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LA MAMIE BELGE

LA MAMIE BELGE



Lu sur le net :
Pierre revenait du village voisin sur son vieux vélo , empruntant la minuscule route départementale déserte qui vagabondait à travers la campagne silencieuse à quelques encablures de la frontière belge .Il vit de très loin ce 4×4, en mauvaise posture au bord du fossé jouxtant le chemin forestier qui menait au chalet de pêche que son vieil oncle lui avait légué en héritage .Pierre n’était pas un fanatique du gardon mais , il avait une passe difficile professionnellement et sentimentalement et avait envie de faire le vide dans sa tête au bord de ce petit étang isolé ou les martins-pêcheurs bleu turquoise et les libellules dorés par le soleil d’été réjouissaient son âme malade .Le véhicule japonais était immatriculé en Belgique et le propriétaire , un grand sexagénaire chauve très élégant, fumait tranquillement un havane , appuyé sur le hayon arrière. Il expliqua à Pierre, qui s’était arrêté à sa demande ,avec un fort accent flamand , qu’en voulant faire demi tour, il avait planté les deux roues côté passager, du 4×4 qui s’inclinait dangereusement dans le fossé caché par les grandes herbes aquatiques qui florissaient à cet endroit humide.
Une voix ironique féminine , plutôt aux intonations wallones, surgit de l’intérieur du véhicule :  » Quand on veut jouer les baroudeurs et frimer en conduisant un 4×4 d’opérette, on prend des cours de conduite …ou on prend une maîtresse moins jeune !  » .L’homme au cigare resta imperturbable et aspira une bouffée de havane avant d’énoncer d’un ton détaché :  » C’était mon épouse légitime ! « . pour présenter la propriétaire de la voix qui venait de l’intérieur du véhicule. Pierre peu friand des scènes de ménage (il venait d’en subir une pleine année !) détourna l’épicentre du séisme programmé en apercevant le caducée médical du pare-brise et en présentant au toubib belge sa multinationale américaine qui vendait des fils et accessoires chirurgicaux. Le chirurgien qu’il était, connaissait très bien le patron de Pierre qui se crut obligé d’aider le couple belge en détresse. Après une reconnaissance des dégâts, ils constatèrent qu’un tuyau flexible de freinage de la roue avant enlisée suintait ; Il faudrait purger le circuit après avoir trouvé la pièce de rechange. Suite à un conciliabule animé entre Madame , qui n’avait toujours pas évacué le véhicule, son mari et Pierre une stratégie prit forme :Le chirurgien empruntait le vélo pour se rendre chez le garagiste du village et son épouse ,qui ne tenait absolument pas à attendre des heures une réparation hypothétique , serait reconduite en voiture par Pierre qui avait proposé ses services à ce client, intime de son directeur.
Le mari était déjà très loin mais Pierre attendait toujours la sortie de Madame qu’il n’avait qu’aperçu derrière le pare brise : Elle lui avait semblé un plus jeune que son époux, très maquillée , de grands anneaux suspendus aux oreilles, les cheveux mi-longs, tirés en arrière d’un gris argent resplendissant .Un éclat de rire retentit de l’intérieur du véhicule suivi immédiatement d’un appel au secours. Pierre ouvrit la porte du conducteur et resta figé devant le spectacle :L’épouse du chirurgien , dont le siège était en contre bas et la portière coincée dans le fossé, avait voulu sortir en se glissant sur le siège du conducteur mais le bas de la jupe et son ourlet s’étaient pris dans les deux leviers de vitesse du 4×4 et elle se retrouvait coincée :une jambe allongée , l’autre repliée et la jupe troussée jusqu’à la ceinture. Pierre ne porta pas secours de suite, il était médusé par ce spectacle inattendu :Des bottines à lacets, deux jambes rondes et musclées , des bas noirs qui se terminaient sur les cuisses ouvertes par une large bordure élastique de dentelles et un slip échancré ,vert amande, brodé de motifs floraux qui laissait échapper ici et là , quelques poils longs et frisés. La belge le rappela à la réalité mais en plaisantant sur l’opportunité qu’elle avait eu ce mâtin de mettre un slip décent …Pierre sourit à cette jeune mamie qui ne se prenait pas au sérieux et qui , dès que sa jupe fut dégagée , réussit à s’extraire du 4×4 avec une souplesse étonnante. La belge , de la taille de Pierre avec ses hautes bottines, se réajusta puis remit sa chevelure argentée et ondoyante en place en y passant, très fémininement, ses doigts couverts de bagues .Une poitrine lourde de femme mûre tendait exagérément un débardeur blanc ,trop ajusté, sous la veste ouverte. Son ensemble tailleur, en lin écru, remis en forme maintenant lui aurait donné une allure de jeune fille si ce n’est quelques rides au bord de ses yeux noisettes et de ses lèvres souriantes teintées de rose fuchsia.
