C’est à mon copain Florian que je dois cette découverte. C’est un grand amateur de films X, et de temps à autre, il m’invite chez lui pour visionner en commun un des opus qu’il a particulièrement apprécié. On se branle alors – chacun de notre côté, je précise – devant une bonne bière. Il faut dire que l’on a tous les deux 18 ans, et donc de grands besoins sexuels à assouvir, sans avoir toujours sous la main la jeune fille idoine…
Ce soir-là, Florian avait un air mystérieux, et il me prévint qu’il s’agissait d’un film très particulier. Intitulé « Les vacances amoureuses de Fanny », il mettait en scène une naïve adolescente de quinze ans, en vacances sur la côte chez sa grand-mère qui, on s’en doutait dès les premières images, n’allait pas tarder à passer à la casserole.
Tandis que la dénommée Fanny faisait son apparition à l’écran, en descendant de la voiture de ses parents, mon coeur se mit à battre la chamade : la fille ressemblait trait pour trait à ma soeur Juliette !!! Mon copain me regarda avec un sourire triomphal, tandis que je tentais de reprendre mes esprits :
– Non, attends, je suis sûr que ce n’est pas elle ! C’est un sosie. Tu sais que ces choses là arrivent…
Juliette est une jolie brune de taille moyenne, à la longue chevelure, au sourire espiègle et une fossette au menton qui fait craquer tout le monde. Elle a donc un physique assez juvénile, et bien qu’âgée d’un an de plus que moi, elle peut facilement passer pour une adolescente, avec le maquillage et les vêtements adéquats. Il était d’ailleurs évident que l’actrice était plus âgée que ce qui était annoncé, ce genre de film n’utilisant jamais de mineur.
Malgré la ressemblance troublante, j’avais quand même un doute, qui fut vite dissipé, dès la première scène érotique, au cours de laquelle la jeune Fanny se caressait sous la douche. Je remarquai alors sur son bas-ventre, juste au-dessus de son opulent pelage brun, un petit grain de beauté : plus de doute possible, c’était bien ma grande soeur qui offrait son anatomie aux regards de milliers de pervers !
Ce qui me permettait d’être aussi affirmatif, c’est que Juliette et moi nous sommes souvent masturbé l’un devant l’autre, quand nous étions plus jeune. cela a commencé alors que ma soeur avait quatorze ans, et était à la recherche d’une bite pour étoffer ses connaissances. A plusieurs reprises, elle m’a même branlé, tandis que je caressais sa vulve encore close.
Tandis que je sortais ma queue douloureusement comprimée de mon jean, suivi en cela par Florian, je m’installai confortablement pour profiter du spectacle.
Je craignis un instant que le film ne fut mensonger, comme certains qui mettent en avant une jolie jeune fille dès les premières images, qui ne revenait ensuite jamais à l’image, ou parfois pour un rôle soft. Rien de tel ici, et le film était bien construit autour du personnage de Fanny et de sa découverte du sexe. Bien que de scénario très classique, il était bien réalisé et excitant. Fanny faisait connaissance d’un groupe de jeunes gens, parmi lesquels une fille, au physique aussi juvénile qu’elle, avec qui elle ne tardait pas à partager une scène lesbienne très longue, au cours de laquelle les deux petites découvraient toutes les subtilités de l’amour entre femmes, pour finir par un 69 au cours duquel elles se léchaient le cul. Suivait le dépucelage de Fanny, et dans une autre scène, avec un autre garçon, sa première sodomie, tournée de nuit et en extérieur, sur le parking d’une boite de nuit. L’initiation de l’adolescente s’achevait sur la plage, au coucher du soleil, où elle s’offrait à ses deux premiers amants, accompagnés d’un troisième larron, qui après l’avoir copieusement prise en sandwich lui éjaculaient sur le visage. Le mot « fin » intervenait alors que Fanny adressait un clin d’oeil à la caméra, tandis qu’un flot de foutre s’échappait de la commissure de ses lèvres souriantes.
C’était de loin le film le plus excitant que j’avais jamais vu, par sa qualité même, mais surtout par la prestation de ma soeur,et il me vint une éjaculation incroyable, qui laissa mon ventre plus poisseux encore que le visage de l’actrice.
Ma première réaction fut d’imaginer diffuser ce chef d’oeuvre du septième art lors d’une soirée familiale. J’imaginais avec délectation la réaction de mes parents à la vue de leur petite chérie livrée à trois hommes et couverte de foutre ! Mais à la réflexion, une idée plus perverse encore me vint.
