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Mon désir pour ma mère (9)

Mon désir pour ma mère (9)



Ce matin là, je me reveillais en sentant quelque chose d’inhabituel. Il était 7h30, et ma mère était déjà debout. Un peu déçu de ne pas pouvoir la caliner un peu avant de me lever, je saisis un caleçon que j’enfilais rapidement, et sortit de la chambre. Ma mère était dans la pièce, dans le coin cuisine, en train de préparer le café. Elle portait une culotte et un soutien gorge blancs. Elle se tourna vers moi et me fit un sourire, auquel je répondis.
– Tu dois sortir ? lui dis-je avec étonnement.
– Non, pas ce matin.
– Pourquoi tu n’es pas toute nue alors ? Tu sais que je préfère…
Ma mère se figea un peu et je vis son visage se fermer.
– Ecoute, fit-elle, je trouve que tu prends trop de liberté.
Je restais silencieux et fit quelques pas. Elle recula d’un pas tandis que j’arrivais à la machine à café.
– wow, carrement, tu t’éloignes, lui dis-je.
– tout ce qui se passe ces dernières semaines, c’est trop… me fit-elle.
– tu ne semblais pas detester ça… répondis-je du tac au tac, à voix basse.
Je pris une tasse de café, tout en considérant ma mère du regard, et la porta à mes lèvres. Je bus une gorgée, et continuais.
– Donc, en gros, ça signifie quoi ?
– … il faut qu’on arrête un peu tout ça, je suis ta mère.
Je saisis la tasse fermement, et la jetais par terre avec force. Elle éclata et le café chaud se répendit au sol. Ma mère sursauta de surprise et fit un nouveau pas en arrière.
– Je te rappelle qu’il n’y a que moi qui bosse, et que tu es dépendante de moi financièrement. J’ai remplacé papa, je suis l’homme de la famille, et j’attends de toi certaines contreparties.
– Non mais ça ne n’est plus possible… Ca ne fonctionne pas comme ça…
– Et pourquoi ?
– Je suis ta mère… On a eu un moment d’égarement… Et vraiment je le regrette. J’aimerai que tu me respecte à nouveau comme ta mère… Et que tu ne me vois plus autrement.
– Tu dis ça ce matin, et hier soir, tu faisais exprès de chier pendant que je te sodomisais pour m’exciter…
– Oh arrête !
– Quoi ? C’est ça ? c’est allé trop loin ?… Ca t’a choqué ?
– C’était trop dégradant… Je suis ta mère… Ca m’a tellement surprise de voir que tu aimais ça… Je ne pensais pas… ce genre de chose possible…
– Tu veux que je te dise pourquoi ça m’a excité ?
– Non je ne veux pas savoir.
– Parce que c’était toi. Si je suis aussi excité lorsque je vois ta chatte, c’est parce que je n’ai jamais imaginé un jour te voir nue, ou t’envisager d’un point de vue sexuel.
– Arrete s’il te plait…
– Meme si ce que je te dis te dérange, il faut que l’on ait une discussion. Ca ne peut pas s’arrêter parce que tu l’as décidé toute seule.
Ma mère me regarda sans rien dire.
– Tout ce que je fais avec toi est magique, unique. Ca n’aurait pas la meme savoir avec une autre femme. Tu es ma mère, comme tu le repetes si bien. C’est tellement fort, c’est tellement intense, quand je te fais l’amour. Rien n’est plus fort. C’est inégalable. Et hier, il y a eu cet incident, pendant que je te sodomisais… Quelque part, au début, je me suis dit « ooops… », forcemment. Je peux comprendre que tu ais été génée. Mais en même temps tu es restée, tu étais en confiance avec moi… D’ailleurs, quand tu as senti que ça m’excitait et que j’étais sorti de toi… tu as poussé fort pour tout sortir. Tu n’étais pas obligée. En plus ce qui est sorti était plus large et plus long que ma queue… Tu aurais eu le temps d’aller aux toilettes. Mais tu m’as montré ça. Sans doute est ce de ça dont tu as honte, ce matin.
Ma mère ne disait toujours rien, mais secouait un peu la tete pour dire non.
– En fait, si tu ne veux plus que l’on continue notre relation, ce n’est pas à cause de mes demandes. C’est parce que tu as peur de ce que tu peux me donner. Peur de tes propres limites. Donc tu cherches à t’en mettre.
Ma mère ne disait toujours rien.
– Maman. Je vais aller m’habiller, et je vais partir travailler. A mon retour, il faudra que tu ais fait un choix.
– Il est tout fait, je te l’ai dit.
– Laisse moi finir. Soit tu restes dans ton idée, dans ce cas, je te demande de partir avant mon retour. Et l’on ne se verra plus, je refuserai de te rencontrer à nouveau, je tirerai un trait sur toi.
Ma mère posa sa main sur sa bouche de surprise, et des larmes apparurent dans ses yeux.
– Soit tu restes à la maison. Et dans ce cas, la culotte et le soutien gorge que tu portes ce matin, je veux que tu les ai posé sur la table de la cuisine, et que tu m’attendes nue, prête à me recevoir dans ta chatte.
Ma mère ne disait pas un mot mais semblait confuse. Je tapais dans mes mains d’un coup juste devant elle et elle sursauta à nouveau.
– Réfléchis bien. J’y vais. A ce soir, ou adieu.

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