Chemin faisant vers le chalet de pêche, ils sympathisèrent très vite :La femme du médecin, Odile, était ravie d’avoir provisoirement un confident attentif et discret ,Pierre était ému par la fausse joie de vivre de la jeune mamie belge qui eut besoin d’épancher le trop plein de ses malheurs en racontant pudiquement et ironiquement ses infortunes conjugales .Elle prenait du recul et essayait d’accepter cette situation ambiguë dans laquelle elle et son mari survivaient, sentimentalement étrangers. Elle craignait , malgré ses enfants et petits enfants, d’être passée à côté de sa vie et de rester bien esseulée . Quand on n’a plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie, on s’entraîne à mourir… En trottinant de plus en plus vite, car une grosse averse orageuse s’annonçait, Pierre , un brin démagogue , essaya de lui remonter le moral : Votre vie amoureuse est loin d’être finie…Vous êtes à la fleur de l’âge…Votre corps n’a rien à envier à nombre de jeunes femmes… La mamie belge sembla s’en trouver réconfortée bien qu’elle n’en crût sûrement pas la moitié. Pierre était cependant presque sincère, il aimait bien la croupe ronde et cambrée, moulée dans la jupe en lin, il aimait bien la poitrine pesante qui se balançait maintenant à un rythme endiablé, sous la veste de tailleur alors qu’ils couraient presque, sous de grosses gouttes tièdes clairsemées, pour rejoindre la cabane refuge encore assez éloignée.
Ils prirent l’averse à son apogée : Des trombes d’eau qui les délavaient hargneusement, des branches cassées qui virevoltaient comme des boomerangs fous. Sous l’auvent du chalet en bois , ils éclatèrent de rire tellement le spectacle qu’ils s’offraient mutuellement était affligeant :les cheveux plaqués sur le front et dégoulinants de filets d’eau, les vêtements collés à même la peau, les chaussures transformées en éponge qui vomissait de liquide à chaque pas…Même le plus hardi des corbeaux se serait enfui devant ses épouvantails vivants. Odile était catastrophée car son bel ensemble neuf, s’était transformé en une vague serpillière translucide qui ne cachait plus rien de ses jambes rondes et galbées, de son léger embonpoint , de son slip échancré qui collait sur un pubis en relief, ni de son imposant soutien gorge, vert amande, trempé qui laissait maintenant percer deux mamelons arrogants. Pierre établi très vite un plan de premier secours :Il alluma le chauffage au pétrole, tendit des cordes et proposa sa parka de pêche à Odile ainsi que sa serviette de bain (qu’il avait prise pour une hypothétique sieste au soleil !).Sous l’auvent, Pierre attendit que son invitée lui passe, par la porte entrouverte, vêtements et lingerie intime pour un essorage énergique. Odile, revêtu de la parka qui lui arrivait à mi cuisse, suspendit alors tous leurs vêtements et sous vêtements pendant que Pierre , de dos, s’essuyait le corps avec le tissu éponge qu’il utilisa ensuite en guise de pagne (à la guerre comme à la guerre…).
