Ça m’a fait un choc d’apprendre que mon mari était décédé dans un accident de voiture. Pour son travail, il partait souvent en province et il m’arrivait de ne pas le voir la semaine durant. Heureusement, j’avais à m’occuper de mes deux filles. Elles étaient grandes maintenant mais le choc a été aussi pénible pour elles.
Maintenant que je n’avais plus de soucis à me faire pour lui, je pouvais me pencher sur ce qu’a avait été ma vie. J’avais été une jeune fille sérieuse et timide jusqu’au jour où j’avais rencontré une femme qui m’avait émue et j’avais couché avec elle et je m’étais jetée dans ce rapport uniquement sexuel comme dans un puits sans fond.
J’avais fini par me reprendre et je m’étais mariée. Deux filles n’avaient pas tardé à arriver. Tout le monde était content. Ma famille et ma belle-famille. Mon mari était souvent absent pour son travail et je me consolais comme je l’avais toujours su en me masturbant puis en me procurant plusieurs objets sexuels. C’était atroce au début, mais j’arrivais toujours à m’y habituer et je m’en procurais d’autres encore plus gros.
Un jour, j’avais surpris mes deux filles à faire l’amour ensemble mais peut-être s’amusaient-elles tout simplement et, quelques années plus tard, j’avais pu constater que c’était avec des garçons qu’elles préféraient s’accoupler.
Après l’enterrement, j’ai contacté un notaire parce que je ne connaissais rien du tout aux affaires de mon mari. Il m’a répondu au bout de quelques jours que je n’avais rien à attendre. J’ai voulu en savoir plus et il a bien voulu me recevoir.
En attendant dans la salle d’attente, je me suis souvenu de la première fois où j’avais fait l’amour avec mon mari. Il m’avait emmené au bois avec sa voiture et je lui avais sucé la bite et il avait fini par se branler et il avait joui sur mon visage. C’était la première fois que je faisais ça avec un homme et il m’avait vraiment mis la dose si bien que j’en avais plein les cheveux et j’étais rentré avec ça. Heureusement que je vivais seule.
Une autre femme était arrivé dans la salle d’attente du notaire. Au bout d’un moment, la secrétaire est venue me chercher. Elle avait l’air gênée.
– Vous aussi, a-t-elle dit à l’autre femme qui nous a suivis et une fois devant le notaire, il a hésité puis il nous a avoué que la situation est plutôt délicate parce que nous sommes toutes les deux épouses de mon mari.
J’ai regardé la femme et j’ai dit que ce n’est pas possible, qu’il ne peut s’agir que d’un concubinage pour ma rivale puisque je me suis marié le 4 juin 1976 et l’autre femme m’a répondu qu’elle s’était mariée le 2 mais que son mari avait dû s’absenter.
J’ai pris mon sac et je suis partie. J’étais vraiment furieuse. J’ai avancé sur le boulevard et je ne me suis arrêtée qu’après avoir traité mon mari de salaud et j’ai fait demi-tour parce que je m’éloignais de mon appartement et je suis tombée face à face avec l’autre femme que j’ai traitée de salope.
– Toi aussi, m’a-t-elle répondu ! J’étais la première !
Je l’ai empoignée par les cheveux et elle m’a empoignée par les miens et pendant encore un moment, nous nous sommes insultées puis je me suis agrippée à sa robe que j’ai déchirée et elle m’en a fait de même et j’ai vu ses seins jaillir, avec leurs énormes aréoles.
– Vous êtes enceinte, lui ai-je demandé ?
Tout d’un coup, je m’étais calmée. La femme m’a répondu que ce sera son deuxième.
– Cachez ça, lui ai-je encore dit en essayant de remettre ses seins dans sa robe m ais je n’y suis pas arrivée et la femme a posé sa main sur la mienne.