Quand j’ai évoqué nos câlineries adolescentes, je n’ai pas signalé que cette garce de Juliette m’a laissé tomber du jour au lendemain peu après ses quinze ans, après qu’elle se fut entichée d’un bellâtre de 20 ans, qui en profita pour lui ravir sa virginité. Je tenais désormais ma revanche…
– Tu sais, Juju, lui dis-je le soir suivant alors que je m’étais rendu dans sa chambre, sous prétexte de lui rendre un de ses CD, ce serait sympa que l’on recommence à se branler l’un devant l’autre, comme on faisait quand on était plus jeunes…
– Ça ne va pas , non ???
– Eh bien quoi ??? Puisque tu te fais baiser devant tous ces hommes que tu ne connais pas, par écran interposé, il serait normal que tu réserves une petite séance à ton frère !
– Tu as vu mon film ? Juliette avait imperceptiblement rougi.
J’acquiesçai d’un mouvement du menton.
– Et tu vas le montrer aux parents ? La jolie garce perdait peu à peu son assurance…
– Je ne sais pas encore, la fis-je languir.
– Tu veux me sauter alors ?
J’étais toujours admiratif de la vivacité intellectuelle de ma grande soeur.
– Ne précipite donc pas les choses ! Pour aujourd’hui, je pense que je vais me contenter te regarder te caresser.
Juliette comprit qu’elle était en mon pouvoir et avec un soupir de résignation, elle ôta son T-shirt, le seul vêtement qu’elle portait.
Quand elle ouvrit ses cuisses, je constatai que malgré les progrès des techniques de projection, rien n’égalait encore le spectacle live. Mieux encore je pouvais agir sur le déroulement des opérations. Tandis que je guidais le mouvement des doigts de Juliette sur sa moule, celle-ci me raconta comment elle en était venu à fréquenter le monde du porno.
Tout avait commencé alors qu’elle avait seize ans, quand un photographe professionnel l’avait abordé à la sortie du lycée pour faire des photos de charme. Le travail ne lui avait pas déplu, et lui permettait de s’acheter les fringues à la mode qu’elle portait, et dont l’abondance m’avait plus d’une fois surpris. Plusieurs des magazines où elle était apparue étaient en sa possession, dissimulée dans un tiroir de son bureau, qu’elle me proposé de feuilleter, tandis qu’elle poursuivait son petit show. Elle avait ensuite accepté des photos soft avec une autre fille, qui avaient eu un grand succès. Dès qu’elle avait atteint dix huit ans, plusieurs producteurs l’avaient contactée pour qu’elle passe au hard et après mûre réflexion, elle avait passé à l’acte avec « les vacances amoureuses de Fanny », qu’elle avait tourné l’été précédent, alors qu’elle était prétendument en vacances chez sa copine Sophie. J’avais sorti ma bite, et je me branlai moi aussi, en passant alternativement des photos de Juliette à l’original. Sur plusieurs revues, les plus récentes et les plus osées, ma soeur était agenouillée sur un lit ou un canapé et, les reins cambrés, offrait aux voyeurs le joli spectacle de sa chatte entrouverte.
Afin de comparer, je lui ordonnai de prendre la même pose, tout en poursuivant sa masturbation. Je remarquai que son anus était plus évasé que sur les photos, ce qui ne me surpris pas, au souvenir de la taille des queues des mecs qui la sodomisaient dans le film. Pour finir, alors que le foutre commençait à bouillonner dans mes couilles, je décidai de tester combien de doigts Juliette pouvait s’enfiler dans le cul. Obéissante, elle cambra plus encore ses reins, et me fixant de son regard coquin, elle s’encula langoureusement de son index, rejoint sans plus de difficulté par son majeur. Ressortant ses deux doigts, elle les joignit à son annulaire et reprit sa pénétration, qui se révéla plus laborieuse, mais finalement réussie. Elle n’eut pas le loisir d’aller plus loin, puisque j’éjaculai à cet instant précis.
– Tu ne vas donc pas me sauter, mon grand ? s’enquit Juliette, en fixant effrontément ma queue désormais flasque.
– Ne t’inquiètes pas, c’est prévu. Et après, je te promets que tu seras libre.
Mais il y a une condition : que mon copain Florian participe.
– Florian ? Tiens donc… Vous ne seriez pas un peu pédés, tous les deux ?
