Chapitre 5 : Visite d’un Sex-shop.
Le lendemain je lui propose d’aller faire un tour, histoire de sortir un peu, de se balader, faire quelques boutiques et qu’elle m’oublie un peu. Enfin… je veux dire qu’elle oublie mon sexe mis à rude épreuve depuis qu’elle à débarqué chez moi.
Elle porte une jupe très courte qui dévoile largement ses fines cuisses et le haut est une sorte de corset très décolleté, qui met très bien en valeur sa petite poitrine en comprimant ses seins l’un contre l’autre. C’est la première fois que je la vois habillée aussi sexy. Une sorte de l****a aguichante.
Je la taquine un peu.
– Tu as vu Chantal comment les garçons te regardent dans ta tenue de fille coquine ?
– Bof, ils ne m’intéressent pas.
Dit-elle d’une façon qui révèle qu’elle ne doit pas souvent porter cette tenue. J’ajoute pour voir sa réaction.
– Les filles aussi… comme la caissière du dernier magasin qui ne te quittait pas des yeux.
– Tu crois ?
– Sûr et certain ! Ses yeux étaient fixés sur tes seins.
– Je me demande bien pourquoi. Les siens étaient plus gros.
– Ah, tu as remarqué…Tu aimes regarder les autres filles ?
– Non…oui… enfin… pas comme tu le laisses entendre.
– Pourquoi, tu n’as jamais joué avec une de tes amies ? Tu sais…genre soirée pyjama et strip-poker ou des choses comme ça…
– Non. Répond Chantal sans grande conviction.
– Si tu préfères ne pas en parler, on en reste là.
– Eh bien, ce n’était pas vraiment une de mes amies. C’est un peu difficile à expliquer, dit Chantal.
– Eh bien, peut-être qu’une nuit tu me raconteras ça, ma puce.
En me disant qu’avec son besoin démesuré de sexe, tôt ou tard, il me faudra des stimulations supplémentaires lorsque mon esprit sera partant et que mon corps ne le sera plus.
Après avoir fait le tour du centre commercial, nous revenons vers la voiture et je la laisse conduire.
– Je connais une autre boutique intéressante et je vais t’indiquer la route.
Chantal ne démarre pas tout de suite et met sa main sur ma cuisse. Elle commence à caresser mon entrecuisse à la recherche de quelque chose.
– Tu cherches le frein à main…Chantal.
– Oui, et je me demandais si tu connais un coin tranquille près d’ici. J’ai envie de quelque chose…
– Plus tard, Chantal. On finit d’abord notre shopping.
– Bien, Tonton. Puis à brûle pour point.
– Heu…Tu as des amies, Tonton. Je veux dire des femmes comme amies ?
– Moi ? Non, pas vraiment. Pourquoi ?
– Eh bien, il m’a semblé que tu aimerais me voir avec une autre fille, et je me demandais si tu aurais une amie qui serait intéressée par moi ?
– Mais Chantal… les femmes que je connais sont de mon âge.
– Je m’en doute… mais ce n’est pas un problème.
Là, elle me la coupe (La langue). Pourquoi Chantal serait intéressée par une femme de mon âge ou même plus âgée qu’elle ?
– Oh. Je vois… dis-je d’une voix calme et rassurante. Cela signifie-t-il que tu as déjà été avec une autre femme, et qu’elle était plus âgée ?
Chantal rougit. Bingo ! J’ai fait mouche !
– Ne sois pas gênée, ma puce.
Et en caressant sa cuisse duveteuse.
– Je pense que ça doit être très excitant…
– Tu…crois ? Murmure Chantal en poussant un soupir.
– Absolument ! Attention, tourne à droite ! Et entre dans la cour et gare-toi.
Pas mal de voitures dans cette cour mais il reste des places. Devant l’une d’elle, sur le mur on peut lire.
« Livres pour ADULTES, VIDEO. Nouveautés et gadgets. Interdit aux moins de 18 ans. »
-Mais c’est un sex-shop, Tonton !
