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Nathalie Acte2

Nathalie Acte2



Des jours et des jours sont passés. Je suis toujours en contact avec Jean. Trois jours après notre première rencontre, il m’a dit que je n’étais pas obligée de garder les boules de geisha tous les jours car il avait peur d’une allergie. En fait, tout allait, bien, mais je ne les mettais pas tous les jours car j’étais trop excitée, plus en pensant à Jean que par le mouvement des boules dans mon intimité.
Un matin au début du printemps, j’ai reçu une lettre. A l’intérieur, des billets de train et un petit mot : Tu es invitée ce week-end chez nous. Je te prendrais à la gare… Signé : Jean.
Évidemment, je l’interpelle sur internet : réponse laconique qui me fait instantanément mouiller : Obéi !
Vers 15 heures, je descends du train. Comme à sa demande, je suis venue sans aucune affaire.
Je suis nue sous ma robe au milieu de nulle-part….
Jean apparait sur le quai. Il m’accueille à bras ouverts, mais pas comme on accueille une …. Je ne sais quoi.
Il nous reste à peu près une demi-heure de route. Et chemin faisant, il me raconte : Cadre supérieur, à la retraite plus ou moins forcée depuis 2 ans. Divorcé, il a trouvé une âme sœur avec qui il vit depuis quelques années. Son départ forcé a été assorti d’une prime plus que confortable qui lui a permis d’acquérir une ancienne ferme.
On arrive enfin à destination. C’est une ferme comme on n’en voit plus trop : La cours ou nous sommes est immense et cerclée de murs. La bâtisse en elle-même est en L avec une tour dans l’angle.
« Je te ferai visiter plus tard, maintenant, suis-moi ! »
Il m’entraine vers une entrée qui n’a pas l’air d’être l’entrée principale. Il pousse la porte. Nous sommes dans un joli studio.
« Les précédents propriétaires voulaient faire des chambres d’hôte mais ça n’a jamais marché. Change-toi vite, je reviens te chercher. »
« Me changer, mais je n’ai… »

« Ouvre l’armoire ! »
Il disparait.
J’ouvre doucement l’armoire, comme si j’avais peur d’un monstre caché dans le placard.
Non. Sur un cintre, une robe, une robe impossible à porter en public ! très courte, sans manches et avec une échancrure qui doit bien aller jusqu’au nombril ! Une tenue de putain. Autour du cintre, un collier rouge. Un collier de chien. Joli collier, mais un collier de chien quand même ! J’enlève prestement ma robe et enfile la tenue de pute.
Je prends le collier, j’hésite puis… Il a une plaque : « Nathalie ». Je le passe et le fixe autour de mon coup, une chaleur intense envahi mon bas ventre. Peut-on avoir un orgasme juste en faisant ça ? Je connais la réponse.
Jean entre sans ménagement.
Tu es magnifique ! suis-moi.
On arrive devant ce qui semble être l’entrée principale (il me dira plus tard qu’on appelle ça le corps de ferme). Il a un comportement étrange : il me plaque à côté de la porte puis l’ouvre délicatement. Il jette un œil à l’intérieur, prend ma main et m’entraine en disant « chuut ». On traverse rapidement un salon et il me confine dans une cuisine.
« Ne fait pas de bruit, je viendrai te chercher. »
Il repart vers le salon avec un plateau et deux assiettes, revient pour prendre deux coupes et une bouteille de champagne. A chaque passage : « chuuut »
« Aline ! Tu peux venir ? »
Une voie féminine lui répond : je viens…
Des pas dans un escalier. Jean entonne un joyeux anniversaireeee……
« Tu y as pensé ! tu es un amour ! mon gâteau préféré et du champagne ! »
« Et ce n’est pas tout ! »
Ma porte s’ouvre. Jean s’approche de moi. Il sort d’un tiroir une laisse et la fixe à mon collier. Sans un mot, il me tire doucement.
« Aline, voici ton cadeau. »
Il lui tend la laisse qu’elle att**** avec un visage irradiant de bonheur.
Quand Aline me regarde dans les yeux, je ressens la même terreur que quand, gamine, un lion du zoo de Vincennes m’avait fixé.
Elle me tourne autour, me tâte, me flatte la croupe passe derrière moi et un geste rapide descend la fermeture éclair de la robe qui tombe à mes pieds.
« Jolie mamelles. Elle doit être parfaite à quatre pattes ! »
Jean me regarde, je comprends et me mets docilement à quatre pattes.