Je me récriai, mais ma soeur poursuivit :
– Il est bien connu que quand deux hommes veulent se partager une femme, c’est qu’ils ressentent l’un pour l’autre une attirance qu’ils n’osent pas s’avouer.
Enfin, on verra bien…
Je fixai au samedi soir suivant notre petite sauterie, et en informai Juliette, qui ne contesta pas, sachant très bien ce qui l’attendait en cas de refus. Florian, ravi de l’aubaine, se présenta bien avant l’heure prévue, mais ma soeur se fit désirer un long moment et finit par se présenter dans ma chambre, vêtue d’un vieux jean délavé et d’un simple T-shirt blanc, marquant bien par là qu’elle n’était pas là pour nos beaux yeux. Elle se montra d’ailleurs très passive, refusant de répondre de quelque manière que ce soit à nos pelotages avides. Cela n’était d’ailleurs pas pour nous déplaire, pour une fois que nous pouvions jouir à notre soûl d’un corps féminin, sans avoir à veiller au moindre de ses frémissements.
Tandis que je me consacrai à la croupe ferme de Juliette, à travers son jean, Florian lui caressait les seins. Elle ne portait de soutif, et ses tétons proéminents pointaient à travers l’étoffe de son T-shirt. Mon copain entreprit de les malmener du bout des doigts, et ils s’érigèrent encore davantage, premier signe que la garce n’était pas aussi indifférente qu’elle voulait le faire croire. J’en eus la confirmation lorsque j’eus débouclé la ceinture de son jean et abaissé celui-ci, et la culotte attenante, jusqu’aux genoux, puis glissé ma main entre ses cuisses.
Pour la première fois depuis des années, j’accédai au saint des saints de ma soeur, et en appréciai la douceur satinée et la chaleur. Comme ses seins, son clitoris était dur et elle mouillait, modérément il est vrai. Je n’avais guère d’espace, car son jean abaissé aux genoux m’empêchait de lui écarter davantage les jambes, et je me contentai d’aller et venir du tranchant de ma main le long de sa moule, déclenchant de la sorte une véritable inondation, aussi inattendue qu’encourageante pour la suite des opérations. Bien plus, Juliette étouffa des petits gémissements, sous le double effet des doigts de Florian sur ses nichons et des miens sur son con. Je fis signe à mon copain de me rejoindre entre ses cuisses et lui abandonnait bien volontiers la vulve de ma soeur, bien décidé que j’étais à partir à l’exploration du continent plus sauvage de son cul. Même s’il avait été labouré par bien des pines depuis les heures heureuses de notre adolescence, il était encore difficilement accessible, surtout par la position peu favorable de la fille, debout et dans l’impossibilité d’ouvrir les jambes. Mon index progressa néanmoins vers son but en se frayant un chemin entre les fesses rebondies, et atteignit finalement la petite corolle charnue. Juliette poussa un petit cri quand je la pénétrai, puis un deuxième quand Florian fit de même dans son vagin. La sensation de nos deux doigts côte à côte, séparés seulement par une fine paroi d’une douceur inouïe, nous fit éclater de rire et nous folâtrâmes longtemps dans les orifices jumeaux de la belle, de moins insensible à nos gamineries. Elle avait ainsi posé ses deux mains sur les bosses de nos pantalons, et pelotait sans vergogne nos bites douloureusement comprimées.
L’heure était venue de donner un peu d’air à tout ce petit monde, et tandis que Juliette ôtai son T-shirt, révélant ses deux seins haut placés et époustouflants de fermeté, nous la libérâmes de son jean. A son tour, elle déboutonna nos pantalons et ce fut alors un véritable ouragan qui s’abattit sur nos queues. Ses mains d’abord firent merveille pour nous soulager de la douloureuse entrave qui avait précédé et nous conduisirent à des érections monumentales, sur lesquelles se déchaîna ensuite sa langue. Elle nous avait fait mettre côte à côte et sans cesse, elle passait de l’une à l’autre, avec une vigueur qui faisait que de plus en plus souvent la bite de Florian et la mienne cognait l’une contre l’autre. Ma soeur remarqua notre gêne et avec jubilation elle s’efforça de prendre nos deux sexes ensemble dans sa bouche. La sensation du gland de Florian glissant contre le mien était délicieuse, d’autant plus qu’il était rendu plus satiné encore par la chaude salive de Juliette.