– Oui. Tu n’as jamais été dans cette sorte de magasin ? Maintenant tu peux…ma chérie. Tu as l’âge requis.
– Prend ton sac à main et allons voir si on peut trouver quelque chose d’intéressant pour toi.
Chantal me suit comme si elle allait à la potence. Je la tire presque pour entrer dans la boutique porno du coin.
On s’habitue à l’éclairage modéré de l’intérieur par rapport au soleil brillant de dehors et regardant Chantal, je vois qu’elle s’adapte plus vite car ses yeux sont grand ouverts.
– Whaou !
Un bonjour d’une voix grave nous accueille et un grand noir au crâne rasé nous regarde.
– Monsieur, l’entrée est interdite aux adolescentes. Elle doit avoir 18 ans.
– Mais elle a 18 ans. Chantal, montre ta carte d’identité à ce monsieur.
Chantal fouille dans son sac et tend d’une main légèrement tremblante sa carte.
Il la regarde étrangement pendant très longtemps.
Après un certain temps, je réalise qu’il ne regarde plus la carte d’identité et qu’il fixe Chantal. Il mate ses nichons et plus précisément ses tétons, qui sont complètement dressés et qui tendent dangereusement le mince tissu de son haut.
Je ne sais pas si ses tétons sont durs par l’effet de la fraîcheur soudaine du magasin ou par le regard éblouit et persistant du noir. Probablement les deux.
Chantal prend enfin conscience de son intérêt pour ses jeunes seins et essaye maladroitement de cacher sa poitrine. Elle échoue lamentablement et malgré mon embarras, j’apprécie autant la peur de Chantal et la luxure du gars.
– OK, dis le noir en rendant la carte à Chantal. Mais elle fait sacrément plus jeune !
– Oui, on lui dit souvent qu’elle fait gamine.
-Allez-y jeune fille. Si vous avez besoin d’aide faites-moi signe.
Je remercie le vendeur et pousse Chantal vers les rayons accessoires et gadgets. Le mec nous suit au lieu de rester derrière son comptoir. Je suppose qu’avec nous comme seuls clients, il n’a pas grand-chose à faire. Mais je constate que ce n’est pas moi qui l’intéresse, c’est le petit cul de ma nièce qui se dandine devant ses yeux.
– Un peu plus loin nous avons quelques nouveautés. Dit-il en voyant le regard ahuri de Chantal.
Elle s’approche de moi et murmure.
– Cet homme…
– Quoi, Chantal ?
– Il ne quitte pas ma poitrine des yeux…
– Je ne peux pas le blâmer, ma puce. Tes seins ont un look incroyable… surtout tes tétons !
Le visage de Chantal vire au rouge en regardant ses tétons déformer le tissu, mais elle ne peut rien y faire.
– Dis, mon chou…c’est parce qu’il fait froid ou c’est parce qu’il te regarde fixement ?
Chantal hausse des épaules et s’accroche à moi fermement. Je lui embrasse sa joue et murmure à son oreille.
– Mais c’est très bien comme ça. Ça m’excite de voir que tu l’émoustilles. N’est pas peur, je suis avec toi.
Chantal me sourit et mord sa lèvre inférieure de ses belles dents blanches.
– Ne sois pas inquiète, chérie. Tu es en sécurité avec moi. Personne ne touchera ma nièce chérie sans sa permission… et la mienne.
Nous sommes arrivés dans la section qui m’intéresse.
Des longs, des courts. Des épais et minces et de toutes les couleurs imaginables, la sélection de godes est ahurissante. D’autres ont l’option vibrateurs.
– Qu’en penses-tu, ma puce ?
– ça en fait des bites ! Répond Chantal en regardant avec attention tous ces faux sexes.
– Je pense que tu pourrais utiliser l’un d’entre eux…
Dis-je en décrochant un beau gode, à la fois par l’aspect réaliste d’une bite et de sa forme.
– As-tu déjà ça chez toi ?
– Moi ! Ça ne va pas ! Non…si ma mère trouvait ça dans ma chambre… je suis morte !
