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Ma nouvelle vie de célibataire…..

Ma nouvelle vie de célibataire…..



Nous sommes début septembre, il fait lourd, depuis 15 jours, une chaleur intense, 35° minimum la journée, 26° la nuit, l’air est irrespirable, et chaque mouvement transforme les vêtements en éponge.
Je tape le digicode de ma nouvelle résidence, pousse la porte, j’entre….
Il y a trois mois, mon amie m’annonce qu’elle me quitte, bien sur , je n’ai rien vu venir, et comme j’habitais chez elle, je n’ai eu comme seule solution que le retour chez mes parents dans cette belle ville qu’est Albi. J’en ai profité pour changer également d’agence immobilière, je travaille pour un grand réseau maintenant. J’ai décidé également pour éviter de nouvelles mésaventures de m’acheter un appartement, et grâce à mon travail, j’ai pu trouvé un bel et grand appartement ,100m², 2ch, avec cuisine équipée et grande salle de bain, climatisé, dans une résidence récente avec piscine et garage. Les derniers occupants, des locataires, sont partis en laissant l’appartement hyper crade…
Donc j’entre dans le hall, et pousse une partie de mon canapé, tout juste acheté, et oui je déménage seul. J’habite au deuxième et dernier étage, donc pas d’ascenseur. Heureusement il n’est pas trop lourd mais assez encombrant car assemblé c’est un canapé d’angle.
Arrivé au premier palier, je prends une pose, je suis en nage. La porte d’entrée s’ouvre, j’entends des pas venir dans ma direction, assez vite je dois dire. « bonjour » une voix d’homme sort de derrière le canapé,  » vous allez où??un coup de main peut être? »  » bonjour, j’emménage au 2ème étage, mais c’est bon je vais y arriver seul, merci quand même c’est gentil »
« allez laisser moi vous aidez je vais également au 2ème », je n’insiste pas plus vu la chaleur et nous montons tous les deux, rentrons le canapé dans l’appartement.
« thierry enchanté!! » me dit il en me tendant la main « Anthony, c’est vraiment gentil votre aide », « a charge de revanche » « pas de soucis avec plaisir », sur ce il m’invite à côté boire un coup, chose que je ne refuse devant sa gentillesse et surtout, je n’ai rien à boire et mon frigo n’est pas encore branché.
J’entre dans l’appartement à la suite de mon hôte, il fait chaud également, je ferme la porte, je m’avance et j’entends « Coucou mon bébé c’est moi ». Je m’approche de Thierry et je vois une silhouette, sortir de derrière le comptoir de la cuisine qui est ouverte sur le séjour. Elle s’avance de Thierry et le prend par le cou et lui embrasse les joues. Thierry se tourne vers moi « Anthony, je te présente Cindy, ma petite sœur » je m’avance vers elle et lui fait la bise, elle ne fait que bouger la tête, rien de plus. Elle porte juste un débardeur en coton gris et un shorty assorti, des auréoles de sueurs se trouvent sous aisselles et quand elle se tourne vers moi sous ses seins. Je dois dire qu’elle a une poitrine opulente par rapport à sa taille assez fine. Elle nous sert à boire. « toujours en plein ménage je vois, tu en as pas marre un peu, il est propre ton appartement quand même, tu ne vas pas passer ta vie à le briquer tous les jours « . Pour seule réponse, elle baisse la tête et regarde ses pieds; « et va enfiler autre chose, tu ne vas pas rester dans cette tenue et toute transpirante devant un invité quand même. » Elle se retourne, ce qui me permet de mater son fessier, et disparait. Thierry s’excuse de son comportement et m’explique qu’elle ne parle plus qu’à lui et à sa cousine depuis la mort de leurs parents. Elle travaille en tant qu’infirmière mais elle n’a pas d’amis par rapport à son comportement et ses collègues de boulots sont assez moqueurs. Elle revient habillée d’un jogging, la pauvre elle doit avoir très chaud dessous. « au fait Cindy, Anthony est ton nouveau voisin, j’espère que cela se passera bien avec lui parce que les autres ils n’arrêtaient pas de t’embêter et faire du bruit », elle secoue la tête de droite à gauche, toujours les yeux regardant le sol. Je me lève en disant que je prends congés car j’ai du boulot qui m’ attend encore entre le ménage, le montage des derniers meubles et un peu de repos car demain dimanche je ne suis pas là et lundi je reprends le boulot. Thierry me retiens pour rester, regarde sa sœur et lui dit  » Cindy, lundi vu que tu ne travaille pas tu iras chez Anthony, faire le ménage, vu que tu aimes faire briller les choses » toujours la même réaction, hochement de tête de droite à gauche. Il est prévu que je lui laisse la clé chez elle, lundi matin en partant au taf. Je remercie Thierry et Cindy de cette aide si précieuse et nous passons la soirée ensemble à faire connaissance……
Lundi matin, neuf heures, je frappe à la porte de chez Cindy, après une attente de deux minutes, j’entends des clés s’introduire dans la serrure, déverrouillées le barillet, doucement la porte s’entrouvre. Je dis bonjour à Cindy qui ne répond toujours pas et lui tends le double des clés de chez moi. Elle les att**** tout en évitant d’avoir un contact avec moi. Je la remercie, me tourne et descends les escaliers 4 à 4 car je suis déjà à la bourre pour mon premier rdv.