– Ooooh, arrête, salope, c’est trop bon !!! m’écriai-je alors.
– Je te l’avais bien dit que tu l’aimerais la queue de ton copain ! Je savais bien que vous étiez un peu PD, tous les deux.
– C’est faux, répliqua Florian, outré. Pour te l eprouver, on va te sauter, maintenant…
– Tous les deux ensemble, en sandwich ? interrogea ma soeur, qui en salivait d’avance. Je suis sûre que vous allez aimer sentir vos bites glisser l’une contre l’autre, c’est encore mieux que dans ma bouche…
Elle fit s’allonger Florian sur mon lit et avec assurance elle vint s’empaler sur sa queue.
– Allez, à toi, mon grand, me fit-elle, un grand sourire aux lèvres. Mais, comme elle me faisait face et que mon copain était déjà dans son con, je lui fit part de mon incompréhension.
– Quel est le problème ? demanda-t-elle en ouvrant plus encore les cuisses et en se ramonant sur la bite de Florian. Ma chatte est bien assez large pour vos deux queues, j’en ai vu bien d’autres ! Et ma copine Laure – tu sais, la fille avec qui je baise dans le film – m’a raconté qu’elle l’a fait plusieurs fois, et que les garçons adorent ça…
Tout en allant et venant sur la queue de Florian, Juliette balançait le plus possible son bassin en avant et je constatai qu’effectivement son vagin évasé n’était pas entièrement empli. Je m’approchai donc des deux amants et m’agenouillai, les jambes de part et d’autre de celles de mon copain. Juliette me prit alors en main, et après plusieurs tentatives, je finis par rejoindre Florian dans son con. Je sentais contre la face antérieure de ma pine la sienne, contre laquelle j’étais incroyablement pressé. Les premiers essais de va-et-vient furent des échecs car nous n’étions pas synchrones, et surtout parce que nous fûmes pris d’un fou-rire inextinguible. Mais grâce aux bons conseils de Juliette nous reprîmes notre sérieux etfinîmes par trouver le bon rythme et ce fut du délire : nous étions si étroitement imbriqués tous les trois que c’était comme si nous ne faisions plus qu’un ! On jouit aussi simultanément, et tandis que je vidais mes couilles dans le con de ma salope de soeur, je sentis la queue de Florian se mettre elle aussi à vibrer intensément et son foutre se mêler au mien.
Bien qu’elle ai visiblement apprécié elle aussi cette double pénétration vaginale, Juliette ne voulut pas renouveler l’expérience, du moins avec nous. Je renonçai de mon côté, par délicatesse, à la faire chanter davantage, bien qu’elle ait poursuivi sa carrière dans le porno, et tourné deux nouveaux films depuis. On en est donc réduit, Florian et moi, à reprendre nos masturbations en commun, en visionnant les vidéo de Juliette, ou d’autres. Nous avons eu chacun plusieurs copines, mais après quelques jours, on ne pouvait s’empêcherde leur proposer une partie à trois, et on s’est fait systématiquement plaquer. L’autre jour, en désespoir de cause, on a décidé tous les deux de recommencer à nous branler queue contre queue, comme nous l’avions fait dans la bouche et dans le con de ma soeur. On fut d’abord déçus, car en l’absence du lubrifiant adéquat nos bites dérapaient l’une contre l’autre, sans que l’on puisse trouver le bon rythme. Nous ne voulions pourtant pas nous avouer vaincus, et une seule solution s’offrait à nous : on s’installa sur le côté en 69, et on se suça mutuellement. C’est à ce prix que nous avons pu renouveler les délices que nous avait fait découvrir Juliette.
Malgré ses pronostics, nous ne sommes pourtant pas devenus pédés : nous sommes toujours autant à la recherche de jolis petits lots, à la croupe et aux nichons confortables, à nous mettre au bout de la queue. La semaine dernière, au cinéma, on a rencontré Sarah et Julia, deux jolies soeurs de seize et dix-sept ans. On les a sauté chacun de notre côté – Sarah, la benjamine blondinette, avec moi, et Julia, la brunette, avec Florian – et elles ont accepté une partie carrée. La soirée a toutes les chances d’être réussie, d’autant plus que les deux mignonnes sont aussi gouines. Et si le con de la jeune Sarah est trop étroit pour deux, mon petit doigt me dit que celui de sa grande soeur pourrait bien se révéler accueillant…
Ajouter un commentaire