Couché sur le côté, je regarde ma bite qui pulse tranquillement dans le vagin d’Evelyne, petite dame blonde de 76 ans, ma gentille logeuse.
De temps en temps, nos rapports amicaux s’étendent jusqu’au dénuement mutuel suivi d’une pénétration, et d’une éjaculation qui se synchronise toujours avec le jouissance de la vieille dame.
D’habitude je lui grimpe dessus, mais il est arrivé que ce soit le contraire.
J’aime beaucoup voir une dame âgée se branler sur ma queue tendue, se faire elle-même du bien en choisissant l’angle qui la stimule de la façon la plus agréable.
Etre un gode pour une jolie vieille dame. J’adore. Mon épieu ganté par une chatte serrée qui mouille dans son manchon de poils gris ou blancs.
Je ne vais pas me répéter. J’ai raconté comment Brigitte aimait se branler en me chevauchant, bien que cette position ne soit pas pour moi la plus jouissive.
Alors, la vieille salope sortait une langue bien cochonne pour lécher la mienne, car elle avait compris que cela maintenait mon érection.
Vieille bourgeoise à chignon qui sort sa langue comme une pute. Ma langue qui joue avec celle de la petite grand-mère vicieuse qui désire ainsi se faire trombiner plus longtemps.
J’en viens à parler à Evelyne de ce qui me rendrait le plus dur: un doigt dans le cul. Je lui parle de la jouissance prostatique, découverte chez Madame Rosina.
Mme Rosina, c’est, vous vous en souvenez, la grosse pute brésilienne aux seins lourds et tombants, qui me troue le cul avec son doigt ganté d’un préservatif, pendant que je jute un sperme plus laiteux que d’habitude, stimulé jusqu’au tréfonds par l’enculage de la grosse vicieuse, parfois sous le regard des jeunes putains brésiliennes ou roumaines qui assistent à l’opération, appelées d’une voix forte par la joviale maquerelle.
J’édulcore les scènes, les ramenant à l’équivalent d’une séance de massage intime, hygiénique. Evelyne est captivée par mon récit.
Je lui dit que si elle s’asseyait sur ma bite pendant que Rosina me masse la prostate, elle pourrait bien jouir.
Elle décide de franchir le pas, ce qui nécessite le franchissement d’un énorme tabou: qu’elle franchisse le seuil d’un bordel, à son âge, avec son air strict et ses convictions moralistes.
Mais après tout, si ce n’est que pour une massage…ça peut passer à la limite.
Le rendez-vous et pris, je sonne chez Rosina avec la petite grand-mère fluette et pincée!
On s’installe dans la chambre de baise. Je me fous à poil, mais Evelyne reste habillée. Elle enlève juste sa culotte.
La vieille dame est gênée, mais excitée. Elle m’embrasse avec la langue, pendant que je commence à me branler, en attendant l’arrivée de la grosse pute.
La voilà qui fait son entrée, sa petite manette à la main, et dépoitraillée.
Couché sur le lit, j’attends l’intrusion de son doigt fouilleur. Elle me pommade la rondelle et commence à m’enculer avec de petits mouvements circulaires.
Evelyne est hypnotisée par ce spectacle.
Je me branle. Lorsque je suis bien dur, j’invite Evelyne à s’asseoir sur ma bite.
D’habitude, je ne commence à l’enfiler qu’en grimpant sur elle. Maintenant, c’est elle si s’enfonce la queue dans la chatte. Comme elle est étroite!
Pendant que sa vieille fente s’écarte, que sa bouche vaginale avale toute la bite, les doigts de Rosina se sont glissés dans mon cul et taquinent ma prostate.
J’ai un regain d’érection qui se transmet à Evelyne. La vieille dame ferme les yeux, lève le menton dans un air extatique.
Maman apprécie la queue du jeune homme enculée. Oh la bonne bite, comme elle frotte bien sur les parois du vagin d’Evelyne!
Les petites fesses rebondies avalent goulûment la grosse saucisse. Et la pute qui m’encule! Elle appuie sur ma prostate qui se vide comme un tube de lait condensé dans la vieille chatte assoiffée de foutre.
Loin de me calmer, cette séance m’a terriblement excité.
Le lendemain, je resonnais chez Rosina, et cinq minutes plus tard, j’ enfilais une roumaine de 20 ans.
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