Je suis couchée sur le dos jambes relevées et repliées, cuisses écartées.
Cyril s’allonge sur moi après avoir observé pendant un instant mon intimité souillée de sperme et de mouillure mais bien offerte à sa vue sans que cela me gêne.
Il me pénètre et donne des coups de reins pour faire aller et venir sa queue dans ma grotte.
Ensuite après un moment il délaisse ma chatte et c’est dans mon anus qu’il enfonce sa verge puis recommence à me défoncer.
Il me sodomise sans ménagement ne s’arrêtant même pas de donner des coups de reins quand j’ai un orgasme.
Après qu’il m’aie défoncée pendant un bon moment et m’aie bien fait mouiller je sens sa queue s’agiter en moi et il se soulage dans mes intestins.
Il se retire et s’allonge, j’en fais autant et nous récupérons pendant un petit moment.
De nouveau je décide de le remettre en forme, surtout pour voir s’il en est encore capable.
Je suis étonnée par la réaction positive de sa verge qui ne se fait pas trop attendre.
Après l’avoir fait correctement bander avec mes mains et ma bouche je me positionne au dessus de lui.
J’enfonce sa verge dans ma chatte et la fait coulisser à l’intérieur en donnant des coups de reins.
Je m’active pendant un moment avant de me soulever pour que le pénis sorte de mon intimité puis avec une main je le fais pénétrer dans mon anus dans lequel il s’enfonce quand je m’accroupis sur lui.
De nouveau je fais bouger mon corps pour faire aller et venir le membre en moi.
Sachant qu’il va mettre du temps avant d’éjaculer, j’arrête de bouger de temps en temps car le plaisir que je ressens est toujours intense et je ne veux pas trop jouir.
Il comprend où je veux en venir et que cela risque d’être long, il décide de prendre l’initiative et d’en finir en me prenant en levrette.
A genoux derrière moi il donne des coups de reins pénétrant ma chatte ou mon anus suivant son envie et son manège dure un bon moment.
Pour s’exciter il martyrise ma poitrine et le plus souvent mon clitoris encouragé par mes gémissements et râles.
Le plaisir qui a bien remonté dans mon corps en arrive à être insoutenable et je jouis encore.
Je mouille beaucoup et suis bruyante pendant qu’il continue à me défoncer jusqu’au moment où enfin il se soulage de nouveau dans mon fondement.
Allongé à côté de moi il récupère.
Chacun notre tour nous nous lavons puis rhabillés nous quittons la chambre.
Nous nous disons au revoir en nous faisant la bise et promettant de nous revoir.
Deux jours plus tard en me promenant sur le port et en passant devant le bâteau de Cyril je n’en crois pas mes yeux, j’ai la berlue, je le vois en double.
Ils sont deux à s’affairer sur l’embarcation et même s’ils sont vêtus différemment ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau.
Une fois l’étonnement passé je les hèle.
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Ils tournent la tête et m’aperçoivent.
Ils me regardent visiblement mal à l’aise et ne sachant pas quoi dire.
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Ils essayent de nier mais je les sens bien embarrassés.
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Ensuite un peu gênés ils conviennent qu’ ils se sont servi de leur ressemblance, une chose qu’ils ont l’habitude de faire quand ils en ont l’occasion en différentes circonstances.
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Comme d’habitude sans réfléchir je décide de profiter de la situation.
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Ils se regardent et sourient.
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Le lendemain les deux frères m’attendent devant l’hôtel.
Ils m’embrassent sur les joues et échangeons quelques phrases.
Sans perdre de temps, car ils ont déjà réservé la chambre, nous entrons dans l’établissement et montons à l’étage.
Une fois la porte de la chambre refermée je ne contrôle plus rien.
Ils me déshabillent prestement. Ma jupe, mon maillot, mon string et mon soutien-gorge volent dans la pièce.
Je suis embrassée, la langue de l’un ou de l’autre vient toujours se mêler à la mienne.
