-Imagine, la jolie grand mère chic attend à 4 pattes que tu la prennes, et moi je te suce comme une salope pour que tu sois encore plus raide en elle…Ou alors on te suce toutes les deux? La langue de Solange contre la mienne…depuis le temps que je me touche en pensant à elle, à toutes les fois où ton sperme s’est lancé dans sa chatte, au milieu des meubles de style, des lourdes d****ries, ta queue qui jouit sauvagement dans la maîtresse de maison aux cheveux gris…Ah! Faire couler une vulve avec ma langue, j’adore!
-Marlène, ma chérie, ma pute rousse adorée…Calme-toi. C’est tellement irréaliste…j’aime mieux te raconter ce qui est vraiment arrivé…
-J’aime quand c’est cochon…quand on bouleverse les codes…tu ne crois pas qu’il y a bien des hommes qui rêveraient de pénétrer leur belle-mère?
-si, justement, j’en connais un. Il fait l’amour à Sandra, sa femme, et lorsqu’il bande en elle, il ressent des frissons supplémentaires en pensant à Agnès, sa belle-mère, qui dort, et dont la chatte délaissée, le corps chaste reposent juste derrière la paroi. Alors, il retourne sa femme, il lui donne des fessées sur son gros cul. Sandra doit bien pousser quelques petits cris. L’homme caresse alors l’espoir que la sérieuse et douce Agnès se réveille, qu’elle quitte son air raisonnable, et commence à se caresser, en écoutant les ébats de sa fille. Lorsqu’il bande dans le vagin de Sandra, il se dit que celui d’Agnès ne reçoit qu’un doigt, ce qui est dommage. La même érection qui donne du plaisir à Sandra pourrait faire de même jouir le vagin d’Agnès, qui en aurait tant besoin, ce dont elle n’a pas forcément conscience.
Jusqu’ici, le récit est absolument, rigoureusement authentique. Mais je ne peux m’exciter qu’en imaginant les circonstances concrètes, réalistes qui pourraient le faire basculer vers une véritable partouze avec la mère et la fille dans le même lit.
-Oui, cela se laisse écrire, on peut en rêver, mais de là à le réaliser… Remarque, ce n’est pas irréalisable. La condition première, c’est que Sandra, la fille, accepte intérieurement de dépasser sa morale, et de se comporter en véritable salope. Sandra l’épouse doit devenir Sandra la voyeuse, la salope, qui veut du nouveau pour couler et jouir comme jamais. Il faut que son mari la fasse sortir de ses gonds. Qu’il la peine royalement, la lèche pendant qu’elle se confie. Par exemple, qu’elle rêve de sucer un petit jeune, que les amis de son fils lui donnent des idées vicieuses. QU’elle aimerait bouffer des queues à la file dans une boîte échangiste. Après avoir avoué l’inavouable, son mari serait à l’aise pour lui dire que lui aussi voudrait…voudrait…mais non, il ne le dira pas tout de suite. Sa femme devra lui tirer les vers du nez. – « J’aimerais faire l’amour à ta mère, devant toi. » Ou plus prudemment: « J’aimerais que ta mère nous voie, maintenant, je te prendrais comme jamais, je voudrais jouir en toi pendant qu’Agnès se branle sur la chaise, là, dans la pénombre. «
Sandra écouterait cette confidence, choquée mais en jouissant du doigt qui la fouille. Un soir, alors que tout le monde aurait bu plus que de coutume, une heureuse circonstance se présenterait. Au moment des plus forts ébats conjugaux, on entendrait un léger bruit dans la chambre voisine. Sandra se lèverait, sous l’impulsion d’une inspiration soudaine. Elle entendrait le léger grincement du sommier, ou le bruit imperceptible d’une respiration: Agnès qui se branle. Incrédule, le mari reste assis dans le lit, pendant qu’une conversation s’amorce dans la pièce à côté entre la mère et la fille. Finalement, Sandra revient dans la chambre, entraînant sa mère par la main, qui sourit d’un air faussement contrarié, du genre « mais qu’est-ce qui te prend ».
-Viens maman, dit Sandra. Cela nous fera du bien, depuis le temps qu’on y pense. on ne voit presque rien dans cette pénombre, assieds-toi.
Sandra revient vers le lit. A genoux au pied du lit, elle prend le membre de son mari dans sa bouche et suce lentement.
Excitée, Agnès marmonne quelque chose, proteste. – Maman, tu as promis…
L’homme fou d’excitation grimpe sur sa femme et la baise maintenant vigoureusement. On devine dans l’obscurité qu’Agnès a commencé de se palper la vulve. Sandra supplie sa mère de s’asseoir au bord du lit. l’homme caresse les seins de sa belle-mère, dans un état second. Sandra veut soulever la chemise de nuit de sa mère. Elle proteste, il faut insister. Au point où en sont les choses, elles se laisse basculer sur le lit. L’homme se précipite sur Agnès, embrasse son ventre. Agnès n’a pas de culotte. Il en profite, et se jette comme un noyé sur la touffe de la dame. Maintenant, tout se précipite. Il broute la vulve d’Agnès, sa bouche est collée sur sa touffe. Sandra le branle. La dame ondule du bassin, mais rejette encore l’idée de sa faire bouffer la chatte devant sa fille. Un coup de langue vigoureux de son gendre dans le vagin la fait chavirer, c’est trop bon de se faire soudain piner par une langue. Ce n’est plus qu’un jeu d’enfant maintenant pour l’homme enivré de positionner sa queue à l’entrée de la chatte de la dame. En trois coups de reins, il est au fond de la chatte d’Agnès. ça y est, c’est fait, c’est chaud, c’est bon, il baise sa belle-mère. Sandra s’approche, lui fourre la langue dans la bouche. Il va jouir rapidement, impossible de se retenir. La prochaine fois, il pourra prendre son temps. Les deux femmes à quatre pattes tendront leurs culs vers lui. Alternativement, il jouira de la douceur vaginale de l’une et de l’autre, constatant des similitudes, et des différences. La chatte d’Agnès étonnamment serrée, presque passive dans sa forme accueillante et ferme, celle de Sandra plus humide, plus souple, plus mobile. Il aura grand embarras à choisir dans laquelle il déversera sa semence. Allons, c’est encore nouveau, la giclée sera pour Agnès. Une prochaine fois, il privilégiera Sandra, et Agnès se contentera de toucher les parties génitales du couple, ou même de stimuler son gendre avec sa langue.
-Oui, dis-je à Marlène après sa longue tirade. Vu comme ça, c’est tout à fait vraisemblable. Et puisque tu es si maligne, fais venir ta soeur un de ces jours, pour que vous me suciez toutes les deux. Elle ne semble pas très érotique, elle a même l’air assez coincée, mais j’enverrais volontiers quelques jets de sperme dans ses fesses pendant que tu m’embrasses.
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