– Mais alors, qu’est-ce que tu prends pour te masturber ?
En lui disant ça je remarque que le grand mec noir s’approche derrière moi.
-Euh… mes doigts, dit Chantal nerveusement.
– Et bien tu ne crois pas que ce serait mieux avec ça à l’intérieur de ta belle chatte ?
Et je lui tends une grosse queue noire en caoutchouc.
-Regarde celle-ci…imagine toi avec ça qui te remplit ta belle chatte… Et tu sais, si un soir je suis crevé, ou si tu ne veux pas attendre que je récupère, tu peux te faire plaisir toi-même pour patienter.
Chantal rigole à cette idée en regardant la fausse bite qu’elle tient délicatement entre ses mains en appuyant sur la coque en plastique pour sentir le membre spongieux.
– Mademoiselle trouve son bonheur ?
Demande le vendeur.
– Je ne sais pas… Max, en voyant son badge
– Qu’en penses-tu mon cœur ?
– Peut-être que vous devriez commencer par quelque chose de plus petit…
Propose le vendeur au regard avide et concupiscent.
– Avec une frêle jeune fille comme vous…celui-ci pourrait vous ouvrir en deux…
– Hum, en avez-vous dans d’autres couleurs ? Demande Chantal gentiment.
– Ah ! Oui. Mais elles ne sont pas si grandes et si grosses en blanc !
Lui dit Max en rigolant et me tapant sur l’épaule.
– Celle-ci est réaliste et je sais de quoi je parle ! Rien de tel en blanc.
– Tonton, Il me semble que la tienne est plus épaisse…
Dit Chantal, comme si elle venait à mon secours.
– Tonton ! Merde alors ! Souffle Max avec étonnement.
Je regarde Chantal toute rougissante et je lui prends le gode.
– Je cois quand même que tu devrais prendre quelque chose de plus petit. Regarde celui-ci.
Je lui montre un modèle de couleur ivoire et de taille plus modeste mais particulièrement réaliste.
– Et en plus celui-ci vibre et le gland tourne de droite à gauche quand il est activé. Ce qui fait qu’il va profondément plus facilement. Ajoute Max.
D’une main un peu tremblante, Chantal le prend en serrant ma main de l’autre.
– Et il est assez fin pour explorer la porte arrière. Vous voyez ce que je veux dire… ajoute encore Max.
Chantal me regarde de façon interrogative et je hoche la tête en signe d’approbation, même si je trouve qu’il est un peu cher.
– On le prend.
Chantal se promène dans le rayon des DVD. Mon nouvel ami Max regarde Chantal flâner le long des rayons, ses cuisses pleinement exposées car sa jupette est un peu relevée cachant tout juste son petit cul si charmant. Et moi aussi je me régale de cette vue des plus agréable et tellement excitante.
– On va encore regarder ce que vous avez en rayons.
– Faites comme chez vous. Dit Max heureux d’une éventuelle vente supplémentaires et surtout de continuer à mâter ma nièce dans sa jupe ridiculement courte.
Je ratt**** Chantal et attrapant un DVD je lui dis.
– Regarde !
Sur la jaquette on voit une bande de gars qui éjaculent leurs spermes sur le visage d’une petite blonde.
Chantal regarde et hoche de la tête, mais elle me semble être frustrée ou quelque chose du genre.
– ça va mon bébé ?
– Oui, dit-elle timidement. Mais tout ça… ça me fait…enfin… ça m’excite.
– Vraiment, ma puce ?
Et Chantal regardant autour pour voir si notre sympathique caissier nous regarde, tend sournoisement sa main entre mes jambes pour saisir ma bite déjà à moitié bandée.
– Toi aussi il me semble…
– Regarde celui-ci, Chantal ! Qu’en penses-tu ?
Le DVD s’intitule « Chatte poilue en chaleur » et on voit sur la couverture une femme aux cheveux foncés qui semble tout aussi jeune et mince que Chantal. Ses bras sont relevés au-dessus de sa tête et elle exhibe fièrement les épaisses touffes de poils qu’elle a sous ses bras et autour de sa chatte.