« C’est bien, tu es une gentille petite chienne… »
Elle attache la laisse à sa chaise puis disparait par une porte latérale. Elle réapparait tout de suite, un petit paquet à la main et se place derrière moi.
« Jean, aide-moi ! »
Jean m’enjambe, puis une main sur chaque fesse, il écarte pour que mon anus soit bien en vue.
« Elle a un joli petit trou bien serré. »
Je sens un doigt se glisser dans mon intimité. Je comprends alors qu’Aline lubrifie mon anus. Quelque chose de plus gros se présente, me dilate un peu, puis entre en moi aspiré par mon cul. Un plug anal.
« Ça lui va très bien, tu ne trouves pas chéri ? »
« Oui très. »
J’essaye de tourner la tête, mais je n’arrive rien à voir. Je penche la tête et j’aperçois une fourrure qui traine par terre. J’ai une queue !
Puis elle s’assoie. Jean fait de même.
« Elle a une jolie paire de mamelles qui pendouille à souhait. J’adore ! »
Aline me touche la tête, comme à un chien, et trafique mon collier.
« Nathalie. C’est mignon. Elle est dressée ? »
« Pas encore, mais si tu t’en occupes… »
« Nathalie, occupe-toi de ma chatte. »
Sa main ferme sur collier me conduit entre ses jambes. Elle est nue sous sa robe. Je n’ai jamais fait ça à une femme, mais je sais comment je veux qu’on me le fasse alors je m’applique. Souvent, après m’être donné du plaisir, j’ai senti et gouté mes doigts. Le gout d’Aline et son odeur sont différent. J’ai peine à réaliser ce que je suis en train de faire, mais ce qui est sûr, c’est que j’y prend un immense plaisir.
Mon collier me tire en arrière.
« C’est très bien tu mérites une récompense. Elle me tend un bout de gâteau entre deux doigts. »
Il est délicieux.
« Viens t’assoir avec nous, pour ce premier jour, tu ne vas pas boire du champagne dans une gamelle ! »
Je me lève et m’assoie, un peu gênée par ma queue. Jean m’apporte une assiette et une coupe. Ça fait drôle de se retrouver la seule personne nue autour de la table…. Aline me dévore des yeux. Elle a l’air avide de moi et ça m’excite. Au bout de cinq minutes, elle se lève brusquement. Et d’un ton autoritaire :
« Il est temps de passer aux choses sérieuses ! Je vais me préparer, je vous attends dans dix minutes. Occupe-toi d’elle…. Et de toi ! »
La laisse passe dans la main de Jean.
« Aline ? Tu nous attends où ? »
Aline nous regarde. Elle nous toise de haut en bas. Elle hésite.
« En bas ! »
Elle disparait dans la pièce où elle était allée cherchez ma nouvelle queue.
On sort dans la cour. Je le suis docilement jusqu’à mon petit studio. Il décroche ma laisse.
« Attends-moi. »
Quand il revient, il a une combinaison noire brillante qui lui couvre tout le corps jusqu’au raz du coup. Il me semble qu’il y a un triangle amovible au niveau de son sexe. Il me tend un vêtement. C’est aussi une combinaison noire en brillante. Il doit m’aider car je ne comprends pas trop comment elle est faite. Le bas est comme un collant porte jarretelles. Il est suivi d’un haut à manche longue fermé par un zip dans le dos. Deux trous laissent sortir mes seins qui pendouillent. Ils sont un peu serrés à la base et c’est excitant… Il enlève mon collier et me passe une cagoule qui se ferme aussi avez un zip derrière. Elle a deux trous pour les yeux et un pour la bouche. Il remet mon collier, la laisse. Il ouvre l’armoire. Il y une grande glace au dos de la porte.