Il y avait longtemps que je n’avais pas ressenti ça. Je lui ai proposé de s’asseoir sur un banc. La femme a retenu le haut de sa robe dans une main et elle a posé l’autre sur la mienne. Elle me regardait. J’ai tendu les lèvres et on s’est embrassées. Ça faisait bien vingt ans que ça ne m’étais pas arrivé.
Quand elle s’est arrêtée de m’embrasser, j’ai encore avancé mes lèvres pour recommencer.
– Je ne sais pas pourquoi je me suis mariée, ai-je alors dit à ma rivale, mais j’avais honte d’être comme ça !
– C’est comme pour moi, m’a-t-elle répondu ! J’ai toujours été attirée par notre sexe mais mes parents voulaient tellement que je me trouve un homme…
– Que vous avez trouvé le mien !
– Non, c’est tout, m’a répondu la femme ! J’ai été mariée avec lui la première !
Au lieu de lui répondre, je lui ai fait un sourire et nous nous sommes à nouveau embrassées.
– Tout ce qu’il nous reste, c’est un souvenir !
– Et mes enfants, a ajouté la femme !
– Nos enfants, ai-je rectifié ! J’ai deux filles !
– Et on fait quoi, m’a encore demandé ma rivale ?
– Je ne sais pas, mais maintenant que c’est plus à la mode, on peut se gouiner ?
– Je suis d’accord, m’a-t-elle répondu ! Tu seras ma femme et je serai la tienne !
– Et comment va-t-on annoncer ça à nos enfants ?
J’ai attendu plusieurs semaines avant d’oser en parler à mes filles.
– J’ai rencontré quelqu’un, leur ai-je annoncé !
– Maman, on est déjà au courant, m’a répondu l’ainée ! De la façon dont tu lui parles au téléphone, on a deviné qu’il s’agit d’une femme !
– Ah bon ! Vous voulez la voir ?
J’ai sorti mon smartphone. Nous avions fait des tas de selfies depuis qu’on s’était rencontrées et j’en ai choisi un plutôt soft.
– Pas mal, m’a fait ma cadette en voyant la photo ! Elle est comment au lit ?
– Pas mal non plus !
– Tu es as d’autres, m’a demandé mon aînée en m’arrachant mon smartphone ?
Elle a parcouru mon dossier.
– Ah, là, pas mal, m’a-t-elle alors dit en montrant la photo à sa sœur !
Après elle me l’a montrée et c’était celle où j’avais photographié Camille en train de me faire un cuninlingus. Elle en a affichée une autre, celle où j’étais à quatre pattes et où entre mes seins qui pendaient, on pouvait voir Camille qui me léchait et ses seins.
– C’est papa qui aurait été content de baiser cette grosse pute, a ajouté mon aînée !
– Vous pourriez être aimable avec elle, leur ai-je répondu ! Cette femme est enceinte de votre père et elle était même mariée avec lui !
– Comment c’est possible, m’ont demandé mes filles ?
– Comment c’est possible ? C’est arrivé, c’est tout, ai-je ajouté !
– Et c’est pour ça que tu te gouine avec elle, m’a demandé ma cadette ?
– Ça aussi, c’est arrivée sans que je le veuille ! Je peux vous le dire maintenant que j’ai toujours aimé les femmes mais je me suis quand même mariée ! Et c’est la même chose pour elle !
– Elle a des gros nichons, a ajouté ma cadette ! Tu les a tétés ?
– Parce que toi tu voudrais bien lui faire, lui a répondu sa sœur ?
– Oh, je sais pas…, mais en ce moment, j’en ai un eu marre des bites ! Pas toi ?
J’ai ajouté que si elles sont d’accord, je vais inviter Camille à venir nous voir ce dimanche puis j’ai ajouté qu’il y aura peut-être son fils.
– Ah, parce qu’elle a déjà un fils, m’ont demandé mes filles ?
Je leur ai répondu que c’est leur demi-frère et ça les a calmées.