– On dirait que c’est toi avant la séance d’hier. Tu vois, il n’y a pas que ton Tonton qui est attiré par de belle fourrures.
Chantal rigole et prend la pose comme la fille sur le DVD.
Je remarque tout de suite que ses aisselles qui étaient lisses la nuit dernière sont déjà recouvertes d’un duvet roux et je passe mon doigt dessus pour sentir que ça repousse.
– Mais ça n’a pas duré longtemps !
– Je sais. Je suis si poilue ! Comme une bête sauvage ! Dit-elle en me sautant dessus et regardant par-dessus mon épaule elle ajoute.
– Le vendeur… il nous observe.
– Oh, je l’avais oublié celui-là.
Et j’arrête mes caresses.
Mais maintenant ma queue est en érection et c’est bien visible sous mon pantalon. D’ailleurs, Chantal s’en aperçoit bien car elle le vérifie de sa main en pressant dessus.
Je remontre un autre DVD à Chantal.
– Hé, celui-là me semble intéressant.
Sur la jaquette « Professeur lesbienne séduit ses élèves »
– Ça te rappelle quelque chose, Chantal ?
Quand je tends à Chantal le DVD sur lequel on voit une photo de femme aux gros seins qui s’apprête à dévorer une jeune fille, je sens une présence derrière moi.
– Celui-là est très chaud !
Proclame Max en montrant du bout de son doigt les gros et longs tétons de la femme qui sont devant la bouche rose de la jeune fille.
– Vous pouvez regarder le début dans une des cabines si vous voulez vérifier si ça vous plait avant de l’acheter.
Je le remercie et quand il s’éloigne je demande à Chantal.
– Tu veux qu’on rentre maintenant, ma chérie ?
– Non Tonton. Je commence à m’amuser. Et ça m’excite aussi comme toi.
-Tu aime la façon dont cet homme te regarde. Ça te fait quelque chose, mon bébé ?
-Je me sens plus sexy. Un peu salope…
Avec ce haut qui dévoile et accentue ses seins et qui montre une grande partie de sa peau blanche crémeuse et la galaxie des taches de rousseur qui couvrent les bras et les épaules, ce n’est pas surprenant que d’autres hommes la trouvent bandante et séduisante comme moi.
– Tenez !
C’est la voix de basse profonde très familière, qui à son habitude apparaît de nulle part et qui tend un jeton à Chantal.
– Allez donc voir ce film tous les deux. C’est sur mon compte.
Chantal attend mon approbation avant de tendre sa main pour lui prendre le jeton. La vue de cette main grande comme celle de King Kong contre celle toute petite et pale de Chantal me donne des frissons dans la colonne vertébrale. Non pas que je voudrais les voir ensemble, mais l’image de ce monstre avec Chantal dans mon esprit, est étrangement érotique pour moi.
– Allons voir ça !
Dis-je en guidant Chantal vers une cabine.
Dans le couloir, beaucoup de cabines ont le rideau tiré ce qui explique les nombreuses voitures dans le parking quand nous sommes arrivés.
Une symphonie de gémissements filtre des cabines dans le couloir et à coté de chaque porte un témoin reprend la photo de la jaquette du film qui peut être diffusé. L’une d’elle clignote et l’on peut voir la jaquette de la prof lesbienne.
La cabine n’est pas plus grande que deux cabines téléphoniques avec un banc qui fait face à un écran de télé.
– Tu as entendu, Tonton Jacques ? C’est vachement excitant.
Et elle insère le jeton dans sa fente.
On voit alors une femme d’âge moyen qui se tient debout derrière une jeune fille sensée avoir 18 ans, en chemisier blanc et jupe écossaise pour faire très écolière, mais qui comme Chantal, paraît beaucoup plus jeune.
La femme âgée entoure de ses bras la jeune fille et prend dans ses mains ses petits seins pour les pétrir et jouer avec ses tétons roses qu’on devine sous le tissu transparent.