Odile proposa alors un café grog pour éviter une bronchite à la communauté et, pendant que Pierre retendait la corde effondrée par le poids des habits gorgés d’eau, elle fouilla dans l’unique placard posé au sol pour trier les fonds de bouteille. Pierre s’en réjouit d’autant que la mamie belge, en se baissant, ne s’était pas rendu compte que ses deux fesses rondes dénudées s’étaient échappées de la parka et ,qu’entre ses cuisses tendues, une petite minette sombre et velue semblait souhaiter la bienvenue au spectateur !Sa raie débordait de poils et son petit trou rose et ridé se dandinait au rythme des percussions de bouteilles qu’elle manipulait pour trouver le rhum convoité. Pierre se demanda si Odile le provoquait ou si elle était vraiment inconsciente de sa position d’hôtesse ?La boisson trop alcoolisée maladroitement par Odile, fût savourée comme un élixir magique. Odile se fit toute implorante pour que Pierre lui masse ses petits petons glacés. Il s’exécuta galamment en s’accroupissant au pied de Madame et en lui massant longuement le pied droit tendu vers lui. Odile appréciait cette onde de chaleur qui remontait jusqu’à son ventre .Elle s’affala quelque peu sur sa chaise en fermant les yeux pour mieux apprécier cette caresse brûlante. Sans penser à mal, parce qu’il était dans une position incorfortable, Pierre commença son massage sur l’autre pied en le tenant plus haut pour libérer ses reins endoloris. Odile savourait toujours les yeux fermés, la tête renversée en arrière ,en sirotant son grog chaud mais, la parka avait suivi le mouvement ascendant… La jambe relevée libérait la vision panoramique d’une large chatte épanouie , rose sombre, aux lèvres charnues surmontée d’une toison poivre et sel ,luxuriante et envahissante. Comme Pierre prolongea le massage un peu trop, Odile redescendit de son nuage sensuel et comprit vite pourquoi le pagne improvisé de Pierre présentait une excroissance soudaine. Elle ne s’offusqua pas et resta muette , peut-être indulgente, en tous cas étonnée de l’émoi de son compagnon d’infortune .Pour faire diversion face à cette situation de gêne réciproque, Odile interrogea discrètement Pierre sur sa vie privée et sentimentale. Certes Pierre s’était montré désinvolte à son égard mais Odile restait songeuse et même un peu émoustillée .Peut être le rhum ? Peut être la satisfaction de se sentir encore désirable ? ..Toujours est-il qu’ Odile fut parcouru de frissons fugaces et rapides qu’elle ressentit physiquement comme des piqûres dans le bas ventre , dans ses seins lourds et veineux . Pierre , peu loquace, évoquait son divorce assez récent et la vie monacale qu’il s’était imposée pour se ressourcer. Un peu crispé d’évoquer des souvenirs douloureux, Pierre demanda à Odile son paquet de gitanes niché dans la poche intérieure de la parka qui protégeait sa nudité. Odile ressentit la tristesse commune de leurs situations respectives . Pour détendre artificiellement l’atmosphère , elle se leva de derrière la table qui les séparait et, en rigolant, comme une petite fille espiègle , elle prétexta ,en tant qu’ancienne infirmière, sauvegarder sa santé et elle mit Pierre au défit de venir chercher lui même ses cigarettes , comme dans un jeu enfantin . Après avoir fait plusieurs fois le tour de la table pour ratt****r Odile hilare, Pierre sauta par dessus la table et plaqua Odile sur le lit, derrière lequel la mamie comptait se réfugier, bien imprudemment…