16H00 de retour chez moi après une journée assez intense nerveusement même si je n’ai eu que deux rendez vous. J’ai quand même pris deux dossiers à terminer chez moi. J’ouvre la porte, enlève mes chaussures, les range dans le placard de l’entrée, pose ma serviette, mon ordi portable, effectue deux pas et là stupeur: le canapé d’angle monté, placé, la TV également sur son meuble, ma table basse également, l’appartement sent bon, les fenêtres sont propres, par contre il faut toujours chaud. Je m’avance vers le canapé et je vois Cindy entrain de nettoyer le sol, de récurer je devrais dire car elle frotte fort sur le carrelage. Avec cette chaleur, elle ne porte le même ensemble que samedi mais cette fois ci il est rose clair. Apparemment elle ne m’a pas entendu rentrer, je la regarde faire: il faut dire que la vue que j’ai ne m’incite pas à faire du bruit; elle est donc à genoux, un bras tendu, l’autre qui récure donc, une fesse à l’air, car une partie de son shorty lui rentre dans la raie, ses seins, libre sous son débardeur, bougent pleinement, au fur et à mesure des mouvements de ses bras, je peux en apercevoir la forme et la blancheur. Son débardeur est plus sombre au niveau de son dos à cause de la transpiration, idem pour son shorty. Elle relève son buste, j’essuie le front avec son avant bras gauche, sa poitrine se remet en place, ses seins sembles lourds et biens faits. Je la regarde toujours, les bras croisés. Elle se passe la main dans les cheveux, sur la gorge, elle se lève et se dirige vars la cuisine. Je peux admirer son derrière lui aussi bien proportionné toujours avec une fesse nue. Elle se dirige vers le robinet, fait couler de l’eau et se penche pour y boire. Elle se met sur la pointe des pieds, tire en même temps sur son shorty pour le bien le repositionner. Elle se retourne vers moi, et à un geste de recul qui la fait buter contre l’évier. Son visage devient écarlate. Je remarque des gouttes d’eau qui perle le long de son menton, ses cheveux collés, son débardeur lui colle au corps, et son shorty lui moule bien son sexe et sépare bien les lèvres. Elle ne bouge pas. Je lui souris, elle ne répond pas. Je lui dit bonjour, toujours rien. Mais cette fois, elle ne regarde plus ses pieds ou le sol. Ayant toujours chaud, et envie de m’amuser un peu, j’enclenche la clim à 16° et ventilation au maximum, une bouche d’aération de la clim se trouve juste au dessus de l’évier. Les cheveux de Cindy commencent à bouger avec le souffle, je peux voir ses poils qui s’hérissent, puis ses tétons qui se gonflent, au point de ressortir sous le débardeur.
Toujours sans un mot, je m’assois sur le canapé. Vu qu’elle ne bouge toujours pas, je lui dit qu’elle peut reprendre son travail sans faire attention à moi. Elle reprend sa tache ménagère, sous mon regard mi amusé mi envieux.
Je me lève brusquement ce qui a pour fait de faire reculer Cindy, je me dirige vers ma chambre. Je prends une douche froide (j’ai une salle d’eau dans ma chambre) enfile un caleçon léger et un tshirt tout aussi léger.