J’entends Chantal haleter et sa main remonte mes cuisses pour att****r ma bite très raide. Ma nièce regarde fixement les 2 femmes et sa respiration devient plus forte et plus rapide à chaque seconde. Elle commence à malaxer ma bite sauvagement bien qu’elle soit dans mon pantalon. Quand le Professeur retire le chemisier de son élève, le film s’arrête.
C’est une bonne chose car Chantal commençait à s’acharner sur ma braguette de pantalon.
-Tu veux continuer de voir ce film, ma puce ?
– Oui, mais baise-moi avant !
– On ne peut pas faire ça ici.
Lui dis-je alors qu’elle grimpe sur moi.
– S’il te plait, Tonton. J’ai très envie de ta queue. Ou alors dans la voiture ?
Je me vois en train d’essayer de baiser ma nièce dans ma voiture en plein jour et cette idée ne m’emballe pas du tout. Mais j’ai eu une autre idée.
– Non, ici ! Ma puce.
Je sors de ma poche quelques Euros.
– Prends ça et va chercher des jetons supplémentaires.
– Moi ? Dit Chantal d’une voix incertaine.
– Sûr mon petit cœur. Pourquoi pas ?
– Ben…il me fait un peu peur ce grand noir… surtout quand il me fixe de ses grands yeux globuleux.
– Ça signifie que tu l’excite ma puce. Mais il ne te fera rien ici. Allez vas-y et reviens vite.
Chantal se décide et je la suis dans le couloir pour détendre un peu ma bite comprimée dans mon entrecuisse.
Je jette un œil dans le magasin en tirant un peu le rideau du couloir et je la vois s’approcher lentement du comptoir comme si c’était un nid de serpents à sonnettes.
Le cobra Royal, Max, attends comme le loup du petit chaperon Rouge. Je les vois discuter. Je suis prêt à sortir en cas de besoin mais je laisse Chantal se débrouiller.
Après quelques minutes, il donne des jetons à Chantal et elle revient vers moi beaucoup plus rapidement qu’à l’aller. En regardant Max, je vois qu’il remet en place une grosseur dans son pantalon.
Quand Chantal revient près de moi je lui demande innocemment.
– Alors Chantal t’en a mis du temps. Max et toi avez eu une conversation agréable ?
– Il m’a demandé si j’aimais le film,
– Et qu’as-tu répondu ?
– J’ai dit oui, et puis il a ajouté qu’il pouvait faire quelque chose qui me ferait encore plus plaisir que le gode que tu as acheté.
– Ah, oui ? Et quoi ?
Elle hésite un peu puis finalement lâche.
– Il m’a demandé si j’avais déjà fait l’amour avec un noir bien monté. Il a dit que nous serions bien ensemble, et qu’il me baiserait de trois façons ; longtemps, durement et sans arrêt.
– Et tu aurais envie de lui…
– Mon Dieu, Non ! C’est toi que je veux ! Je veux que tu me baises maintenant.
– Combien de jetons as-tu ?
– Trois plus un gratuit pour ma beauté. Qu’il a dit.
Je laisse tomber mon froc et mon slip sur mes chevilles et je lui dis.
– Mets les jetons !
Quand elle se penche pour introduire les jetons j’en profite pour tirer sur sa jupe et je lui dis.
– Viens la ma puce d’amour. Assieds-toi sur Tonton tu seras plus à l’aise.
Je me glisse en avant sur le siège, tout en tenant ma queue bien en l’air d’une main et de l’autre je la tire par son entrecuisse.
– Oh ma petite biche est toute mouillée !
Je sens son odeur de chatte juvénile et Chantal en fille obéissante abaisse son cul. Elle est si mouillée que ma queue, pourtant en pleine érection, s’enfile gentiment dans sa chatte avide. Assise sur mes genoux, ma bite entièrement en elle, nous regardons le film.
Chantal tente bien de monter et descendre sur mon sexe, mais je la maintiens fermement par sa taille, lui permettant juste un léger mouvement en déplaçant mes cuisses. Elle pleurniche un peu de frustration et je grignote ses épaules ou sa nuque en lui demandant de profiter du film et de ma bite en même temps.