« Regarde-toi ! »
Je regarde. La cagoule est blanche avec les trous cerclés de rouge. Mes seins roses pendent de manière obscène sur mon corps noir. Dessous, mon sexe est bien dégagé, comme mon cul d’ailleurs. Je ne suis plus Nathalie, je suis une bouche, une chatte et un cul. Je suis un objet à trois trous. Bizarrement, cette pensée me fait mouiller. Jean me tire par la laisse et nous rentrons dans la maison en passant par la cour. Jean pousse une porte. On se retrouve dans une grande pièce ronde, ce doit- être la tour. Contre le mur en face nous, un escalier en colimaçon qui monte ou descend. Je suppose qu’Aline doit nous attendre en bas. Jean avance, je ne peux que le suivre. Nous descendons prudemment l’escalier. Je me retrouve alors dans un couloir. Jean passe derrière moi et me pousse. Le couloir est court et sombre. Il s’illumine soudain. Aline est en face de moi devant une porte. Elle est magnifiquement impressionnante. Franchement, j’ai peur et me demande ce que je fais là, mais cette peur me fait un effet bizarre, comme si mes entrailles se tortillaient dans mon ventre. Elle est tout de noir vêtue. Des cuissardes avec talon aiguille et semelle à plateau la grandissent d’au moins 20 centimètre. Elles montent jusqu’à son entrejambe nue. Le haut est un débardeur noir brillant comme ma combinaison. Elle a des gants qui montent presque jusqu’à l’épaule. Le haut de son visage est caché par un masque, un loup noir surmonté de cornes rouges. On entend des cris sourds de l’autre côté de la porte. Je tremble un peu.
Elle ouvre la porte et me tire par la laisse qu’elle a prise. La salle est immense, dans les 30 mètre-carré. Le tout en pierre, le sol un béton ciré.
Avant de prendre le pseudo « Nathalie-soumise », j’ai regardé beaucoup de photos et vidéos BDSM. Cet endroit dépasse tout. Il y a carrément un présentoir en verre de trois mètres de long rempli de godes de toutes formes et toutes dimensions, des sextoys pour tous, pompes a chatte, à seins, à pénis. Pendu au mur, chaines, menottes, cordes, martinets, fouets. Du plafond pendent des cordes, un palan à chaine. Une cage, des sièges bizarres, une table capitonnée, je n’ai pas le temps de tout voir. Il y a là plus que dans tous les films et photos que j’ai pu voir. De quoi soumettre et torturer femmes et hommes. Sur le seul mur vide est projeté un film. Pas un film, une compilation. Des séquences de quelques secondes de soumission et torture. Je suis terrorisée et complètement trempée !
« On commence par ça… »
Un regard d’Aline suffit à Jean pour comprendre. Il décroche deux bracelets du mur. Il les referme sur mes poignets et les cadenasse. Le clic du cadenas….
Puis il prend une barre avec un bracelet à chaque bout. Les chevilles entravées, je me retrouve les jambes bien écartée en face de l’écran et d’Aline qui semble impatiente.
« Dépêche-toi Jean ! Je n’en peux plus ! »
En un instant, mes deux poignets sont attirés vers le plafond. Je me retrouve en croix devant Aline. J’ai l’impression qu’elle salive. Elle tourne autour de moi. Sa main s’aventure, un doigt entre dans mon sexe.
« Tu es bien mouillée ma chienne chérie… »
Elle disparait de ma vue. Sur le mur, une femme se fait fouetter les seins. Quand Aline réapparait dans mon champ de vision, elle a un martinet à la main.
J’ai vraiment la trouille, mais je pense que je mouille tellement qu’il doit y avoir une flaque. Elle prend son temps, tourne en me tâtant les fesses, la chatte, les fesses. Elle tire très lentement sur ma queue de chienne, je sens le plug sortir de moi en me dilatant. Un coup de martinet claque sur mes fesses… sur mes seins, je tressaute chaque fois. Puis elle se met sur le côté, et commence. De plus en plus vite. Les fesses, les seins. Je me tortille en gémissant. Jean lui a mis dans sa main gauche un vibro-masseur, un magic-wand, qu’elle se frotte sur la chatte. Je sens que je vais jouir. Soudain ça s’arrête. Aline est en face de moi, un peu loin. Le martinet part juste entre mes cuisses. Les lanières cinglent ma chatte et mon anus. Je crie. Aline passe derrière moi. Pareil, l’extrémité des lanières atteignent mon clitoris. Je hurle. Aline est de nouveau en face de moi. Je la distingue à peine, j’ai les yeux embués. Elle recule, et le martinet repart entre mes jambes. J’entends Aline jouir, et plus elle jouit, plus ses coups sont violents et rapprochés. Un orgasme comme je n’en ai jamais eu m’anéantit Je hurle ma jouissance.
Aline reprend son souffle en me regardant. Je ne suis qu’une poupée pantelante. Mes jambes ne me soutiennent plus et si je suis encore debout, c’est que mes bras sont toujours attachés au plafond.
Aline me tourne autour.