Je reviens au salon, maintenant Cindy passe la serpillère, maintenant c’est plutôt son derrière qui bouge en fonction des mouvements de son bassin. Je me rassois, pose mes pieds sur la table basse, les jambes écartées, je sens ma bite et mes couilles ressortir d’un côté. Elle se dirige vers moi, passe la serpillère sous mes jambes, je la vois donner des coup d’œil de temps en temps entre mes jambes. Je dois dire que cela m’excite car elle mate en essayant de faire semblant de regarder ailleurs et moi le fait de la voir presque nue devant moi, il faut dire qu’elle a un corps magnifique, je sens une chaleur monter en moi malgré la température toujours très fraiche dans l’appartement. Elle tourne toujours autour de la table, en faisant toujours son manège. « Reviens ici, le sol est toujours sale » je lui demande d’un ton assez autoritaire. Elle s’arrête d’un coup, se retourne, revient vers moi la tête basse. Elle frotte avec la serpillère. « tu devrais gratter avec une brosse comme tout à l’heure »; elle se lève, va chercher une brosse, revient et récure. Au bout d’un moment, elle s’arrête, le souffle court, en nage. « Continue c’est toujours aussi sale », « mais….euh… » « Ton frère a dit faire briller, alors brosse encore et encore », Elle se remet à genoux, viens assez prêt de moi, elle continue son manège a donné des coups d’œil entre mes cuisses. Mon sexe se gorge de plaisir, elle le remarque, son visage s’empourpre de nouveau, elle brosse le sol mais ses yeux sur mon sexe. Je me lève, mon caleçon déformer par mon sexe, fait semblant de remettre tout en place et me rassoit. Elle n’a pas loupé une miette. Moi j’ai une vu plongeante sur son décolleté ce qui ne fait qu’augmenter mon désir. « Allez je crois que c’est bon, je ne vois plus la tâche. » elle se lève et se dirige vers la salle de bains. « où vas tu? », pas de réponse « où vas tu? » « Euh…je… euh.. vais.. nettoyer… euhh.. la salle eeuuuh.. de bain » « Reviens ici, le nettoyage de la salle de bains attendra », elle vient se poser devant moi, je la regarde, la mate, je vois sa poitrine se soulever rapidement, elle se tord les mains dans tous les seins, le regard vers le sol ou sur mon sexe devenu tout dur et formant fièrement une bosse à mon caleçon. Je lui att**** le bras gauche, la tire vers moi, en trébuchant sa poitrine vient heurter mon visage, je reste un instant la tête enfouie dans ses formes généreuses, chaleureuses, et moelleuses. Je la pousse de côté, et s’affale contre le canapé, le dos tourné vers moi, son ventre sur mes cuisses. Elle tremble, tous ses muscles sont tendus. Je la fait patienter en admirant son corps, suivant du regard ses courbes, puis mes yeux restent aimantés à son derrière. Je pose un doigt sur son mollet et le fait remonter sous ses fesses, remonte sur sa courbure pour arriver au creux de ses reins. J’effectue le sens inverse. La chair de poule se propage le long de ses jambes. Elle possède une peau laiteuse, très douce. Je pose ma main en intégralité cette fois sur son mollet, redescends sur son pied, réemprunte le même chemin mais en m’attardant cette fois sur ses fesses. Elle aussi sont douces et fermes à la fois. Le tissus est toujours humide au niveau de la raie. Je remonte le long de son dos, je sens son corps se contracter encore plus fort. Je lui masse les épaules tendrement, je ressens un relâchement de sa part. Je continue ce masse, jusqu’à que je la sente totalement relâchée. Mes mains s’activent maintenant sur son dos, mes doigts les long de sa colonne vertébrale, j’entends de légers gémissement sortir des coussins du canapé, je la masse avec douceur et tendresse. Je guide mes mains vers ses jambes, elle tressaillit de nouveau et arrive à se détendre plus vite. Je continue toujours aussi doucement mais maintenant je lui masse les pieds. Une main affairée à son pied, l’offre je la balade de haut en bas, en évitant soigneusement de bien contourner ses formes. Sous l’effet des caresses mon sexe est tendu, coincé sous son ventre, je le contracte plus de temps en temps pour qu’elle sente mon excitation. Ayant finit avec ses pieds, je lui souffle dans le creux des reins, sur ses fesses, et ses jambes, ses gémissements reprennent. Enfin totalement détendue, je peux apercevoir les formes de son sexe au travers le baillement de son shorty. Mon sexe reprend de la vigueur, mon envie d’elle également. Elle bouge légèrement le ventre, je ne sais pas si c’est la position qui l’incommode ou parce qu’elle aime sentir se sexe durci contre sa peau. Ne pouvant plus résister, j’att**** à pleines mains ses fesses. Cela provoque chez elle un léger soulèvement de son buste tout en restant la tête enfoncée dans les coussins du canapé. Je lui malaxe les fesses, vigoureusement ou en douceur, alternant suivant les râles sortant de sa bouche, je les écarte, tire son shorty au maximum pour bien qu’il rentre dans sa raie et jouer ainsi avec son petit orifice. Je glisse une