Lors de cet après midi dominical, Alain est devant la télé à regarder un grand prix moto. Je surf de mon côté sur des moteurs de recherches en tapant, gode gonflable, rosebud., bijoux érotiques…etc. Rien que de voir ces images et m’imaginer utiliser ces engins ou qu’on les utilise sur moi, je mouille.
Je décide d’aguicher Alain. Je m’approche de lui, glisse ma main dans son short à la recherche de sa verge. Il met en enregistrement son émission et sans rien dire, il m’att**** le bras, m’entraîne dans la serre du jardin. Il me déshabille, me couche à même le sol et m’attache en croix à des sortes de gros tuteurs. Content du résultat, il tourne autour de moi et me dit :
« T’es chaude ? J’vais éteindre l’incendie ! »
Il se saisit du tuyaux d’arrosage et me l’enfonce dans le vagin. Je prends peur mais attachée comme je suis, je ne peux que subir sa volonté. Il ouvre légèrement le robinet et l’eau commence à me remplir doucement. Elle est froide dans mon vagin surchauffé. Alain me regarde droit dans les yeux et me dit narquois :
« J’vais bien t’arroser comme mes plantations et quand tu sera bien remplie je vais me régaler du spectacle avant que tu relâches tout ! Ah j’oubliais il reste un trou à combler ! »
Il se saisit d’un plantoir et me l’enfonce d’un coup sec dans le cul.
Mon ventre gonfle au fur et à mesure que l’eau entre et remplie mon intimité. Je me tortille avec une furieuse envie de rejeter tout ça. Je commence à avoir envie d’uriner.
La situation est ubuesque. Je voulais une simplement le sucer et me faire baiser et me voici transformée en plante verte, attachée, avec un lavement et une pénétrée par un outils douteux. Ça devient difficile, douloureux même, ma vessie que je n’avais pas vidée me fait mal. Je n’arrive plus à me retenir. Finalement je me mets à uriner sous moi. Mon mari se retourne et vois ma petite cascade. Il se moque de moi et me dit :
« Fais attention ! Garde bien le plantoir ! Sinon je te punirai toute la soirée ! »
Je me demande de combien de litres je suis remplis. Je me sens bien pleine.
Mon mari se met devant moi et me dit :
« Tu vas pouvoir te soulager. »
Il enlève le plantoir de mon cul et retire le tuyaux de ma chatte.. Aussitôt, d’un jet puissant mon vagin se vide. J’en pousse un long soupir de soulagement et je me sens mieux. Il me sourit et lance en me détachant :
« Alors ma plante préférée, je te prends, recto ? ou verso ? »
« Les deux mon chéri ! »
.Mais quelle mauvaise idée d’avoir eu cette réponse.
« Pas de souci ma salope ! »
Il me retourne, prend un manche de pioche et en me l’enfonçant dans le vagin, il me dit :
« Tiens ! Cà c’est pour devant ! » I
Alors que mes fesses sont bien offertes, il m’encule directe en me massant le clito. Le manche de la pelle me pénètre fortement le vagin. Ses va et vient sont de plus en plus puissant. Puis, voulant faire durer le plaisir, il se retire, enlève le manche de pioche pour aussitôt le remplace par trois doigts qui me fouille ardemment.
« Tu veux d’la baise ? Tu as être servis ! J’vais te fister ma salope ! Tu vas être remplis comme jamais ! »
J’ai peur. J’essaie de me détendre. Ma cyprine me graisse bien le vagin. Il enfonce un quatrième doigt, tourne son poignet de gauche à droite, fait de petits va et vient. Je n’arrêtes pas de gémir et me cambre plus pour accepter cette monstrueuse pénétration.
« T’aimes ça ma salope ? Dis moi que t’es une chienne en chaleur et que tu veux te faire défoncer par ma main ! »
J’ai un sourire crispé et sous le plaisir de cette humiliation je lui lance :
« Oui jardine moi la chatte ! Je suis ta chienne en chaleur ! Défonce-moi avec ta main ! »
Je suis trempée et au bord de l’orgasme.
« C’est bien t’es une bonne salope ! Maintenant on passe aux choses sérieuses, tu vas voir ! »
Il groupe ses cinq doigts et force de plus en plus pour me pénétrer. J’ai l’impression d’un accouchement mais dans l’autre sens. Je halète en criant. Il progresse lentement. D’un coup, sa main entre jusqu’au poignet. Une douleur fulgurante mêlé d’un plaisir intense me fait hurler. Il pousse lui aussi un cris, mais de victoire.
« Woaiiii ! J’suis dans ton antre ! »
De son autre main, il masse délicieusement mon bouton d’amour. J’essaye de reprendre mon souffle quand il me dit :
« Maintenant, je vais te faire monter au rideaux ! »
Il commence par des mouvements de rotations avec son poing fermé. Je ne peux réprimer mes gémissements et je sens l’orgasme monter en moi.. Je ferme les yeux. Je me cambre dans un spasme de plaisir et je suis prise de convulsions quand dans un hurlement mon orgasme explose. Je retombe presque évanouie de plaisir. Il retire sa main de mon vagin dans un bruit de succion ridicule et en me prenant par les cheveux, il me fourre son pieux dans la bouche et commence à me la baiser en gorge profonde.
Je pousse un râle étouffé. Il me bourre la bouche et je sens les spasmes de sa queue annonciateur de son éjaculation. Alors qu’il va gicler, il ressort, presse mes mamelles pleines et fourre son chibre entre mes gros melons. Son engin glisse entre mes seins graissés par nos sécrétions. Il est mon Maître. Il me domine totalement. Il me colle ses burnes sous le nez que j’aspire avec gourmandise.
« T’es vraiment une bonne grosse pute ! » Me dit-il.
Puis il replante son dard dans ma bouche jusqu’à ma glotte et décharge au fond une quantité de sperme si impressionnante que j’ai un mal fou à avaler.
Je ne tient plus debout. Gentiment, il me porte dans la salle de bain pour m’aider à me doucher et me dépose ensuite dans le lit pour une longue nuit de sommeil.
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