« C’est bien. Je sens que je vais faire de toi une parfaite soumise, te transformer en ma chose. Quand tu seras avec moi, tu oublieras ton humanité, tu ne seras qu’une bête soumise avide de domination, de souffrance et de plaisir. Soumission, souffrance et plaisir seront intimement liés. Il te faudra obligatoirement les trois pour jouir. »
Ses mots me pénètrent plus que je ne les entends, je prends vaguement conscience de ce qu’ils signifient.
Aline s’approche de moi. Moi dans cette position et elle juchée sur ses cuissardes, ma tête est à peine à hauteur de ses seins. Elle se penche, prends mon menton dans sa main gantée et m’embrasse goulument. J’aime. Je sens qu’on m’enlève mon entrave. Derrière moi Jean me remet Sur mes jambes en me prenant sous les aisselles. Il s’assure un instant de ma stabilité, puis, après avoir détendu les cordes qui me relient au plafond, enlève les bracelets de mes poignets. La fermeture éclair de ma combinaison glisse. Jean me pousse sur un fauteuil, est m’assoie doucement. Il ôte ma combinaison sous le regard avide d’Aline. Au mur, toujours la projection d’image bdsm. Une femme attachée sur une croix est exposée en extérieur. Son sexe est béant, ouvert par un speculum. Ses seins sont serrés par une corde. Zoom avant : une nuée de mouches s’affaire autour d’elle. Il me semble reconnaitre la cour de la ferme. Mon bas ventre est toujours agité de soubresauts. Ma première séance s’achève ? Non.
Me prenant sous les bras, Jean me pousse au fond d’un fauteuil. Il y a des sangles sur les accoudoirs. En un instant, je me retrouve ligotée. Aline installe deux repose-jambe. Je suis dans un fauteuil de gynécologue ! Je ne sais pourquoi, c’est moi qui me met en position, peut-être parce que je sens que c’est ce qu’Aline et Jean attendent de moi. Je suis là mon intimité offerte en face d’eux. Jean me sangle les jambes. Avec Aline ils reculent un peu, comme pour jouir du spectacle : Nathalie la chose à leur merci.
Aline s’approche de moi, elle pense à voix haute, sa main gauche s’agite sur sa chatte.
« Qu’est-ce que je vais lui faire… une chose qu’elle ne connait pas… »
Elle palpe mes seins, les presse, att**** un téton, le pince et le tire, fort. Instinctivement, je me tortille pour échapper à cette étreinte. Sa main part vers mon entrejambe. Elle saisit ma vulve et l’écrase. J’essaye de me soustraire à ce nouvel assaut. Jean et elle me regarde en silence puis :
« Je suis sûre que tes seins n’ont jamais été maltraités avant que je les fouette tout à l’heure, pas plus que ta chatte et ton anus d’ailleurs…Tu n’as jamais connu autre chose que la baise classique, je me trompe ? »
« Je me trompe ? »
Je comprends tout à coup que c’est une question. Avec une voix tremblante, je réponds « non »
« Alors comme ça, tu fantasmes de soumission. Tu as eu un avant-gout tout à l’heure. Prépare-toi à jouir. Tu te rappelles ce que j’ai dit : Soumission, souffrance et plaisir seront intimement liés… »
Je la regarde, je sens la peur m’envahir. A nouveau je sens mes entrailles se tortiller. On me fourre quelque chose dans la bouche. Je crois que c’est ce que Jean avait utilisé lors de notre première rencontre, puis un masque. Je me retrouve dans le noir, la peur au ventre. Soudain, le masque s’illumine. C’est une lunette écran qui diffuse des séances bdsm, les même que celle projetée au mur. Une femme se fait fouetter, seins et sexe. Sa tortionnaire se masturbe avec un vibromasseur. Je mets un moment avant de comprendre que c’est moi un instant auparavant.
« Je vais te mettre un tube sur ta chatte, puis aspirer ; Ta chatte va petit à petit rentrer dans le tube et devenir de plus en plus sensible… Au bout d’un moment, elle sera énorme et le restera plusieurs heures. Enorme et hypersensible »
Avoir des explications de ce qu’on va subir est une torture terrible en soit. Je suis trempée, je ne sais pas si je pisse de peur ou si je dégouline de mouille. La vidéo change. Une femme est cuisses écartées. Vue sur sa chatte. Une main pleine de gel s’approche et commence à l’enduire, puis un tube se pose et se cale bien pour entourer toute sa vulve. Je réalise soudain que je suis en train de regarder ce qu’il m’arrive.