main entre le tringle formé par ses cuisses et ses fesses, je sens une chaleur sortir de son sexe, elle pousse un cri plus fort, un cri de surprise. Le tissus est trempé, imbibé, mais pas que de transpiration, je sens son jus légèrement gluant. Je glisse mes doigts entre le tissu et vient effleurer ses grandes lèvres. Nouveau cri. Fou d’excitation je déchire son shorty, et se retrouve donc cul nu et à l’air, fesses faces à moi. Je replace une main entre ses cuisses lui soutirant au passage d’autres râles, l’autre sur ses fesses. Après avoir bien caressé sa fente, et senti se mouille imprégner mes doigts, j’en insère deux en elle. Elle mord le premier coussin à porter de main pour éviter de crier fort « huumm tu aimes ca on dirait ». Je les fais coulisser en elle, en sentant qu’elle contracte l’intérieur de sa chatte chaque fois que j’essaie d’aller plus loin en elle. Je lui claque une fesse d’un coup inattendu « laisse moi faire et prends ton plaisir ». Je coulisse mes doigts toujours en elle, les écartant de temps en temps pour comment se comporte la salope. Elle doit aimer ça car elle gémit de plus en plus. J’accélère le mouvement, et ressort mes doigts le plus loin possible pour mieux les rentrer. De la même main, je glisse le pouce dans sa raie pour venir taquine son œillet; elle serre ses fesses ce qui lui vaut une série de 5 fessées qui donnent un contrastent saisissant entre la blancheur d’une fesse et la rougeur de celle châtiée. Je lui tire les cheveux en arrière son visage écarlate sort des coussins, des larmes coulent sur ses joues « tu vois ce qui arrive quand tu ne te laisses pas faire petite allumeuse », je lis la peur dans ses yeux, sa respiration est saccadée, elle ne peut s’empêcher de trembler. Je reprends la caresse de son anus, malheureusement pour elle recommence à serrer ses fesses empêchant toutes caresses; une autre série de fessées mais beaucoup plus fortes s’abat sur la même fesse qui passe au cramoisie. Elle n’ose me regarder, juste du coin des yeux, assez j’espère pour voir mon sourire lubrique. J’envoie une autre salve de fessées par surprise, une autre. Je passe mon pousse entre ses fesses, et viens lui titiller l’anus. Cette fois elle se laisse faire. Je vais coulisser mon pouce entre sa raie et mon index et mon majeur dans sa grotte. Elle tortille du bassin à chaque coup. Je me fais de plus en plus instant au niveau de son orifice rectal, je lui écarte une fesse de ma main libre, son anus est bien nervuré, je passe la bulbe de mon pouce dessus, je joue avec. Cindy porte une main à sa bouche pour retenir ses gémissements. « N’aies pas honte, c’est normal de prendre du plaisir par le cul ». Je lui maintiens toujours la fesse écartée, positionne ma tête au dessus de son orifice, et laisse couler de la salive qui vient se répandre contre. Toujours de mon pouce, je lubrifie son anus, apparemment toujours vierge, je recommence l’opération mais en lui crachant dessus maintenant. Je continue à lui chatouiller son trou, mes autres doigts toujours dans sa chatte dégoulinante, tellement dégoulinante que je peux entendre les bruits de succion de sa chatte avalent mes doigts. Je redirige mon pouce vers sa raie pour continuer à jouer avec son anus. Maintenant j’utilise l’ongle, son anus finit par pulser ce qui me permet de temps en temps de placer juste mon ongle en lui. La première fois elle n’a pu retenir un cri en douleur et plaisir. Après avoir encore une fois lubrifier son trou de salive, j’enfonce mon pouce jusqu’à la garde. Je le fait bouger dans son fion, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je suis drôlement excité, je n’arrive plus à m’arrêter. Déchainé, je continue de jouer avec ses trous, Cindy ne retient plus ses cris transformés en plaisir maintenant. Mes doigts, toujours enfoncés dans sa chatte sentent de plus en plus souvent de contraction, alors je la force à s’ouvrir en les écartant, Cindy bas l’air de ses pieds, j’en profite pour sortir mon pouce de son cul, qui est tout ouvert, et y introduire le majeur de mon autre main et l’enfonçait de toute sa longueur. Arrivé au bout, elle se raidit, se met à genoux, et son corps est transpercé de spasmes de jouissance. Ses seins ballotent dans tous les sens, son jus dégouline sur mes doigts, sur le canapé, de sa bouche sortent des rires, des râles des gémissements. Après le temps de la jouissance, et retombe sur mes cuisses, son corps tremble légèrement encore. Je glisse mes doigts hors de son sexe, elle frémit. Je fais de même avec mon majeur toujours dans son cul, elle gémit toujours. Je dépose un baiser sur son épaule, juste pour voir une dernière larme coulée sur sa joue et ses yeux se fermer pour une sieste. Sorti du canapé, je porte mes doigts imprégnés de cyprine à ma bouche. Je me délecte de son jus. Je retourne à ma chambre prendre une douche….
Voilà le début de ma nouvelle vie de célibataire…..

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