Pour mettre un terme à ces enfantillages, Pierre glissa facilement Odile sur ses genoux en la retournant et commença à fesser son petit derrière potelé assez dénudé .Odile se débattait en rigolant et essayait de s’échapper de cette position peu glorieuse. Ce fut Odile qui prit conscience la première que le pagne de pierre avait disparu dans cette agitation et que, depuis quelques secondes les lèvres gonflées de sa chatte frottait contre un sexe masculin qui s’épanouissait rapidement. Elle s’étonna elle même en osant continuer , au ralenti, ces frictions si excitantes de sa vulve humide contre ce membre en érection maintenant. Cela faisait si longtemps qu’elle n’avait ressenti une chaleur moite irradié son vagin visité maintenant par un index masculin délicat mais très curieux .Odile ne s’entendit pas protester, elle accepta que son corps prît le dessus sur son esprit .Comme si elle s’était débarrassée de ses carcans moraux, ce n’était plus elle qui habitait sa carcasse terrestre . Elle entendit sa voix ,de petite bourgeoise très sage, inviter son hôte à lui faire l’amour , elle s’entendit lui avouer qu’elle avait envie que son vagin lui emprisonne son membre des heures durant, elle s’entendit lui promettre de lui sucer le sexe jusqu’à ce qu’il demande grâce…Odile, perdue dans son dédoublement de personnalité, ressentit très fort son clone l’obliger à se mettre à quatre pattes sur le lit et à écarter les cuisses, plus que de mesure, pour offrir sa chatte béante à son amant .Elle jubilait de plaisir de se faire lécher la raie par de longs coups de langue profonds et ne protesta même pas quand deux doigts pénétrèrent, pour la première fois de sa vie, dans son anus .On visitait son intimité profonde et elle accompagnait la fouille par un balancement de la croupe qui incitait les doigts visiteurs à aller au fond des choses. Cela lui sembla une éternité d’autant qu’une bouche gourmande lui avait avalé le clitoris et le dégustait comme un bonbon acidulé. Odile sentit un liquide tiède s’échapper, à petits flots, de son vagin incandescent .Elle gémissait de plaisir, sans aucune pudeur, en poussant des râles a****liers et en encourageant le mâle à la goûter plus bestialement. Odile n’eut pas le temps de savourer en toute quiétude son mini orgasme car Pierre la contourna et enfourna son membre raide au fond de sa bouche. Toujours à quatre pattes, cuisses ouvertes et bouche pleine , son amant lui imposa un mouvement de va et vient du corps qui faisait échapper le gros sexe masculin de son orifice mais qui le réintroduisait de plus belle tout au fond de sa gorge .
Odile n’était pas une fanatique de la fellation mais elle prolongea cette caresse gluante et acide sans désagrément d’autant que ses gros seins qui se balançaient dans l’espace occupaient maintenant les deux mains de Pierre qui les pelotaient langoureusement en roulant les grosses tétines raidies. Au bord de l’explosion , Pierre s’allongea sur le lit et invita la mamie belge, complétement libérée, à s’empaler sur son sexe tendu vers le paradis. Odile s’accroupit sur le membre en ouvrant les cuisses et , son clone pervers reprit l’initiative en essayant d’introduire un énorme sexe masculin dans un petit trou féminin vierge. Ce fût un échec douloureux .Pierre reprit les choses (et son sexe) en main pour pénétrer Madame dans l’orifice traditionnel, trempé et béant.Odile chevaucha son partenaire en posant les genoux sur ses flancs pour mieux emprisonner dans son vagin ce cylindre humide et raide qui semblait lui remplir le ventre. Très progressivement, Pierre entama des va et vient lents et profonds et Odile accompagna la pénétration de sa féminité, qu’elle croyait définitivement remisée, par un mouvement synchronisé de son bassin. Pierre s’était réapproprié les deux seins lourds qui oscillaient comme les balanciers d’une horloge comtoise et Odile laissa échapper un petit cri de satisfaction quand elle sentit dans ses entrailles se répandre une coulée de sperme chaud .Elle était l’océan qui accueillait la lave en fusion d’un volcan en éruption, elle était de nouveau femme à part entière

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