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Une Initiation 2 – Rendez-vous à l’hôtel

Une Initiation 2 – Rendez-vous à l’hôtel



(suite de )

Après ce premier rendez-vous, nous avons longuement échangé avec Carine par messagerie. Je lui ai demandé de me raconter précisément ce qu’elle avait ressenti lors de son initiation. J’ai dû insister face à sa timidité, mais je n’ai pas été déçu. Carine m’a avoué avoir adoré comme je le pressentais. Elle avait un peu honte, mais depuis de soir, dès lors qu’elle se caressait ou était excitée, ce sont ces images qui lui revenaient en tête. Elle y pensait également à chaque fois qu’elle allait boire un verre avec son copain. Depuis, elle se sentait plus femme, plus sûre d’elle, de sa beauté et de son pouvoir sur les hommes. Elle restait pourtant la jeune fille de bonne famille qu’elle avait toujours été au regard des siens. Mais pas pour moi. Elle se sentait en sécurité et heureuse entre mes mains, elle souhaitait s’abandonner encore plus.

Nous ne sommes pas vus pendant longtemps même si nous échangions quotidiennement. C’était le deal, nos rencontres seraient exceptionnelles. Aussi rares qu’intenses. Pour continuer sa libération, je lui assignais cependant très souvent des tâches à réaliser pour moi. Comme cette fois ou je lui demandais d’attendre son petit copain derrière sa porte, à genoux et en body. Elle devait, sans un mot, se saisir de sa queue dès qu’il aurait franchi la porte pour le sucer vigoureusement jusqu’à ce qu’il vienne dans sa bouche. Ce ne fût pas long. La photo qu’elle m’envoyait de sa bouche pleine de semence depuis sa salle de bain validait son obéissance.

Nos jeux devenaient plus complexes, plus pervers et nos discussions, toujours ouvertes, me permettaient de comprendre ou elle souhaitait que je l’emmène sans même qu’elle en ait pleinement conscience. Je compris qu’il était temps d’organiser une nouvelle rencontre. J’avais échafaudé un scénario de longue date et je mis enfin mon plan en œuvre par une belle soirée printanière, à Nantes toujours.

J’avais réservé une suite dans l’un des plus beaux hôtels de la ville. J’adorais y descendre et je savais que l’endroit lui plairait. Je l’attendais au bar. J’étais à la fois très impatient de la revoir, excité à l’idée de la posséder totalement cette fois-ci et un brin anxieux, comme avant un premier rendez-vous. J’agitais le mélangeur dans ma Margarita lorsqu’elle apparût. Mon souffle se coupa un bref instant. Je savais qu’elle était belle, on s’était déjà vus et elle me gratifiait chaque jour de photos d’elle. Mais sa présence, son aura, étaient intransmissibles par Internet. Elle avançait droit vers moi à travers le hall, juchée sur de très belles et sobres cuissardes noires qui laissaient juste la place d’apercevoir ses collants avant l’ourlet de sa robe. Elle porte à merveille cette pièce, noire aussi, à lacets sur un décolleté sexy mais discret. Son corps est entièrement en phase avec ce vêtement, elle ondule légèrement et ses cheveux se balancent au rythme de ses pas sur ses épaules. Ses manches s’arrêtant sur l’avant-bras dévoilent de longues et fines mains suspendues le long de sa taille. Elle m’aperçoit, passe une de ces mains dans ses cheveux pour les rabattre en arrière dévoilant ainsi son visage. Elle m’adresse un sourire gêné en baissant légèrement la tête. Elle rougit. Lorsqu’elle arrive à ma hauteur, je me lève, la serre dans mes bras et lui adresse une bise appuyée qu’elle me rend. Je la sens déjà s’abandonner dans mes bras comme si elle pouvait enfin se reposer après une longue errance, avec confiance.

«- Je suis si contente de te voir tu m’as beaucoup manqué. Me dit-elle encore dans mes bras.

– Je suis ravi aussi. Tu es splendide dans cette robe »

Nous nous asseyons et discutons de tout et de rien pendant un moment. Je prends énormément de plaisir à parler avec cette jeune femme. Elle est vive, intelligente, drôle, timide. Elle est parfaite. Je sais depuis longtemps qu’il faut bien plus qu’un joli corps et un esprit débauché pour faire une amante idéale. Carine a tout ce qu’il faut et même plus. Alors que je me plonge dans l’observation assidue et inquisitrice de sa silhouette délicatement posée sur ce fauteuil Louis XVI rouge elle évoque la fin de ses études et je remercie ma bonne étoile de l’avoir mise sur ma route.