La femme vient de retirer le soutien-gorge de la jeune demoiselle et je lui dis.
– Waouh ! Regarde Chantal c’est un peu toi. Mais ses seins sont plus petits que les tiens ! Une vraie écolière. Les tiens sont beaucoup plus agréables.
Mes mains sont remontées pour prendre les seins de ma nièce et elle commence à frétiller du cul sur mes genoux. Alors que je presse ses seins je sens sa chatte se convulser violemment autour de ma bite, et elle pousse un gémissement qui résonne malgré les bruits environnants. Je la maintiens par ses seins alors qu’elle se tortille dans tous les sens et en gémissant sous son orgasme.
Chantal finalement arrête de jouir et elle ne bouge que gentiment sur moi alors que le film continue.
La jeune fille aux seins dont les petits tétons me rappellent ceux de Marilyn, est entrain de déshabiller la femme plus âgée. Quand elle retire son soutient gorge ses melons gigantesques se balancent devant nos yeux.
– Putain ! T’as vu ça Chantal ?
Ma nièce qui a repris de l’énergie est déjà en train de monter et redescendre avec enthousiasme sur ma queue toujours en pleine forme
.
– Dis… la femme qui t’a séduite avait-elle des gros seins comme elle ? Elle frottait aussi ses seins contre les tiens… comme elle le fait ?
Rien que de lui dire ça, ma nièce a de nouveau un autre orgasme. Elle part vraiment au quart de tour cette petite salope.
J’espérais jouir avec elle mais elle est trop rapide et le film me distrait. Je la laisse jouir tout son soûl et quand elle retombe toute molle sur moi, toujours empalée par ma bite, j’ai besoin de jouir et d’évacuer mon sperme qui m’étouffe les couilles.
Chantal le sent très bien. Elle se lève en s’extrayant de mon pieu et elle me dit.
– Laisse-moi faire Tonton chéri.
Elle se met à genoux et je suis tellement excité que je la laisse faire ce qu’elle veut.
Ses mignonnes petites mains se serrent autour de ma bite, et tout en la malaxant, sa bouche suce ma couronne et sa langue se délecte de mon gland sensible. Ma queue est tellement sensible que lorsqu’elle avale ma bite je ne peux résister.
Mon orgasme est tellement fort qu’une secousse électrique traverse mon corps et je remarque à peine, derrière le rideau de la cabine, les globes oculaires blancs et brillants qui nous observent. Je me soutiens au mur pour décharger mon sperme dans la bouche gourmande de ma nièce. La pensée qu’on me regarde ajoute de l’intensité à ma jouissance.
Je pousse une série de gémissements en continuant d’éjaculer au fond de la gorge de Chantal qui ne veut rien perdre et qui continue de me traire comme elle en a l’habitude. C’est-à-dire jusqu’à ce que plus une seule goutte de sperme, ne sorte de mon méat qu’elle aspire sans cesse.
Bien vidé, je la redresse et sans un mot nous regardons la fin du film. On se rhabille comme on peut dans cet endroit exigu et lorsque l’on retourne dans le magasin un client jette un regard appuyé sur Chantal. Regardant ma Nièce je vois sur le côté de sa joue un filet de sperme qui s’est échappé de sa bouche et qui commence à sécher près de son menton. Arrivé près de Max je lui dis.
– Nous allons prendre ce film et le gode.
Il me regarde d’une manière complètement différente que précédemment et me dit en souriant et en connaissance de cause.
– OK. Mais vous devriez essuyer le menton de cette jeune fille.
Je ne prévoyais pas dépenser autant dans ce magasin mais j’ai un beau gode vibrant qui va m’aider à satisfaire ma salope de nièce.
En plus j’ai apprécié que ce vendeur pervers m’a regardé baiser ma nièce et jouir sous ses yeux. Et de voir à quoi il pense en me rendant la monnaie est excitant car il ajoute
.
– Cette fille… Elle me rend dingue ! C’est vraiment votre nièce ?
