Je m’appelle Jack et je vais vous raconter la mésaventure qui m’est arrivé la semaine dernière.
Je travaille comme apprenti dans un petit garage en région parisienne.
J’arrive lundi matin à 9h00 au garage comme tous les jours depuis 4 mois, mon boss me laissait les clés pour faire l’ouverture.
Je reçois quelques minutes plus tard un appel du chef m’indiquant qu’il était appellé pour un dépannage sur Paris et qu’il ne serait pas là de la journée.
Il me dit de faire « tourner la boutique », sympa comme responsabilité lorsqu’on a que 20 ans…
J’étais en train de bosser sur une vidange d’une R21 lorsque j’entendis un moteur pétaradant rentrant dans la cour, il s’agissait d’une Mini ancienne génération.
Je m’arrêta pour m’approcher de la voiture qui se gara devant l’entrée du garage, de là en sorti une magnifique brune, longues jambes fuselées entourées de collants noirs.
Je ne pouvais distinguer son regard sous l’énorme paire de lunette noire, celle qui font des yeux de mouche. Comme nous étions au mois de Janvier, elle portait
un manteau de fourrure marron et une paire de gants. J’estima que sa robe devait être courte car je ne savais dire où est ce qu’elle s’arrêtait.
Quand elle se déplia pour sortir de la voiture, elle me dépassa quasiment d’une tête perchée sur ses talons hauts.
Elle me dit:
« Bonjour, j’ai un gros problème avec ma voiture, elle accélère par sacade, je crains de tomber en panne et j’ai un RDV très important sur Paris dans 2h ».
Je ne pouvais pas la renvoyer d’où elle vient et sa beauté fit changer l’ordre des priorités pour les réparations des voitures.
Je lui répondit donc que j’allais jeter un oeil, je m’asseya côté conducteur pour rentrer la voiture.
Après avoir fait quelques mètres, je m’aperçus sur le siège passager un livre de ma conductrice avec sur la première page une photo de ma conductrice en sous-vêtements.
Je jetta un oeil dans le rétro et je vis qu’elle était en train de passer un appel avec son portable. J’en profita pour ouvrir le « book », chaque page
contenait une photo d’elle avec des sous-vêtements différents, elle avait un corps avec des lignes parfaites : des fesses rebondies, un ventre plat et une poitrine
généreuse. Je ne pouvais pas deviner cela sous son gros manteau d’hiver.
J’entendis quelques pas près de la voiture alors je jetta le book sur le siège et ouvrit la portière.
Elle me dit : « Tout va bien? » en portant son regard vers l’intérieur de la voiture.
Je lui répondit que oui et que je vérifiais les commandes de l’intérieur, c’était une femme et un pipeau comme cela pouvait passer…
J’ouvris le capot, à première vue pas de grosse fumée ou de liquide suitant ce qui est bon signe.
Après quelques minutes d’analyse je découvris que la durite d’admission d’air s’était détachée, provoquant sans aucun doute les trous à l’accélération.
Alors que je finissais de rebrancher correctement la durite, je sentis une main arrivée de derrière et se rapprocher de mon entrejambe.
Je pouvais sentir sa poitrine qui s’appuyait sur mon dos et elle me dit : « Vous avez trouvé la panne? »
Voulant prolonger la situation, je lui répondis que je cherchais toujours. La présence de sa main à proximité de mon sexe me donna une érection comme jamais.
Je repensais aux photos du book vus quelques minutes auparavant, je l’imaginais derrière moi habillés uniquement de lingerie coquine.
Sa main droite arriva sur mon sexe raide et elle me sucurra à l’oreille : « Vous avez aimé le livre? ». J’étais grillé.
Je dûs lui avouer franchement : « Euh oui ce sont de très belles photos ».
Elle caressa de bas en haut mon pénis à travers mon bleu de travail, je sentais l’excitation qui montait en moi. Je fis donc semblant de continuer de travailler sur le moteur.
Avec l’aide de sa deuxième main, elle ouvrit en une fraction de seconde le zip avant de mon bleu de travail. Mon torse nu se trouva à la portée des ses mains.
Elle fit glisser de la main gauche mon slip tout en empoignant de la main droite mon sexe.
Elle murmura dans mon oreille : « mmmmm elle est bien grosse ta bite ! »
D’entendre une fille avec autant de classe me parler crument redoubla mon plaisir. Je n’osais pas me retourner, j’étais sous son contrôle.
Elle commenca à me branler, la douceur de ses gants étaients exquise sur la fine peau de ma verge.
Avec sa main gauche elle arrivait à malaxer mes couilles tout en me branlant fermement de la main droite.
Je pouvais sentir son parfum et ses cheveux venaient me chatouiller la nuque, mon souffle s’accéléra au rythme de ses coups de poignets.
Elle ajouta : « T’aimes ça te faire branler mon salaud ».
Avec une telle excitation, je ne tint pas très longtemps et je m’écria : »oh oui je viens ! » et un long jet de sperme vint se répondre sur le bloc moteur.
Elle me demande : « Vous avez fini? », je ne savais pas si elle parlait du moteur ou de mon éjaculation.
Je lui répondit : « Oui j’ai trouvé la panne… »
Elle escquissa un grand sourire et me dit : « Merci jeune homme » tout en s’asseyant côté conducteur.
Désormais, à chaque fois que j’entends une voiture pétaradé, je prie pour que ce soit elle…
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