On me caresse partout. Des mains s’activent sur ma poitrine, mon ventre, mon sexe et mes fesses, mes tétons sont triturés.
Mes orifices sont fouillés et doigtés.
Les attouchements durent un moment et je commence à être bien humide, ce qu’ils remarquent.
Je me retrouve allongée sur le lit.
Ils retirent leurs vêtements et en posant mon regard sur leurs corps je constate que j’ai devant moi des sosies et je ne peux pas dire qui est qui.
Leurs jolies queues sont déjà bien gonflées et raides, je n’aspire qu’à les recevoir dans mon corps.
Ils se positionnent à genoux à côté de moi, l’un à ma gauche et l’autre à ma droite.
Je caresse et masturbe les deux verges pendant qu’ils caressent mon corps puis les deux hommes veulent rapidement passer à autre chose.
Pendant que l’un des deux s’est mis à genoux entre mes jambes un pénis se présente devant ma figure.
Je le lèche pendant un moment puis je suçote le gland avant de l’enfoncer dans ma bouche.
Pendant que je fais une fellation à l’un et qu’il caresse mes seins ou martyrise mes tétons, l’autre sans douceur doigte ma chatte et mon anus ou masturbe mon clitoris.
Quand celui que je suce approche de la jouissance il me repousse et se déplace pour prendre la place de son frère qui vient présenter sa queue pour le fellation.
Mon corps commence à onduler et se déplacer sur le lit, le plaisir monte dans mon ventre car celui qui me doigte et masturbe s’acharne.
Je n’arrive pas à les faire éjaculer, ils retirent leur queue de ma bouche avant l’issue fatale.
Les sensations augmentent de plus en plus dans mon ventre et je me trémousse sous l’effet de la torture.
Soudain cela devient insupportable, mon corps se tend et se soulève, je râle et agitée par des spasmes des jets de cyprine s’échappent de mon vagin.
La tension un peu redescendue je reprends la fellation de la verge que j’avais laissée sortir de ma bouche.
Le doigtage de ma chatte et mon anus ainsi que la masturbation de mon clitoris continuent intensément.
Pendant que je suce avec des va-et-vient rapides de ma bouche je sens le pénis prendre encore du volume puis s’agiter pendant que des giclées de sperme frappent le fond de ma gorge.
J’ai à peine le temps d’avaler que le membre sort de ma bouche, l’homme va se positionner derrière moi, entre mes jambes, et sa verge s’enfonce dans ma chatte pendant que son frère présente la sienne devant ma figure.
De nouveau je suce goulument le membre pendant que je ressens les aller-retour de la queue dans ma grotte et en même temps mon clitoris est masturbé et mes seins malaxés.
Je jouis encore avant de recevoir des giclées de sperme dans ma bouche.
Je continue à sucer après avoir avalé le liquide jusqu’à ce que la queue qui défonce ma chatte y déverse sa semence.
Rapidement ils changent de position et la queue qui était dans ma bouche s’enfonce dans mon intimité pendant que celle qui a joui dans ma chatte se présente devant ma figure.
Je fais une nouvelle fellation pendant que ma grotte se fait défoncer à coups de reins.
Ils n’oublient pas pourquoi ils sont là. Mon clitoris est de nouveau masturbé sans douceur, mes seins caressés et malaxés, mes tétons sont triturés et martyrisés.
J’ai du mal à sucer car je gémis à cause du plaisir qui devient de plus en plus intense dans mon ventre.
Finalement j’ai un orgasme et eux se soulagent dans mon corps et ma gorge.
Je n’éprouve pas de difficultés pour les remettre en forme.
Une queue dans chaque main je caresse et masturbe puis je suce passant de l’une à l’autre et rapidement ils sont en érection.
L’un des jumeaux s’allonge sur le dos, je me mets sur lui et j’introduis sa verge dans ma chatte pendant que le deuxième jumeau se positionne à genoux derrière moi. Son pénis bûte entre mes fesses, avec une main je le place contre mon anus dans lequel il s’enfonce quand l’homme pousse avec le poids de son corps.
