à me donner la fessée de plus en plus fort jusqu’à ce que je sois tout rouge des fesses et bien ressentir la douleur. Il me dit que c’est la dernière fois que je désobéis à un ordre ou aux exigences du maître. Je lui promet que ça sera le cas.

Le réveil fu donc assez brutal, mais je sais que j’ai encore une bonne journée à passer avec lui. On se relève et pour commencer la journée je devais soulager mon maître de sa semence qu’il a cumulé pendant la nuit et qui pese déjà lourd dans ses couilles. Une fois la fessée terminée il me fait allonger sur le lit et l’attache aux extrémités comme une étoile de mer. Il se met sur mon torse et approche sa bite qui affiche une bonne trique matinale de ma bouche que je gobe aussitôt et me met à la sucer. Il est toujours avec son jogging et n’affiche de son corps que ce dont il a envi.
Après quelques minutes à le sucer et à me prendre la bouche, je le sens gémir et lâcher sa sauce chaude dans ma bouche. Il me détacha aussitôt pour aller me rincer la bouche.
Il me remet mon plug à sa place et me propose un café aromatisé.
Il part pour le préparer alors que je devais ranger le lit et m’occuper à nettoyer les draps et la couette avec un seau d’eau et du savon à linge.
Ca y est, il arrive avec le café auquel je rajoute du sucre et je le bois en meme temps que je finissais de tout laver et de tout ranger. Quand je l’ai fini, il me demande si je n’ai pas senti un gout bizarre, je lui répond que non, que c’était juste un peu amer et que j’ai rajouté plus de sucres que d’habitude. Il m’a dit que c’est normal, qu’il m’a préparé mon café avec ma pisse de la veille, il enchaine en me disant que ce n’est finalement pas si insupportable que ça… J’avoue encore une fois mon impuissance face à ce 2eme piège qu’il venait de me tendre, après celui du sperme en bouche.

Il m’ordonne de finir de tout nettoyer et de tout faire sécher, il m’a dit qu’il partait pour une petite demie heure pour une affaire urgente et qu’il reviendra au plus vite. Je lui dit qu’il n’y a pas de souci, il me demande que pendant son absence de remettre les boules de pétanques à mes couilles et de garder mon plug à sa place, et de remettre mon jock strap que j’avais eu dans le cul la veille et de l’attendre à genoux devant la porte.

J’obéis donc aux ordres et je termine mes tâches et je me met à genoux devant la porte pour l’attendre. Je ne sais pas combien de temps ça a durer mais ça a été largement plus qu’une demie heure.

Je l’entend arriver et se garer pas loin, j’entend sa porte de voiture se fermer, puis j’en entend une deuxième et une troisième. Mon coeur commence à battre fort ne sachant pas si c’est bien lui, et s’il est effectivement accompagné d’autres personnes…

La suite très bientôt 🙂

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