« Fort heureusement, en ce qui concerne nos études, il reste de nombreux domaines à explorer. »

Elle ne répondit rien, mais je sus à son air enjoué et à son rougissement incontrôlé que pour elle aussi, le moment de la discussion était terminé. Je demandais donc au serveur de mettre les consommations sur ma note et offrait mon bras à Carine pour qu’elle me suive. Je la sentis se serrer contre moi dans l’ascenseur. Je me tournais vers elle et elle me fixait de son regard si pénétrant. Je l’embrassais doucement et presque chastement, passant ma main dans ses cheveux alors que son corps frissonnait.

« Tu m’as manqué toi aussi » lui glissais-je à l’oreille. Je savais qu’elle attendait mon affection au-delà de nos jeux sexuels. Je ne souhaitais pas trop lui en donner mais après tout, c’était vrai. Je la désirais énormément et son odeur m’avait marqué au fer rouge la dernière fois.

A la seconde ou je glissais la carte dans la serrure magnétique de la chambre, une toute autre dynamique s’enclencha. Je la regardais interrogateur et elle me signifia qu’elle était prête d’un hochement de tête décidé. J’ouvris la porte et l’invitais à me précéder. Dès que la porte fût fermée derrière moi, elle s’agenouilla et se mit à quatre pattes sur le sol, la tête basse, regardant mes chaussures.

« – Je suis prête Maître ainsi que vous me l’avez indiqué. Je ne foulerai pas le sol de cette suite sur mes deux pieds sans que vous m’en donniez l’autorisation. Je suis votre chienne, faîtes de moi ce que bon vous semblera.

– Je te remercie pour ce cadeau et ferai de mon mieux pour te le rendre. Maintenant, j’ai envie d’une douche. Tu vas t’occuper de tout en commençant par me déshabiller. Mais d’abord, un dernier détail »

De l’étagère proche de l’entrée, j’attrapais un joli collier de cuir noir, simple mais de grande qualité. Je le passe autour du cou de Carine qui me regarde avec ses yeux pétillants d’excitation. Une fois le collier attaché suffisamment serré pour qu’il n’y ait presque pas de mou, j’y fixe la laisse assortie. Elle est prête.

Carine défait mes lacets, ôte mes chaussures et se redresse sur ses genoux pour faire glisser la boucle de ma ceinture et chaque bouton de mon pantalon très lentement, comme pour ne pas me déranger. Depuis qu’elle a sa laisse, elle ne me regarde plus dans les yeux mais baisse systématiquement la tête. Mon pantalon glisse à mes pieds qu’elle saisit délicatement pour les libérer de ce vêtement sans que je ne produise le moindre effort. Ma veste rejoint mon pantalon au sol puis les boutons de ma chemise commencent à sauter un à un. Carine touche presque mon torse avec son nez en le faisant et je sens son souffle brûlant contre moi. Une fois arrivée en bas, elle fait glisser ses mains le long de mon torse jusqu’à mes épaules pour enlever ma chemise. Me voila en boxer dans l’entrée de cette suite avec la plus belle chienne en laisse que la terre ait jamais portée. J’amène Carine vers la salle de bain du bout de sa laisse et lui intime l’ordre de se déshabiller entièrement tandis que je m’assieds sur le lavabo. Ses bottes glissent doucement sur ses jambes, sa robe dévoile un sublime body en dentelles noires. Je m’aperçois que les laçages que j’avais apprécié tout à l’heure appartiennent à ce body et non à sa robe. Carine plie délicatement ses affaires et les range sur une étagère avant d’ôter son body tournée vers moi mais toujours les yeux rivés vers le sol. Elle mesure chacun de ses gestes et si je n’arrive pas à déterminer si elle le fait par timidité, grâce naturelle ou pour m’exciter mais le résultat est sans appel. Mon boxer peine à contenir mon érection. Carine se dirige vers la douche et la fait couler, bien brûlante comme je l’aime. Elle active le ciel de douche, s’agenouille, tête basse à l’entrée de l’immense cabine en attendant que j’entre. Elle est nue désormais et ne porte plus que son collier et sa laisse. Ses seins, menus et haut perchés me regardent fièrement au contraire de leur propriétaire. Ses tétons sont durs comme de la pierre. Je sais qu’elle prend énormément de plaisir à cet instant.

Je pénètre dans la douche. J’ai grandement besoin de me délasser. Carine me laisse seule quelques instants avant de pénétrer dans la cabine toujours à quatre pattes. Elle se saisit de gel douche au distributeur et entreprend de nettoyer chaque centimètre carré de mon corps en commençant par mes pieds. Elle apporte un soin infini à son ouvrage ajoutant toujours plus de mousse légère et douce sur ma peau. Ses mains remontent sur mon torse, enserrent mes fesses et me pétrissent presque désormais.