Le dimanche suivant, Camille a sonné à notre porte. Elle était seule et elle s’est excusée de l’absence de son fils trop occupé de son côté. Pour une fois, mes deux filles étaient restées avec moi. Après les présentations, elles ont absolument voulu que Camille leur montre son ventre et ce ne sont pas les caresses qui lui ont manqué mais il a fallu qu’elle leur montre aussi sa poitrine et là aussi, les caresses n’ont pas manqué ainsi que les baisers et mes deux filles se sont mise à téter les mamelons.
Je me doutais bien que ça allait dé****r et mon aînée à sorti de son armoire une sorte de harnais en cuir avec des anneaux et elle en a équipé la poitrine de Camille et çà lui a donné un air de gladiatrice. Elle a retiré sa petite culotte et nous avons pu voir qu’elle avait mis ses anneaux car je savais déjà qu’elle aimait les piercings. Sa vulve en était toute équipée.
– Vous allez me faire jouir, a encore dit Camille à mes filles dont les doigts exploraient tous les anneaux.
Elles lui ont répondu que c’est ce qu’elle veut et pendant qu’elles l’ont masturbé, Camille nous a avoué qu’elle en portait à la demande de feu notre mari commun.
– Il aimait bien m’enculer aussi, a ajouté Camille dans un dernier effort avant d’avoir un orgasme !
J’enrageais qu’elle ait eu tout ce que je n’avais pas eu.
– Il aimait bien que je me masturbe devant lui, ai-je ajouté !
– Alors, il n’était pas aussi salaud que ça, m’a répondu ma fille aînée ! Au moins, il vous a rendues heureuses, chacune à sa manière !
– Assez parlé de lui, a fait Camille ! Maintenant, ce que je veux, c’est de la chatte ! De la bonne chatte de jeunes filles !
– Tu es mal tombée parce qu’elles ne sont plus vierges, ai-je répondu à mon amie Camille !
– Détrompe-toi, maman ! Nous le sommes encore toutes les deux parce que nous nous sommes promises que nous ne nous donnerons qu’à la personne qui nous mériterait et cette personne, pour moi, c’est Camille, a proclamé ma fille aînée !
– Pour moi aussi, c’est pareil, a ajouté sa sœur !
Je n’avais plus qu’à m’incliner mais je suis restée dans la chambre à les regarder. Camille s’est allongée sur le lit et mon aînée s’est accroupie sur son visage pendant que ma cadette lui écartait les cuisses et elle s’est mise à lécher tandis que sa sœur se faisait lécher mais Camille m’a vite invitée à les rejoindre et les doigts qui se sont enfoncé dans ma fente, c’était ceux de mes filles et pas d’autres. Après, quand la place a été libre, j’ai chevauché mon amie.
– Jouis, m’ont demandé mes filles !
Camille me tétait les mamelons et leurs doigts faisaient des ravages dans mon vagin et j’ai eu un orgasmes et j’en ai eu un autre peu de temps après.
– Jouis, maman ! Tu l’as bien mérité, m’ont répété plusieurs fois mes filles. Elles me caressaient la poitrine. J’essayais d’embrasser Camille sur la bouche puis une bouche a remplacé les doigts et ça ne pouvait être que celle d’une des mes filles. La langue aussi s’est mise à faire des ravages sur mon clitoris et j’ai eu un troisième orgasme ou un quatrième, je ne sais plus. Après, j’ai reconnu que c’était une autre bouche, de mon autre fille mais laquelle. Je m’agrippais au ventre et aux seins de Camille qui faisait tout ce qu’elle pouvait pour pouvoir me toucher.
– Oh, chéri, ai-je vagi quand Camille m’a laissé respirer !
– Oui, maman, m’a demandé mon aînée et comme une langue continuait de me lécher, j’ai compris que c’était ma fille cadette qui était à l’ouvrage.
Après cette séquence torride, Camille a promis de revenir nous voir mais il s’est déjà passé un an depuis et nous n’avons pas de nouvelles.
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