Avant de me retrouver ici, j’ai souvent regardé des vidéos de ce genre. J’étais spectatrice et ça m’excitait. Là je suis spectatrice, j’ai un regard extérieur de ce qui m’arrive et je le sens dans mes chairs ; Je suis double. C’est incroyablement excitant, et pour encore accentuer le tout, Aline et Jean me raconte. Les plans changent sans arrêt. Vue d’ensemble, de droite, de dessus, gros plan sur les seins, ma chatte… La pièce doit être truffée de cameras.
Je sens ma vulve aspirée, et je la voie monter dans le tube. Aline décroche une espèce de pompe. Le tube reste en place. L’impression est bizarre, J’ai l’impression que mon vagin va se retourner comme une chaussette !
« Jean va te lier les seins en huit. Il va commencer par la base, bien serré. Cela fera un point où nous pourrons attacher une corde si besoin »
Le ton d’Aline est glaçant. Presque clinique. La corde s’enroule autour de mes seins. Je le sens, et je le vois, comme si j’étais à deux mètres de la scène. C’est terrible, des scènes comme ça, j’en ai regardé en me masturbant. Là, je vois, je subis, et j’ai envie de me masturber !
Je sens ma chatte encore plus aspirée. Aline a rebranché la pompe et l’actionne à nouveau… Là, c’est un peu douloureux, mais quand je voie jusqu’où ma vulve est montée dans le tube…
« Maintenant, Jean va te faire une jolie gaine de corde pour chacune de tes mamelles »
Effectivement, je le voie s’appliquer
« Au fur et mesure qu’il enroulera les spires, ta mamelle va être poussée vers le haut. Tu n’auras plus qu’une boule au bout d’une spirale de corde »
En cinq minutes, mes seins sont comme prévu. J’ai joui je crois, le tube est plein de mon jus…
Je vois Aline rebrancher encore une fois la pompe. Ma vulve monte encore plus dans le tube…
« mmm, tes seins sont à point.. Ils sont presque violets. Là ils sont hypersensibles, tu vas voir… Jean ? »
Ce que je vois change sans arrêt, mais là, ça se fige sur une vue de dessus. Une femme attachée sur un fauteuil de gynéco, un tube entre les jambes dans lequel sa vulve est entrée de 15 centimètres. En guise de seins, deux tubes de corde terminés par de grosses boules violettes. Une main entre en scène, puis une deuxième. Chacune tient une bougie ; Une noire et une rouge. Les premières gouttes tombent sur le nombril de la femme. Le sursaut fait s’agiter mes seins et le tube collé à ma chatte. Les deux bougies remontent, la cire coule sur ces deux boules violettes qui étaient mes seins. C’est vrai qu’ils sont devenus hyper sensibles ! Je regarde un film et je le vis à la fois, je suis moi et l’image. C’est une sensation étrange et terriblement excitante. Gros plan sur mes seins. On ne voit plus la chair, uniquement la cire. Un est noir, l’autre rouge.
« Jean va faire craquer cette croute de cire. Pour cela, il va utiliser une petite cravache »
Je vois et je sens. C’est douloureux et chaque coup augmente mon excitation. La boule de chair se dévoile. Violette, presque noire…
« Changement de vue. Ma chatte dans le tube, énorme. Aline agite un peu le tube, puis le tire doucement. J’ai l’impression que tous mes organes vont sortir. Dans un grand bruit, le tube se décolle.
Toute ma vulve est gonflée, j’ai des lèvres énormes. Aline prend le tout à pleine main et le presse.
Jean continue à enlever la cire, il frotte à deux mains, et fait se cogner mes siens. Je ne sais plus si je souffre ou si je prends du plaisir.
« Ta chatte bien gonflée est superbe, maintenant, je vais m’en occuper. Je vais y plonger ma main entière »
Ces mots me glacent, jamais je n’ai fait ça.
« Même pas la peine de lubrifiant tellement tu es trempée, ça dégouline par terre »
Sa main gantée s’approche, je sens ses doigts s’immiscer en moi. Elle force, mais sans le vouloir, mon vagin se serre. Elle pousse encore. Le plaisir est trop fort, je me détends tout à coup. Je sens sa main avancer en me dilatant, puis c’est carrément ma chatte qui l’aspire. Ma vulve se referme sur son poignet. Je sens ses doigts s’agiter contre mon utérus. Elle ressort sa main doucement. Dès que la partie la plus large est passée en me dilatant, ma chatte l’expulse. Sa main revient à l’assaut me dilate et je l’aspire. Elle recommence, de plus en plus vite, en alternant main gauche et main droite.