« – Je vous rappelle très chère que vous êtes ici pour me laver et nullement pour profiter de mon corps sous vos doigts.
– Oui maître, pardonnez-moi »

J’ai très envie qu’elle me pétrisse, mais je dois générer de la frustration chez elle si je veux la faire exploser comme je le souhaite.

Mon corps est désormais entièrement rempli de mousse. Seule ma queue et mes testicules n’ont pas encore été consciencieusement nettoyées. Je bande à demi lorsque Carine se saisit d’une nouvelle poignée de gel douche pour l’appliquer sur mon sexe glabre. Elle le caresse très délicatement, prenant soin de bien le décalotter. Ses mains se glissent entre mes cuisses, derrière mes boules, qu’elle masse délicatement.

« – Me voilà propre, mais je souhaite que vous me montriez comment vous prenez soin d’une queue en pareille condition »

Sur ces paroles, sa tête s’est redressée et ses yeux plantés dans les miens me disaient son contentement. Elle se mit à me masturber lentement, de haut en bas, serrant d’abord doucement ma hampe. L’eau qui tombait du ciel avait fini de me rincer ce qui lui permit de faire glisser sa langue sur mes boules lisses. Elle les avait maintenant entièrement en bouche et semblait s’en délecter tandis que sa main continuait son délicieux manège sur ma queue. Elle les libéra alors de sa bouche dans un bruit de succion en dirigeant mon gland gonflé vers ses lèvres. Elle ne me prit pas en bouche tout de suite mais caressa d’abord son visage entier avec mon sexe, l’embrassant à chaque occasion. Elle aimait jouer avec ma queue, elle m’avait déjà confié sa fascination pour elle depuis que j’avais joui dans sa bouche dans les toilettes de ce bar lors de notre première rencontre. Elle en profitait maintenant comme si c’était une friandise et j’en éprouvais la plus grande joie. Sa langue entreprenait de ne laisser aucune zone de mon entrejambe abandonnée. Elle était de plus en plus goulue et serrait ma queue de plus en plus fort. C’est le moment que je choisis pour me retourner, m’appuyer au mur de la cabine et lui ordonner en tirant sur sa laisse de nettoyer également mon cul avec ce bel enthousiasme. Il n’y eut aucune hésitation et je sentis instantanément son visage s’enfoncer entre mes fesses sans retenue. Sa langue dessinait doucement les contours de mon anus alors que sa main était toujours fermement agrippée mon sexe. Ce délicieux manège dura longtemps. J’étais absorbé par le plaisir que je prenais et incapable de penser à autre chose que sa bouche dévorant mon cul. Son visage se détacha au bout d’un temps indéfini, ses mains écartèrent mes fesses alors que je me cambrais plus et sa langue commença à me parcourir de mes testicules jusqu’à mon cul dans un entêtant rodéo. Je lâchais une main du mur pour saisir ma queue, tellement dure, et la branler doucement puis frénétiquement. J’étais au bord de l’orgasme. Elle le sentit et agrippa mes boules d’une main, fermement tout en enfonçant sa langue aussi loin que possible dans mon petit trou légèrement ouvert. Au bout de quelques minutes de ce traitement n’y tenant plus, je me retournais et présentais ma queue devant cette bouche, source de tant de plaisir.

« C’est très bien ma belle, tu es très douée ! Maintenant tu vas me prendre dans ta bouche parce que j’ai très envie d’y jouir. »

Elle acquiesça et ouvrit grand sa bouche, en sortit une langue rose et trempée, et attendit que je la pénètre. Je maintenais son visage en enfournant ma queue lentement dans cet orifice brûlant et si accueillant. Elle fermait les yeux maintenant et je commençais à baiser sa bouche sans ménagement. Mon excitation était à son comble, plus question de me retenir, je brulais de la remplir indéfiniment de foutre épais. Je jouis enfin lorsque mon gland trouva le chemin de sa gorge. Un réflexe qu’elle jugula lui commanda de se libérer mais son self control et ma prise ferme sur son visage l’en empêchèrent. Dans un râle, je lâchais de long jets puissants de jus tout au fond de sa gorge en restant immobile, ses lèvres écrasées contre mon pubis. Je restai ainsi quelques secondes le temps de reprendre mes esprits, puis libérais sa bouche. Son maquillage coulait et ses yeux brillaient de contentement.

« Finis de bien nettoyer ma queue avec ta langue. Rappelle-toi que je dois être bien propre. Ensuite, tu pourras te lever pour te laver, te préparer et renfiler ton body. Je t’attendrai dans le salon. »

Je la relevais en tirant sa laisse et déposais un léger baiser sur ses lèvres gonflées et rouges puis disparus derrière la paroi de verre embuée. Cette soirée commençait parfaitement. Ce petit échauffement m’avait mis dans tous mes états et je comptais bien rendre folle Carine jusqu’au petit matin.

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