Kevin III
J’ai descendu les escaliers à pas de velours, pieds nus. J’avais très envie de faire pipi. Je me suis arrêtée devant la porte de sa chambre; elle était entrouverte. Il était couché, sa bite à la main; il regardait son ordinateur.
– Je vais faire un petit pissou et j’arrive…
– Tu sais ce que je regarde, Sandra?
– J’imagine… une cochonnerie de porno…
– Nan! Viens voir.
Mais, je ne l’ai pas écouté et je suis allée en courant me soulager aux toilettes. J’étais assise sur la tasse, quand Kevin est entré, nu comme un verre de terre, avec une érection impressionnante.
– Laisse moi pisser tranquille, Kevin
– Hum! Laisse moi rester ici, Sandra, s il te plait
– Non… ça me gêne et le pipi ne sort pas!
Il s’est mis à ouvrir le robinet du lavabo et à faire couler en force le jet de l’eau froide. Ça m’a fait rire, moment qu’il a profité pour s’approcher de moi et se mettre à genoux à quelques centimètres de mes cuisses.
– Que fais tu, idiot?
– Je rêve de te voir pisser, maman!
– Arrête! Et ferme ce robinet… ça y est! Ça vient!
– Écarte les cuisses, s’il te plait… Laisse-moi voir!
Ce n’étais pas du tout la première fois que je laissais un homme me voir pisser. J’ai toujours aimé les jeux uro, donner et recevoir… Je trouve la pluie dorée un acte très très sensuelle et terriblement excitant. Mais, là, c’était différent… C’était mon beau-fils, un enfant, presque. Néanmoins, j’ai écarté mes cuisses et j’ai ouvert ma chatte pour qu’il puisse zieuter le jet d’urine qui s’est mis à sortir très bruyamment.
– Tu es aussi cochon que ton père, Kevin!
– Oué! Je vais pouvoir te faire les mêmes choses que lui, alors!
J’ai pris un papier de toilette pour m’essuyer. Il m’a pris la main et m’a demandé:
– Tu ne veux pas que je te nettoie avec ma langue?
– Ton père peut descendre d’un moment à l autre… Et, puis… Non, je dis, non
Et là, j’ai eu l’idée qui m’avait parue la plus raisonnable. Si on retournait à sa chambre, je finirais par me donner à lui et ça pouvait très mal finir. Je devais agir avec beaucoup de tact… Le laisser content et ne pas prendre beaucoup de risques. Je me suis levée, je lui ai pris les mains et je les ai déposées sur mes seins, par dessus de ma nuisette
– Caresse-moi, petit!
Il était aux anges. Il avait carrément fermé les yeux et me malaxait doucement les seins. Je lui ai pris la bite dans ma main et lui caressait la nuque avec l’autre. Sa verge tremblait et était extrêmement chaude. J’ai commencé à le branler serrant-la fort dans ma main, la décalottant d’un geste expert et doux
– C’est très bon, maman!
– Je le sais, mon petit… Laisse-moi faire…
– Oui, oui… Oh, ouiii…
– Chut! Ne cris pas… Nous ne voulons pas que papa arrive, n’est-ce pas?
Il était tellement excité, tellement soumis au plaisir que j’étais en train de lui procurer, qu’il s’est oublié même de me tripoter les nichons… J’ai senti qu’il était sur le point de jouir. Si on restait dans cette position là, l’un en face de l’autre, il allait m’en mettre partout. Mais, je voulais en finir vite, aussi. Malgré le désir croissant dans mes entrailles pour me taper ce jeune adolescent, mon côte rationnel continuait à garder le sang froid et me donner les meilleurs consignes:
– Viens, Kevin… approchons du lavabo
Un gros miroir nous renvoyait l’image d’une femme mature, habillée d’une nuisette rouge salope en train de masturber un jeune adolescent imberbe, les yeux fermés, la bouche entrouverte, avec un filet de bave qui se perdait entre le coin de ses lèvres.
– Sandraaa… Je vais jouir… Ahhh!
Sans m’en rendre compte, j’ai glissé une main sur mon minou pour caresser mon clitoris hyper gonflé. Je voulais jouir, aussi. J’ai appuyé très fort mon pousse sur la base de sa queue pour retarder son éjaculation.
– Sandra! Je n’en peux plus!!!
– C’est bien, bébé… Très bien, ma douceur… Sors tout ton lait, ma vie!!!
J’en ai branlé de bites dans ma vie, mais, très rares fois j’avais vu gicler autant de sperme. Un, deux, trois, quatre; de longs cordons de foutre très blanc et épais se sont écrabouillés sur la surface lisse et propre du miroir… Juste au même instant, mon vagin se contracta en un lubrique spasme orgasmique:
– Waouh! Mon bébé! Tu es un homme, un vrai!
Il a voulu m’embrasser comme il l’avait fait en début de soirée. Je ne lui ai pas refusé le plaisir. On s’est serré très fort.
– Retourne à ta chambre, Kevin… Je vais nettoyer tout ça… Tu en as mis partout!
Une fois parti, avec mon index, j’ai pris une noisette de son foutre et l’ai déposé sur ma langue. Il avait un très bon goût. Le gout de l’interdit!
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