Je me lève souvent très tôt pour surfer sur des sites coquins et écrire des histoires non moins coquines.
Un matin, alors que je suis dans mon bain, on sonne à ma porte et j’entends une voix crier :
« E.D.F., G.D.F., relevé des compteurs !! »
Agacée, je réponds sèchement :
« Je suis dans mon bain ! Je ne peux pas vous ouvrir ! Revenez plus tard ! »
Surprise, j’entends l’employé me répondre sur un ton coquin :
« Haaaa ? Vous êtes nue dans votre bain ? Je peux vous frotter le dos si vous voulez ? OK ! Je repasse tout à l’heure mais ne vous gênez pas pour moi restez à poil ! »
« Mais il est pas bien ce type. Encore un dragueur lourdingue ! » Me dis-je.
Je sors de la baignoire pour me sécher et la sonnette retentit à nouveau. Il commence à me taper sur les nerf ce con. Je m’enveloppe dans mon drap de bain et je vais ouvrir.
Le cochon, son regard me déshabille. Il affiche un petit sourire satisfait de me voir juste avec le drap de bain sur moi. Toujours dans la finesse, il me dit :
« J’viens relever les compteurs et je relèverais bien le votre par la même occase!bien roulé ma p’tite dame ! »
Sans m’en rendre compte, surprise par ce malotru, ma serviette c’est entrouverte, laissant tout le loisir à cet importun de mater largement mon décolleté.
Tout en notant différents chiffres sur un calepin, il ne me quitte pas des yeux et je commence à trouver ça amusant, même excitant. Son travail finit, en se tournant vers moi je remarque une bosse significative qui déforme son pantalon. Le salop il bande pour moi. Là, je ne sais pas ce qui me prend mais en le regardant dans les yeux, je pose ma main sur son sexe et le masturbe par dessus son pantalon. Il m’arrache alors mon peignoir et je me retrouve nue devant cet inconnu.
Il se recule et détaille mon corps avec des yeux avides. Il a rapidement sortit sa bite et en me retournant prestement, il me pénètre sans difficulté tant ma chatte est déjà trempée. D’une poussée vigoureuse, il entre à fond et se met à bourrer en me tenant les hanches avec ses ses mains rugueuses. La saillie ne dure pas longtemps et il jouit dans mon vagin trop vite à mon goût.
Son orgasme passé, il reste en moi et je sens sa verge, qui lentement se retire de mon conduit vaginal. Ce coït express et frustrant pour moi, au lieu de me calmer déclenche une envie violente de jouir et de profiter de cette queue. Je m’agenouille et gobe ses testicules. Puis, je remonte le long de la hampe avec d’habile coups de langue. Je lèche sa queue molle couverte de nos sécrétions. L’homme gémit, appuyé contre le mur. Je le suce pour essayer de le faire rebander.
En pleine fellation, alors que je commence à obtenir une raideur intéressante, on sonna de nouveau. L’employé me dit :
« Continue de me sucer salope ! Pas de panique, c’est mon collègue. Je lui ai dis de me retrouver ici. »
J’arrête ma fellation,très contrariée. Mais l’homme me maintient la tête pour que je continue.
« Entre Albert ! La salope est entrain de me sucer ! Tu va pouvoir t’en servir aussi ! »
A son expression j’ai tout de suite compris qu’il avait l’intention de prendre sa part du gâteau. Il vient derrière moi et plonge sa queue dans mon vagin déjà bien graissé par son pote. Prise en sandwich je continue de sucer le plus vieux qui bande bien à nouveau. Il me baise bien mais tout à coup, il change de trou et me prénétre durement l’anus. Je ne peux crier car ma bouche est pleine.
Rapidement j’explose dans un orgasme profond et les deux homme me suivent m’inondant de sperme.Ils se retirent et repartent en me remerciant et en me disant à la prochaine. Quand je regagne enfin la salle de bain pour une toilette méritée, je peux dire que je suis couverte de la tête aux pieds du sperme des deux hommes.
Je suis repue autant qu’une femme peut l’être. Cette séance a duré à peine une demi-heure.
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