Je me rends compte qu’en fait, je jouis sans arrêt, et depuis bien avant qu’elle me fiste. J’ouvre les yeux, je ne me souviens pas les voir fermés. C’est vu de dessus, les mains d’Aline entrent et sorte de ma chatte rapidement. Je prends conscience du bruit que ça fait. Je vois mon ventre gonfler à chaque pénétration. Ma jouissance est sans fin, la tête me tourne un peu. Aline s’arrête.
« Si elle est assez large, je vais te mettre mes deux mains ensemble dans cette grotte humide »
Il se passe un temps avant que ces mots n’atteignent ma conscience. Je comprends que je ne suis qu’un trou, et qu’Aline va l’agrandir. Mon ventre s’agite, je tremble et j’ai un orgasme violent, tout en me pissant dessus. Je ne contrôle plus rien, je suis une chose. C’est l’instant qu’Aline attendait. Elle joint ses deux mains comme pour une prière puis elle commence à les introduire dans mon vagin. Je sens ma chatte s’écarteler sous la poussée. Elle se retire et revient à la charge, chaque fois un peu plus profond. J’ai mal, mais j’ai toujours l’impression d’être en train de jouir…
Ça s’arrête. La vidéo s’éteint, je me trouve dans le noir. Mes bras sont détachés et mes jambes libérées. Deux personnes m’aide à sortir du fauteuil. Je flagelle un peu, je suis comme saoule. On me fait déplacer doucement. Je marche les jambes écartée car ma vulve, toujours enflée me gêne, j’ai l’impression d’avoir un melon entre les cuisses.
La vidéo revient. Une femme, enfin moi, est debout, les jambes légèrement écartées.
Un bruit de ferraille… TREEEEE. Un crochet au bout d’une chaine descend du plafond.
Jean l’accroche entre mes seins, à la corde passée en huit. Tac tac tac tac… la chaine se tend et me tire un peu vers le haut. Aline doit être à la manœuvre. Jean s’affaire sur mon sein droit. Il essaye de sortir la corde sous ma boule violacée. Bientôt, il y a un petit bout de corde qui dépasse. Il fait de même avec l’autre sein. Il tire en même temps les deux cordes, mes deux seins tournoient. C’est violent et douloureux. En un instant, mes deux mamelles pendent, attachée par la base.
Aline entre dans le champ. Elle me met une ceinture, puis elle amène un magic wand avec un embout que je reconnais pour avoir pensé à l’acheter : Trois protubérances. Une de 10 cm pour le vagin, une plus petite pour l’anus, et une sorte de langue pour le clitoris. Il a un système de corde pour le fixer à la ceinture. En deux temps trois mouvements, il est collé à ma chatte gonflée.

Tac…tac…tac. La chaine me tire de plus en plus jusqu’à ce que je sois sur la pointe de pieds. Je suis deux. Une qui regarde, et une qui subit. C’est terrible : une qui souffre, et une qui prend du plaisir à la voir souffrir…
Aline s’approche de mon oreille.
« Maintenant, il faudra que tu me supplies… »
Le magic wand se met en marche. Il passe de massage doux à intense en 5 secondes.
Je me regarde me tortiller. Et je jouis encore et encore, un orgasme permanent. Je n’y vois plus, j’entends quelque fois le cliquetis du palan qui me tire au plafond, de Bzz du magic wand, les voix d’Aline et Jean, Mes cris. Je n’ai plus la notion du temps.
J’ouvre les yeux : Une femme pendue par les seins, un vibromasseur entre les jambes, se débat, ses jambes s’agitent sans toucher le sol, ses genoux montent très haut. Je reprends conscience.
« Je vous en supplie, arrêtez ! »
Le vibromasseur s’arrête instantanément, la vidéo aussi. Mes jambes arrêtent de s’agiter et se reposent sur le sol, bien à plat. Je suis dans un état semi comateux ! On enlève le crochet entre mes seins. On m’aide à marcher, toujours les jambes écartées à cause de ma chatte énorme. On m’aide à m’allonger sur une table je crois. Je me sens comme une poupée de chiffon, même dans mes plus grosses cuites, je ne suis jamais arrivée à ce point.