Ils se mettent à bouger tous les deux en essayant d’accorder leurs mouvements.
J’apprécie le plaisir que me procurent les va-et-vient des membres dans mes deux orifices séparés par une mince épaisseur de chair, la jouissance me laisse encore un peu plus fatiguée.
Ils me défoncent avec entrain pendant un moment avant de se laisser aller chacun leur tour et d’arroser mon vagin et mon cul à peu de temps d’intervalle.
je les remets en forme avec mes mains et ma bouche.
J’ai un peu plus de mal à les faire bander, je les masturbe vigoureusement et les va-et-vient de ma bouche sont rapides pendant les fellations.
Satisfaits d’être de nouveau en érection ils me repoussent et j’ai de nouveau un homme sous moi et l’autre derrière moi.
De nouveau ma chatte et mon anus sont pénétrés.
Je me fais défoncer sans ménagement à grands coups de reins, je ressens beaucoup de plaisir et de nouveau je gémis et râle.
Ils s’activent jusqu’à ce que je jouisse puis les verges quittent ma chatte et mon anus et ils me repoussent.
Ils n’ont pas éjaculé et bandent toujours.
Ime demandent encore de me mettre à genoux, ce que je fais.
Je creuse les reins pour mieux recevoir le pénis qui va me pénétrer et pose ma tête sur mes bras repliés dans les draps.
Là mon calvaire recommence, pendant que l’un me défonce la chatte ou le cul le deuxième tripote ma poitrine ou torture mes tétons et surtout masturbe mon clitoris sans douceur.
Les deux hommes ne se préoccupent pas de mon corps qui se trémousse sur le lit ni de mes gémissements et cris de plaisir.
Au gré de leurs envies c’est ma chatte qui est pénétrée ou mon anus qui est sodomisé sans ménagement.
Ils se relaient bien décidés à ne pas jouir.
Celui qui ne défonce pas un de mes orifices s’acharne sur ma poitrine dont les tétons sont en feu et douloureux ainsi que sur mon clitoris qui est bien échauffé.
Les va-et-vient d’une queue dans mon intimité ou mon fondement n’en finissent pas.
Le plaisir dans mon ventre est toujours intense, il baisse très peu entre les jouissances qui sont de plus en plus rapprochées pour le plus grand plaisir des jumeaux qui semblent jouer à qui m’amènera à l’orgasme le plus rapidement.
Et en plus du fait que je n’arrête pas de mouiller, à chaque fois la cyprine qui gicle de mon vagin et semble intarissable.
Ils restent maîtres de leur corps et me martyrisent longtemps se relayant avant que le premier n’éjacule dans mes intestins avant de débarrasser mon cul de sa verge qui ramollit rapidement.
Le deuxième prend la place et me défonce à coups de reins violents et rapides me tirant encore des gémissements et cris, je jouis encore avant qu’il ne se soulage lui aussi dans mon fondement.
Ma chatte et mon anus bien agrandis sont maintenant abandonnés par les queues, je m’allonge sur le lit et ne suis plus très lucide.
Je reste là allongée et avachie sur le lit, les draps souillés de mouillure et de sperme collent à ma peau.
Je suis vidée et dans un état second.
Pendant que les jumeaux passent chacun leur tour dans la salle de bain et se rhabillent, je les apostrophent.
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Ils m’embrassent puis quittent la chambre après m’avoir dit vouloir recommencer dés que je le voudrais que ce soit avec l’un ou l’autre, chacun leur tour le même jour ou bien les deux ensemble.
Pour moi les trois solutions sont tentantes, je vais réfléchir et peut être les prendre tous les deux comme amants pour la saison estivale.
Péniblement je vais prendre une douche prolongée et me savonne bien pour enlever tout ce qui a souillé mon corps et surtout me débarrasser des odeurs de sperme et de mouillure.
De nouveau habillée je quitte l’hôtel la démarche mal assurée, j’ai le temps de voir le sourire narquois de la tôlière.
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