– Non, juste une petite salope qui aime la queue et qui voulait un gadget si elle est en manque.
Ce n’est pas le moment de lui détailler mes relations familiales.
– Putain ! Elle est excitante…avec ses taches de rousseur sur sa petite frimousse de petite fille sage. Et ses mignons petits seins qui pointent en avant ! Ça te dirait de faire une fête à trois ? Nous pourrions vraiment lui apprendre un tas de trucs, toi et moi. Et crois-moi, je suis assez doué pour ces jeux-là. Qu’en dis-tu ?
– Je lui demanderais. Nous savons où vous trouver.
Revenu dans la voiture, Chantal baisse le pare soleil pour se voir dans le miroir de courtoisie.
– Oh, mon dieu ! Tu crois qu’il a vu ça ?
Me demande Chantal en voyant le maquillage supplémentaire sur sa joue et son menton.
–
Je crois bien qu’il a remarqué.
Dis-je en regardant Chantal gratter mon sperme en rougissant.
– Et en plus, il nous a regardés dans la cabine au bon moment
– Oh non ! dit Chantal.
– Je l’ai remarqué trop tard et j’étais en pleine jouissance.
Chantal enfouit son visage dans mon cou.
– Tu crois qu’on aura des problèmes ? Il doit me prendre pour une belle salope ou pire…une pute !
– Non rassure-toi. On ne craint rien. D’ailleurs il te trouve très sexy. Il m’a dit qu’il aime tes taches de rousseur et tes nichons de jeune fille.
– Il t’a dit ça !
– Exactement. Il a même ajouté qu’il aimerait bien être avec nous pour faire la fête. Tu vois ce que je veux dire. Qu’est-ce que tu en dis ma puce. Tu aimerais avoir deux hommes en même temps ?
« Je n’ai jamais imaginé faire ça avec ma jeune nièce, mais rien que d’y penser c’est assez excitant ».
– Tu as déjà pensé à çà… Deux hommes en même temps. Tu en sucerais un pendant que l’autre baiserait ta chatte. Ou peut-être…
Chantal frémit quand je lui chuchote le reste de la phrase à l’oreille, se serrant plus fort contre moi quand elle entend.
– Il pourrait mettre sa bite dans ta chatte alors que j’ai la mienne entre tes fesses en même temps. Que penses-tu de ça ? Il a dit qu’il a une grosse bite.
– Je sais…Dit Chantal, Paul m’a dit que les noirs ont des bites énormes.
– Ce Paul est un véritable expert sur beaucoup de choses…
Dis-je hérissé à l’évocation de son nom une fois de plus.
– Il te manque vraiment ce Paul ?
– Non, Tonton Jacques !
Déclare Chantal, tirant sa tête violemment en arrière pour me faire face.
– Tu es le seul homme que je veux.
Je sens la main de Chantal se glisser entre mes cuisses avant qu’elle n’ajoute.
– J’ai envie de toi maintenant, Tonton.
– Patience ma biche. Quand nous serons rentrés, je serai tout à toi.
Chantal boude un peu et je ris en voyant son joli petit visage triste quand elle démarre et roule vers la maison.
– Ça me fait quand même quelque chose de savoir que ce mec nous regardait. D’un côté c’est dégueulasse et de l’autre je me sens…
– Excitée, échauffée…
– Oui ! Dis Chantal en riant. Je suppose que si je le revoyais ce serait pire ! Enfin, personne ne me connaît ici.
– C’est exact, répondis-je, tout en m’interrogeant sur le pire. Tu pourrais fantasmer sur cet homme et nous voir tous les deux ensembles. Imaginer tout ce que nous pourrions te faire…
– Oui, et il n’est pas si effrayant en pensant à lui de cette façon. Mais je n’en reviens pas qu’il me trouve sexy !
Je regarde ma princesse aux taches de rousseur et je réalise qu’elle commence à se rendre compte qu’elle est attrayante à sa manière, désirable. Elle découvre le pouvoir magique qu’une femme peut avoir sur l’homme.
A suivre
Phantome
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