La vidéo revient. Vue de coté. Je suis sur une table, allongée sur le dos. Jean me tire sous les aisselles jusqu’à ce que ma tête ne soit plus sur la table. Sa queue est devant ma bouche, cette bouche en plastique énorme qui fait de moi un trou. Il att**** mes seins, et plante sa bite dans cet orifice. Il ne veut pas une fellation, il veut un trou. Là c’est ma bouche, mais ça pourrai être ma chatte ou mon cul ! Il me baise, un va-et-vient puissant. De plus en plus profond. Il arrive à passer la glotte. La sensation est presque la même que quand j’ai reçu la main d’Aline dans ma chatte !
Je ne suis plus qu’une bête entrain de jouir…
Aline apparait. Elle a une bite maintenant, un strapon, un de ceux sans sangle qui se coince dans le vagin. Tout rouge et pas très gros. Elle pousse Jean pour prendre sa place. Le sexe en plastique entre et sort de ma bouche. Elle se retire, et Jean reprend sa place. Sa queue recommence son va-et-vient dans ce trou qui était ma bouche. Elle passe derrière lui, Il stoppe ses mouvements, sa queue touche ma glotte. Aline lui rentre d’un coup sec sa bite entière dans le cul, La queue de Jean est rentrée entièrement dans ma bouche. Jean recommence ses mouvements, elle le sodomise en cadence, puis Jean arête sa queue a quelques centimètres de moi. Il la tient bien en face, mais ne se masturbe pas. Aline continue son va-et-vient. De grand jets de sperme me giclent dans la bouche dans la bouche.
« Goinfre-toi de mon foutre ma truie »
Aline pousse Jean de côté. Elle enlève son strapon qu’elle jette. Elle prend à deux mains ma tête qui pend au bord de la table, la soulève, s’avance, et à grands jets, me pisse dans la bouche. Nous crions ensemble notre jouissance.
On m’enlève la lunette écran. Je suis un peu aveuglée et je vois flou. On me fait descendre de la table.
Je suis épuisée, mon corps est secoué de spasmes incontrôlables. Je crois que je continue à jouir.
Incapable de tenir debout, je reste assise sur le sol.
Aline est campée devant moi. Je lève la tête. Elle m’observe. Sa voix résonne
« Je crois que ce sera une bonne petite chienne docile non ? »
« Oui surement »
« Ce soir, elle a eu son compte, on en fait quoi maintenant ? »
« Demande le lui »
Aline me relève le menton et me regarde.
« Dis-moi ma petite chienne, tu veux remonter dans ta chambre, ou rester ici pour la fin de la nuit ? »
Mon cerveau embrumé comprend à peine. Je m’entends répondre « ici »
Aline a un gloussement de satisfaction.
« Jean ! »
Jean pousse devant lui une cage sur roulette, assez grande mais basse. Son plancher est plein et capitonné, le reste, ce sont des barreaux. Je me retrouve devant l’entrée. Comme un automate, j’avance à quatre pattes dans ma prison. Ma chatte est toujours enflée et me rappelle à elle. Je suis dans la prison, quand Aline m’ordonne de faire demi-tour. J’obéi. Je fais demi-tour dans la cage et m’apprête à en sortir.
« Stop ! »
« Jean, arrête les caméras »
Aline me force à baisser la tête, la fermeture éclair glisse, elle enlève ma cagoule. Elle touche un peu mon collier, mais le laisse en place.
« Tu veux manger ? »
Je fais non de la tête. Jean et Aline m’observent un instant, puis Aline jette une couverture et une bouteille d’eau dans ma cage. Tout va très vite. La grille de ma prison est fermée, Aline pose le cadenas, et me montre bien la clef qu’elle pend ensuite à son cou. La cage roule sous le palan auquel on m’avait pendue. Je me retrouve à un mètre cinquante du sol. Jean fait un peu se balancer la cage.
Ils s’en vont, laissant la lumière allumée. Je regarde où je suis. Jamais dans des films je n’ai vu autant de matériel dédiés à la soumission et à la torture. Pour certains, je ne vois même pas à quoi ils peuvent bien servir. Fourbue, et le corps un peu endolori, je me blotti sous la couverture et m’endors.
C’est le cliquetis métallique du palan qui me réveille. Jean est en train de faire descendre la cage, Aline me regarde. La cage à terre, Aline enlève le cadenas et ouvre la porte. J’hésite avant de sortir car dans la cage, j’ai bizarrement une sensation de sécurité.
« Viens ma chienne »
Je sors de la cage. Aline accroche aussitôt la laisse à mon collier. Allez, debout. Je suis toute courbaturée, je me lève difficilement. Aline me tire par la laisse. On remonte rapidement et elle m’emmène dehors, jusqu’à la porte de mon studio et décroche ma laisse.
« Fais ta toilette et habille-toi. Je reviens chercher dans une demi-heure »
Je fais un passage obligé aux toilettes, puis prends une douche. Il y a tout ce qu’il faut, serviettes, savon, brosse à dent etc etc. J’ouvre la porte de l’armoire pour récupérer ma robe. La grande glace me renvoie mon image. On voit très bien les marques sur mes seins. Heureusement que je n’ai pas pris une robe avec décolleté ! Je fini à peine de remettre mon collier qu’Aline franchi la porte. Elle croche immédiatement la laisse.
« Viens, tu dois être affamée »
J’en prends immédiatement conscience. Je la suis, je ne peux pas faire autrement de toute manière.
On entre dans la maison. La table est mise, trois couverts. Aline me fait assoir. Elle s’assoie à côté de moi et attache ma laisse à sa chaise. Je lui appartiens. Jean vient s’assoir. Il nous sourit.
« Tu as vu la pendule ? »
Je ne comprends pas trop, mais Jean me montre du pouce une grande horloge à balancier derrière lui. Elle indique 14h30.
« D’accord, on s’est couché vers 5 heures du matin, mais là, tu risques de rater ton train »
Tous les deux regardent avec amusement mon air stupéfait. Sans me quitter des yeux, Jean saisi une cloche qu’il agite. La porte de la cuisine s’ouvre. Une soubrette, une vraie soubrette à l’ancienne entre avec un plat à la main qu’elle pose délicatement sur la table. En s’adressant à Aline :
« Voici les entrées Madame. »
Elle a un collier, J’arrive à voir la plaque : Amandine.
Elle est comme moi un peu ronde, mais a des seins beaucoup plus volumineux, à moins que ce soit le corset qui l’enserre qui fasse cet effet. Et elle a 20 de moins que moi. Je me sens jalouse.
Le repas est délicieux, mes hôtes charmants. Aucune allusion à la nuit passée. J’apprends que Jean aime vraiment sa nouvelle vie à la campagne. Il pêche, chasse, adore se balader et s’occuper de ses bêtes. Les alentours sont déserts. Les champs autour sont loués à un paysan du coin, plus pour que la terre soit entretenue qu’autre chose. Aline elle, est du cru. Ils sont ensemble depuis quelques années, avant que Jean n’arrête de travailler. C’est elle qui a trouvé cette ferme et l’a faite rénovée.
Pendant qu’Amandine débarrasse, J’ai droit à un petit digestif, assise sur un canapé entre Aline et Jean. Une main chacun sur chacune de mes cuisses.
« Madame, je crois qu’il est l’heure »
Aline regarde, Amandine, puis l’horloge.
« Allez, il faut y aller, tu vas rater ton train »
Elle se lève prend son sac à main et le mien qui trainent sur une chaise. Je suis debout. Je lui tends l’extrémité de la laisse. Elle me regarde en exultant.
On traverse la cour pour aller jusqu’à la voiture. Jean part vers le grand portail en bois. Les petits chevaux viennent à notre rencontre. Aline en caresse un sans s’arrêter de marcher, ils nous accompagnent. On s’assoie dans la voiture. Un des chevaux près de ma porte a une bite énorme qui pend presque jusqu’à toucher le sol, puis se tend brusquement parallèlement à son ventre. Juste avant de mettre le moteur en marche, Aline se penche vers moi
« C’est excitant hein, mais je ne crois pas que tu sois prête »
Le pourpre me monte au joues.
Aline s’arrête devant la gare. Elle me regarde, puis délicatement, elle enlève mon collier.
« Mets le dans ton sac, tu ne l’oublieras pas pour la prochaine fois que tu viens me voir, c’est promis ? »
« C’est promis. »
Je me penche vers elle, nos deux bouches se rencontrent, on s’embrasse tendrement.
Je descends et fait le tour de la voiture pour lui faire un dernier au revoir. Elle baisse sa vitre.
« Aline, tout ce que nous avons fait ne fait pas de toi une femme objet. Ce n’est qu’un jeu entre nous trois. Alors si quelqu’un te manque de respect, ne te laisse jamais faire. Bon voyage »
Je me retrouve nue sous ma robe au milieu de nulle-part avec plein de pensées qui se bousculent dans ma tête.
J’entends le train arriver, je me dépêche d’aller sur le quai. Ici, il ne s’arrête qu’une minute.

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